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Culture de la Zambie

La culture de la Zambie, pays enclavĂ© d'Afrique australe, dĂ©signe d'abord les pratiques culturelles observables de ses 15 000 000 d'habitants : 18 380 000 en 2020.

Sculpture de fil de fer et de chambres à air recyclées imitant une motocyclette (Kitwe)

Territoire, histoire et peuples

Territoire enclavé d'Afrique australe, surtout formé de collines et de plateaux, doté d'un climat tropical tempéré par l'altitude[1], la Zambie est riche en ressources minérales – cuivre principalement –, mais néanmoins très endettée. Bénéficiant d'une situation politique assez stable, elle s'ouvre désormais au tourisme grâce à un cadre naturel exceptionnel (chutes Victoria) et une faune abondante qui ont permis la création de près de vingt parcs nationaux[2].

L'histoire lointaine du pays reste encore mal connue. Des peuples de langue khoïsan, tels que les Bushmen chasseurs-cueilleurs, y précèdent les Bantous, arrivés aux premiers siècles du Ier millénaire[3]. Les langues et le mode de vie de ces derniers l'emportent jusqu'à l'arrivée des Européens, Portugais et surtout Britanniques. En 1924 le pays devient un protectorat du Royaume-Uni sous le nom de Rhodésie du Nord. La République de Zambie est proclamée en 1964. Le président Kenneth Kaunda met en place un régime politique fort. Son départ en 1991 ouvre la voie au multipartisme et à une libéralisation de la société.

Cérémonie ncwala chez les Ngoni.

Aujourd'hui les différents groupes ethniques – de langue bantoue – occupent des territoires parfois assez éloignés les uns des autres, mais beaucoup se retrouvent dans les zones les plus peuplées du centre, à Lusaka ou dans le Copperbelt[4]. Les Bembas (environ 36 %) vivent au nord-est, les Nyanjas (18 %) à l'est, les Tongas (15 %) au sud-ouest. Les Lozis (ou Rotse, qui ont donné leur nom au Barotseland) représentent environ 8 % et sont établis dans l'extrême ouest du pays[4].

L'anglais a le statut de langue officielle, mais d'autres langues sont pratiquées[1], telles que le bemba, le nyanja, le tonga, le lozi, le kilunda ou le luvale.

Près des trois-quarts de la population sont chrétiens[4]. Les protestants sont 35 % environ, les catholiques plus de 25 %. Près de 10 % sont adeptes d'Églises africaines indépendantes. Les autres Zambiens restent acquis aux religions traditionnelles africaines.

La Zambie est l'un des pays africains les plus lourdement touchĂ©s par le SIDA. L'espĂ©rance de vie y est Ă  peine supĂ©rieure Ă  38 ans, selon une estimation de 2009[5].

Langue(s)

  • Langues en Zambie
  • CatĂ©gorie:Langue en Zambie
  • CatĂ©gorie:Groupe ethnique en Zambie

Traditions de la zombie

Religion(s)

Symboles

Pratiques

Les pratiques sociales, rituels et événements festifs du Zambie révèlent ( pour partie ) du patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

Vie sociale

Salle de classe dans une zone rurale.
Enfants zambiens Ă©pluchant du maĂŻs dans un petit village
Jeunes urbains branchés.

Noms

Nom de famille, Nom personnel.

Éducation

  • Éducation en Zambie (en)
  • UniversitĂ©s en Zambie, List of universities in Zambia (en)

Société

État

Arts de la table

Santé

  • SantĂ© en Zambie (en)

Jeux populaires

Jeunes garçons jouant aux échecs.

