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Campbon

Campbon est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Campbon
Campbon
La chapelle Saint-Victor.
Blason de Campbon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté de communes Estuaire et Sillon
Maire
Mandat
Jean-Louis Thauvin
2020-2026
Code postal 44750
Code commune 44025
Démographie
Gentilé Campbonais
Population
municipale
3 949 hab. (2020 en augmentation de 0,2 % par rapport à 2014)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 24′ 46″ nord, 1° 58′ 03″ ouest
Altitude Min. 3 m
Max. 80 m
Superficie 49,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Blain
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Campbon
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Campbon
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Campbon
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Campbon
Liens
Site web http://www.campbon.fr/

    Géographie

    Campbon se situe à 36 km au nord-est de Saint-Nazaire, 46 km au nord-ouest de Nantes et 72 km au sud-est de Vannes.

    Les communes limitrophes sont La Chapelle-Launay, Savenay, Bouvron, Quilly, Sainte-Anne-sur-Brivet, Pontchâteau et Prinquiau. Elles sont situées de la manière suivante :

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 791 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,3 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Campbon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [12] - [13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,7 %), prairies (29,3 %), terres arables (28 %), zones urbanisées (5,2 %), forêts (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), mines, décharges et chantiers (0,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Cambidonno au VIe siècle[19].

    Le p de Campbon n’est apparu qu’au XVIe siècle et de façon intermittente. Pour se conformer à l’étymologie, il conviendrait de revenir à l’ancienne graphie Cambon, toponyme d’origine gauloise: cambo-dunum signifie « fort du méandre »[20]. Campbon est en effet située dans un léger méandre. Homonymie avec Kempten, Chambezon et Champéon. Normalement en gallo, le groupe /cam/ aurait dû passer à /cham/ comme dans les deux toponymes précédents, mais il y a eu influence du breton sur la consonne initiale.

    Kambon en breton[21].

    Campbon possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Caunbon selon l'écriture ELG[22], ou Canbon ou Caunbon selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [kɑ̃bɔ̃] ou [kɑ̃ːbɔ̃][23].

    Histoire

    Préhistoire

    De nombreuses traces d'occupation ont été retrouvées sur la commune, biface du paléolithique, outillage du mésolithique et du néolithique, haches de pierre et autres objets du néolithique,

    Antiquité

    Dans l'Antiquité, le nord de l'estuaire était constitué par un vaste golfe maritime, parsemé d'îles et fermé par la presqu'île de Guérande, dont la Brière forme aujourd'hui un vestige. C'est aussi l'époque, où les Celtes s'y installent. Peuples gaulois des Namnètes sur la rive nord. Un statère picton a été retrouvé à la Gouérie.

    Une villa gallo-romaine a été identifiée à l'Aubinais. Des monnaies du IIIe siècle ont été également trouvées à Bessac et à l'Aubinais.

    Evangélisation

    Hilaire de Poitiers, évangélisateur de la région.

    Au IVe siècle, saint Hilaire, évêque de Poitiers, arrive dans la région pour l'évangéliser[24]. Entre 430 et 448 saint Germain d'Auxerre accomplit la deuxième évangélisation[24].

    La paroisse est dédiée à saint Victor qui y naquit au VIe siècle

    Immigration bretonne

    De 579 à 593, raids des Bretons de Waroch sur le Nantais.

    À la fin du VIe siècle, une population « entièrement bretonne de langue et de mœurs » s'établit dans « le pays de Guérande, et généralement toute cette partie du évêché de Nantes comprise entre la Vilaine, la Loire et une ligne allant de Savenay à La Roche-Bernard par Pont-Château »[25].

    Des cercueils mérovingiens, découverts près du calvaire, montre une certaine importance du bourg.

    En 850, la région est conquise par le breton Nominoë. Celui-ci envahit notamment les villes de Nantes et Rennes[26]. L'année suivante, après la bataille de Jengland, la marche de Bretagne avec Nantes et Savenay est intégrée à la Bretagne par le traité d'Angers.

    La période de domination scandinave (919-937)

    L'oratoire de l'ermitage fut détruit par les invasions normandes en 878[27], en même temps que l'église paroissiale.

    De 919 à 939 la région est administrée par les Vikings. Avec l’aide d’une troupe de Bretons exilés et d’Anglais[28], Alain Barbetorte reprend la région de 937 à 939[29]

    Moyen Âge

    En 980 Guérech, comte de Nantes, fait rebâtir l'église.

    La châtellenie de Campbon, avait juridiction sur les diverses seigneuries de Campbon y compris Coislin, simple hébergement médiéval à cette époque, mais aussi sur la Chapelle-Launay, Quilly et Guenrouët. La châtellenie de Campbon est un démembrement de la Baronnie de Pontchâteau. Le siège de cette châtellenie était un château féodal[30]

    Au XIVe siècle, la châtellenie est un arrière-fief des Clisson. Plus tard, elle passe aux Rohan puis à Arthur de Montauban. Coislin, est un arrière fief de la baronnie de Pontchâteau, dans la mouvance directe de la châtellenie de Campbon. En 1565, René du Cambout, seigneur de Coislin acquièrent la châtellenie, ultérieurement érigée en marquisat en 1634 puis en duché de Coislin en 1663, donc une importante possession féodale dans l'ouest du comté de Nantes.

    Terres et juridictions citées dans les enquêtes de la réformation des feux : Bastine, Bessac, bocquehan, Le bois de la Lande, La Bosse-Marion, La Bramblaye, Cambon, Le Chastellier, Coislin, La Girelais, Le Guignot, La Hirtais, Laureat, La Morandais, La Pirotais, Le Séric, Trevecar et la Villehouin

    [réf. nécessaire]

    .

