Chronologie du Paléolithique
Le Paléolithique couvre la période de la Préhistoire s'étendant de 3,3 millions d'années à 11 700 ans avant le présent (AP). Il se divise conventionnellement en Paléolithique inférieur (3,3 millions - 350 000 AP), Paléolithique moyen (250 000 - 35 000 AP) et Paléolithique supérieur (35 000 - 11 000 AP). Cette périodisation fluctue selon les Úres géographiques. Elle permet l'observation de l'évolution des pratiques humaines : domestication du feu, élaboration d'outillage, consommation alimentaire.
Paléolithique inférieur (de 3,3 millions d'années à 350 000 ans avant le présent)
1 000 000 AP
- TroisiĂšme pĂ©riode dâoccupation humaine de Swartkrans, en Afrique du Sud (aprĂšs une premiĂšre pĂ©riode il y a 700 000 ans et une deuxiĂšme 200 000 plus tard). Le site est occupĂ© par des Australopithecus robustus[1] - [2] - [3]
780 000 AP
- à compter de ce moment, les périodes glaciaires se font plus longues et plus intenses[4].
- Dans la grotte de lâEscale (sud-est de la Gaule), des Humains utilisent des ossements appartenant Ă la faune quaternaire. Ces os sont brĂ»lĂ©s et le site semble contenir des zones de combustion, probablement avec des feux allumĂ©s par les occupants. Toutefois, comme il nây a pas dâoutillage lithique Ă©vident, ni de marques anthropiques sur les ossements de faune et pas non plus de cendres et de charbons de bois, ces zones pourraient provenir de dĂ©pĂŽts de feux naturels extĂ©rieurs entrĂ©s par accident dans la cavitĂ©, par une ouverture du plafond[5].
750 000 AP
- Le mammouth des steppes, apparu en Chine il y a 850 000 ans, migre vers le nord, en Sibérie[6].
700 000 AP
- Fin de lâoccupation humaine de Nachukui (Kenya), oĂč des restes humains sont retrouvĂ©s depuis 2 340 000 annĂ©es avant le prĂ©sent[7].
- En Afrique, la production dâoutils bifaces connaĂźt une nouvelle Ă©volution : le travail amorcĂ© au percuteur en pierre est terminĂ© par un amincissement soigneux Ă lâaide dâun autre percuteur en matiĂšre Ă©lastique (bois dâarbre ou ramure de cervidĂ©)[8].
- Apparition du Mammuthus intermedius (mammouth intermĂ©diaire), une espĂšce de mammouth plus petite, avec des molaires plus hypsodontes aux lames plus serrĂ©es et Ă lâĂ©mail plus mince[9].
600 000 AP
- DĂ©but de lâĂge du SalĂ©tien au Maghreb occidental[10].
- Fin de lâoccupation humaine de Swartkrans, une grotte dâAfrique du Sud[11].
- Des Humains Ă©tablissent un site de dĂ©peçage dâĂ©lĂ©phants Ă Hara IdĂ©[12] (Afrique de lâEst, Ă proximitĂ© de la mer Rouge) [13].
- Date probable de lâapparition du mammouth laineux, dans le nord-est de la SibĂ©rie[14].
- Le mammouth des steppes arrive en Europe occidentale, oĂč il profite de la disparition simultanĂ©e du mammouth mĂ©ridional[6].
- Un mammouth mùle de quarante-cinq ans meurt à West Runton (Grande-Bretagne). Il évolue dans un environnement forestier et humide, sous un climat tempéré. Son corps est partiellement dévoré par des hyÚnes des cavernes et, quelque temps aprÚs, ses congénÚres mammouths dispersent ses os et brisent ses défenses[15].
543 000 AP
- Des restes humains sont laissĂ©s Ă Kapthurin[16] (Kenya). Ce groupe emploie lâindustrie acheulĂ©enne[17].
509 000 AP
500 000 AP
480 000 AP
- DĂ©but de lâĂge de lâAmirien au Maghreb occidental[10].
450 000 AP
- Nouvelle occupation humaine du site de Gran Dolina, en IbĂ©rie. Comme en 800 000 avant le prĂ©sent, aucune trace dâutilisation du feu nây est retrouvĂ©e[3].
- Occupation humaine du site de Galeria, en IbĂ©rie. Aucune trace dâutilisation du feu nây est retrouvĂ©e[3].
