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Saffré

Saffré est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Saffré
Saffré
Les bords de l'Isac.
Blason de Saffré
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Loire-Atlantique
Arrondissement ChĂąteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes de Nozay
Maire
Mandat
Marie-Alexy-Lefeuvre
2022-2026
Code postal 44390
Code commune 44149
DĂ©mographie
Gentilé Saffréens
Population
municipale
3 989 hab. (2020 en augmentation de 5,25 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 69 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 30â€Č 09″ nord, 1° 34â€Č 39″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 78 m
Superficie 57,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Saffré
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Saffré
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Saffré
Liens
Site web http://www.saffre.fr/

    GĂ©ographie

    Situation de la commune de Saffré dans le département de la Loire-Atlantique

    Situation

    SituĂ©e au nord de l’agglomĂ©ration nantaise dont elle est Ă©loignĂ©e de 35 km, la commune de SaffrĂ© est traversĂ©e par la voie express Nantes-Rennes (RN 137, Ă  2x2 voies).

    GĂ©ographie physique

    La topographie est assez homogĂšne (entre 25 m et 50 m). Elle culmine Ă  77 m au hameau « La Praie ». Ce promontoire mis Ă  part, le territoire communal se caractĂ©rise par un paysage de plaine Ă  l’Ouest avec la vallĂ©e de l’Isac et de plateau Ă  l’Est avec la ForĂȘt. À noter : vers 1500, il y eut deux ou trois tremblements de terre, cause probable des gouffres de la Chutenais.

    Le sous-sol contient une réserve en eau exploitée aprÚs traitement dans une usine (située aux PerriÚres) au niveau des captages de la Chutenais.

    La nappe phrĂ©atique situĂ©e au Nord du bourg et des villages d’Augrain et des Ormes couvre 2 000 ha et dans sa partie la plus profonde elle peut atteindre 300 m. Elle est trĂšs vulnĂ©rable Ă  la pollution.

    GĂ©ographie humaine

    La population est rĂ©partie dans les nombreux hameaux sur un territoire s’étendant sur 5 746 ha.Cette surface est rĂ©partie entre une cinquantaine d’exploitations agricoles qui produisent du lait pour 80 % d’entre elles ; 20 % sont orientĂ©es en production de viandes. La forĂȘt de SaffrĂ© et diffĂ©rentes parties boisĂ©es complĂštent cette surface...

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 2] : 754 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre, mise en service en 1950[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 754,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et Ă  36 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saffré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (90,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (54,7 %), prairies (16,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,8 %), forĂȘts (9,6 %), zones urbanisĂ©es (3,7 %), eaux continentales[Note 6] (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La localité est attestée sous sa forme latine Saffriacum dÚs 1123[21].

    Le nom de Saffré pourrait provenir de l'anthroponyme gallo-romain Safria, avec le suffixe locatif -acum (domaine).

    SaffrĂ© possĂšde aussi un nom en gallo, la langue d'oĂŻl locale : Safrei (Ă©criture ELG, prononcĂ© [sa.fʁə])[22].

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Saverieg[23].

    Histoire

    La mer à Saffré

    Un bras de mer s'avançait jusqu'à Saffré il y a plus de quarante millions d'années. On y a en effet retrouvé des coquillages fossiles identiques à ceux que l'on peut retrouver aujourd'hui en Méditerranée.

    Le site préhistorique

    L’histoire de la Commune remonte Ă  la plus haute antiquitĂ©. On a en effet retrouvĂ© des silex Ă©clatĂ©s et des haches en pierre polie en telle quantitĂ© qu’il n’y a aucun doute sur l’existence d’une concentration humaine Ă  SaffrĂ© bien avant l’époque gauloise. Les plus anciens vestiges d’une prĂ©sence humaine sur le site de SaffrĂ©, telles les haches polies dĂ©couvertes prĂšs d’Augrain, remontent Ă  la fin du troisiĂšme ou au dĂ©but du deuxiĂšme millĂ©naire avant JĂ©sus-Christ. On peut rattacher Ă  la mĂȘme Ă©poque nĂ©olithique la lame de silex trouvĂ©e prĂšs du gouffre de la Chutenais, la hache-marteau de Marignac et l’anneau en phtanite recueilli au Jarrier. Mais la dĂ©couverte la plus marquante fut celle d’un dĂ©pĂŽt de 30 haches de bronze faite Ă  la Jossaie en 1965. SaffrĂ© venait ainsi ajouter son nom Ă  celui des 11 localitĂ©s de la Loire-Atlantique, oĂč furent mis au jour des dĂ©pĂŽts identiques, que l’on date des alentours de l’an mille avant notre Ăšre, le plus important Ă©tant celui de Blain (400 haches).