Sports

Artisanats

Arts graphiques

Textiles

Cuir

Papier

Bois

MĂ©tal

Poterie, céramique, faïence

Verrerie d'art

Joaillerie, bijouterie, orfèvrerie

Espace

MĂ©dias

Presse Ă©crite

Les supports les plus lus restent les journaux, mĂŞme si plusieurs titres – tel le Times of Zambia[6] – sont contrĂ´lĂ©s par le gouvernement. The Post[7], avec son slogan « the Paper that digs deeper Â», est le quotidien privĂ© le plus populaire. Les pĂ©riodiques ne touchent pas les rĂ©gions les plus reculĂ©es et, devenus onĂ©reux, ils ne sont pas Ă  la portĂ©e de tous, mĂŞme si chaque exemplaire a gĂ©nĂ©ralement plusieurs lecteurs[8]. En 2009, le classement mondial sur la libertĂ© de la presse Ă©tabli chaque annĂ©e par Reporters sans frontières situe la Zambie au 97e rang sur 175 pays[9]. Des « problèmes sensibles » y ont Ă©tĂ© observĂ©s[10].

Télévision

Néanmoins, comme la presse, les médias audiovisuels ont bénéficié d'une certaine libéralisation au cours des années 1990[8]. La réception des émissions télévisées est limitée aux zones urbaines et son coût est prohibitif. C'est pourquoi la radio est le média qui relaie le mieux l'information nationale et internationale dans tout le pays[8]. L'arrivée de nouvelles technologies (satellite, téléphone portable, Internet) contribue comme ailleurs à la mondialisation de la culture. Dans le cas de la Zambie, les contenus proviennent le plus souvent de son voisin plus nanti, l'Afrique du Sud, ou du Nigeria, sans parler des États-Unis omniprésents. La société zambienne sous tous ses aspects est fortement soumise à ces influences[8].

Internet (.zm)

Littérature

Par comparaison avec d'autres pays comme le Nigeria ou l'Afrique du Sud qui ont conquis leurs galons littéraires sur la scène internationale, la Zambie accède tardivement à une culture de l'écrit, notamment en raison du poids de la tradition orale, des obstacles économiques et de l'analphabétisme qui persiste dans les zones rurales[8]. Les livres ont longtemps été considérés comme des objets de luxe.

Comme dans bien d'autres pays africains[12], une sagesse imagĂ©e se transmet Ă  travers de nombreux proverbes[13]. En Zambie elle s'exprime dans la plupart des langues locales : bemba, kaonde, lozi, luyana, luvale, nyanja, tonga et bien d'autres. Un proverbe tumbuka dit ainsi « L'Ă©tranger est comme une poule blanche, on le reconnaĂ®t immĂ©diatement Â»[14]. En marge d'une portĂ©e souvent universelle, les proverbes sont ancrĂ©s dans les rĂ©alitĂ©s locales, comme dans ces deux exemples empruntĂ© au lunda : « Le vieux lĂ©opard peut perdre sa mĂ©chancetĂ© et non la couleur de sa peau » ; « Le fils du possesseur de minerai fait en sorte que le minerai ne soit pas achetĂ© Â»[15].

L'Ă©conomiste Dambisa Moyo

Les colons europĂ©ens introduisent le théâtre occidental au dĂ©but des annĂ©es 1950. Une association, la Northern Rhodesia Drama Association – qui devient la Theatre Association of Zambia (TAZ) Ă  l'indĂ©pendance – se constitue, elle est rĂ©servĂ©e aux Blancs. Plusieurs théâtres sont construits entre 1954 et 1958, exclusivement destinĂ©s aux expatriĂ©s. En 1958 pourtant un groupe multiethnique ose fonder le Waddington Theatre Club[16]. En rĂ©action contre ce théâtre trop europĂ©anisĂ©, un nouveau mouvement se dessine Ă  la fin des annĂ©es 1960, sous l'influence de Michael Etherton et dans la mouvance de l'« humanisme zambien Â», devenue philosophie officielle de la Zambie sous l'impulsion de son prĂ©sident, Kenneth Kaunda[17]. Le nom qu'il se donne est Chikwakwa, ce qui signifie « le mouvement de base Â» en langue nyanja[17]. En 1969 la nouvelle compagnie connaĂ®t son premier succès Ă  Lusaka avec la pièce Une vie de boy, l'adaptation du roman de Ferdinand Oyono, l'annĂ©e suivante elle prĂ©sente un Che Guevara au 3e sommet du Mouvement des pays non-alignĂ©s qui se tient dans la capitale zambienne en 1970[16]. Ces pièces ne sont pas interprĂ©tĂ©es par des acteurs locaux, mais par des universitaires et des Ă©tudiants engagĂ©s qui, jusqu'en 1979, montent chaque annĂ©e des spectacles abordant les problèmes de dĂ©veloppement, avec l'intention dĂ©clarĂ©e d'Ă©lever le niveau socioculturel des masses[17]. Le mouvement Chikwakwa fait cependant les frais des difficultĂ©s rencontrĂ©es par le rĂ©gime politique auquel ils Ă©taient liĂ©s au dĂ©part. Kabwe Kasoma et Masautso Phiri sont deux des dramaturges influents pendant les annĂ©es 1970[16]. Dans les annĂ©es 1980 se crĂ©e la première troupe professionnelle permanente, le Kanyama Theatre, qui effectue de grandes tournĂ©es en Zambie et au Zimbabwe[16].

