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Quilly (Loire-Atlantique)

Quilly est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Quilly
Quilly (Loire-Atlantique)
Blason de Quilly
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté de communes Estuaire et Sillon
Maire
Mandat
Valérie Gautier
2020-2026
Code postal 44750
Code commune 44139
DĂ©mographie
Gentilé Quillysiens/ennes
Population
municipale
1 435 hab. (2020 en augmentation de 4,36 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 81 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 27â€Č 45″ nord, 1° 57â€Č 07″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 37 m
Superficie 17,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Blain
LĂ©gislatives HuitiĂšme circonscription
Localisation
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Quilly
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Quilly
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Quilly

    GĂ©ographie

    Situation de la commune de Quilly dans le département de la Loire-Atlantique

    Situation

    Quilly est situĂ©e Ă  13 km au nord de Savenay.

    Les communes limitrophes sont Campbon, Sainte-Anne-sur-Brivet, Guenrouet et Bouvron.

    GĂ©ographie humaine

    Les principaux hameaux sont : La Renais, La Crochardais, La Pilardais, Le Grand-Betz, Le Petit-Betz, Le Pont de Quilly, La Douettée, La PerriÚre, La Potironnerie, Le Bois Joli, Le Parc.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 2] : 770 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Blain », sur la commune de Blain, mise en service en 1989[7] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 831 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et Ă  21 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,3 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,6 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Quilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (92 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (73 %), terres arables (11,8 %), zones urbanisĂ©es (6,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,7 %), eaux continentales[Note 6] (1,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Quillic en 1187, Quilly en 1287[21].

    Selon certaines sources, Quilly pourrait signifier « bocage Â»[22] ou « Bosquet Â».

    Quilly possÚde un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Qilic selon l'écriture ELG[23], ou Qhili ou Qili selon l'écriture MOGA, deux graphies qui correspondent aux deux variantes de prononciation relevées : [cili] ou [kili][24].

    En breton, son nom est Killig[25].

    Homonymie avec l'ancienne commune de Quily, dans le Morbihan.

    Histoire

    Le bourg est construit prĂšs d'une voie romaine: on y a dĂ©couvert des restes de cette Ă©poque, notamment une statuette d'un Dieu lare (protecteur du foyer) accroupi. L'Ă©glise paroissiale de Saint-Solenne date de 1845. À 2,5 km se trouve la Chapelle de PlantĂ©.

    Le nom de la commune est d'origine bretonne et signifie bocage. Il s'agit du pluriel du mot kael (clĂŽture). Il tĂ©moigne de l'implantation bretonne au cours du haut Moyen Âge.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur Ă  la bande d'argent chargĂ©e du mot « QUILLY » en lettres de sable posĂ©es Ă  plomb, un village d'argent brochant Ă  la base de la bande, cette derniĂšre accompagnĂ©e Ă  senestre d'une coupe surmontĂ©e d'un coq gaulois du mĂȘme, les deux posĂ©s sur une champagne du mĂȘme chargĂ©e de sillons de sable rayonnant Ă  partir du village, Ă  la fleur d'argent feuillĂ©e de sinople brochant Ă  dextre ; au comble d'argent chargĂ© de dextre Ă  senestre d'une gerbe de blĂ©, d'une clĂ© plate posĂ©e en barre, d'une fourche posĂ©e en bande, d'une moucheture d'hermine, d'une fourche posĂ©e en barre, d'une clĂ© plate posĂ©e en bande et d'une gerbe de blĂ©, le tout de sable.
    Commentaires : Le blason reprĂ©sente un village regroupĂ© autour de son Ă©glise. La terre et ses sillons, les gerbes de blĂ© et les fourches symbolisent l’agriculture. Les clĂ©s Ă©voquent les artisans et ouvriers. La coupe surmontĂ©e d'un coq gaulois rappelle le sport et la moucheture d'hermine, la Bretagne. Blason remis le 27 juin 1992.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2014 Michel Tillard[Note 7]
    mars 2014 En cours Valérie Gautier Sans étiquette auxiliaire de puériculture
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Quilly fait partie de l'aire urbaine de Nantes, de la zone d'emploi de Saint-Nazaire et du bassin de vie de Saint-Gildas-des-Bois. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[26]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 95 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 5 % dans des zones « trÚs peu denses »[27].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[29].

    En 2020, la commune comptait 1 435 habitants[Note 8], en augmentation de 4,36 % par rapport Ă  2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    463377482498453767785870917
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9109801 0741 0961 0721 1681 2511 2711 315
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3041 2931 2611 054964887849901850
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    8648377817938599051 1541 3121 379
    2020 - - - - - - - -
    1 435--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  41,9 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 14,7 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 717 hommes pour 668 femmes, soit un taux de 51,77 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,3
    3,0
    75-89 ans
    4,8
    9,9
    60-74 ans
    10,5
    18,3
    45-59 ans
    16,1
    27,3
    30-44 ans
    25,0
    17,2
    15-29 ans
    17,7
    24,2
    0-14 ans
    24,5
    Pyramide des ùges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    La chapelle de Planté
    • Église paroissiale Saint-Solesme, 1845
    • Chapelle de PlantĂ©

    Tourisme

    L'association de RandonnĂ©es PĂ©destre « de l'Estuaire au Sillon » a crĂ©Ă© deux circuits : l'un de km, l'autre de 11 km, avec la Chapelle de PlantĂ© pour point d'arrivĂ©e.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. RĂ©Ă©lu en 2008.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Blain - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Quilly et Blain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Blain - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Quilly et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. (br) Vallerie, Erwan, 1944-, DiazezoĂč studi istorel an anvioĂč-parrez = TraitĂ© de toponymie historique de la Bretagne, Ar Releg-Kerhuon, An Here, , 560 p. (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 170.
    22. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Pages 31 et 34, Editions Jean-paul Gisserot » (ISBN 2877474828).
    23. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    24. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consultĂ© le ).
    25. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    26. « Commune de Quilly (44139) », Insee (consulté le ).
    27. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Quilly (44139) », (consultĂ© le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Loire-Atlantique (44) », (consultĂ© le ).
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