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Eugénie-les-Bains

Eugénie-les-Bains (en gascon Las Aigas, « les eaux ») est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Eugénie-les-Bains
Eugénie-les-Bains
La mairie.
Blason de Eugénie-les-Bains
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes d'Aire-sur-l'Adour
Maire
Mandat
Philippe Brethes
2020-2026
Code postal 40320
Code commune 40097
DĂ©mographie
Gentilé Eugénois
Population
municipale
460 hab. (2020 en augmentation de 4,31 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 42 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 41â€Č 49″ nord, 0° 22â€Č 38″ ouest
Altitude Min. 82 m
Max. 159 m
Superficie 11,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton d'Adour Armagnac
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Eugénie-les-Bains
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Eugénie-les-Bains
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Eugénie-les-Bains
Liens
Site web site officiel

    Ses habitants sont appelés les Eugénois.

    La ville est une importante station thermale.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Située au sud-est du département des Landes, à 25 km au sud-est de Mont-de-Marsan, à 15 km à l'ouest d'Aire-sur-l'Adour et à 50 km au nord de Pau.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Bahus-Soubiran, Classun, Duhort-Bachen et Saint-Loubouer.

    Communes limitrophes d’EugĂ©nie-les-Bains[1]
    Classun
    Eugénie-les-Bains Duhort-Bachen
    Saint-Loubouer Bahus-Soubiran

    Hydrographie

    Les terres de la commune font partie du vignoble de Tursan et sont arrosées par le Bahus, affluent de l'Adour.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 040 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bahus Fleton », sur la commune de Bahus-Soubiran, mise en service en 1995[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 997,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  24 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Eugénie-les-Bains est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (65,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (65,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (38,8 %), forĂȘts (30,4 %), prairies (19,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (7,5 %), zones urbanisĂ©es (4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'EugĂ©nie-les-Bains est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le ruisseau du Bayle et le Bahus. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1988, 1999 et 2009[23] - [21].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Eugénie-les-Bains.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 68,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 257 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 145 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 56 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'EugĂ©nie-les-Bains est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[26].

    Toponymie

    Cette petite station thermale a reçu son nom de sa marraine, l'impĂ©ratrice EugĂ©nie, lors de la crĂ©ation de la commune en 1861, par dĂ©membrement de la commune de Saint-Loubouer. « Les Bains Â» est ajoutĂ© pour promouvoir cette station thermale.
    Localement, la cité est appelée Las Aigas (« les eaux ») en gascon.

    Histoire

    La commune d'Eugénie-les-Bains est créée en 1861 à partir d'un quartier de Saint-Loubouer, dont les eaux thermales sont connues des Romains et appréciées de Montaigne et d'Henri IV.

    La nouvelle commune est ainsi nommée en l'honneur de l'impératrice Eugénie de Montijo, qui profite de ses nombreux déplacements à Biarritz pour y prendre les eaux et participe à l'inauguration.

    Rue principale d'Eugenie-les-Bains
    Rue principale d'Eugenie-les-Bains.

    Les sources d'Eugénie-les-Bains sont rebaptisées Impératrice et Christine-Marie. Leur température à l'émergence est de 20 à 38 °C, et leur composition est :

    Ancienne gare d'Eugénie-les-Bains.

    En 1862, l'impératrice accompagne son mari Napoléon III venu inaugurer la nouvelle ligne de chemin de fer Tarbes-Morcenx. Surprise par le mauvais temps, l'impératrice trouve refuge sans se présenter chez Marthe-Alice Pouypoudat, fermiÚre des environs de Saint-Loubouer. La réputation des roulades à la farce de caille et de jambon de Chalosse, spécialité de Marthe-Alice Pouypoudat dont elle garde jalousement le secret, est déjà parvenue aux oreilles de l'impératrice. Le mauvais temps perdurant, cette derniÚre demande à se restaurer. La fermiÚre n'a pas reconnu l'impératrice, mais ne doute pas avoir affaire à une grande dame. Sans doute impressionnée, et poussée par l'envie de faire encore mieux, elle a l'idée d'ouvrir une de ses miches en train de finir de cuire dans le four à pain, et d'y glisser la fameuse roulade encore chaude. Elle découpe ensuite ce pùté en tranches et l'offre à son invitée en l'arrosant d'une sauce salmis préparée avec du vin de Tursan rouge de sa vigne. L'impératrice est conquise et une amitié se noue entre les deux femmes, qui entretiennent par la suite une correspondance réguliÚre. En remerciement de sa généreuse hospitalité, Eugénie invite Marthe-Alice à l'Exposition Universelle de Paris de 1867. On lui présente à cette occasion le maßtre-queux du palais des Tuileries à qui elle révÚle gracieusement le secret de sa recette par amitié pour l'impératrice. La cour en est ravie et donne à la recette le nom de « Pain Farci en Croûte Belle Crinoline ». Marthe-Alice Pouypoudat est aujourd'hui considérée comme l'une des premiÚres grandes cuisiniÚres landaises dont la renommée est « montée » jusqu'à Paris[27].

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules Ă  la source jaillissante d'azur; au chef cousu du mĂȘme chargĂ© de cinq abeilles d'or[28].
    Commentaires : Devise: « exsilientes sanant »

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Jean-Baptiste Léon PS Cadre supérieur de santé
    2014 En cours Philippe Brethes PS Directeur commercial, président de la communauté de communes

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1861. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[30]. En 2020, la commune comptait 460 habitants[Note 6], en augmentation de 4,31 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    585612601610618609554588559
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    549546504475467509463407439
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    452392408467507476426452460
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • La Ferme aux Grives.
      La Ferme aux Grives.
    • La Place centrale d'EugĂ©nie-les-Bains.
      La Place centrale d'Eugénie-les-Bains.
    • La Roseraie Ă  EugĂ©nie-les-Bains.
      La Roseraie à Eugénie-les-Bains.
    • Le petit Lac d'EugĂ©nie-les-Bains
      Le petit Lac d'Eugénie-les-Bains
    • Les cascades d'EugĂ©nie-les-Bains.
      Les cascades d'Eugénie-les-Bains.
    • Les arĂšnes d'EugĂ©nie-les-Bains.
      Les arÚnes d'Eugénie-les-Bains.
    • Parc et jardins d'EugĂ©nie.
      Parc et jardins d'Eugénie.

    Personnalités liées à la commune

    Institut Michel Guerard. École de cuisine de santĂ©.
    Institut Michel-Guerard.

    Vie pratique

    Manifestations

    • La fĂȘte de la gastronomie se cĂ©lĂšbre tous les ans en septembre
    • La fĂȘte des jardins et peinture a lieu le lundi de PentecĂŽte
    • Le marchĂ© se tient le mercredi matin dans la rue RenĂ©-Vielle de mi-fĂ©vrier Ă  novembre avec des producteurs et exposants
    • Un spectacle pyrotechnique a lieu tous les ans autour du sur les cascades
    • Les fĂȘtes patronales ont lieu toujours le deuxiĂšme weekend du mois d'aoĂ»t

    Pour approfondir

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Bahus Fleton - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Eugénie-les-Bains et Bahus-Soubiran », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Bahus Fleton - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Eugénie-les-Bains et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Eugénie-les-Bains », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    27. L'Almanach du Landais 2002, Ă©ditions CPE, p71
    28. de France
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. VSD n°242, semaine du 22 au , page 65 : "Le mariage de Didier Pironi", avec deux photos des mariés en illustration de l'article.
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