400 000 AP
- Date supposĂ©e de la domestication du feu par les Humains[2] - [21], dans un espace gĂ©ographique correspondant Ă la limite nord des zones tempĂ©rĂ©es de la planĂšte, en Syrie (comme Ă Nadaouiyeh âAyn Sakar) et en Europe, notamment dans les PyrĂ©nĂ©es (Ă la Caune de lâArago) et en bord de MĂ©diterranĂ©e (Ă Terra Amata). Cette domestication rend possible lâexploration de nouveaux territoires[22].
- Fossile humain Ă SalĂ© (Maroc). Il vit dans un horizon dunaire. Cet Humain semble souffrir dâune pathologie, en atteste lâaspect des insertions musculaires dans les rĂ©gions pariĂ©tale et occipitale de la tĂȘte, les dimensions de lâaire nucale et les asymĂ©tries affectant la base du crĂąne, mais aussi sa voĂ»te. Lâensemble du plan nucal est considĂ©rablement raccourci, de dimension trĂšs infĂ©rieure comparĂ© Ă toutes celles des hominidĂ©s de cette mĂȘme pĂ©riode. Cette disposition est inhabituelle, puisque les hominidĂ©s archaĂŻques prĂ©sentent normalement une Ă©caille occipitale courte et un plan nucal allongĂ©. Il est trĂšs probable quâun individu handicapĂ© soumis Ă une sĂ©lection naturelle sĂ©vĂšre ne doit sa survie quâĂ lâaide de la communautĂ© Ă laquelle il appartient, ce qui suppose pour le cas de cet hominidĂ© de SalĂ© un environnement social et affectif complexe, ou tout du moins un minimum dâaltruisme Ă lâintĂ©rieur du groupe. On retrouve sur le mĂȘme site des restes de rhinocĂ©ros (Certaotherium confer simum), de cheval (Equus confer mauritanicus) et de bovidĂ© (Conochaetes taurinus)[23].
382 000 AP
- DĂ©but de lâoccupation humaine de la grotte de Qesem, une grotte du Proche-Orient oĂč les Humains utilisent quelques silex[24].
380 000 AP
- Occupation du site de VĂ©rtesszĆlĆs, en Europe centrale, par des Homo erectus. Ces Humains maĂźtrisent le feu, quâils entretiennent dans des petits foyers de quarante Ă soixante-dix centimĂštre. Ils Ă©laborent une industrie lithique de petite taille correspondant au PalĂ©olithique infĂ©rieur, amĂ©nagĂ©e dans des galets de silex et de quartzite, comprenant de nombreux choppers (galets amĂ©nagĂ©s, Ă bords tranchants), associĂ©e Ă une faune dans laquelle domine lâEquus, devant le cerf, le bison et lâours. Ils consomment Ă©galement une abondante microfaune et de nombreux mollusques dâeau douce. Les foyers ne contenant pas de charbon de bois et une grande quantitĂ© dâos calcinĂ©s, ils sont vraisemblablement alimentĂ©s avec des ossements en guise de combustible. Il est possible que ce choix dâutiliser des os sâexplique par la prĂ©sence de graisses, qui dĂ©gagent plus de chaleur et retardent la combustion[25].
365 000 AP
- Des Humains occupent la Baume Bonne, une grotte du sud-est de la Gaule. Ils y domestiquent du feu, grĂące Ă des cendres et des charbons de bois[3].
350 000 AP
- Occupation humaine des sites de Torralba et Ambrona, dans une zone marĂ©cageuse dâIbĂ©rie centrale, par des AcheulĂ©ens chasseurs dâĂ©lĂ©phants qui utilisent un feu domestiquĂ© pour façonner leur industrie (des bifaces notamment)[26].
- PremiĂšre occupation humaine du site de Bolomor, une grotte ibĂšre oĂč les Humains utilisent le feu pour cuire des animaux chassĂ©s[27].
- Fin de la premiĂšre pĂ©riode de lâoccupation humaine du site de Tabun, une grotte du Proche-Orient. Les silex sây multiplient[28].
Paléolithique récent (de 36 000 ans à 11 000 ans avant le présent)
36 000 AP
- Des loups commencent Ă ĂȘtre domestiquĂ©s par des Aurignaciens, en Europe occidentale[29]. Cette domestication, rĂ©alisĂ©e par des Homo sapiens, leur donne un avantage sur les NĂ©andertaliens et leur permet de se rĂ©pandre davantage puisqu'ils peuvent plus facilement chasser le gros gibier[30].
