Guemps
Guemps [ɡɛms] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Guemps | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Calais | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Région d'Audruicq | ||||
Maire Mandat |
Charles Cousin 2020-2026 |
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Code postal | 62370 | ||||
Code commune | 62393 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Guempois | ||||
Population municipale |
1 112 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 70 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 54′ 56″ nord, 1° 59′ 48″ est | ||||
Altitude | Min. 1 m Max. 5 m |
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Superficie | 15,89 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Calais (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Marck | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | guemps.fr | ||||
Géographie
Localisation
Guemps est une commune française, située au sud-est de Calais, caractéristique du Plat-Pays : la plaine s'étend à perte de vue et le territoire est sillonné de canaux et de larges fossés, chargés d'évacuer les eaux, appelés watergangs. Vers le nord, sur le Haut-Guemps, l’altitude ne dépasse pas trois mètres ; dans le Marais, au sud, elle est d'environ 1,30 mètre au-dessus du niveau de la mer. Son territoire forme une bande presque rectangulaire, de 7 km de long sur environ 2,7 km de large, inclinée nord - sud-est. Sa superficie est officiellement de 1 589 ha.
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par le canal de Calais, d'une longueur de 32,51 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Pierre-Brouck, dans le département du Nord, et se jette dans la Manche au niveau de la commune de Calais[1]
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : les watergangs des Attaques et d'Andres et le lac d'Ardres. Cette ZNIEFF est marqué par la présence d’un réseau dense de fossés, mares et watergangs[2].
Urbanisme
Typologie
Guemps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
Risques naturels et technologiques
Le , un arrêté reconnaissant l'état de catastrophe naturelle sécheresse a été pris, pour onze communes du Pas-de-Calais, dont Guemps, afin que puisse avoir lieu l'indemnisation par les assurances des cas de maisons ou bâtiments fissurés à la suite du retrait-gonflement des argiles[10].
Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ganape en 826 ; Guem en 1178 ; Ganep en 1216 ; Gamum en 1271 ; Gams en 1415 ; Ghemps, Ghemp en 1556 ; Genope en 1556 ; Guemp en 1583 ; Gemp au XVIe siècle[11]; Guemps en 1793 ; Guemps depuis 1801[12].
Étymologie
L'origine du vocable Guemps serait un dérivé de Genape, identique à Ganapa. La syllabe Gan (vieux saxon), gaen ou gaan (néerlandais) correspond au verbe aller (anglais : go), le radical : ap (celtique) ou apa (bas allemand) veut dire eau. Leur réunion (Gan apa) signifie donc eau courante, tout comme le nom watergang (water : eau, gang : voie), donné à de grands fossés aménagés pour l’évacuation des eaux, en sorte que Ganape ou Guemps doit se traduire pays des Watergang - liens ou pays wateringué[14].
Histoire
Antiquité et Moyen Âge
Guemps est un ancien port maritime romain situé au fond du golfe de Morinie, aujourd'hui disparu, les polders ayant fait reculer la côte vers le nord. Au Moyen Âge, les terres sont asséchées par les moines et exploitées.
Occupation anglaise (1347-1558)
Les Anglais établissent deux forts (Fort Brûlé et Fort Rouge) afin de protéger leurs possessions dans le Calaisis.
Époque moderne
Les Français restaurent les forts en 1642 et édifient un troisième fort au Pont de Guemps (le fort Louis) afin d'augmenter la sécurité du canton contre les courses continuelles des garnisons espagnoles de Gravelines et de Bourbourg.
Vers la fin de la guerre de Trente Ans, les forts tombent aux mains des Espagnols. La prise de Gravelines en 1658, qui rendit la paix au Calaisis, fit cesser toutes les attaques étrangères.
Lorsque Louis XIV se fut rendu maître de l'Artois en 1677, ces forts furent rasés.
Le village devient une zone paisible d'agriculture.
Première Guerre mondiale
Pendant la Première Guerre mondiale, la commune reçoit un hôpital militaire belge du au . 56 corps n'ont pas été rapatriés, ils reposent aujourd'hui dans le cimetière[15].
Guemps dépend également du commandement d'étapes ayant son siège à Nouvelle-Église, (élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du groupement , en arrière du front)[16]. À ce titre, le 30 juin 1917, plus de 1600 hommes de troupe et plus de 1500 chevaux stationnent sur le village[16].
Le , un avion anglais en panne se pose à Guemps à 7 h 30 ; il réussit à réparer et redécolle en début d'après midi[17].
Un cas de fièvre typhoïde s'est déclaré sur la commune de Guemps, dans la population civile faisant un mort en [18]. Plusieurs cas vont se déclarer dans la population civile ce qui va entrainer l'ordre de consigner les troupes (les 22-23 novembre, plus de 1000 hommes, 20 officiers, 76 chevaux) présentes sur la commune[19].
