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Collège des ingénieurs

Le Collège des ingénieurs (CDI) est une institution internationale indépendante d’excellence fondée en 1986 à Paris, connue pour son diplôme de master en administration des affaires (MBA, master of business administration) construit selon une pédagogie d'alternance intégrée de cours et d'une mission. Aujourd'hui présent sur trois sites en Europe (Paris, Munich, Turin), il sélectionne chaque année 130-150 jeunes diplômés (ingénieurs, scientifiques, médecins) originaires des grandes écoles et universités, parmi plus de 1500 candidatures.

Collège des ingénieurs
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Histoire
Fondation
Statut
Type
Institution de formation (en)
Fondateur
Philippe Mahrer
Président
Philippe Mahrer
Devise
« Qui agit intellegit » (« celui qui agit, comprend »)
Site web
Localisation
Pays
Ville
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Le Collège des ingénieurs a été fondé en 1986 à Paris en partenariat avec de grandes entreprises internationales dans le but de détecter, évaluer et former au management ceux qui, parmi les jeunes ingénieurs diplômés des universités européennes, américaines et asiatiques, montraient la volonté d'entreprendre et des capacités de leadership. Le concept éducatif (la « formation-action ») est résumé par sa devise latine : « Qui agit intellegit » : « celui qui agit, comprend. »

En Allemagne, le « CDI-Collège des ingénieurs », installé à Stuttgart puis à Munich, est un partenaire reconnu des plus grandes entreprises et universités allemandes et des Chambres de Commerce et d'Industrie (IHK), avec lesquelles il décerne chaque année le « German Leadership Award ». En Italie, CDI Italia a été cofondé par le Collège des ingénieurs aux côtés de la Fondation Agnelli, de la Fondation Garrone et de la Fondation Pirelli.

Historiquement très proche du monde de l'industrie, ses Fellows sont issus des grandes écoles et universités européennes. En France, l'établissement accueille majoritairement des diplômés des écoles d'ingénieurs du groupe A (École polytechnique, CentraleSupélec, Mines Paris, Ponts ParisTech, AgroParisTech, Télécom ParisTech, Espci, Ensta Paris) ainsi que de Sorbonne Université, Université de recherche Paris-Sciences-et-Lettres, Université Paris-Saclay et des Écoles normales supérieures. En Allemagne, ses étudiants sont issus des grandes universités d'excellence d'État (TU9, université technique de Munich, Institut de technologie de Karlsruhe...) et d'une coopération avec la fondation StudienStiftung. De même, en Italie, ils sont issus des universités publiques (École polytechnique de Turin, École polytechnique de Milan, École normale supérieure de Pise).

Historique

Le MBA du Collège des ingénieurs a été fondé en 1986 par Philippe Mahrer, après réunion d'un comité de préfiguration dirigé par le président de la Compagnie Financière de Suez, Jean Peyrelevade[1]. Selon ses fondateurs, il y a des idées, des principes ou des méthodes qu'on ne peut comprendre par la seule réflexion, mais uniquement en agissant. Le MBA du Collège des ingénieurs tient la formation aux affaires comme un art de l'action. Ainsi, la devise de l'établissement est « Qui agit intellegit » : « celui qui agit, comprend. »

Sous l'impulsion de Philippe Mahrer, son fondateur, qui avait été un des créateurs d'Action contre la faim et d'Ingénieurs sans frontières, le Collège s'est toujours engagé lors des grands événements géo-éco-politiques qui ont marqué le tournant des Ier et XXe siècles.

  • En 1989, à la chute du mur de Berlin, le Collège lance un programme destiné aux futurs talents de la réunification de l'Europe occidentale et orientale, le Programme Copernic. Ce programme est créé avec l'assentiment du président de la République François Mitterrand, en coopération avec le ministère des Affaires étrangères, l'Institut d'études politiques de Paris, l'École des mines de Paris, et l'École des ponts et chaussées.
  • En 1993, il crée un programme pour les meilleurs étudiants chinois avec le Ministère de la Science et de la Technologie de la RP de Chine, qui accompagnera le futur décollage et l'ouverture de la Chine, si éclatants au XXIe siècle.
  • L'esprit start-up du Collège, dès avant le tournant du siècle, s'est traduit par l'éclosion de plus de 250 entreprises, qui ont créé plus de 20 milliards de $ de valeur, à travers des marques comme MSN, Neolane, Neuf Cegetel/SFR, Alan, Ample, Preligens, Innovafeed, Balyo...