35 000 AP
- [31]. Sur une pĂ©riode sâĂ©talant dâil y a 45 000 Ă 35 000 ans, les principales rĂ©gions de la GrĂšce antique (basse vallĂ©e du PĂ©nĂ©e, Ăpire, Ăles Ioniennes, EubĂ©e, PĂ©loponnĂšse) voient la gĂ©nĂ©ralisation de lâusage dâoutils correspondant Ă lâindustrie aurignacienne et moustĂ©rienne des Balkans. Du reste, la technique de ces outils prĂ©sente des particularitĂ©s locales qui sâaccordent mal avec la typologie de lâEurope mĂ©diterranĂ©enne, ce qui suppose quâils ont bien Ă©tĂ© introduits par la voie balkanique[32].
- [33].
- Lâart connaĂźt un dĂ©veloppement multiforme en Europe occidentale : gravures et peintures sur fragments de parois de quelques abris sous roche[34].
- Fin de lâoccupation de la grotte de lâHortus (sud de la Gaule). Depuis 15 000 ans, des NĂ©andertaliens y ont laissĂ© des restes de bouquetins brĂ»lĂ©s par le feu[35].
- Fin de lâoccupation humaine du Boquete de Zafarraya (extrĂȘme-sud de lâIbĂ©rie), une grotte investie par des NĂ©andertaliens depuis 20 000 ans. Ils laissent une industrie lithique moustĂ©rienne et pratiquent le dĂ©bitage levallois. Ils maĂźtrisent le feu et peuvent lâallumer Ă leur grĂ©, ce qui facilite leurs dĂ©placements et les courts sĂ©jours. Les dĂ©pouilles de deux NĂ©andertaliens sont laissĂ©es : un jeune homme de dix-huit Ă vingt-deux ans et une femme adulte. Leurs congĂ©nĂšres, aprĂšs avoir dĂ©charnĂ© et fragmentĂ© les os humains, les abandonnent sur le sol de la grotte. Des carnivores viennent mordiller ces os. Puis, lorsque les NĂ©andertaliens reviennent au Boquete de Zafarraya, ils rassemblent les os dans une cuvette et les brĂ»lent Ă une tempĂ©rature dâentre 400 et 600 degrĂ©s Celsius[36].
- Fin de lâoccupation humaine de lâabri Bombrini (nord de lâItalie), un site au pied dâune falaise. Les NĂ©andertaliens y laissent des vestiges de foyers tĂ©moignant dâune bonne maĂźtrise du feu[37].
- Date la plus ancienne Ă laquelle la prĂ©sence dâHomo sapiens est attestĂ©e Ă Mladec, en Europe centrale[38].
34 000 AP
- DĂ©but de lâoccupation humaine dâHayonim, une grotte du Proche-Orient oĂč les Humains emploient une industrie aurignacienne[39].
- DĂ©but de lâoccupation humaine de Klisoura, une grotte du PĂ©loponnĂšse, par des Humains aurignaciens.
33 380 AP
- Ă lâabri Pataud (sud-ouest de la Gaule), des Humains installent des habitations. Ils utilisent des outillages appartenant Ă lâindustrie aurignacienne[40].
32 700 AP
- Date Ă laquelle lâoccupation du Lac Mungo (sud-est de lâAustralie) par des Homo sapiens est attestĂ©e. Ce point Ă©tant le plus Ă©loignĂ© des rĂ©gions par lesquelles ils sont probablement arrivĂ©s sur ce continent, cela tend Ă dĂ©montrer que les Humains se sont rĂ©pandus sur toute lâAustralie[33].
30 000 AP
- Date supposĂ©e de la disparition des NĂ©andertaliens[41], dont les derniers groupes isolĂ©s en Europe sont remplacĂ©s par les Sapiens, qui arrivent en Europe de lâOuest[42]. Avec eux disparaĂźt l'industrie chĂątelperronienne, pratiquĂ©e par les NĂ©anderthaliens dâEurope[43].
- Apparition de lâindustrie gravettienne, en Europe[43]. Il est probable que certains Gravettiens se sĂ©dentarisent[44].
- Apparition de lâindustrie pavlovienne, en Europe centrale[45].
- DĂ©but de lâInterstade dâArcy.
- Date Ă laquelle remonteraient les plus anciens arcs[46].
- On observe lâĂ©mergence dâune industrie microlithique (flĂšches et pointes de lance plus fines et acĂ©rĂ©es que jusqu'alors) au Sri Lanka et dans lâInde pĂ©ninsulaire[47].