Le , le commandement d'étapes est transféré à Saint-Folquin dont la commune va alors relever[20]. Elle accueille alors pendant quelque temps sur son territoire un hôpital militaire belge[21]. En décembre, sont régulièrement retrouvés sur le territoire du village autour de 1000 soldats cantonnés[20].
Le , un cas de fièvre cérébro-spirale (méningite) s'est déclaré parmi les troupes hébergées à Guemps, obligeant à une évacuation rapide du local et à des mesures de désinfection[22].
Le , en début de soirée, un incendie s'est déclaré dans les dépendances de la ferme d'Alfred Destrez cutivateur. Le feu a détruit des bâtiments (une écurie, une remise) divers objets agricoles, du foin. L'origine est inconnue. La présence de soldats sur la commune a permis de limiter au mieux les ravages : des soldats belges sont intervenus pour sauver de objets, aider à maîtriser les flammes et à faire en sorte que le bilan ne soit pas plus lourd[23].
Une bombe de petit calibre a été lancée le dans la soirée par un avion ennemi sur le territoire de Guemps. Elle visait un projecteur anglais et est tombée dans un champ[24].
Lorsqu'un raid aérien ennemi est annoncé, le responsable du commandement d'étapes fait prévenir toutes les communes qui font partie du groupe afin que soit appliquée la principale consigne donnée dans cette situation : masquer les lumières. Le , ce responsable signale, il l'avait déjà fait le , qu'il ne peut prévenir par téléphone trois communes : Nouvelle-Église, Guemps et Offekerque, et ne dispose donc d'aucun moyen efficace pour faire parvenir le signal. À la date du , les sécheries de chicorée situées sur les trois communes ne fonctionnent plus, ce qui rend moins essentiel de pouvoir faire parvenir le message d'alerte[24].
Seconde Guerre mondiale
Lors de la bataille de Gravelines, pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands installent des ambulances dans la commune de Guemps : dans les écoles publiques et dans un bosquet. On y compta 18 morts : un Français, un Marocain, trois Anglais, douze Allemands et un réfugié russe[25].
Depuis 1945
Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement de Saint-Omer pour intégrer l'arrondissement de Calais[26].
Politique et administration
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Liste des maires
Équipements et services publics
Guemps a inauguré la nouvelle salle de sport « Hubert Rivelon », le dimanche [35].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Guempois[36].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].
En 2020, la commune comptait 1 112 habitants[Note 4], en augmentation de 2,3 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 520 hommes pour 566 femmes, soit un taux de 52,12 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
→ Conseils pour la rédaction de cette section.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Jean-Baptiste, refaite en 1892, par l'architecte Alfred Masson[42]. Elle héberge, en plus des statues de saint Hilaire de Poitiers et de Jeanne d'Arc, 3 éléments patrimoniaux inscrits au titre d'objet des monuments historiques[43].
- Au cimetière :
- le monument aux morts en forme de calvaire (sculpteur : Jules Déchin)[44] commémore les guerres de 1914-1918, 1939-1945, d'Indochine et d'Algérie ;
- un alignement de tombes belges de l'hôpital militaire de Guemps de la guerre 1914-1918 ainsi que cinq tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission.
- Le moulin de Guemps, est un moulin à vent construit vers 1842, et remis en état par son actuel propriétaire[45] - [46].
- Les moulins de drainage : autrefois, Guemps en comptait cinq en fonte et deux en bois. Les moulins de fonte avaient été fondus à Audruicq chez Gresset[47] entre 1900 et 1920. Des sept, il en reste deux[42].
- L'église Saint-Jean-Baptiste.
- Le monument aux morts.
- Les tombes de guerre belges.
- Le moulin à vent.
La commune dans la littérature
Personnalités liées à la commune
- Marie Duhem, née Sergeant (1871-1918), artiste peintre. Elle fait partie de l'École de Wissant.
- Louis (dit Lewis) Waguet (1859-), peintre et dessinateur né à Guemps le , œuvres à la Bibliothèque nationale, au musée Carnavalet (Paris), au musée de Calais.
- Hippolyte Way (1831-1913), membre de la chambre de commerce de Paris, président de la Chambre syndicale des grains, farines et huiles, membre de la commission mixte des marchés de la guerre (a rendu des services exceptionnels en 1871 lors de la guerre franco-allemande de 1870 pour le ravitaillement de la ville de Paris), membre du jury[50] à l'Exposition universelle de 1889, né dans la commune[51].
- Léon Lannoy (1889-1914), coureur cycliste ; vainqueur du Paris-Calais de 1910, considéré comme une révélation du Tour de France, mais malchanceux au Tour de France 1910, il quitta l'épreuve avant la fin. Il meurt le lors de la Première Guerre mondiale, né dans la commune[52] - [53].