En 1990, le Collège installe son siège au 49, rue de l’Université, à Paris.

Un programme d'actuariat est créé en 1992, suivi du master en mathématiques appliquées (avec l'université de Marne-la-Vallée).

1996 sonne le début de l'expansion européenne de l'établissement. Knut Stannowski fonde le Collège des ingénieurs en Allemagne, à Stuttgart, avec le soutien du cabinet du ministre-président du Bade-Wurtemberg, Erwin Teufel. Les relations avec l'Allemagne se renforcent rapidement avec notamment, quatre ans plus tard, le début de la coopération avec la Studienstiftung des deutschen Volkes, fondation chargée d'aider financièrement les meilleurs étudiants du pays. En 2003, à Saint-Gall, en Suisse, est ouverte une représentation locale.

En parallèle de son expansion européenne, et sous la direction de Bruno Boulay, l'établissement confirme sa proximité avec les entreprises en lançant le programme exécutif Marco Polo pour jeunes dirigeants confirmés de Bouygues Construction (depuis l'an 2000).

En 2006, le Collège des ingénieurs est un membre actif de la commission Hetzel qui préfigure la Loi relative aux libertés et responsabilités des universités (loi LRU), en vue de la réforme du système universitaire français.

La direction du Collège des ingénieurs (Philippe Mahrer & Bruno Boulay) et la présidence de l'UPMC (devenue Sorbonne Université, Pr Jean-Charles Pomerol, Pr Jean Chambaz) créent le programme doctoral Sciences & Management permettant à des doctorants de suivre le MBA du Collège des ingénieurs en parallèle de leur thèse.

C'est en septembre 2009, à l'initiative de Philippe Mahrer, de John Elkann, vice-président de la Fondation Agnelli, de Marco Tronchetti Provera (en), président de la Fondation Pirelli, et Riccardo Garrone, président de la Fondation Garrone (it) qu'est créée à Turin la filiale italienne : la Scuola di Alta Formazione al Management (devenue depuis CDI Italia), dont le MBA est joint à celui du Collège des ingénieurs de France et d'Allemagne, et développé selon les mêmes principes éducatifs.

Le Collège des ingénieurs a mené la première enquête nationale des universités d'entreprise[2] sous la conduite de Bruno Boulay, directeur des programmes exécutifs et doctoraux.

En 2009, le Collège installe son siège au 215, boulevard Saint-Germain, à Paris.

En 2011, le Collège intègre un séminaire médias dans le cadre du MBA afin de préparer les ingénieurs, futurs dirigeants, aux interactions médiatiques. Il est animé et piloté par Patrice Duhamel.

En 2015, l'Institut du Cerveau et le Collège des ingénieurs créent une université d'été destinée à l'idéation d'offres entrepreneuriales dans le domaine des neurosciences (sclérose en plaques, épilepsies, dépression, Parkinson, neuro-réhabilitation post-AVC...). Ce séminaire d'une semaine réunit des Fellows du Collège, des étudiants en médecine, des doctorants ou postdocs et des designers.

En 2016, le Collège crée CDI labs afin d'accompagner les grands groupes dans leur stratégie d'innovation et notamment pour détecter des startups européennes et israéliennes, et faciliter l'implémentation des projets de collaboration pilote startups - grands groupes.

Toujours en 2016, Silvia Petocchi, directrice de CDI Italia, et Fabiola Gianotti, directrice générale du CERN, cosignent un partenariat consistant notamment au développement du programme Innovation for Change[3].

Fin 2017, CDI Italia déménage et retrouve le 38, via Giacosa à Turin. Cette installation au sein de la villa historique du Sénateur Giovanni Agnelli, signe les liens entre le Collège des ingénieurs et l'esprit d'innovation de la famille Agnelli.

En 2018, le CDI-Collège des ingénieurs GmbH déménage au 6, Möhlstraße, à Munich.