- Dans les grottes de Niah (Ă BornĂ©o), des Humains prĂ©parent des plats alimentaires avec des plantes fortement chargĂ©es en toxines, des igames notamment, ce qui dĂ©montre quâils ont acquis la maĂźtrise de techniques sophistiquĂ©es[48].
- Apparition de foyers complexes utilisĂ©s par les Humains pour chauffer des Ă©lĂ©ments dâoutillage[49].
- Dans la grotte Chauvet, un site du sud-est de la Gaule, des Humains rĂ©alisent des gravures quâils recouvrent de peinture. Elles sont faites sur des blocs dont la plupart peuvent ĂȘtre dĂ©placĂ©s par un seul Humain. Ces peintures sont le plus souvent obtenues par piquetage sur une surface qui a parfois Ă©tĂ© prĂ©alablement aplanie par le frottement dâun lourd galet[50] - [51]. Ils dessinent Ă lâocre, sur les parois, des rhinocĂ©ros laineux, des lions, des mammouths, des rennes, des chevaux, des aurochs et laissent des mains tatouĂ©es en rouge[52], grĂące Ă leurs techniques pour rendre la perspective et le mouvement, grĂące aussi Ă leur maĂźtrise du dĂ©gradĂ© et de lâestompage, mais aussi au mĂ©lange de pigments pour lâobtention de colorants. Câest avec de la graisse animale ou vĂ©gĂ©tale et de lâeau quâils peignent sur les parois des cavernes[53].
- Fin de lâoccupation humaine dâHayonim, une grotte du Proche-Orient oĂč les Humains employaient une industrie aurignacienne[39].
- Date des plus anciennes expressions artistiques humaines en Australie. Celles-ci relÚvent certainement de pratiques antérieures[54].
- Une figurine féminine est réalisée à Willendorf, dans le sud de la Germanie. Elle est façonnée avec des rondeurs exacerbées[55].
11 640 AP
- Des Humains vivant au nord des PyrĂ©nĂ©es vivent avec ce qui est probablement un chien domestiquĂ©[56] (ses ossements Ă©tant trop petits pour ĂȘtre ceux dâun loup)[57].
11 600 AP
- La vague de froid qui touche la MĂ©sopotamie depuis 1 200 ans reflue, ce qui permet aux Humains dâoccuper de nouveau les hautes terres. Lâaugmentation des tempĂ©ratures est brutale et considĂ©rable â peut-ĂȘtre jusqu'Ă sept degrĂ©s Celsius en une dĂ©cennie. En Basse-MĂ©sopotamie, cet adoucissement des tempĂ©ratures dĂ©bouche sur une plus grande abondance vĂ©gĂ©tale[58].
11 500 AP
- Fin des Natoufiens[59].
- Date probable des premiĂšres cultures de cĂ©rĂ©ales sauvages au Proche-Orient. Les Humains entament un processus long qui les amĂšne Ă passer dâune collecte Ă une mise en terre planifiĂ©e[60].
- Apparition, au Nouveau-Mexique, de la culture clovisienne, dotĂ©e dâun outillage trĂšs spĂ©cifique, en obsidienne ou en calcĂ©doine. Ces Humains chassent le bison et les derniers mammouths du continent[61] - [62].
- Ă Göbekli Tepe (en Asie Mineure), des Humains Ă©difient un ensemble dâimpressionnantes constructions circulaires. Il sâagit probablement des premiers temples. D'une vingtaine de mĂštres de diamĂštre, les murs en pierre sĂšche comprennent des stĂšles verticales en calcaire, de trois Ă cinq mĂštres de hauteur, sur lesquelles sont reprĂ©sentĂ©s, en lĂ©ger bas-reliefs, des animaux sauvages, la plupart du temps mĂąles : lions, sangliers, renards, mais aussi oiseaux et insectes. Il nây a aucune trace de vie quotidienne dans ces constructions, les maisons dâhabitation Ă lâextĂ©rieur. Le systĂšme utilisĂ© pour couvrir ces temples (sâils en sont) nâest pas connu[63].