Nouvelliste, romancier et poète, Stephen Andrea Mpashi écrit la plupart de ses œuvres dans sa langue maternelle, le bemba, mais aujourd'hui la plupart des grands noms de la littérature zambienne écrivent en anglais, abordant souvent les problèmes auxquels leur pays est confronté. Parmi eux figurent Binwell Sinyangwe, auteur des romans Quills of Desire (1993) et Cowrie of Hope (2000), la nouvelliste et éditrice Monde Sifuniso ainsi que Malama Katulwende, poète et romancier, auteur de Bitterness (2005)[18].

Liste d'Ă©crivains zambiens

  • Ellen Banda-Aaku (en) (1965-), Ă©crivaine, dramaturge, romancière
  • Angus Buchan (en) (1947-), rĂ©sident en RSA, fermier, Ă©vangĂ©liste, auteur
  • Efemia Chela (1991-), Ă©crivaine, critique littĂ©raire
  • Susan Chitabanta (en) (1953-), romancière, nouvelliste
  • Kayo Chingonyi (en) (1987-), poète, Ă©diteur
  • Richard Hanley (1950 ?-), philosophe, australien, nĂ© en Zambie
  • Dickson Jere (en) (1965 ?-), avocat, journaliste, analyste politique
  • Chnasa Kabwela (en) (1970 ?), journaliste
  • Mulenga Kapwepwe (1958-), dramaturge, nouvelliste, productrice
  • Musola Cathrine Kaseketi (en) (1968-), cinĂ©aste, activiste des droits humains
  • Malama Katulwende (en) (1967-), romancier, essayiste, poète
  • Kenneth Kaunda (1924-2021), homme d'État, penseur, essayiste
  • Gwendoline Konie (1938-2009), poĂ©tesse, diplomate
  • Dambisa Moyo (1969-), Ă©conomiste
  • Juliet Mphande (en) ( 1970 ?), activiste en droits humains
  • Stephen Andrea Mpashi (1920-), romancier, nouvelliste, poète
  • Dominic Mulaisho (1933-2013), romancier
  • Mulanga Mulenga (en) (1987-), peintre, photographe, sculpteur, Ă©crivain
  • Eli Mwanang'onze (en) (1975 ?), universitaire, politique
  • Zindaba Nyirenda (1963-), princesse, Ă©crivaine
  • Field Ruwe (en) (1955-), Ă©ducateur, historien, universitaire, rĂ©sident Ă  Boston (USA)
  • Timothy Mulenga Sapato (en) (1994-), avocat, activiste social, auteur
  • Namwali Serpell (1983-), universitaire, rĂ©sidant aux États-Unis, romancière
  • Monde Sifuniso (en) (1944-), romancière, nouvelliste
  • Binwell Sinyangwe (1956-), Ă©conomiste, Ă©crivain
  • Wilbur Smith (1933-2021), romancier sud-africain, homme d’affaires, Ă©crivain Ă  succès
  • Samba Yonga (en) (1970 ?), journaliste, consultante mĂ©dia
  • Écrivains zambiens, liste d'Ă©crivains zambiens (en)

Arts visuels

Peinture

Architecture

Village de Zambie, années 1980.
  • Architecture traditionnelle
  • Architecture moderne

Arts du spectacle

Musiques, danses, cérémonies

Danses « traditionnelles » pour les touristes

Des pratiques musicales et chorégraphiques directement enracinées dans la tradition – les danses des sociétés Nyau, les danses Mganda ou Kankanga – cohabitent avec des formes contemporaines qui font largement appel à des technologies plus sophistiquées[21].