- Claude Gilliot (1940-), islamologue et religieux dominicain (o.p.), né dans la commune.
Héraldique, logotype et devise
Blason | D'azur à l'aigle au vol abaissé d'argent, becquée et armée de gueules; à la rivière abaissée d'argent brochante[54]. |
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Détails | L'aigle symbolise la majesté et l'empire, c'est-à -dire la domination des grands espaces. La rivière est le symbole de la vie[55]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Bibliographie
- François Danel, Recherches sur le village de Guemps-en-Calaisis et le voisinage, 1938.
- « Chantier du moulin Bollaert à Guemps », dans le Bulletin de l'Association régionale des amis des moulins du Nord-Pas-de-Calais / Association régionale des amis des moulins Nord / Pas-de-Calais no 7, 1977, pages 23–24.
- René Debrie, « Le patois de Guemps », dans les Dossiers de l'histoire calaisienne, no 41, 1982, pages 3–4.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- La commune sur le site des archives départementales du Pas-de-Calais
- « Guemps » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - canal de Calais ( E41-0082) » (consulté le )
- « ZNIEFF 310007255 - Watergangs des Attaques et d'Andres et Lac d'Ardres », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Calais », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Christian Canivez, « Nos habitats sont-ils adaptés à la nouvelle donne climatique ?», dans La Voix du Nord du 31 juillet 2019, p. 3.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 178.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « http://proussel.voila.net/pages/noms_flamands.htm »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)b
- Godefroy KURTH : Frontière linguistique en Belgique et dans le Nord de la France (1898)
- bulletin municipal
- « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
- Journal d'opérations du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 92.
- Journal d'opérations du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 141.
- Journal d'opérations du commandement d'étapes de Nouvelle-Église, p. 144.
- « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
- Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, page 2, date du 2 décembre 1917, lire en ligne.
- Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 39, lire en ligne.
- Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 102, lire en ligne.
- Journal de marche et d'opérations (J.M.O.) du commandement d'étapes de Saint-Folquin, p. 111, lire en ligne.
- rapport du 24 novembre 1940 du maire de Guemps au Préfet. Archives de la commune.
- « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur http://www.pas-de-calais.gouv.fr/, (consulté le ).
- Sept récipiendaires à l'honneur, 7 mai 2008
- Chloé Tisserand, « L’ex-maire de Guemps, Jean-Marc Pichon, devant la cour d’appel le 10 février : L’ancien maire Jean-Marc Pichon passera le 10 février 2015 devant la cour d’appel de Douai à la suite de la décision du tribunal correctionnel de Saint-Omer du 4 février. Il a été condamné à douze mois de prison avec sursis pour détournement de fonds. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Yannick Sanchez, « Guemps, le Dallas du Nord : Sans maire depuis un mois, la ville de Guemps, 1012 habitants, est le théâtre d’une lutte sans merci pour remporter la mairie. Dans ce vaudeville qui dure depuis plusieurs années, l’ancien maire vient d’être jugé coupable de prise illégale d’intérêts et a été forcé d’abandonner la gestion de sa ville. Deux autres procès sont en cours. », Maires du Nord, les municipales dans le Nord-Pas-de-Calais vues par les étudiants de l'ESJ de Lille,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « À Guemps, émotion, fierté et humilité pour Charles Cousin, nouveau maire : Vendredi soir a eu lieu la première réunion du conseil municipal, fraîchement élu dimanche dernier. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- PAR B. B. (CLP), « Projets du maire de Guemps : la réfection de l’ex-salle municipale au programme : Comme elle l’a fait avec les bilans des maires avant les élections, « La Voix du Nord » propose une nouvelle série consacrée aux projets des maires. Quels engagements ? Quels grands chantiers ? Quelles priorités ? Les réponses de Charles Cousin, maire de Guemps. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Baptiste Berteloot, « Guemps : la salle de sports porte désormais le nom d’Hubert Rivelon », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Guemps (62393) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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- « Base Palissy - mobiliers inscrits et/ou classés », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- Jean Bruggeman, « Moulin du pont de Guemps », sur le site de l'association régionale des amis des moulins (consulté le ).
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- http://patrimoine-de-france.com/pas-de-calais/audruicq/fonderie-gresset-6.php
- http://alainseyfried.fr/spip.php?article10
- http://alainseyfried.fr/spip.php?rubrique4
- Catalogue officiel général -exposition universelle d'Anvers
- « Le dossier de Légion d'honneur d’Hyppolite Way », sur Les données de la base Léonore des Archives nationales de France (consulté le ).
- « Léon Lannoy », sur siteducyclisme.net (consulté le ).
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- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Armoiries Régionales (1312) Attribut des bonnes villes, par Jean Séhuin. Sté histor. Du Calaisis. Btin. N° I, fév. 1914.