Puceul
Puceul est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Puceul | |||||
Mairie de Puceul | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Nozay | ||||
Maire Mandat |
Claire Theveniau 2020-2026 |
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Code postal | 44390 | ||||
Code commune | 44138 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Puceulois | ||||
Population municipale |
1 148 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 57 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 31′ 22″ nord, 1° 36′ 56″ ouest | ||||
Altitude | Min. 26 m Max. 82 m |
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Superficie | 20,09 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nantes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Guémené-Penfao | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | http://www.puceul.fr/ | ||||
Géographie
Puceul est situé à 37 km au nord de Nantes et à 5 km au sud de Nozay, à proximité de la voie express Nantes-Rennes, dont l'achèvement à deux fois deux voies en [1] a grandement contribué au développement démographique de la commune. Celle-ci se situe depuis à 20 minutes du nord de l'agglomération nantaise et ce rapprochement a permis l'installation de jeunes couples travaillant dans cette ville.
Relief et hydrographie
La commune de Puceul se situe en lisière sud du plateau nozéen qui se prolonge par la dorsale Abbaretz-La Meilleraye-de-Bretagne. Le territoire est partagé entre les hauteurs du plateau nozéen, qui s'étendent au nord-ouest de la commune et la plaine de Saffré au sud-est, occupée par la rivière Isac et ses affluents. L'un des affluents occupe à Bel-Air le point le plus bas à 28 mètres, tandis que le point le plus haut culmine à Jahan à 81 mètres. L'ensemble est situé entièrement dans le bassin versant de la rivière Isac, elle-même affluent de la Vilaine. Plusieurs bassins versants secondaires viennent entailler le plateau de Nozay, ils sont tous drainés par des affluents de L'Isac.
Géologie et pédologie
La nature géologique du territoire dépend en grande partie de l'évolution géomorphologique du plateau nozéen. À la suite de son soulèvement, l'érosion linéaire des affluents de l'Isac a commencé à disséquer le plateau. La morphologie de l'ensemble permet de distinguer plusieurs terroirs. Le sommet du plateau et la partie sud de la commune présentent des sols argileux épais alors que les coteaux intermédiaires se caractérisent par des sols minces et bien égouttés avec un intérêt agronomique indéniable. À noter : Présence d'un gisement intéressant d'argiles gonflantes de type attapulgite au sud-est du bourg.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blain », sur la commune de Blain, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 831 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 38 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Puceul est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), prairies (11,7 %), forêts (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), zones urbanisées (1,5 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Puceul s'appelait Puceol en 1243[22]; ce nom viendrait du latin Puteus : « puits », avec le suffixe diminutif -eolum : « petit-puits », soit Puteolum et par suite Puceolum [23].
Le puits fait référence à la fontaine Saint-Clair, lieu d'un culte druidique[24], ainsi nommée en relation avec Saint Clair, évêque de Nantes au IIIe siècle, de passage sur les lieux selon la tradition.
Puceul possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Puczoe selon l'écriture ELG[25], ou Puçeu ou Piçeu selon l'écriture MOGA, deux graphies qui reflètent les variations de prononciation relevées : [pysœ] ou [pisœ][26].
En breton, son nom est Puñsel[22].
Histoire
Période antique
Même si la première mention écrite de Puceul remonte seulement au XIIIe siècle, Puceol dans un écrit de 1243[27], le territoire de la commune est occupé dès l'Antiquité, comme en témoigne le passage d'une voie romaine, attestée au XIXe siècle, dont il ne reste aujourd'hui plus de traces, appelée localement « Levée de Saumur »[28].
L'archéologue Louis Bizeul a pu, vers 1836, en mesurer sa largeur dans une commune voisine : elle atteignait pas moins de 20 m avec les accotements, à l'image d'une voie impériale[29]. Une portion de cette voie Vannes-Blain-Angers, véritable « autoroute » de l'époque, a été fouillée par les archéologues dans la région d'Allaire[30] (Morbihan).
Politique et administration
Population et société
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, Puceul fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Nozay. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[31]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 81 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 19 % dans des zones « très peu denses »[32].
Évolution démographique
En 1949, la commune est partiellement démembrée pour permettre la création de La Chevallerais.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].
