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Sucé-sur-Erdre

Sucé-sur-Erdre est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Sucé-sur-Erdre
Sucé-sur-Erdre
Le port de plaisance, sur l'Erdre.
Blason de Sucé-sur-Erdre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes d'Erdre et Gesvres
Maire
Mandat
Julien Le MĂ©tayer
2023-2026
Code postal 44240
Code commune 44201
DĂ©mographie
Gentilé Sucéens, Sucéennes
Population
municipale
7 325 hab. (2020 en augmentation de 9,21 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 177 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 20′ 27″ nord, 1° 31′ 47″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 47 m
Superficie 41,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Sucé-sur-Erdre
(ville isolée)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de La Chapelle-sur-Erdre
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Sucé-sur-Erdre
Liens
Site web https://suce-sur-erdre.fr/

    Elle fait partie de la Bretagne historique, située en pays Nantais, un des pays traditionnels de Bretagne.

    GĂ©ographie

    Situation

    Situation de la commune de Sucé-sur-Erdre dans le département de la Loire-Atlantique.

    SucĂ©-sur-Erdre est situĂ© dans la vallĂ©e de l'Erdre, Ă  15 km au nord de Nantes (centre).

    Les communes limitrophes sont Casson, Nort-sur-Erdre, Petit-Mars, Saint-Mars-du-DĂ©sert, Carquefou, La Chapelle-sur-Erdre et Grandchamp-des-Fontaines.

    Selon le classement établi par l'Insee en 1999, Sucé-sur-Erdre est une commune urbaine monopolarisée qui fait partie de l'aire urbaine de Nantes et de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique). Elle est la seule commune de son unité urbaine

    Urbanisme

    Typologie

    SucĂ©-sur-Erdre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de SucĂ©-sur-Erdre, une unitĂ© urbaine monocommunale[4] de 7 023 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7] - [8].

    Transports

    Avec la réouverture de la ligne de Nantes-Orléans à Châteaubriant sous la forme d'un tram-train, intervenue le [9], la gare de Sucé-sur-Erdre est desservie par[10] - [11] :

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sulce en 952[12], Succe au XIe siècle[13].

    Il s'agit sans doute d'une formation toponymique en -(i)acum semblable à Sucy-en-Brie (Seine-et-Oise, Sulciacum)[12], -(i)acum est un suffixe d'origine gauloise marquant l'emplacement ou la propriété, qui a donné diverses terminaisons -y de manière générale au nord et -é à l'ouest. Le premier élément Sulc- représente l'anthroponyme latin Sulcius[12]. La forme bretonne moderne est basée sur Sulciacum, le suffixe -(i)eg étant l'équivalent néo-breton du suffixe -(i)acum. Ils remontent tous deux au celtique commun *(i)ako-.

    Le nom gallo de la commune est Suczaé, en écriture ELG[14].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Sulieg[13].

    Histoire

    Le nom de Sucé est mentionnée dès le Xe siècle.

    À la fin du Moyen Âge et au XVIe siècle, le territoire de la paroisse est réparti entre deux seigneuries, l'une appartenant à l'évêché de Nantes (la régaire), l'autre aux seigneurs de Blain, qui à cette époque sont d'une branche des Rohan. Les évêques de Nantes ont ici une résidence d'été, le manoir de Montretrait. Le fief des Rohan concerne notamment le manoir de l'Onglette, le château de Nay et le château de Procé.

    Sucé joue un rôle important dans l'histoire du protestantisme à Nantes, dans la mesure où les Rohan deviennent calvinistes et assurent leur protection à leurs coreligionnaire partout où ils le peuvent. Compte tenu de la proximité de Nantes, les calvinistes établissent à Sucé un lieu de culte dès les années 1560. Ils établissent leur temple dans un ensemble de bâtiments appelé la Cour Gaillard.

    Après la publication de l'Ă©dit de Nantes (1598), SucĂ© est choisi par les rĂ©formĂ©s nantais pour ĂŞtre leur lieu de culte officiel, tout culte public protestant Ă©tant interdit dans un rayon de 3 lieues autour des remparts de la ville de Nantes, dont les habitants, partisans de la Ligue catholique et du duc de MercĹ“ur dans les annĂ©es 1590, restent massivement hostiles aux protestants. SucĂ© a de surcroĂ®t l'avantage d'ĂŞtre facilement accessible grâce Ă  l'Erdre. Jusqu'en 1685, les protestants de Nantes viennent donc chaque dimanche Ă  SucĂ© pour assister Ă  l'office.

    En 1677, l'évêque de Nantes ordonne la destruction du château.

    En 1685, le culte protestant prend fin à la suite de la révocation de l'édit de Nantes par Louis XIV.

    Par ailleurs, on peut noter la présence au XVIIe siècle de la famille Descartes au château de Chavagne, à la suite du remariage du père de René Descartes, qui a donc passé une partie de son enfance à Sucé.

    En 1793, la commune de Sussé (selon l'orthographe de l'époque) est créée[15].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

    En 2020, la commune comptait 7 325 habitants[Note 3], en augmentation de 9,21 % par rapport Ă  2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7851 6611 6451 8041 9842 0462 1192 2552 367
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3132 3022 3132 2952 3802 4252 5152 5222 507
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3202 1952 1521 9181 8511 7641 7191 7591 803
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 7381 6962 3464 1354 8065 8686 1116 1726 590
    2018 2020 - - - - - - -
    7 0877 325-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,0 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 3 506 hommes pour 3 581 femmes, soit un taux de 50,53 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[19]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,6
    75-89 ans
    6,9
    18,2
    60-74 ans
    17,7
    23,4
    45-59 ans
    24,0
    17,7
    30-44 ans
    18,6
    14,2
    15-29 ans
    12,5
    20,4
    0-14 ans
    19,0
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 44 818 â‚¬, ce qui plaçait SucĂ©-sur-Erdre au 899e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 mĂ©nages en mĂ©tropole et au premier rang du dĂ©partement de Loire-Atlantique[21].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 Pierre Chambert
    1790 ou 1791 Laurent (Le) Vacher conservateur Marchand de draps de soie, propriétaire de la Hautière
    1792 Jean-François Yvelin
    1793 Alexandre Bonraisin
    1795 1799 Michel Rivron et Jean Chesneau
    1800 Le Gros Propriétaire de la Papinière
    1807 M. de Carheil Propriétaire du château de Launay
    1819 Claude Prudent Luzeau de La Mulonnière
    1830 Jean-Pierre Guichard
    1834 Humanité Yvelin
    1837 Joseph Salmon
    1839 1861 Jean-Baptiste Dupont
    1861 1870 Jean-Baptiste Brault
    Gravaud
    1938 1950 Roger Ertault de La Bretonnière
    avril 1950 mars 1965 MoĂŻse Foucaud[Note 4] Ancien premier adjoint
    mars 1965 mars 1974
    (démission)
    René Baudeau[Note 5] Agent commercial
    avril 1974[22] mars 1977 Michel Maury DVD Gérant de société
    mars 1977 mars 1983 Guy Joyau DVD Ingénieur général retraité
    mars 1983 mars 2001 Serge Drouet[Note 6] DVD Pharmacien
    mars 2001 mars 2008 Dominique Meluc DVD Concepteur informatique
    mars 2008 mars 2014 Daniel Châtellier PS Technicien informatique
    mars 2014 février 2023[23] Jean-Louis Roger[Note 7] UDI puis SE[24]
    puis Horizons[25]
    Chef d'entreprise retraité
    Décédé en fonction
    3 mars 2023[26] En cours Julien Le Métayer Horizons Ingénieur en informatique et électronique
    Ancien adjoint au maire (2020 → 2023)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Étienne.
      L'église Saint-Étienne.
    • L'ancienne gare, actuelle maison des associations.
      L'ancienne gare, actuelle maison des associations.
    • Une maison du centre-ville.
      Une maison du centre-ville.
    • La mairie.
      La mairie.
    • Maisons anciennes au bourg : tour Gaillard, tour des Protestants.
    • Tour Saint-Georges 1884.
    • Château de Launay : façades et toitures inscrites par arrĂŞtĂ© du [27].
    • Château de Chavagne, du XVe siècle : inscrit partiellement par arrĂŞtĂ© du [28].
      Le château de Chavagne appartient au XVIe siècle à la famille Morin puis par mariage à la famille Descartes ; un descendant de Joachim Descartes le revend en 1688 à Claude Luzeau.
    • Demeure de Bas-Jaille : construite en 1428 par Jehan Guyolle, SĂ©nĂ©chal de PloĂ«rmel, AllouĂ© de Nantes, est achetĂ©e en 1617 par Joachim Descartes (fils) et revendue en 1698 Ă  Louis Alexandre.
    • Demeure de Cour-Gaillard : ensemble bâti par les calvinistes Ă  la fin du XVIe siècle autour de leur lieu de culte.
    • Manoir de l'Onglette et château du Nay : correspondent Ă  des lieux relevant du fief des Rohan au XVIe siècle. Le château de Nay est une ancienne propriĂ©tĂ© des familles de Pontual et de Cornulier ; les deux ailes ouest sont construites en 1849 par ThĂ©odore de Cornulier-Lucinière et l'aile en 1870 par son gendre Rogatien de Lambilly. Il passe en 1956 aux Faucher de Corn.
    • Château de Jaille, du XVIIIe siècle.
    • Manoir de LognĂ©, du XVIe siècle.
    • Manoir de Longle.
    • Nombreux châteaux du XIXe siècle : Blanc-Verger, La Baraudière, Le Bois-Mellet, La Châtaigneraie, L'Onglette, Montretrait (rĂ©sidence d'Ă©tĂ© des Ă©vĂŞques de Nantes), La Claverie, La Guillonnière, Naye (avec chapelle flanquĂ©e d'une tour-pigeonnier), La Pervenchère, Les Rochettes.
    • Moulin Ă  vent de La Touche, du XIXe siècle.
    • L'Ă©glise Saint-Étienne, reconstruite au XIXe siècle sur l'emplacement de l'ancienne, de style roman.
    • Manoir du Bel-air, propriĂ©tĂ© construite vers 1840 par la famille Eugène Ducos qui sera vendu dans les annĂ©es 1950.
    • Le parc Georges-Ganuchaud : ouvert il y a un peu plus d'une dizaine d'annĂ©es, ce parc forestier permet des promenades au fil de l'Erdre. On peut y apercevoir la tour Saint-Georges (voir plus haut). L'arboretum, plus rĂ©cent, permet d'en savoir plus sur la flore des bords de l'Erdre. Georges Ganuchaud, cĂ©lèbre architecte a Ă©pousĂ© Gabrielle Ecomard « de Boisfoucaud ».
    • Château de Launay
      Château de Launay
    • Château de Naye
      Château de Naye
    • Château de Chavagnes
      Château de Chavagnes
    • Château de la Guillonnière
      Château de la Guillonnière
    • PropriĂ©tĂ© sur les rives de l'Erdre
      Propriété sur les rives de l'Erdre