Place des percussions.

Les percussions notamment, les chants et les danses accompagnent de longue date rituels et cĂ©rĂ©monies, chrĂ©tiens ou non, et ont Ă©galement une fonction de divertissement. Ces manifestations ont parfois Ă©tĂ© combattues sous l'ère coloniale, par crainte ou pure incomprĂ©hension[21]. Avec l'indĂ©pendance, on a assistĂ© Ă  une renaissance de ces pratiques, qui s'est accĂ©lĂ©rĂ©e dans les annĂ©es 1990. L'intĂ©rĂŞt portĂ© par les touristes aux danses tribales africaines rĂ©putĂ©es « authentiques Â» y a Ă©galement contribuĂ©[21]. Un instrument de musique caractĂ©ristique de la Zambie est le silimba[22], une sorte de xylophone dotĂ© de gourdes vides suspendues sous le clavier et faisant office de caisse de rĂ©sonance. Commun notamment chez les Lozis, il avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© remarquĂ© par l'explorateur David Livingstone qui l'appelait marimba[23].

Cérémonie Ku-omboka chez les Lozis : Nalikwanda, la barque royale

La vingtaine de cérémonies qui se tiennent dans le pays tout au long de l'année témoignent de la volonté de la volonté de perpétuer les traditions[24]. L'une des plus connues est le Ku-omboka que les Lozis célèbrent au moment de la saison des pluies, lorsque le niveau de l'eau monte et qu'il leur faut partir s'installer sur des terres situées plus en altitude. Précédée par la barque du chef et de sa famille, en grande tenue, toute la communauté s'embarque pour la traversée qui dure plusieurs heures. Chants et danses marquent l'arrivée du cortège à destination. Les cérémonies traditionnelles et les rites de passage se transforment peu à peu, avec la colonisation et avec l'urbanisation, s'éloignant de leur signification et de leur fonction d'origine pour se transformer en spectacles payants[16].

Les musiques contemporaines puisent à de multiples sources et même si les chants – le plus souvent du chant choral – sont généralement interprétés dans une langue locale, on identifie difficilement un son spécifiquement zambien, comme c'est le cas pour la musique congolaise ou brésilienne[21]. Black Muntu, Rare Roses, El, Jane Osborne, Chris Aka, Sista D, Ras Willie, B’Sharp ou Bantu Roots sont quelques-uns des groupes actuels, auxquels s'ajoute le francophone No Parking[25].

Théâtre

Autres : marionnettes, mime, pantomime, prestidigitation

Cinéma

La production cinématographique de la Zambie reste très modeste[26], mais la première édition du Festival international du film de Zambie s'est déroulée à Lusaka en 2006[27]. Lusaka possède aujourd'hui (2010) un cinéma multiplexe, installé dans un centre commercial construit en 2004 et doté de cinq salles[28].

Autres

Tourisme

Patrimoine

  • Sites et monuments historiques en Zambie (en)

Le programme MĂ©moire du monde (UNESCO, 1992) n'a rien inscrit pour ce pays dans son registre international MĂ©moire du monde (au 14/01/2016).

Musées et autres institutions

La Zambie compte quatre musées nationaux :

D'autres institutions culturelles[33] valorisent différents aspects de la culture nationale, tels que

  • le Choma Museum, situĂ© Ă  Choma dans le sud du pays et consacrĂ© Ă  la culture du peuple Tonga,
  • le Nayuma Museum consacrĂ© aux peuples du Barotseland,
  • le Maramba Cultural Museum de Livingstone.

Liste du Patrimoine mondial

Le programme Patrimoine mondial (UNESCO, 1971) a inscrit dans sa liste du Patrimoine mondial (au 12/01/2016) : * Liste du patrimoine mondial en Zambie.

Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité

Le programme Patrimoine culturel immatériel (UNESCO, 2003) a inscrit dans sa liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, Liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité en Zambie :

  • 2008 : La mascarade Makishi[34],
  • 2008 : Le Gule Wamkulu (culte secret Nyaul)[35].
  • 2018 : La danse mooba du groupe ethnique lenje dans la province Centrale de Zambie[36].

Annexes

Bibliographie

  • (en) Marc Leo Felix et Manuel Jordán, Makishi lya Zambia : mask characters of the Upper Zambezi peoples, Fred Jahn, Munich, 1998, 370 p.
  • (en) Patrick E. Idoye, Theatre and social change in Zambia: the Chikwakwa Theatre, Edwin Mellen Press, Lewiston, 1996, 178 p. (ISBN 0-7734-8959-2)
  • (en) Manuel Jordán, Makishi : mask characters of Zambia, UCLA Fowler Museum of Cultural History, Los Angeles, 2006, 83 p. (ISBN 978-0-9748729-7-1)
  • (en) Atta Annan Mensah, Music and dance in Zambia, Neczam, Lusaka, 1971, 18 p.
  • (en) Leonard Chileshe Mulenga, Community based theatre groups in Zambia : organisation and impact as mediums of communication, Institute for African Studies, University of Zambia, Lusaka, 1993, 128 p.
  • (en) Adrian Roscoe, The Columbia guide to Central African literature in English since 1945, Columbia University Press, New York, 2008, chapitre 5 (ISBN 978-0-231-13042-4)
  • (en) Fanuel K. Sumaili, Zambian writers talking, Printpak Zambia, Ndola, 1991, 146 p.
  • (en) Scott D. Taylor, Culture and customs of Zambia, Greenwood Press, Westport, Conn., 2006, XVIII-148 p. (ISBN 0-313-33246-0)
  • (fr) Matopa Mtonga, « Théâtre et tradition orale en Zambie Â», in Jean-Pascal Daloz et John D. Chileshe (dir.), La Zambie contemporaine, Karthala, Paris ; IFRA, Nairobi, 1996, p. 259-286 (ISBN 2-86537-658-3)
  • (fr) John D. Chileshe, « Production littĂ©raire et contextes politiques Â», in La Zambie contemporaine, op. cit., p. 287-300
  • (fr) Francis P. Kasoma, « Les mĂ©dias dans les annĂ©es 1990 Â», in La Zambie contemporaine, op. cit., p. 317-336

Discographie

  • (en) Across the waters Batonga : the music of the Batonga of Zambia and Zimbabwe, St. Sharp Wood Productions, Utrecht ; Choma Museum & Crafts centre, Choma, 1997
  • (en) Kalimba & Kalumbu songs, Northern Rhodesia : Zambia : 1952 & 1957 (coll. Hugh Tracey), International Library of African Music, Grahamstown, 1998,
  • (en) Zambia Roadside : music from Southern province (coll. Benjamin Wamunyima et Michael Baird), St. Sharp Wood Productions, Zilverstraat (Afrique du Sud), 2003
  • (en) Zambush. Vol. 1 : Zambian hits from the 80s, SWP Records, Utrecht, 2004
  • (en) Zambush. Vol. 2 : Zambian hits from the 60s and 70s, SWP Records, Utrecht, 2004
  • (en)(fr) La voix des masques de Zambie : rituels d'initiation Makishi et Nyau / danseurs et musiciens de la Troupe Nationale de Danse de Zambie, Arion, Paris, 1982/1997 (enreg. 1980)

Filmographie

  • (en) Mwe bana bandi, film documentaire de PaĂŻvi Takala et Christiina Tuura, Proppu 1000, ADAV/ISKRA, 1993 (1988), 29 min (VHS)
  • (fr) La cĂ©rĂ©monie de Nc'Wala. Le Festival des prĂ©mices des Ngoni de l'Est de la Zambie, film de Boston Soko, Malawi, 2008