- Une nĂ©cropole est installĂ©e Ă Jebel Sahaba (Soudan). Cinquante-neuf individus y sont enterrĂ©s, dans des fosses sĂ©pulcrales, individuelles ou collectives. La moitiĂ© de ces Humains a Ă©tĂ© Ă©liminĂ©e sous lâeffet de chocs violents et par des projectiles Ă la pointe encore fichĂ©e dans leurs os. Des armatures de flĂšches, dĂ©connectĂ©es des ossements, trouvĂ©es dans certaines des fosses Ă lâĂ©tat erratique correspondent sans doute Ă des blessures lĂ©tales ayant atteint les autres individus dans les parties molles de leurs corps. Les victimes sont de tous Ăąges : hommes ĂągĂ©s et jeunes, femmes, enfants. Il sâagit donc dâune tuerie de masse et non dâun conflit entre jeunes combattants[64].
- Le mammouth laineux disparaĂźt dĂ©finitivement dâAmĂ©rique du Nord, oĂč il est arrivĂ© vers 100 000 ans avant le prĂ©sent[65].
11 430 AP
- Lâoccupation humaine du centre-ouest de lâAmĂ©rique du Sud est attestĂ©e par un site sur lequel on trouve des traces[66].
11 400 AP
11 200 AP
- Lâutilisation de parois de fosses-foyers pour enduire les constructions (ainsi que leurs revĂȘtements intĂ©rieurs) cesse au Proche-Orient[70].
11 050 AP
- Des Homo sapiens sâinstallent Ă la Cueva del MilodĂłn, dans le sud-ouest de lâAmĂ©rique du Sud, ce qui tend Ă dĂ©montrer que, Ă cette date, tout le continent amĂ©ricain est occupĂ© par les humains[71].
Notes et références
- Dominique Grimaud-HervĂ© et François Marchal sous leur propre direction et celle de Florent DĂ©troit et AmĂ©lie Vialet, Le deuxiĂšme homme en Afrique, Homo ergaster, Homo erectus, Paris, Ăditions Artcomâ et Ăditions Errance, , p. 179.
- François BON, « La vie quotidienne au PalĂ©olithique », L'Histoire,â n°420 (2016), p. 38.
- Henry de Lumley, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 52.
- Boris Valentin, Le Paléolithique, Paris, Presses universitaires de France, , p. 5.
- Henry de Lumley, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 35..
- MarylĂšne Patou-Mathis, Histoires de mammouth, Paris, Librairie ArthĂšme Fayard, , p. 152..
- Dominique François Marchal et François Marchal sous leur propre direction et celle de Florent DĂ©troit et AmĂ©lie Vialet, Le deuxiĂšme homme en Afrique, Homo ergaster, Homo erectus, Paris, Ăditions Artcomâ et Ăditions Errance, , p. 168.
- Boris Valentin, Le Paléolithique, Paris, Presses universitaires de France, , p. 46..
- MarylĂšne Patou-Mathis, Histoires de mammouth, Paris, Librairie ArthĂšme Fayard, , p. 154..
- Djillali Hadjouis sous la direction de Florent DĂ©troit, Dominique Grimaud-HervĂ©, François Marchal et AmĂ©lie vialet, Le deuxiĂšme homme en Afrique, Homo ergaster, Homo erectus, Paris, Ăditions Artcomâ et Ăditions Errance, , p. 193..
- Henry de LUMLEY, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 27.
- Avec une marge de plus ou moins 300 000 ans.
- Dominique Grimaud-HervĂ© et François Marchal sous leur propre direction et celle de Florent DĂ©troit et AmĂ©lie Vialet, Le deuxiĂšme homme en Afrique, Homo ergaster, Homo erectus, Paris, Ăditions Artcomâ et Ăditions Errance, , p. 147..
- MarylĂšne Patou-Mathis, Histoires de mammouth, Paris, Librairie ArthĂšme Fayard, , p. 159..
- MarylĂšne Patou-Mathis, Histoires de mammouth, Paris, Librairie ArthĂšme Fayard, , p. 152-153..
- Avec une marge de plus ou moins 4 000 ans.
- Dominique Grimaud-HervĂ© et François Marchal sous leur propre direction et celle de Florent DĂ©troit et AmĂ©lie Vialet, Le deuxiĂšme homme en Afrique, Homo ergaster, Homo erectus, Paris, Ăditions Artcomâ et Ăditions Errance, , p. 170..
- Avec une marge de plus ou moins 9 000 ans.
- Boris Valentin, Le Paléolithique, Paris, Presses universitaires de France, , p. 50..
- MarylĂšne Patou-Mathis, Histoires de mammouth, Paris, Librairie ArthĂšme Fayard, , p. 234..
- James C. Scott, Homo domesticus, Une histoire profonde des premiers Ătats, Paris, Ăditions La DĂ©couverte, , p. 19..
- Henry de Lumley, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 8, 12, 17, 23, 32, 37, 51, 79-80, 83, 138-139, 141 et 151-153..
- Jean-Jacques Hublinsous la direction de Florent DĂ©troit, Dominique Grimaud-HervĂ©, François Marchal et AmĂ©lie Vialet, Le deuxiĂšme homme en Afrique, Homo ergaster, Homo erectus, Paris, Ăditions Artcomâ et Ăditions Errance, , p. 200-202..
- Henry de Lumley, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 46..
- Henry de Lumley, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 60-61..
- Henry de Lumley, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 69-70..
- Henry de Lumley, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 70-71..
- Henry de Lumley, La Domestication du feu aux temps palĂ©olithiques, Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 48..
- MarylĂšne Patou-Mathis, Histoires de mammouth, Paris, Librairie ArthĂšme Fayard, , p. 173.
- James C. Scott, Homo domesticus, Une histoire profonde des premiers Ătats, Paris, Ăditions La DĂ©couverte, , p. 58..
- François LefÚvre, Histoire du monde grec antique, Paris, Librairie générale française, , p. 49 et 493.
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- Florent DĂ©troit (dir.), Dominique Grimaud-HervĂ© (dir.), François Marchal (dir.) et AmĂ©lie Vialet (dir.), Le deuxiĂšme homme en Afrique, Homo ergaster, Homo erectus, Paris, Ăditions Artcomâ et Ăditions Errance, , p. 139.
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- Yanni Gunnell, Philippe CadĂšne (dir.) et Brigitte Dumortier (dir.), LâInde : une gĂ©ographie, Paris, Paris, Librairie Armand Colin, , p. 78.
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- Sophie Archambault de Beaune, Quâest-ce que la PrĂ©histoire ?, Paris, Ăditions Gallimard, , p. 84-85 et 141.
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- Boris Valentin, Le Paléolithique, Paris, Presses universitaires de France, , p. 25.
- Boris Valentin, Le Paléolithique, Paris, Presses universitaires de France, , p. 31.
- Avec une marge de plus ou moins 120 ans.
- Gabriel Camps, Introduction à la Préhistoire, à la recherche du paradis perdu, Paris, Librairie académique Perrin, , p. 250.
- James C. Scott, Homo domesticus, Une histoire profonde des premiers Ătats, Paris, Ăditions La DĂ©couverte, , p. 60, 75 et 108-109.
- Jean-Paul Demoule, Les dix millĂ©naires oubliĂ©s qui ont fait lâHistoire, Quand on inventa lâagriculture, la guerre et les chefs, Paris, Librairie ArthĂšme Fayard, , p. 266.
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- Christian Grataloup, GĂ©ohistoire de la Mondialisation, Le temps long du monde, Paris, Librairie Armand Colin, , p. 72-73.
- Jean-Paul Demoule, « Le NĂ©olithique, Ă lâorigine du monde contemporain », Documentation photographique, no 8117,â , p. 20.
- Jean-Paul Demoule, « Le NĂ©olithique, Ă lâorigine du monde contemporain », Documentation photographique, no 8117,â , p. 46.
- Jean Guilaine, Les Chemins de la Protohistoire, Quand lâOccident sâĂ©veillait (7000-2000 avant notre Ăšre), Paris, Ăditions Odile Jacob, , p. 43.
- MarylĂšne Patou-Mathis, Histoires de mammouth, Paris, Librairie ArthĂšme Fayard, , p. 162.
- Gabriel Camps, Introduction à la Préhistoire, à la recherche du paradis perdu, Paris, Librairie académique Perrin, , p. 338.
- Geoffroy de Saulieu et Alain Testart, « Naissance de lâagriculture, De nouveaux scĂ©narios », LâHistoire, no 387,â , p. 70.
- Sophie Archambault de Beaune, Quâest-ce que la PrĂ©histoire ?, Paris, Ăditions Gallimard, paris, p. 75.
- Sophie Archambault de Beaune, Quâest-ce que la PrĂ©histoire ?, Paris, Ăditions Gallimard, , p. 61.
- Sophie Archambault de Beaune, Quâest-ce que la PrĂ©histoire ?, Paris, Ăditions Gallimard, , p. 227
- Gabriel Camps, Introduction à la Préhistoire, à la recherche du paradis perdu, Paris, Librairie académique Perrin, , p. 335.
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