Gacé
Gacé est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 1 796 habitants[1].
Gacé | |
Le chĂąteau. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Orne |
Arrondissement | Mortagne-au-Perche |
Intercommunalité | Communauté de communes des Vallées d'Auge et du Merlerault |
Maire Mandat |
Jean Grimbert 2020-2026 |
Code postal | 61230 |
Code commune | 61181 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
1 796 hab. (2020 ) |
Densité | 276 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 48° 47âČ 35âł nord, 0° 17âČ 49âł est |
Altitude | Min. 179 m Max. 316 m |
Superficie | 6,50 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Vimoutiers |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.gace.fr |
GĂ©ographie
Gacé se trouve sur l'axe Rouen - Le Mans. La Touques arrose la commune.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Couvains », sur la commune de La FertĂ©-en-Ouche, mise en service en 1970[8] et qui se trouve Ă 7 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 789,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et Ă 43 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Gacé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (65,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (66,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (62,8 %), zones urbanisĂ©es (14,7 %), forĂȘts (14,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (5,2 %), terres arables (2,8 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[21].
Toponymie
Le nom de la commune est attesté sous les formes de Gaci vers 1055 et Waci en 1066[22].
Les toponymistes considĂšrent la finale -Ă© comme une Ă©volution phonĂ©tique du suffixe gallo-roman *(I)-ACU, issu du gaulois -acon (celtique commun *-Äko-), localisant Ă l'origine, puis marquant la propriĂ©tĂ©. La forme -Ă© est caractĂ©ristique de l'ouest (Sud de la Normandie, Maine, Haute-Bretagne, Anjou, etc.), ailleurs au nord ouest et au nord, cette finale est notĂ©e -y, -ay (-ai dans l'Orne par correctisme officiel) ou -ey.
Par contre, l'analyse du premier élément Gac- ne fait pas l'unanimité.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing[23] l'expliquent par le nom de personne gallo-romain Vassius. Ils le relient aux toponymes du type Vassy, Vassé et Vaissac
- Ernest NÚgre propose, quant à lui, le nom de personne germanique Wacco[24], cité par Marie-ThérÚse Morlet[25]
- René Lepelley reprend la proposition d'A. Dauzat et C. Rostaing, avec le nom de personne Wassius, donné sans astérisque[26].
Remarques : 1/ le nom de personne gallo-roman Vassius serait issu du gaulois vassos « serviteur, soumis » (cf. vasseur, vassal, valet. cf. breton gwaz « homme, mari »). 2/ Le passage de [v] Ă [g] (par l'intermĂ©diaire de [w]) suppose une influence germanique qui se serait exercĂ©e sur la consonne initiale de l'anthroponyme [v] devenu [w] puis [g(w)]. On la note, entre autres, dans certains noms communs, par exemple : WADU â guĂ© (peut-ĂȘtre latin vadum, assimilĂ© au vieux bas francique *wad) ; WESPA â guĂȘpe (latin vespa, assimilĂ© au vieux bas francique *wespa), etc. 3/ Il existe effectivement un nom de personne germanique Wasso cf. Vassonville (Seine-Maritime), Boisgasson (Eure-et-Loir) et le nom du poĂšte Wace (autrement Gace, etc.), nom de famille normand Vasse. Dans la partie septentrionale de la Normandie, le [w] est passĂ© Ă [v] vers le XIIe siĂšcle, sans aboutir Ă [g] comme dans la partie mĂ©ridionale (cf. Ligne Joret). 3/ Vassy (Calvados, Vadceium en 1107 (DRS), Vaceium en 1187, Vaacey 1303) est mentionnĂ©e sous la forme Waacie vers 1066. Cependant, ses autres formes anciennes n'impliquent pas vĂ©ritablement un apparentement avec GacĂ©[27]. De mĂȘme, Wassy (Haute-Marne, Finis Vuaseacinsis, 662, Vuasciacus, 1066-80, Waseium, 1171, Waissi) peut difficilement contenir le mĂȘme anthroponyme.
Histoire
Avant l'an mille
- Voie romaine Rouen - Le Mans.
- Hugues le Grand y a séjourné.
De l'an mille Ă 1400
- Vers 1041, Raoul de Gacé, connétable de Normandie, est seigneur de Gacé.
- En 1119, les paysans de Gacé sont épargnés par Richard de Laigle.
- Au milieu du XIIIe siĂšcle, les du Merle deviennent seigneurs de GacĂ© par mariage de Guillaume V du Merle[28] avec Marie de Nollent de Tancarville, dame de GacĂ©, jusqu'au mariage vers 1380 d'AgnĂšs du Merle, dame de GacĂ©, de la FertĂ©-Fresnel et du Merlerault avec Jean de La Champagne, seigneur dâAvrilly.
De 1400 Ă 1800
- à la suite du mariage de Jeanne de La Champagne, fille de Jean, avec Nicolas (ou Nicol) Paynel, la famille Paynel possÚde Gacé jusqu'en 1414, quand Jeanne Paisnel, unique héritiÚre de Nicolas, se marie avec Louis d'Estouteville[29]. Au début du XVe siÚcle, Foulque IV Paynel, baron de Hambye et de Bricquebec, seigneur de Chanteloup, de Moyon, de Créances, d'Apilly (Saint-Senier-sous-Avranches), du Merlerault et de Gacé, est un puissant seigneur de Normandie, chevalier banneret qui regroupe sous ses armes, quatre bacheliers et de dix à quatorze écuyers. Son frÚre Nicole Paynel lui succédera[30].
