Saffré
Saffré est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Saffré | |||||
Les bords de l'Isac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Pays de la Loire | ||||
DĂ©partement | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | ChĂąteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Nozay | ||||
Maire Mandat |
Marie-Alexy-Lefeuvre 2022-2026 |
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Code postal | 44390 | ||||
Code commune | 44149 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saffréens | ||||
Population municipale |
3 989 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 69 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 30âČ 09âł nord, 1° 34âČ 39âł ouest | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 78 m |
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Superficie | 57,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nantes (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Guémené-Penfao | ||||
LĂ©gislatives | SixiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.saffre.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Situation
SituĂ©e au nord de lâagglomĂ©ration nantaise dont elle est Ă©loignĂ©e de 35 km, la commune de SaffrĂ© est traversĂ©e par la voie express Nantes-Rennes (RN 137, Ă 2x2 voies).
GĂ©ographie physique
La topographie est assez homogĂšne (entre 25 m et 50 m). Elle culmine Ă 77 m au hameau « La Praie ». Ce promontoire mis Ă part, le territoire communal se caractĂ©rise par un paysage de plaine Ă lâOuest avec la vallĂ©e de lâIsac et de plateau Ă lâEst avec la ForĂȘt. Ă noter : vers 1500, il y eut deux ou trois tremblements de terre, cause probable des gouffres de la Chutenais.
Le sous-sol contient une réserve en eau exploitée aprÚs traitement dans une usine (située aux PerriÚres) au niveau des captages de la Chutenais.
La nappe phrĂ©atique situĂ©e au Nord du bourg et des villages dâAugrain et des Ormes couvre 2 000 ha et dans sa partie la plus profonde elle peut atteindre 300 m. Elle est trĂšs vulnĂ©rable Ă la pollution.
GĂ©ographie humaine
La population est rĂ©partie dans les nombreux hameaux sur un territoire sâĂ©tendant sur 5 746 ha.Cette surface est rĂ©partie entre une cinquantaine dâexploitations agricoles qui produisent du lait pour 80 % dâentre elles ; 20 % sont orientĂ©es en production de viandes. La forĂȘt de SaffrĂ© et diffĂ©rentes parties boisĂ©es complĂštent cette surface...
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Nort-sur-Erdre », sur la commune de Nort-sur-Erdre, mise en service en 1950[7] et qui se trouve Ă 9 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 754,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et Ă 36 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 12,7 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saffré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (90,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (54,7 %), prairies (16,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,8 %), forĂȘts (9,6 %), zones urbanisĂ©es (3,7 %), eaux continentales[Note 6] (0,3 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
La localité est attestée sous sa forme latine Saffriacum dÚs 1123[21].
Le nom de Saffré pourrait provenir de l'anthroponyme gallo-romain Safria, avec le suffixe locatif -acum (domaine).
SaffrĂ© possĂšde aussi un nom en gallo, la langue d'oĂŻl locale : Safrei (Ă©criture ELG, prononcĂ© [sa.fÊÉ])[22].
La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Saverieg[23].
Histoire
La mer à Saffré
Un bras de mer s'avançait jusqu'à Saffré il y a plus de quarante millions d'années. On y a en effet retrouvé des coquillages fossiles identiques à ceux que l'on peut retrouver aujourd'hui en Méditerranée.
Le site préhistorique
Lâhistoire de la Commune remonte Ă la plus haute antiquitĂ©. On a en effet retrouvĂ© des silex Ă©clatĂ©s et des haches en pierre polie en telle quantitĂ© quâil nây a aucun doute sur lâexistence dâune concentration humaine Ă SaffrĂ© bien avant lâĂ©poque gauloise. Les plus anciens vestiges dâune prĂ©sence humaine sur le site de SaffrĂ©, telles les haches polies dĂ©couvertes prĂšs dâAugrain, remontent Ă la fin du troisiĂšme ou au dĂ©but du deuxiĂšme millĂ©naire avant JĂ©sus-Christ. On peut rattacher Ă la mĂȘme Ă©poque nĂ©olithique la lame de silex trouvĂ©e prĂšs du gouffre de la Chutenais, la hache-marteau de Marignac et lâanneau en phtanite recueilli au Jarrier. Mais la dĂ©couverte la plus marquante fut celle dâun dĂ©pĂŽt de 30 haches de bronze faite Ă la Jossaie en 1965. SaffrĂ© venait ainsi ajouter son nom Ă celui des 11 localitĂ©s de la Loire-Atlantique, oĂč furent mis au jour des dĂ©pĂŽts identiques, que lâon date des alentours de lâan mille avant notre Ăšre, le plus important Ă©tant celui de Blain (400 haches).
La période gallo-romaine
De la pĂ©riode gallo-romaine, les vestiges sont encore plus Ă©vidents. On sait que les gisements de calcaire de la commune Ă©taient exploitĂ©s par les Romains et on trouve encore parfois Ă 200 m Ă lâouest du bourg des dĂ©bris de tuiles Ă rebords, le long dâune ancienne voie romaine (Blain, Saumur...).
Les Seigneurs
Le premier seigneur connu de SaffrĂ© semble avoir Ă©tĂ© Alain de Pierrefeu, en 1097. Un premier chĂąteau existait au Moyen Ăge (XIeâââXIIe siĂšcle). Lâun de ses successeurs offrit en 1223 un fief aux chevaliers du Temple de Nantes. La chĂątellenie de SaffrĂ© comprenait la paroisse entiĂšre de ce nom et sâĂ©tendait aux paroisses avoisinantes : Nort-sur-Erdre, JouĂ©-sur-Erdre, Puceul. Plusieurs gĂ©nĂ©rations de Tournemine ont ensuite occupĂ© les lieux, pendant plus d'un siĂšcle. En 1542, les dâAvaugour, descendants des Ducs de Bretagne leur succĂ©dĂšrent. Cette famille restera aussi longtemps propriĂ©taire du chĂąteau de SaffrĂ© (jusqu'au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle). Dans un aveu de 1679, le chĂąteau est dĂ©crit ainsi : « le chĂąteau de SaffrĂ© avec ses tours, cernoyĂ© de ses douves et pont-levis, avec les bastiments en dehors, fuie, estang, bois, vignes, prĂ©s... ».
Les O'Riordan succĂ©dĂšrent aux dâAvaugour. Leur fille Ă©pousa un riche et ambitieux marin, Jacques-Edme Cottin, originaire de Saint-Domingue, qui acheta un titre de noblesse et devint Ă son tour l'un des propriĂ©taires du chĂąteau - et le dernier seigneur du lieu.
XIXe et XXe siĂšcles
Ă partir de 1824, Hubert Le Loup de Beaulieu, nouveau propriĂ©taire du domaine (et maire de SaffrĂ© 1825 Ă 1830), fait effectuer de nombreuses modifications, architecturales et paysagĂšres. Il cĂšde la forĂȘt de SaffrĂ©, fait creuser un nouveau lit Ă lâIsac et dĂ©truire tout ce qui pouvait donner lâaspect dâune forteresse (douves, pont-levis, vers 1840). Le chĂąteau de SaffrĂ© devient Ă cette Ă©poque une habitation « moderne ». Alexis Ricordeau (maire de 1902 Ă 1931), avocat au barreau de Nantes et premier prĂ©sident du conseil dâadministration de lâhĂŽtel-Dieu de la ville, acheta le chĂąteau en 1895. Il fit abattre lâaile ouest (Ă la suite d'un incendie ?) et rĂ©amĂ©nagea le bĂątiment selon les goĂ»ts de lâĂ©poque. Son fils Maurice en fut le dernier habitant, avant lâoccupation allemande durant la Seconde Guerre mondiale. En 1990, la commune de SaffrĂ© a acquis cette propriĂ©tĂ©, inoccupĂ©e depuis lors. C'est sur le site du chĂąteau que s'est dĂ©roulĂ© pendant 10 ans le festival « le Champ du rock ». Le lieu est toujours utilisĂ© pour de nombreuses manifestations associatives (on peut Ă©galement y visiter un joli potager, des mares), en attendant un usage plus rĂ©gulier...
Le Maquis de Saffré
La commune est particuliÚrement célÚbre pour avoir été le siÚge du principal maquis du département au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il a été anéanti par l'occupant allemand dans la nuit du au
HĂ©raldique
Blasonnement :
D'azur aux trois croix fleurdelysĂ©es d'or, au chef du mĂȘme.
Commentaires : D'aprĂšs un Brevet d'Hozier (1696). |
Politique et administration
Population et société
DĂ©mographie
Selon le classement établi par l'Insee, Saffré fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Nozay. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[24]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 94 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 6 % dans des zones « trÚs peu denses »[25].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[27].
En 2020, la commune comptait 3 989 habitants[Note 7], en augmentation de 5,25 % par rapport Ă 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 39,5 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 18,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 1 996 hommes pour 1 951 femmes, soit un taux de 50,57 % d'hommes, légÚrement supérieur au taux départemental (48,58 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Lieux et monuments
- Ăglise paroissiale
- Chùteau de Saffré
- Potager associatif du chĂąteau
Personnalités liées à la commune
- Jacques-Edme-Léger Cottin (1754-1823), homme politique français, propriétaire du chùteau de Saffré et maire de la commune, y est décédé.
- François FidÚle Ripaud de Montaudevert, corsaire français, né le à Saffré.
- Alcide Leroux (1846-1926), avocat, écrivain, historien, membre de La société Archéologique de Nantes et du département de la Loire-Inférieure, né à Saffré.
- Jean-Michel Dupas, originaire de la commune, responsable de la programmation Ă l'Olympic (Nantes) et membre de l'Ă©quipe de programmation du Printemps de Bourges.
- Philippe Tourtelier, député PS d'Ille-et-Vilaine
- Jean-Claude Raux, ancien maire de Saffré et député NUPES de la sixiÚme circonscription de la Loire-Atlantique.
Jumelages
Saffré est jumelée avec:
- Winterton en Angleterre depuis 1993.
Winterton est une petite ville de 5 000 habitants, dans le Lincolnshire. Afin de développer les relations entre les deux communes, le Comité de Jumelage Saffré / Winterton organise chaque année des échanges entre familles, agrémentés de visites et de rencontres variées.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Site de l'association de Saffré Zone Rouge
- Les Mémoires de Saffré, association d'histoire
Notes et références
Notes
- RĂ©Ă©lu en 1995 et 2001.
- RĂ©Ă©lue en 2014.
- Ălue en 2022.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « DĂ©finition dâune normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Nort-sur-Erdre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saffré et Nort-sur-Erdre », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Nort-sur-Erdre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saffré et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Jean-Pierre Bruntercâh, « Puissance temporelle et pouvoir diocĂ©sain des Ă©vĂȘques de Nantes entre 936 et 1049 », MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© Historique et ArchĂ©ologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- « Commune de Saffré (44149) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de SaffrĂ© (44149) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Loire-Atlantique (44) », (consultĂ© le ).