En 2020, la commune comptait 1 148 habitants[Note 7], en augmentation de 6,69 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 43,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 12,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 561 hommes pour 579 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture et patrimoine
Patrimoine religieux
L'église Saint-Martin, bâtie en 1885, recèle un tabernacle[39], en bois, du XVIIe siècle, restauré en 1955 par Henri Wagner, artiste local, avec une partie centrale très ouvragée, ornée de colonnettes corinthiennes. Deux panneaux, décorés de fruits, de feuilles et d’angelots équilibrent l’ensemble.
Patrimoine architectural du domaine privé
Le château de Bohallard, reconstruit vers 1850, est de style « néo-château de la Loire » avec des chaînes d'angle et une partie centrale en tuffeau.
Le manoir de Bohallard, tout proche, est un des plus anciens bâtiments de la commune, il présente une tourelle cylindrique avec un escalier hélicoïdal en schiste.
Le « château des Montmorency » est une maison de caractère du XVIe siècle dans sa partie la plus ancienne ; elle a appartenu aux la Neuville, branche légitimée des Montmorency[40]. Une des fenêtres en schiste porte le blason des Le Sénéchal (3 rangées de macles) alliés aux La Neuville au XVIIIe siècle.
Le manoir de la Savinais était le centre d'une seigneurie autrefois dépendante de la Châtellenie de Nozay, et qui détenait droit de moyenne justice. De l’ancien manoir subsiste une tourelle quadrangulaire du XVIIe siècle.
Le manoir de la Bellière, coiffé d’une imposante toiture, est doté d'une vaste tour quadrangulaire.
- Manoir de la Savinais.
- Manoir de Bohallard.
- Manoir de la Bellière.
- Maison « Montmorency ».
Arbre remarquable
Le séquoia géant de Puceul se dresse dans le jardin de l’ancien presbytère, juste à côté de l’église qu’il domine de sa hauteur. Il a été planté à la fin du XIXe siècle. C’est l’un des plus gros sujets de Loire-Atlantique, mais pas le plus haut. Sa circonférence à un mètre du sol était de 7,55 mètres en 2014, sa hauteur était de 28 mètres.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules à la fontaine d'argent, accostée de deux haches antiques adossées d'or, au chef de vair de deux tires.
Commentaires : La fontaine représente la fontaine Saint-Clair, les haches sont de l'époque de bronze. Le chef de vair est celui du roi des Bretons, Alain Ier de Bretagne « le Grand ». Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale du ). |
Personnalités liées à la commune
- Michel-Sidrac Dugué de Boisbriant (1638_1688), est un officier de l'armée française, commandant et gouverneur de l'île de Montréal.
- Julien Fruneau (1827-1892), communard né à Puceul, éphémère élu de la Commune de Paris ;
- Marie-Charlotte Saint Girons (1923-1995), zoologiste ;
- Hubert Saint Girons (1926-2000), zoologiste mort à Puceul, époux de la précédente.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Puceol : histoire et patrimoine de Puceul et du pays de Châteaubriant
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Réélue en 2014 et 2020
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Histoire du Plan routier breton - WikiSara – Wikia « Site ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Blain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Puceul et Blain », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Blain - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Puceul et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Ernest Nègre. « Toponymie générale de la France ». Genève, 1990, page 304.
- Jean Anne Chalet. « Les Belles Heures du Comté Nantais ». Éditions Serge Godin 2 tomes 1980-1981.
- « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
- « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
- Jean Anne Chalet. « Les Belles Heures du Comté Nantais », 1980-1981, deux tomes.
- Pitre de Lisle du Dréneuc. « Dictionnaire Archéologique de la Loire-Inférieure », in Bulletin de la Société Archéologique de Nantes et de la Loire-Inférieure, 1880
- Francis Legouais. « Au Pays des Namnètes ». Marcel Buffé éditeur, 1970.
- Gabriel Simon. « Une voie romaine en parfait état », in Archéologie, « Le Télégramme », . « Article ».
- « Commune de Puceul (44138) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Puceul (44138) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- Mobilier classé répertorié dans la base Palissy de la Médiathèque de l'architecture et du Patrimoine « Site ».
- Nobiliaire et armorial de Bretagne : (Tome 3) « Site ».