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Brouqueyran

Brouqueyran (Broqueiran en gascon) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en Nouvelle-Aquitaine.

Brouqueyran
Brouqueyran
La mairie (déc. 2010).
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Langon
Intercommunalité Communauté de communes du Réolais en Sud Gironde
Maire
Mandat
Jean-Louis Saumon
2020-2026
Code postal 33124
Code commune 33074
DĂ©mographie
Gentilé Brouqueyranéens
Population
municipale
206 hab. (2020 en augmentation de 1,48 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 36 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 29â€Č 05″ nord, 0° 10â€Č 26″ ouest
Altitude Min. 30 m
Max. 114 m
Superficie 5,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du RĂ©olais et des Bastides
LĂ©gislatives DouziĂšme circonscription
Localisation
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Brouqueyran
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Brouqueyran
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Brouqueyran
Liens
Site web www.brouqueyran.fr

    Ses habitants sont appelés les Brouqueyranéens[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Brouqueyran est situĂ©e dans la Haute-Lande-Girondine, sur le Beuve, Ă  56 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du dĂ©partement, Ă  12 km au sud-est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et Ă  3,5 km au sud-ouest d'Auros, ancien chef-lieu de canton[2].

    Les communes limitrophes en sont Auros au nord-nord-est, Berthez Ă  l'est, Lados au sud-est, Bazas au sud, Cazats au sud-ouest et CoimĂšres Ă  l'ouest-nord-ouest.

    Communes limitrophes de Brouqueyran
    CoimĂšres Auros
    Brouqueyran Berthez
    Cazats Bazas Lados

    La principale voie de communication routiÚre qui traverse le village est la route départementale 125, qui traverse le bourg et mÚne vers l'ouest à la route départementale 123 (Castets et Castillon-Bazas) puis à CoimÚres et vers l'ouest à la route départementale 12 (La Réole-Auros-Bazas) ainsi que vers Lados.

    L'accĂšs Sortie 03 Langon Ă  l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) se situe Ă  12 km vers le nord-nord-ouest. Celui de Sortie 04 La RĂ©ole est Ă  15 km par Aillas et la dĂ©partementale 10.
    L'accĂšs Sortie Bazas Ă  l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe Ă  10 km vers le sud-ouest, par Cazats.

    La gare SNCF la plus proche est celle de Langon, Ă  12 km vers le nord-ouest, sur la ligne Bordeaux - SĂšte du TER Nouvelle-Aquitaine. Celle de La RĂ©ole se trouve Ă  19 km vers le nord-est.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 845 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Sauternes », sur la commune de Sauternes, mise en service en 1896[9] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 825,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bordeaux-MĂ©rignac », sur la commune de MĂ©rignac, mise en service en 1920 et Ă  55 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,3 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  13,8 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  14,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Brouqueyran est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (61 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (62,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (38 %), prairies (29,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,5 %), terres arables (8,9 %), cultures permanentes (4,4 %), eaux continentales[Note 6] (0,9 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Brouqueyran est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[22]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[23].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[24] - [22].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brouqueyran.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 86 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 86 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[26].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2015 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

    Histoire

    En 1763, l'abbé Expilly présente le village ainsi :

    « Brouqueyran, dans le Condomois en Gascogne, DiocĂšse & Election de Condom, Parlement & Intendance de Bordeaux, Jurisdiction de la PrĂ©vĂŽtĂ© de Condom. On y compte 56 feux. Cette Paroisse est situĂ©e dans une contrĂ©e assez fertile, principalement en grains. »[27]. Il n'est pas certain que l'abbĂ© Jean-Joseph Expilly ait toujours vĂ©rifiĂ© ses affirmations, si du moins la mention susdite concerne ce Brouqueyran. La situation gĂ©ographique le fait supposer, le diocĂšse de Condom commençant notoirement au-delĂ  de Bouglon[28], et Brouqueyran est en rĂ©alitĂ© dans le diocĂšse de Bazas, plus prĂ©cisĂ©ment dans l'archiprĂȘtrĂ© de Cuilleron[29].

    À la RĂ©volution, la paroisse Saint-Pierre de Brouqueyran forme la commune de Brouqueyran[30].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1941 ? Jules Saphore
    mars 2001 En cours Jean-Louis Saumon Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Communauté de communes

    Le 1er janvier 2014, la communauté de communes du Pays d'Auros ayant été supprimée, la commune de Brouqueyran s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Réolais en Sud Gironde siégeant à La Réole.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[32]. En 2020, la commune comptait 206 habitants[Note 7], en augmentation de 1,48 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    290279284310315326265267266
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    266267260280251267243240242
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    238228210179175164190137150
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    140140144122136148172180207
    2015 2020 - - - - - - -
    198206-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le chĂąteau du Mirail (dĂ©c. 2010).
      Le chùteau du Mirail (déc. 2010).
    • L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens (dĂ©c. 2010).
      L'église Saint-Pierre-Ús-Liens (déc. 2010).
    • Le chevet de l'Ă©glise (dĂ©c. 2010).
      Le chevet de l'église (déc. 2010).
    • Le chƓur de l'Ă©glise (dĂ©c. 2010).
      Le chƓur de l'Ă©glise (dĂ©c. 2010).
    • Le monument aux morts (dĂ©c. 2010).
      Le monument aux morts (déc. 2010).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 29 mars 2011.
    2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 51,1 km pour Bordeaux, 9,7 km pour Langon et 2,5 km pour Auros. DonnĂ©es fournies par www.lion1906.com, consultĂ© le 29 mars 2011.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Sauternes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Brouqueyran et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Sauternes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Brouqueyran et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Brouqueyran », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Brouqueyran », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    27. Jean-Joseph Expilly, « Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France », sur Google books, Desaint et Saillant, (consulté le ), p. 862.
    28. Jean Burias,, Atlas Historique Français, vol. IV, Agenais, Condomois, Bruilhois, CNRS, 1979
    29. Dom Réginald Biron, O.S.B., Précis de l'histoire religieuse des anciens diocÚses de Bordeaux et Bazas, Librairie des Bons Livres, Bordeaux, 1925, p. 127, lire en ligne https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9616679v/f141.item.zoom
    30. Historique des communes, p. 9, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 4 avril 2013.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Classement du chùteau », notice no PA00083491, base Mérimée, ministÚre français de la Culture, consulté le 29 mars 2011.
    36. « Images des éléments classés du chùteau », base Mémoire, ministÚre français de la Culture, consulté le 29 mars 2011.
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