En 2021, le Collège ouvre un séminaire sur le fonctionnement de l'état français. Il est animé par des intervenants du Conseil d'État et piloté par Patrick Gérard.

En 2022, la Représentation Canadienne du Collège des ingénieurs ouvre afin de consolider les liens transatlantiques et animer des séminaires en Amérique du Nord à destination des Fellows européens.

Formations

Master of Business Administration

Collège des ingénieurs,
215 boulevard Saint-Germain et 2-4 rue de Saint-Simon, dans le 7e arrondissement de Paris (France).

Le Collège des ingénieurs en France, en Italie et en Allemagne propose chaque année à une centaine de jeunes ingénieurs diplômés ou des jeunes scientifiques (chercheurs, médecins) de niveau master 2 ou supérieur (docteurs) du monde entier, une formation de dix mois sanctionnée par un diplôme de MBA, incluant une mission de consultant-junior au sein d'une entreprise. Le programme alterne séminaires de formation et semaines de mission en entreprise.

Les collégiens (ou fellows) sont salariés de l'établissement, et interviennent dans l'entreprise cliente en tant que consultants[4]. La totalité des frais de formation est prise en charge par le Collège des ingénieurs et les participants reçoivent un salaire du Collège. La liste de ces entreprises est majoritairement composée de grands groupes industriels français, allemands et italiens.

La formation est composée de séminaires thématiques rattachés à cinq piliers : finance, production et organisation, ressources humaines et communication, stratégie et marketing, et leadership. Les Collégiens sont notamment formés dans le but de devenir entrepreneurs ou intrapreneurs. La majorité des cours est dispensée en anglais, et plus occasionnellement en français, allemand, ou italien. Les cours sont dispensés alternativement au sein des différents locaux européens : France, Allemagne, Italie, voire Suisse.

Régulièrement, des Masterclasses sont données par des chefs d'entreprises (CEO ou chairman), entrepreneurs ou personnalités politiques[5].

Programme Science et management

En 2009, le Collège des ingénieurs et l'université Pierre-et-Marie-Curie (désormais Sorbonne Université) ont ouvert un programme doctoral « Sciences et Management », qui conduit aux diplômes de doctorat en sciences d'UPMC et au MBA du CDI[6].

Ce programme doctoral, étendu ensuite aux Sciences Humaines en partenariat avec l'Université Paris-Sorbonne, accueille aussi des doctorants de l'Université de recherche Paris Sciences et Lettres, de l'Université Paris-Saclay, de l'Institut polytechnique de Paris, de l'Institut de technologie de Karlsruhe, de l'Université technique de Munich, de l'Université Louis-et-Maximilien, de l'ETH Zurich, de Sant'Anna Pisa, notamment.

Programme Copernic

Le programme Copernic est un programme conjointement organisé avec l'Institut d'études politiques de Paris et l'École nationale supérieure des mines de Paris, accueillant des étudiants issues des meilleures universités d'Europe de l'Est, de l'Égypte, de la Turquie et de la Tunisie.

    Les Coperniciens reçoivent une formation de six mois suivie d'une mission en entreprise à temps plein.

    Ce programme a formé 1000 jeunes diplômés majoritairement originaires d'Europe Centrale et Orientale, venus en France afin de découvrir le modèle occidentale, sur les plans économiques (économie de marché) et institutionnels (démocratie parlementaire).

    Sélection

    La sélection pour le programme MBA se fait par demande de dossier. Le candidat est alors invité à présenter son parcours et son projet, par la rédaction d'un mémoire et par présentation devant un jury issu du monde de l'entreprise.

    Le programme MBA est un programme très sélectif. Plus de 1 500 candidatures sont reçues chaque année, dont 130-150 seulement sera retenue (proportions équilibrées entre les groupes de Paris, de Munich et de Turin). Il n'y a pas de quota, ni par nationalité, ni par école d'origine.

    En France, les étudiants sont majoritairement issus des grandes écoles d'ingénieurs (réseau ParisTech, Paris-Saclay) et des grandes universités : CentraleSupélec, École des mines, École des ponts, École polytechnique, École normale supérieure, AgroParisTech, Télécom ParisTech, ESPCI, Sorbonne Université.

