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La Chevallerais

La Chevallerais est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

La Chevallerais
La Chevallerais
L'église paroissiale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Blain
Maire
Mandat
Tiphaine Arbrun
2020-2026
Code postal 44810
Code commune 44221
Démographie
Gentilé Chevalleraisiens
Population
municipale
1 536 hab. (2020 en diminution de 0,65 % par rapport à 2014)
Densité 150 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 28′ 06″ nord, 1° 40′ 12″ ouest
Altitude Min. 18 m
Max. 42 m
Superficie 10,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guémené-Penfao
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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La Chevallerais
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La Chevallerais
Liens
Site web https://lachevallerais.fr/

    Géographie

    Situation de la commune de La Chevallerais dans le département de la Loire-Atlantique.
    La Chevallerais est bordée par le Canal de Nantes à Brest

    La Chevallerais est située à 30 km au nord de Nantes, 40 km au sud de Châteaubriant, à km à l'est de Blain et à 55 minutes des plages les plus proches (Saint-Brévin-les-Pins et Pornichet)

    Selon le classement établi par l'Insee en 2010, La Chevallerais est une commune rurale monopolarisée qui fait partie de l'aire urbaine de Nantes et de l'espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).

    Communes limitrophes de La Chevallerais
    La Grigonnais Puceul
    Blain La Chevallerais Saffré
    Héric

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 747 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blain », sur la commune de Blain, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 831 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chevallerais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (7,9 %), prairies (7,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme La Chevalleraie au XVIIIe siècle[21].

    Le nom de Chevallerais remonterait au Moyen Âge et fait référence au patronyme Chevalier dont elle est la propriété (le terminal « -ais » signifie « propriété de »). Ce patronyme renvoie à un ancien noble déchu ou montant à cheval[22].

    Selon le site de mairie, le nom de la commune viendrait du fait qu'elle était un lieu de leurs rendez-vous des chasseurs qui venait traquer le gibier dans la forêt environnante. Ces derniers, appartenant à la noblesse, se considéraient comme des chevaliers[23].

    Campbon possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit La Chevaleraè selon l'écriture ELG[24], ou La Choualrâ selon l'écriture MOGA. Plusieurs prononciations ont été relevées : [laʃfalʁɑ] ou [laʃwalʁɑ], plus rarement [laʃʁɑ][25].

    Le nom breton de la commune est Kergaval mais le breton n'est plus parlé à La Chevallerais depuis le IXe siècle.

    Histoire

    Autrefois, le territoire était une forêt qui rejoignait celles de la Groulaie et de Saffré[23].

    La construction d'une chapelle, dite « chapelle du Vœu », premier élément figurant dans les archives de Saffré, daterait de 1620. Elle aurait été consécutive à un accident de chasse dont l'auteur involontaire aurait promis cette construction dédiée à Notre-Dame-de-Bonnes-Nouvelles, si sa victime guérissait de ses blessures. La chapelle fut incendiée en 1794 par les patriotes du district de Blain. La statuette de Notre-Dame-de-Bonnes-Nouvelles fut miraculeusement sauvée par une fillette à qui un des soudards la confia. Cette statuette polychrome fait toujours partie du patrimoine paroissial[23].

    La Chevallerais obtint le statut de paroisse en 1842, mais faisant partie de la commune de Puceul depuis la Révolution[23].

    La Chevallerais est érigée en commune le [26].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[27]
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 1950 mars 1975 Julien Lodé Retraité
    Décédé en fonction
    mai 1975[28] mars 1983 André Lebeau
    (1902-1984)
    Retraité agricole, maire honoraire
    Ancien conseiller municipal de Puceul (1935 → 1950)
    mars 1983 mars 1989 Jean Lemaître[29]
    (1925-2022)
    Agriculteur, adjoint au maire (1977 → 1983 et 1989 → 2001)
    mars 1989 mars 2008 Daniel Boistuaud[N 1] DVG Retraité SNCF
    Président de la CC de la Région de Blain (2001 → 2003)
    mars 2008 mai 2020 Élisabeth Cruaud[N 2] DVG Comptable, première adjointe (2001 → 2008)
    Vice-présidente de la CC de la Région de Blain
    mai 2020 En cours Tiphaine Arbrun DVG Artiste

    Population et société

    Évolution démographique

    La commune est créée en 1949 par démembrement partiel de Puceul. Le recensement de 1946 tient compte de ce découpage.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1946. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

    En 2020, la commune comptait 1 536 habitants[Note 6], en diminution de 0,65 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
    6075415124994955466526521 149
    2008 2013 2018 2020 - - - - -
    1 2911 5081 5411 536-----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 11,4 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 796 hommes pour 745 femmes, soit un taux de 51,65 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,5
    2,0
    75-89 ans
    3,2
    7,5
    60-74 ans
    9,3
    20,1
    45-59 ans
    16,6
    26,4
    30-44 ans
    28,3
    13,2
    15-29 ans
    12,8
    30,5
    0-14 ans
    29,3
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Enseignement

    Sur le territoire de la commune se situent deux écoles scolaires, l'école publique « L'Écol'Eau » et l'école privée Saint-Aubin.

    Manifestations et festivités

    Ancienne batteuse présentée lors de la fête des Battages.
    • La « Fête des Battages et des métiers anciens » se tient le dernier dimanche de juillet. Le dimanche 31 juillet 2022, le comité des fêtes fêtera le 50ème anniversaire de la Fête des Battages.
    • Concert du groupe The Agaçants lors de la fête des assos 2022
      Une fête des assos a été mise en place en juin 2022. Elle a rassemblé plus de 500 personnes dans la soirée.
    • L'association théâtrale ATC programme chaque année en février et mars une dizaine de représentations d'un vaudeville à la salle du théâtre, complet pour l'occasion.
    • L'association de pétanque organise deux grands tournois, en juin et septembre, qui réunissent plusieurs centaines de pratiquants.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La fontaine Notre-Dame-de-Bonnes-Nouvelles, située près de la mairie, date approximativement du XVIIe siècle
    • église de la Chevallerais
      Vue d'ensemble de l'église de la Chevallerais
      La Fontaine ND de Bonnes Nouvelles
      Fontaine Notre Dame de Bonnes Nouvelles
      .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    1. Réélu en 1995 et 2001.
    2. Réélue en 2014.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Blain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Chevallerais et Blain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Blain - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Chevallerais et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    22. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages - Loire-Alantique, Saint-Jean-d'Angély, Éditions Boudessoules, , 287 p. (ISBN 2-913471-45-5), p. 65.
    23. Histoire de la Chevallerais
    24. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    25. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
    26. Commune de La Chevallerais (44221)., sur le site de l'Insee
    27. Maires de La Chevallerais, sur lachevallerais.fr
    28. « M. Lebeau, nouveau maire de La Chevallerais », Ouest-France (archives du journal),
    29. « La Chevallerais. Jean Lemaître, maire de 1983 à 1989, est décédé », Ouest-France, (lire en ligne)
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chevallerais (44221) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
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