    La période gallo-romaine

    De la pĂ©riode gallo-romaine, les vestiges sont encore plus Ă©vidents. On sait que les gisements de calcaire de la commune Ă©taient exploitĂ©s par les Romains et on trouve encore parfois Ă  200 m Ă  l’ouest du bourg des dĂ©bris de tuiles Ă  rebords, le long d’une ancienne voie romaine (Blain, Saumur...).

    Les Seigneurs

    Le premier seigneur connu de SaffrĂ© semble avoir Ă©tĂ© Alain de Pierrefeu, en 1097. Un premier chĂąteau existait au Moyen Âge (XIe – XIIe siĂšcle). L’un de ses successeurs offrit en 1223 un fief aux chevaliers du Temple de Nantes. La chĂątellenie de SaffrĂ© comprenait la paroisse entiĂšre de ce nom et s’étendait aux paroisses avoisinantes : Nort-sur-Erdre, JouĂ©-sur-Erdre, Puceul. Plusieurs gĂ©nĂ©rations de Tournemine ont ensuite occupĂ© les lieux, pendant plus d'un siĂšcle. En 1542, les d’Avaugour, descendants des Ducs de Bretagne leur succĂ©dĂšrent. Cette famille restera aussi longtemps propriĂ©taire du chĂąteau de SaffrĂ© (jusqu'au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle). Dans un aveu de 1679, le chĂąteau est dĂ©crit ainsi : « le chĂąteau de SaffrĂ© avec ses tours, cernoyĂ© de ses douves et pont-levis, avec les bastiments en dehors, fuie, estang, bois, vignes, prĂ©s... ».

    Les O'Riordan succĂ©dĂšrent aux d’Avaugour. Leur fille Ă©pousa un riche et ambitieux marin, Jacques-Edme Cottin, originaire de Saint-Domingue, qui acheta un titre de noblesse et devint Ă  son tour l'un des propriĂ©taires du chĂąteau - et le dernier seigneur du lieu.

    XIXe et XXe siĂšcles

    À partir de 1824, Hubert Le Loup de Beaulieu, nouveau propriĂ©taire du domaine (et maire de SaffrĂ© 1825 Ă  1830), fait effectuer de nombreuses modifications, architecturales et paysagĂšres. Il cĂšde la forĂȘt de SaffrĂ©, fait creuser un nouveau lit Ă  l’Isac et dĂ©truire tout ce qui pouvait donner l’aspect d’une forteresse (douves, pont-levis, vers 1840). Le chĂąteau de SaffrĂ© devient Ă  cette Ă©poque une habitation « moderne ». Alexis Ricordeau (maire de 1902 Ă  1931), avocat au barreau de Nantes et premier prĂ©sident du conseil d’administration de l’hĂŽtel-Dieu de la ville, acheta le chĂąteau en 1895. Il fit abattre l’aile ouest (Ă  la suite d'un incendie ?) et rĂ©amĂ©nagea le bĂątiment selon les goĂ»ts de l’époque. Son fils Maurice en fut le dernier habitant, avant l’occupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale. En 1990, la commune de SaffrĂ© a acquis cette propriĂ©tĂ©, inoccupĂ©e depuis lors. C'est sur le site du chĂąteau que s'est dĂ©roulĂ© pendant 10 ans le festival « le Champ du rock ». Le lieu est toujours utilisĂ© pour de nombreuses manifestations associatives (on peut Ă©galement y visiter un joli potager, des mares), en attendant un usage plus rĂ©gulier...

    Le Maquis de Saffré

    Monument commémoratif du maquis de Saffré.
    Le général de Gaulle à Saffré.