    En Allemagne, les collégiens sont issus des grandes universités d'État : université technique de Rhénanie-Westphalie à Aix-la-Chapelle, université technique de Munich, Institut de technologie de Karlsruhe, université technique de Darmstadt, université technique de Dresde, université de Stuttgart. Le Collège collabore étroitement avec les Studienstiftung des deutschen Volkes et Stiftung der deutschen Wirtschaft (SDW).

    En Italie, les collégiens sont issus des grandes universités techniques : École polytechnique de Milan, École polytechnique de Turin, université de Padoue, université de Bologne, université de Pavie, École supérieure Sainte-Anne de Pise.

    International

    Le Collège des ingénieurs est une institution volontairement tournée vers l'international. En plus de l'historique coopération intra-européenne (France, Allemagne, Italie) qui fait travailler ensemble les étudiants des trois groupes par des travaux communs, l'établissement favorise les rencontres multiculturelles : les Collégiens sont usuellement originaires des trois pays d'implantation du Collège, mais une promotion accueille aussi bien souvent un nombre important de diplômés issus de toute l'Europe (Luxembourg, Autriche, Suisse, Espagne, Royaume-Uni) ainsi que d'Amérique du Nord et d'Asie.

    80 % des collégiens ont une expérience d'au moins un an à l'étranger (études ou recherche, emploi), et 85 % sont trilingues.

    Sites de formation

    Le Collège des ingénieurs dispose de plusieurs sites de formation en France (Paris), en Allemagne (Munich), en Italie (Turin) et en Suisse.

    Les locaux parisiens sont situés 215, boulevard Saint-Germain au cœur du 7e arrondissement, en face du Ministère de l'Écologie et lieu de création de l'Alliance française en 1883. Le siège français était auparavant situé 49, rue de l’Université.

    Personnalités liées

    Anciens élèves et diplômés

    Depuis 1986, le Collège des ingénieurs, en liaison avec les acteurs majeurs de l'industrie européenne, a diplômé plus de 2650+ MBA et 1000 boursiers du Programme Copernic, actifs aujourd'hui dans une centaine de pays. Il a contribué à former de nombreux chefs d'entreprise et dirigeants de groupes industriels mondiaux, des créateurs d'entreprises technologiques, des managers de fonds d'investissement destinés à l'innovation, ainsi que des responsables de cabinet de conseil en stratégie[7]. Ses diplômés sont présents en Europe, en Chine et en Amérique du Nord. Certains anciens élèves se sont aussi investis dans la vie politique.