- Occupation de la cité par les Anglais durant la guerre de Cent Ans. En 1417, les Anglais fortifiÚrent Gacé. La ville revient à la France en 1449 sur l'intervention du sire D'Orval.
- Prise du chĂąteau par les chouans en 1800.
De 1800 Ă nos jours
- Affaire criminelle Albert Leclercq en 1924[31].
- Destruction du centre de Gacé en , qui fut la premiÚre ville sinistrée de l'Orne.
- Voie ferrée Sainte-Gauburge (Orne) au Mesnil-Mauger (Calvados) (désaffectée).
HĂ©raldique
Blason | De gueules à deux tours d'argent closes et maçonnées de sable, rangées en fasce[32]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Administration municipale
Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et trois adjoints[36].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[38].
En 2020, la commune comptait 1 796 habitants[Note 7], en diminution de 5,52 % par rapport Ă 2014 (Orne : â3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
- Distillerie, cidrerie, laiterie industrielle[41]
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pierre, de style nĂ©o-gothique, construite vers 1880 sur les plans de l'architecte Ruprich-Robert, Ă©lĂšve de Viollet-le-Duc.
- Chùteau des XIIe (?), XIVe, XVe, XVIe et XVIIe siÚcles, en pierre et brique rouge, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1968[42] - [43] - [44] - [45], occupé par la mairie et le musée de La Dame aux camélias[46] - [47].
- Monument aux morts[48] : conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - AFN-Algérie (1954-1962).
Personnalités liées à la commune
- Louis Charles Grégoire Maignet (Gacé 1768-1848), général d'Empire[49], officier de la Légion d'honneur (1815).
- Charles Auguste Goyon de Matignon (1647-1739), comte de Gacé, maréchal de France.
- Pierre Joseph Antoine Beauperrey (1745-1794), nĂ© Ă GacĂ© (La Chapelle-Montgenouil), dĂ©putĂ© aux Ătats gĂ©nĂ©raux de 1789 puis Ă l'AssemblĂ©e constituante.
- Le peintre Edgar Degas et la comtesse de SĂ©gur marquĂšrent aussi la ville par leur passage.
- Marie Duplessis, née Alphonsine Plessis, qui inspira à Alexandre Dumas fils son roman La Dame aux camélias, y travailla chez un marchand de parapluies[50].
- AndrĂ© Moizo, « roi de l'Ă©vasion » et chef de gang Ă la LibĂ©ration, condamnĂ© Ă la peine capitale aux Assises de l'Orne le 8 mai 1947. GacĂ© est l'Ă©picentre de ses exactions en 1944. Il serait impliquĂ© dans l'assassinat d'Ămile Buffon Ă JouĂ©-du-Plain en juin 1944 et celui du vice-consul François Van Aerden en septembre 1944, selon une enquĂȘte de la SRPJ de Rouen en 1953[31].
- Dominique Hoppe, prĂ©sident de l'AssemblĂ©e des francophones fonctionnaires des organisations internationales (AFFOI), Ă©lu personnalitĂ© francophone de l'annĂ©e 2012 lors du premier Forum mondial de la langue française, laurĂ©at du prix Gusi de la Paix en 2014, nominĂ© au prix Nobel de la paix en 2015, et parrain de la fĂȘte des Normands en 2017, possĂšde une rĂ©sidence Ă GacĂ© depuis 2013 [51].
Voir aussi
Bibliographie
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des chùteaux et des fortifications du moyen ùge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4Úme trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Gacé, p. 500
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Population municipale 2020.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Couvains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Gacé et La Ferté-en-Ouche », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 308.
- ibidem.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes ..., Volume 2, Librairie Droz 1991. p. 758.
- Marie-ThérÚse Morlet, Les noms de personnes de l'ancienne Gaule, I, p. 211a.
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2). p. 131.
- E. NĂšgre, op. cit., volume I, p. 593.
- Guillaume V du Merle baron du Merlerault, Messei et Goron était né vers 1210.
- Jersey : ses antiquités, ses institutions, son histoire.
- Bernard Beck, ChĂąteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 80.
- Jean-François Miniac (prĂ©f. Alain Lambert), Les Grandes Affaires criminelles de l'Orne, Paris, Ăditions de BorĂ©e, coll. « Les Grandes Affaires criminelles », , 336 p. (ISBN 978-2-84494-814-4).
- http://www.gace.fr/?page_id=816
- « Derniers vĆux d'Albert DebottĂ©, maire de GacĂ©, avant son retrait », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
- « Gacé. François Dreux facilement réélu », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Municipales à Gacé. François Dreux a été réélu maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
- « Gacé (61230) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Distillerie, cidrerie, laiterie industrielle
- « Chùteau de Gacé », notice no PA00110811, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Tour, cÎté nord-est
- Ensemble
- Chùtelet d'entrée, cÎté ouest
- Façade donnant sur le parvis : Tour d'angle avec horloge et entrée de la mairie
- Vue d'ensemble : Tourelle et escaliers menant au parvis
- Monument aux morts
- F. Babier et J. G. St-Sauveur, Archives de l'honneur, ou Notices sur la vie militaire, t. 4 passage= 155-156, Paris, Laurens aßné, (lire en ligne).
- Musée de la dame aux camélias
- « Dominique Hoppe, habitant de GacĂ©, parrain de la fĂȘte des Normands en 2017 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
Liens externes
- Site municipal
- Résumé statistique de Gacé sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministÚre français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), MédiathÚque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région]
- (fr) Site de la Direction RĂ©gionale de lâEnvironnement, de l'AmĂ©nagement et du Logement (DREAL) et Sites et paysages
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :