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Coimères

Coimères (Coimèras en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Coimères
Coimères
La mairie (août 2010).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Gironde
Maire
Mandat
Jean-Claude Morin
2020-2026
Code postal 33210
Code commune 33130
Démographie
Gentilé Coimériens
Population
municipale
1 057 hab. (2020 en augmentation de 9,88 % par rapport à 2014)
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 29′ 50″ nord, 0° 12′ 31″ ouest
Altitude Min. 40 m
Max. 122 m
Superficie 12,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Réolais et des Bastides
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Coimères
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Coimères
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Coimères
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Coimères

    Ses habitants sont appelés les Coimériens[1].

    Géographie

    Localisation

    Commune du Sud de la Gironde située au centre du triangle Langon-Bazas-Auros, sur le tracé de l'autoroute A65. Le point culminant est à 124 mètres au lieu-dit Chaloupin et le point le plus bas est à 40 mètres à la formation du Grusson : au confluent du ruisseau de Coimères (issu de La Hountique et Bartouquet) et du ruisseau du Tin.

    Elle se trouve à 52 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 8,5 km au sud de Langon, chef-lieu d'arrondissement, et à km à l'ouest d'Auros, ancien chef-lieu de canton[2].

    Les communes limitrophes sont Saint-Pierre-de-Mons au nord, Brannens au nord-est, Brouqueyran au sud-est, Cazats au sud, Mazères à l'ouest et Langon au nord-ouest.

    Communes limitrophes de Coimères
    Langon Saint-Pierre-de-Mons Brannens
    Mazères Coimères
    Cazats Brouqueyran

    Le territoire communal est bordé sur sa limite ouest par la route départementale D932 qui mène à Langon vers le nord et à Bazas vers le sud ; le bourg proprement dit est traversé par la route départementale D125 qui permet de rejoindre cette D932 vers l'ouest et Brouqueyran vers l'est.

    L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est celui de Sortie 03 Langon qui se situe à km vers le nord.

    L'accès Sortie Bazas le plus proche à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à km vers le sud-sud-ouest.

    La gare SNCF la plus proche est celle de Langon sur la ligne Bordeaux - Sète du TER Nouvelle-Aquitaine et qui se trouve à 8,5 km vers le nord.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 824 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauternes », sur la commune de Sauternes, mise en service en 1896[9] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 825,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 52 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Coimères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,1 %), prairies (14,8 %), cultures permanentes (8,5 %), zones urbanisées (4,5 %), terres arables (3,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Coimères est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 1999 et 2009[24] - [22].

    Coimères est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[25]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[26] - [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coimères.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 434 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 434 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Histoire

    En 1651, pendant la Fronde, la Guyenne se soulève contre le pouvoir royal. Le marquis de Galapian poursuit les Langonnais réfugiés à Brouqueyran et Coymères et ravage l'antique château du Mirail et le castel de Latour appartenant à la vieille famille de Laroque[30].

    À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Coimères forme la commune de Coimères[31].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    octobre 1947 1956 D'Arlot de Saint-Seaud
    1956 mars 1959 René Mothes
    mars 1959 mars 1971 Robert Deloubes
    mars 1971 mars 2014 Jean-Jacques Lafon SE (apparenté UMP) boucher retraité
    mars 2014 En cours Jean-Claude Morin SE (apparenté UMP-LR) assureur retraité

    Communauté de communes

    Le 1er janvier 2014, la communauté de communes du Pays de Langon ayant été supprimée, la commune de Coimères s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 1 057 habitants[Note 7], en augmentation de 9,88 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    586432476545545550569564571
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    600548562565576558553525522
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    521540543417504510504372350
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    381369356388583657638658856
    2014 2019 2020 - - - - - -
    9621 0351 057------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Avec 61 habitants au km², Coimères a une densité dix fois plus faible que Langon et deux fois plus faible que la densité moyenne de la France.

    Lieux et monuments

    • La Moutasse ou la Mothe est un tumulus qui nous relie au passé dans sa dimension archéologique et mythologique. Situé à un km à l'est du bourg, au nord du château Laroque, c'est un tumulus ovale d'environ 70 mètres de long sur 30 de large doté à l'extrémité est d'une butte circulaire qui supportait une tour de guet en pierres. H. Ribadieu[30] et François Jouannet[39] racontent que les paysans coimériens s'armaient la nuit de pelles pour aller fouiller le sol à la recherche du trésor que les Anglais auraient enfoui lorsqu'ils quittèrent l'Aquitaine en 1453.
    • L'église Notre-Dame, de style roman, date du XIIe siècle et possède un chÅ“ur tréflé et un portail remarquable classée monument historique en 1907[40].
    • L'école construite en 1910[41].
    • Le château Larroque
    • Trois lavoirs sont présents sur le territoire communal, celui de la Hountique (fontaine petite), celui de Bartouquet et celui du Tin.
    • L'église de Coimères (août 2010)
      L'église de Coimères (août 2010)
    • Le portail de l'église (déc. 2009)
      Le portail de l'église (déc. 2009)
    • Le lavoir de la Hountique (juil. 2008)
      Le lavoir de la Hountique (juil. 2008)
    • Le monument aux morts (août 2010)
      Le monument aux morts (août 2010)

    Personnalités liées à la commune

    • Henry Ribadieu, journaliste royaliste légitimiste, né à Coimères le 30 septembre 1825 au château Laroque[42].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 4 avril 2011. Le gentilé fourni comporte deux m : cette forme semble douteuse !
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 48,2 km pour Bordeaux, 6,9 km pour Langon et km pour Auros. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 7 avril 2011.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sauternes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Coimères et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sauternes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Coimères et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Coimères », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Le risque feux de forêts. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    26. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Coimères », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. H. Ribadieu, Les Châteaux de la Gironde, 1856
    31. Historique des communes, p. 16, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 4 avril 2013.
    32. Coimères 14-18
    33. Coimères 39-45
    34. La guerre de cent ans (Balkans)
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. François Jouannet, Essai sur Bazas - Archives de la Gironde
    40. « Classement MH de l'église Notre-Dame », notice no PA00083523, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 25 mai 2011.
    41. école de Coimères
    42. J.C. Drouin, Les Cahiers du Bazadais, extrait du n° 57, 2e trimestre 1982, pp. 19-28, consulté le 7 avril 2011.
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