    Chefs d'entreprise, industriels, entrepreneurs

    Promotion Nom Activités principales
    1990 Bruno Angles directeur général de la Société des autoroutes et du tunnel du Mont-Blanc (-1996), de Vinci Énergies (2005-2006), président de Macquarie Capital Funds, directeur général du Crédit suisse France et Belgique, membre du conseil d'administration de la RATP, directeur général délégué de AG2R La Mondiale
    2000 Guillaume Arnaud président de Sofidy
    1992 Sonia Artinian-Fredou membre du comité exécutif de Michelin
    1997 Karim Bousta directeur général de Getaround
    1999 Ève-Laure Boutonnet directrice générale d'April Courtage
    1987 Yves Caseau directeur des systèmes informatiques de Michelin, membre de l'Académie des technologies
    2002 Anne-Christine Champion membre du comité de direction générale de Natixis
    1991 Frédéric de Courtois directeur général adjoint du groupe AXA
    1998 Martha Crawford Heitzmann (en) directrice recherche et développement d'Air liquide, d'Areva et de L'Oréal
    1993 Philippe Dewost cofondateur de Wanadoo
    1993 Stéphane Dietrich cofondateur de Neolane
    2001 Grégory Erphelin directeur général de la Fédération nationale du crédit agricole
    1994 Delphine Gény-Stephann membre des conseils d'administration de la SNPE, la SNECMA, GIAT, la Française des jeux, Arte France, France 3, Thales, vice-présidente du plan et de la stratégie de Saint-Gobain
    2001 Franck Gervais directeur général du groupe Pierre & Vacances-Center Parcs
    1993 François Jackow membre du comité exécutif d'Air Liquide
    1993 Mohamed Kallala membre du comité exécutif de Natixis
    1996 Isabel Marey-Semper membre des conseils d’administration de Nokia, Rexel, L'Oréal
    1996 Serge Magdeleine membre du comité de direction de Crédit agricole, fondateur d'Empruntis.com
    1995 Jacques Le Marois cofondateur de Mandriva, président de Geneanet
    2000 Yann Leriche directeur général de Getlink
    2001 Li Jiaqing directeur général de Legend Capital
    2007 Romain Lucazeau directeur général de la SCET, auteur de Science Fiction
    1992 Pierre Luzeau président-directeur-général de Seqens
    1989 Pascal Minault directeur général de Bouygues Construction
    1989 Sophie Mougard directrice générale du Syndicat des transports d'Île-de-France (2006-2016), directrice de l'Ecole nationale des Ponts et Chaussées (2017-)
    2011 Jean-Charles Samuelian-Werve cofondateur d'Expliseat et d'Alan
    1998 Guillaume Sauvé président d’Eiffage Génie Civil et d'Eiffage Métal, membre du comité exécutif du groupe ADP
    1990 Nicolas Siegler directeur général adjoint de la Maif
    1996 John de Souza fondateur de Flash Communications (premier système d'instant messaging en entreprise, racheté par Microsoft sous le nom MSN), président de Medhelp (racheté par Physicians Interactive)
    1988 François Venet membre du comité exécutif d'Air Liquide
    1989 Jacques Veyrat cofondateur de Neuf Cegetel, président du groupe Louis-Dreyfus, président d'Impala
    2003 Lars Wagner CEO, MTU Aero Engines (à partir du 01.01.2023)

    Personnalités politiques

    Promotion Nom Activités principales
    1987 Élisabeth Borne ministre des Transports (2017-2019), de l'Écologie (2019-2020), du Travail (2020-2022)

    Première ministre (2022-…)

    2004 Julien Denormandie coordinateur du parti En Marche !, Ministre chargé de la Ville et du Logement (2018-2020), Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation (2020-2022)
    1994 Delphine Gény-Stephann secrétaire d'État auprès du ministre de l’Économie (2017-2018)
    1997 Nathalie Kosciusko-Morizet ministre de l'Écologie (2010-2012), députée de l'Essonne
    1992 Philippe Léglise-Costa haut fonctionnaire, représentant permanent de la France auprès de l'Union européenne (2017-)
    1998 Valérie Rabault députée du Tarn-et-Garonne (2012-), présidente du groupe socialiste à l'Assemblée Nationale
    2004 Mohamed Methqal ambassadeur, directeur général de l'Agence marocaine de coopération internationale

    Association des anciens élèves

    L'association des anciens du Collège des ingénieurs en Allemagne (CDI Alumni Deutschland e.V.) gère les relations avec les anciens élèves, organisant des évènements tels que des ateliers, des activités sportives, des conférences, des cérémonies de diplomation, des tables rondes, des visites d'entreprises, et des rencontres avec des personnalités des mondes universitaire et de l'industrie[8].

    Références

    1. « Collège des ingénieurs, histoire », sur www.cdi.fr (consulté le )
    2. première enquête nationale des universités d'entreprise
    3. « Le CERN signe un accord avec un institut italien de gestion », sur CERN (consulté le )
    4. « Un MBA rémunéré réservé aux scientifiques de haut niveau », sur lesechos.fr (consulté le )
    5. (en) « Collège des ingénieurs – MBA for engineers and scientists », sur cdi.eu (consulté le )
    6. Université Pierre et Marie Curie - UPMC, « Double compétence recherche et management : un MBA avec le Collège des ingénieurs -Université Pierre-et-Marie-CURIE - Sciences et Médecine - UPMC - Paris », sur www.upmc.fr (consulté le )
    7. lefigaro.fr, « Un MBA pour mieux se vendre à l'étranger », sur Le Figaro (consulté le )
    8. « CDI Alumni Deutschland e.V. », sur cdi-alumni.org (consulté le )

    Liens externes

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