    La commune est particuliÚrement célÚbre pour avoir été le siÚge du principal maquis du département au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il a été anéanti par l'occupant allemand dans la nuit du au

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur aux trois croix fleurdelysĂ©es d'or, au chef du mĂȘme.
    Commentaires : D'aprĂšs un Brevet d'Hozier (1696).

    Politique et administration

    Mairie de Saffré.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 1960 Pierre Mabit Notaire
    1960 1977 Pierre SĂ©galen DVD Pharmacien
    Conseiller gĂ©nĂ©ral de Nozay (1964 → 1970)
    1977 1989 Roger Mary Agriculteur
    1989 2008 Jean Dupas[N 1] DVG Agriculteur
    2008 2020 Jocelyne Poulin[N 2] DVG Enseignante
    2020 2022 Jean-Claude Raux T44 Professeur de lettres et d'anglais
    en lycée professionnel
    Député (6e circ.) (depuis 2022)
    2022 En cours Marie-Alexy Lefeuvre[N 3] T44 Directrice des opérations

    Population et société

    DĂ©mographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Saffré fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Nozay. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[24]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 94 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 6 % dans des zones « trÚs peu denses »[25].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[27].

    En 2020, la commune comptait 3 989 habitants[Note 7], en augmentation de 5,25 % par rapport Ă  2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2261 4661 6132 6392 8222 9403 0733 2653 385
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 3143 3863 4553 4553 5623 5813 5513 6643 670
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5053 5043 5263 0022 8602 7602 6312 4382 410
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 3362 3202 2062 4922 6082 6783 2483 3293 680
    2017 2020 - - - - - - -
    3 9073 989-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  39,5 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 18,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 996 hommes pour 1 951 femmes, soit un taux de 50,57 % d'hommes, lĂ©gĂšrement supĂ©rieur au taux dĂ©partemental (48,58 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,7
    4,3
    75-89 ans
    6,4
    12,5
    60-74 ans
    13,6
    19,5
    45-59 ans
    17,7
    23,3
    30-44 ans
    22,7
    15,1
    15-29 ans
    14,4
    24,9
    0-14 ans
    24,5
    Pyramide des ùges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Lieux et monuments

    • Église paroissiale
      Église paroissiale
    • ChĂąteau de SaffrĂ©
      Chùteau de Saffré
    • Potager associatif du chĂąteau
      Potager associatif du chĂąteau

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques-Edme-LĂ©ger Cottin (1754-1823), homme politique français, propriĂ©taire du chĂąteau de SaffrĂ© et maire de la commune, y est dĂ©cĂ©dĂ©.
    • François FidĂšle Ripaud de Montaudevert, corsaire français, nĂ© le Ă  SaffrĂ©.
    • Alcide Leroux (1846-1926), avocat, Ă©crivain, historien, membre de La sociĂ©tĂ© ArchĂ©ologique de Nantes et du dĂ©partement de la Loire-InfĂ©rieure, nĂ© Ă  SaffrĂ©.
    • Jean-Michel Dupas, originaire de la commune, responsable de la programmation Ă  l'Olympic (Nantes) et membre de l'Ă©quipe de programmation du Printemps de Bourges.
    • Philippe Tourtelier, dĂ©putĂ© PS d'Ille-et-Vilaine
    • Jean-Claude Raux, ancien maire de SaffrĂ© et dĂ©putĂ© NUPES de la sixiĂšme circonscription de la Loire-Atlantique.

    Jumelages

    Saffré est jumelée avec:

    Winterton est une petite ville de 5 000 habitants, dans le Lincolnshire. Afin de dĂ©velopper les relations entre les deux communes, le ComitĂ© de Jumelage SaffrĂ© / Winterton organise chaque annĂ©e des Ă©changes entre familles, agrĂ©mentĂ©s de visites et de rencontres variĂ©es.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. RĂ©Ă©lu en 1995 et 2001.
    2. RĂ©Ă©lue en 2014.
    3. Élue en 2022.
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Nort-sur-Erdre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saffré et Nort-sur-Erdre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Nort-sur-Erdre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saffré et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
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    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
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