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. (fr) Atlas de l'Afrique, Les Éditions du Jaguar, Paris, 2009 (nouvelle éd.), p. 224-225 (ISBN 978-2-86950-426-4)
  2. (en) National Parks
  3. (fr) Jean Sellier (et al.), Atlas des peuples d'Afrique, La DĂ©couverte, Paris, 2005, p. 151-152 ; p. 186 (ISBN 2-7071-4743-5)
  4. (fr) J. Sellier, Atlas des peuples d'Afrique, op. cit., p. 186-187
  5. (en) CIA World Factbook
  6. (en) Site du Times of Zambia
  7. (en) Site du Post
  8. (en) Scott D. Taylor, « Literature and the media Â», in Culture and customs of Zambia, op. cit., p. 41-58 (ISBN 0-313-33246-0)
  9. Reporters sans frontières : Classement mondial 2009
  10. Reporters sans frontières
  11. « Zambie : nombre d'internautes et chiffres-clés de l'Internet », sur journaldunet.com (consulté le ).
  12. (fr) Mwamba Cabakulu (collec. et trad.), Le grand livre des proverbes africains (avant-propos de Ahmadou Kourouma, dessins originaux de Zaü), Presses du Châtelet, Paris, 2003, 317 p. (ISBN 2-84592-105-5)
  13. (en) Nyambe Sumbwa, Zambian proverbs, ZPC Publications, Multimedia, Lusaka, 1993, 84 p. (ISBN 9982-30071-7)
  14. (fr) Le grand livre des proverbes africains, op. cit., p. 97
  15. (fr) Le grand livre des proverbes africains, op. cit., p. 48 et 80
  16. (en) Martin Banham, Errol Hill et George Woodyard (dir.), « Zambia » in The Cambridge guide to African and Caribbean theatre, Cambridge University Press, 1994, p. 129-132 (ISBN 0-521-61207-1)
  17. (fr) Alain Ricard, L’invention du théâtre, L'Âge d'Homme, 1986, p. 122
  18. (en) Bella Waters, Zambia in Pictures, Twenty-First Century Books, Minneapolis, 2008, p. 46 (ISBN 9781575059556)
  19. (en) « The Life and Art of Stephen Kappata on JSTOR », sur JSTOR (consulté le ).
  20. (en) Marie Imbrova, Ph.D., Sidonius Design & Incomedia WebSite X5 Evolution, « Photo Gallery 2010 - Exhibition of Stephen Kappata's paintings, Prague », sur imbrova.cz (consulté le ).
  21. (en) Scott D. Taylor, « Music and dance », in Culture and customs of Zambia, Greenwood Press, Westport, Conn., 2006, p. 125-138 (ISBN 0-313-33246-0)
  22. (en) Atta Annan Mensah, Music and dance in Zambia, Neczam, Lusaka, 1971, p. 9
  23. (fr) Trois ans dans l'Afrique australe ; débuts de la mission du Zambèse. Lettres des pères H. Depelchin et Ch. Croonenberghs, Polleunis, Ceuterick et Lefébure, Bruxelles, 1882-83, p. 363
  24. (fr) Les cérémonies traditionnelles (Zambia National Tourist Board),
  25. (fr) L'art zambien (site de l'Ambassade de France en Zambie et au Malawi)
  26. (en) Liste chronologique de films de la Zambie, IMDb
  27. (fr) « Un premier festival en Zambie Â», Africultures
  28. (en) Timothy Holmes et Winnie Wong, Zambia, Marshall Cavendish, New York, 2008 (2e Ă©d.), p. 101 (ISBN 9780761430391)
  29. (en) Site du Lusaka National Museum
  30. (en) Site du Copperbelt Museum
  31. (en) Site du Moto Moto Museum
  32. (en) Site du Livingstone Museum
  33. (en) Museums
  34. « UNESCO - La mascarade Makishi », sur unesco.org (consulté le ).
  35. « UNESCO - Le Gule Wamkulu », sur unesco.org (consulté le ).
  36. « UNESCO - La danse mooba du groupe ethnique lenje dans la province Centrale de Zambie », sur unesco.org (consulté le ).
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