    Les Cent-Jours

    Pendant les Cent-Jours, le marquis de Coislin, chef local de l’insurrection royaliste, a son quartier général à Pontchâteau. Rayonnant avec sa troupe, il a quelques engagements à Campbon et à Guérande contre des détachements ralliés à Napoléon.

    Période contemporaine

    En 1845, fut ouvert le cours normal de Campbon, où les religieuses de Saint-Gildas, formèrent des élèves-maîtresses jusqu'en 1883[31].

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules à trois fasces échiquetées d'argent et d'azur ; à la bordure d'argent chargée de sept mouchetures d'hermine posées 3, 2 et 2.
    Commentaires : Sceau de 1405. Armes de la famille du Cambout (duché de Coislin en 1663), brisées d'une bordure chargée de mouchetures dont le nombre rappelle les anciennes frairies de la paroisse. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. ( Attention : le blason dessiné ici représente une simple bordure d'hermine, et pas la bordure d'argent chargée de sept mouchetures d'hermine posées 3, 2 et 2). Blason conçu par le Conseil municipal (délibération municipale du ), enregistré le .

    Politique et administration

    De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour 2 ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à 3 journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

    De 1799 à 1848, la constitution du 22 frimaire [[an VIII|an VIII]] () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de 5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de 3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

    Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

    De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour 5 ans à partir de 1855.

    Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    février 1961 1968
    (décès)
    Narcisse Tremblay Directeur de la laiterie coopérative de Campbon,
    ancien premier adjoint
    octobre 1968 mars 1977 Jean Olivier Notaire, ancien premier adjoint
    Maire par intérim
    mars 1977 mars 1989 Jean Le Moullec
    mars 1989 mars 2001 Marie-Annick Lavazais Ancienne institutrice
    mars 2001 août 2001
    (décès)
    Jean Glotin Artisan ébéniste
    août 2001 mars 2008 François Allain PS Responsable de zones coopératives
    mars 2008 mars 2014 Jean-Pierre Maisonneuve DVG Retraité
    mars 2014 En cours Jean-Louis Thauvin DVG Chef d'entreprise

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Campbon fait partie de l'aire urbaine de Nantes, de la zone d'emploi de Saint-Nazaire et du bassin de vie de Savenay. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[32]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 96 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 4 % dans des zones « très peu denses »[33].

    Évolution démographique

    En 1875, la commune est partiellement démembrée pour permettre la création de Sainte-Anne-sur-Brivet.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

    En 2020, la commune comptait 3 949 habitants[Note 6], en augmentation de 0,2 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 4793 4393 7424 0244 9304 1113 8484 3634 415
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 3804 5604 6294 8863 4963 6723 7283 7943 625
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5253 4523 2522 8182 7762 6082 5312 7742 640
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 6502 5692 6662 7472 9182 8993 2483 3793 764
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 9413 9593 949------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,2 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 963 hommes pour 2 016 femmes, soit un taux de 50,67 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,6
    5,9
    75-89 ans
    9,3
    15,2
    60-74 ans
    13,7
    21,0
    45-59 ans
    18,8
    19,5
    30-44 ans
    20,8
    14,6
    15-29 ans
    13,8
    23,0
    0-14 ans
    21,9
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Lieux et monuments

    La Tour d'Enfer.
    • Château de Campbon, XIe siècle, dont les remparts sont inscrits Monument historique. Le château de Campbon s'élevait dans le bourg de ce nom ; il était en ruines dès 1681, toutefois il en reste encore une tour appelée la tour d'Enfer.
    • Château de Coislin.
    • Chapelle Sainte-Barbe.
    • Chapelle Saint-Michel.
    • Chapelle de Bessac.
    • Chapelle Saint-Victor, dont le tombeau fut pillé sous la Révolution.
    • Chapelle de La Ducheraie XIXe siècle.
    • Domaine de la Ducherais : centre des pep 44 et poney club[40].
    • Manoir de Bâtine.
    • Moulin de la Bicane.
    • La Fouas.
    • L'église Saint-Martin-et-Saint-Victor de Campbon est détruite par la foudre en 1888, puis reconstruite.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Henri Quilgars, Géographie historique du pays de Guérande du VIe au Xe siècle, Saint-Brieuc, R. Prud'homme, , 60 p. Document utilisé pour la rédaction de l’article
    • Léonce Auzias, L'Aquitaine carolingienne : 778-987, Paris, H. Didier, (présentation en ligne). Document utilisé pour la rédaction de l’article

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Saint-Nazaire-Montoir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Campbon et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Editions Jean-paul Gisserot (ISBN 2877474828, lire en ligne), p. 61.
    20. Xavier Delamarre, DLG
    21. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    22. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    23. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
    24. Quilgars 1911, p. 47.
    25. Quilgars 1911, p. 16.
    26. Auzias 1937, p. 269.
    27. Notes historiques sur la Paroisse de Campbon pa Dubois de la Pallière, Revue historique de l'Ouest, Volume 6, publiée par Gaston Louis Michel Marie baron de Carné, p134.
    28. Chronique de Flodoard AD 936 Les Bretons revenant des régions d’outre mer, du service du roi Adelstan, regagnèrent leur pays.
    29. Chronique de Flodoard AD 937 : « Les Bretons revinrent après de longs voyages dans leur pays dévasté [...] ils eurent de fréquents combats avec les Normands [...] il restèrent vainqueurs et reprirent le pays dévasté ».
    30. Vestiges : tour circulaire datée du XIe siècle et une partie des remparts. Ces vestiges sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
    31. Le Diocèse de Nantes, Yves Durand, Éditions Beauchesne, 1er janvier 1985 - 310 pages.
    32. « Commune de Campbon (44025) », Insee (consulté le ).
    33. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Campbon (44025) », (consulté le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
    40. Site du centre de la Ducherais.
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