    Patrimoine naturel

    La réserve naturelle régionale de la tourbière de Logné se trouve en partie sur la commune.

    Autres monuments

    • Le voilier Le Vezon, classĂ© monument historique en 1997, et le voilier Le VĂ©tille, Ă©galement classĂ© monument historique en 1994.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur au pont mouvant des flancs soutenu d'une tierce ondée, le tout d'argent ; au chef du même chargé d'une feuille de nénuphar de sinople accompagnée de deux mouchetures d'hermine de sable.
    Commentaires : Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par M. Ganuchaud et l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale du ).

    Festivals

    Personnalités

    Voir aussi

    Bibliographie

    • LoĂŻc Bonnet et Soazig Bonnet, Treillières, SucĂ©-sur-Erdre et Grandchamp-des-Fontaines, JouĂ©-lès-Tours, A. Sutton, coll. « MĂ©moire en images », , 127 p. (ISBN 2-84253-476-X)
    • Pierre GrĂ©goire, Histoire de SucĂ© : paroisse et commune de la Loire-InfĂ©rieure, Nantes, Dupas et Cie, , 392 p.
    • Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, Flohic Éditions, Charenton, 1999.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    4. RĂ©Ă©lu en 1953 et 1959.
    5. RĂ©Ă©lu en 1971.
    6. RĂ©Ă©lu en 1989 et 1995.
    7. RĂ©Ă©lu en 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Sucé-sur-Erdre », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Article sur www.france3.fr du 28 février 2013.
    10. « Réouverture Nantes-Châteaubriant : dernière ligne droite », sur le site officiel de la Région des Pays de la Loire (consulté le ).
    11. Site SNCF TER Pays de la Loire, Informations pratiques sur les gares et arrêts : Gare de Sucé-sur-Erdre lire en ligne (consulté le 28 février 2014)
    12. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
    13. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    14. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sucé-sur-Erdre (44201) », (consulté le ).
    20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    21. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
    22. « M. Maury, nouveau maire, veut entreprendre la radioscopie de sa commune », Ouest-France,‎
    23. « Jean-Louis Roger, maire de Sucé-sur-Erdre, est décédé », Ouest-France,‎
    24. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/suce-sur-erdre-44240/municipales-bien-dans-son-costume-de-maire-suce-sur-erdre-jean-louis-roger-repart-6545547
    25. https://horizonsleparti.fr/comites-municipaux/
    26. « Conseil d'élection du maire du 3 mars », sur suce-sur-erdre.fr (consulté le ).
    27. Fiche du château de Launay dans la base Mérimée.
    28. Fiche du château de Chavagne dans la base Mérimée.
    29. Site du Salon
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