Saint-Pierre-de-Mons
Saint-Pierre-de-Mons (Sent Pèir de Lengon en occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Pierre-de-Mons | |||||
La mairie (juin 2009). | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Langon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Gironde | ||||
Maire Mandat |
Patrick Labayle 2020-2026 |
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Code postal | 33210 | ||||
Code commune | 33465 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pierre-Monsois | ||||
Population municipale |
1 236 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 133 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 33′ 10″ nord, 0° 13′ 10″ ouest | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 55 m |
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Superficie | 9,27 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Langon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Sud-Gironde | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.saint-pierre-de-mons.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Pierre-Montois[1].
Géographie
Commune de l'unité urbaine de Langon située au sud (rive gauche) de la Garonne, à 48 km au sud-est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 2,5 km à l'est de Langon, chef-lieu d'arrondissement et de canton[2].
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Les communes limitrophes sont Saint-Pardon-de-Conques à l'est, Auros au sud-est, Coimères au sud et Langon à l'ouest. Sur la rive droite de la Garonne, se trouvent les communes de Saint-Macaire au nord-ouest et du Pian-sur-Garonne au nord.
Transports
Le bourg est traversé par la route départementale D224, qui mène à Langon à l'ouest et à Castets et Castillon à l'est. Plus au sud, le territoire communal est traversé par la route départementale D116 reliant Langon à Savignac à l'est-sud-est ainsi que par l'autoroute A62. La route départementale D10, reliant Langon à Auros au sud-est, borde le sud dudit territoire.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A62 dont l'accès 3 Langon est distant de 4 km par la route vers l'ouest-sud-ouest.
L'accès Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 14 km vers le sud.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 3 km par la route vers l'ouest, de Langon sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sauternes », sur la commune de Sauternes, mise en service en 1896[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 825,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 47 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Saint-Pierre-de-Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Langon, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[19] et 13 879 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46,6 %), terres arables (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5 %), eaux continentales[Note 7] (1,9 %), prairies (0,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Pierre-de-Mons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne, le Beuve et le ruisseau de Grusson. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991, 1995, 1997, 1999, 2009, 2020 et 2021[27] - [25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 520 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 520 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Histoire
L'origine du nom de la commune reste partiellement inexpliquée d'autant qu'à l'origine, la paroisse était dédiée à Saint Remi, évêque de Reims.
Le chanoine Léglise[29] a rapproché le nom de la commune de celui de l'ancienne église prieurale romane « Saint-Pierre de Mons » de Belin-Béliet où étaient honorés les preux de Charlemagne et de celui de « Saint-Pierre de Sainte-Quitterie » citée dans le guide du Pèlerin de Compostelle comme le sanctuaire abritant les corps desdits preux, compagnons de Charlemagne et cités dans La Chanson de Roland.
À la Révolution, la paroisse Saint-Pierre-de-Mons forme la commune de Saint-Pierre-de-Mons[30].
Politique et administration
Communauté de communes
Le , la communauté de communes du Pays de Langon ayant été supprimée, la commune de Saint-Pierre-de-Mons s'est retrouvée intégrée à la communauté de communes du Sud Gironde siégeant à Mazères.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 1 236 habitants[Note 8], en augmentation de 4,92 % par rapport à 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Le territoire communal est aujourd'hui formé en grande partie de coteaux occupés par des vignobles qui produisent des vins d'appellation Graves blancs et rouges.
Lieux et monuments
- L'église Saint-Pierre actuelle qui a remplacé une église du XIe siècle dédiée à saint Rémi sur l'emplacement du presbytère, est de style gothique flamboyant et date du XVIe siècle. Son clocher gothique construit en 1554 est une flèche polygonale à crochets et quatre clochetons, copié sur l'une des flèches de la Notre-Dame de Chartres[36].
- La sacristie renferme une croix processionnelle en cuivre du XVIe siècle classée à l'inventaire des monuments historiques au titre d'objet depuis 1971[37] et la nef, une statue de saint Pierre en bois polychrome du XVIIIe siècle.
- Le lavoir de Robin se trouve dans l'est du territoire communal, en limite de Saint-Pardon-de-Conques.
- L'église Saint-Pierre (juin 2009)
- Le lavoir de Robin (oct. 2011)
- Le monument aux morts près de l'église (juin 2009)
Personnalités liées à la commune
- Gérard Duprat, militant syndicaliste et député, est né à Saint-Pierre-de-Mons en 1912.
- Pierre Lees-Melou, footballeur professionnel, a grandi et habité à Saint-Pierre-de-Mons.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel de la commune, consulté le .
- Résultats du recensement de la population de Saint-Pierre-de-Mons sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Pierre-de-Mons », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales.
- Saint-Pierre-de-Mons sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Nom des habitants de la commune sur habitants.fr, consulté le 24 juin 2011.
- Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 42,6 km pour Bordeaux et 1,8 km pour Langon. Données fournies par Lion1906.com, consulté le 24 juin 2011.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sauternes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-de-Mons et Sauternes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Sauternes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Pierre-de-Mons et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Langon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Pierre-de-Mons », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Patrimoine culturel de Saint-Pierre-de-Mons sur le site de la commune, consulté le 24 juin 2011.
- Historique des communes, p. 58, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 7 avril 2013.
- Commune de Saint-Pierre-de-Mons sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 24 juin 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Informations fournies sur le site Église en Langonnais, consulté le 24 juin 2011.
- « Classement MH de la croix de procession », notice no PM33000758, base Palissy, ministère français de la Culture, consulté le 24 juin 2011.