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Castelculier

Castelculier est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Castelculier
Castelculier
La mairie
Blason de Castelculier
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Agen
Intercommunalité Agglomération d'Agen
Maire
Mandat
Olivier Grima
2020-2026
Code postal 47240
Code commune 47051
Démographie
Gentilé Castelfondais
Population
municipale
2 391 hab. (2020 en augmentation de 0,89 % par rapport à 2014)
Densité 160 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 10′ 32″ nord, 0° 41′ 37″ est
Altitude Min. 49 m
Max. 177 m
Superficie 14,95 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Agen
(banlieue)
Aire d'attraction Agen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Est agenais
Législatives Première circonscription
Localisation
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Castelculier
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Castelculier
Liens
Site web http://www.ville-de-castelculier.fr/

    Géographie

    Localisation

    Commune de l’aire d'attraction d'Agen située dans son unité urbaine à une dizaine de kilomètres au sud-est d’Agen en pays de l'Agenais.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Lafox, Boé, Bon-Encontre, Saint-Caprais-de-Lerm et Saint-Pierre-de-Clairac.

    Géologie et relief

    La ville est située à 54 m d’altitude.

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Séoune et le Mondot, tous deux affluents de la Garonne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 794 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Castelculier est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Agen, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[16] et 80 263 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,6 %), terres arables (32,5 %), prairies (7,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7 %), forêts (5,4 %), zones urbanisées (4,1 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Castelculier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque nucléaire[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[24]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1997, 1999, 2007, 2009, 2016, 2018 et 2021[26] - [22].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Castelculier.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [30].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2011 et 2017, par des mouvements de terrain en 1999 et et et par des glissements et éboulements rocheux en 1993[22].

    Risque technologique

    La commune étant située dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire de Golfech, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de km se mettent à l'abri[Note 8]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 9] - [31] - [32].

    Histoire

    Époque gallo-romaine

    La découverte de sites archéologiques de l’époque gallo-romaine, en particulier la villa de Lamarque, témoigne de la présence de riches notables et d’une intense activité agricole. La villa de Lamarque est occupée dès le IIe siècle, sa construction s’étendant jusqu’au IVe siècle sur une surface de 1,5 hectare[33]. Ce site archéologique gallo-romain est aussi l’occasion pour la commune d’organiser des animations[34] et d’engendrer une couverture médiatique dans la presse locale[35].

    Ancien Régime

    Sous l’Ancien Régime, le château de Castelculier est détruit sur ordre du roi Louis XIII, il n’en subsiste aujourd’hui que des ruines.

    Seconde Guerre mondiale

    Sous l'occupation allemande, la commune est marquée par le crime de guerre de Laclotte, notamment l'assassinat de civils au lieu-dit « Laclotte ». Le château de Laclotte est pris d'assaut le par une unité de la 2e division SS « Das Reich » sous la conduite de la Gestapo d'Agen. L'opération vise la résistance intérieure française du corps franc Pommiès. Un résistant est tué lors de l'assaut. Un autre est fusillé. Des civils faits prisonniers sont également fusillés. L'opération contre la résistance se poursuit le même jour à Saint-Pierre-de-Clairac.

    Héraldique

    Blason de Castelculier Blason
    Coupé : au 1) d’argent à la croix tréflée de gueules, au 2) d’azur à l’enceinte d’or maçonnée de sable, fortifiée d’une tour aussi d’or ouverte du champ, maçonnée et ajourée aussi de sable[36].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires


    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1946 H. Pinède
    1947 1965 René Salon SE
    1966 1982 Louis Asté
    mars 1983 mars 2014 Marc Boueilh DVD puis UMP Agriculteur
    Conseiller général du canton de Puymirol (1994-2015)
    mars 2014 En cours Olivier Grima DVD Employé
    Président de la communauté de communes Porte d'Aquitaine en Pays de Serres (2014-2016)
    Vice-président de l'Agglomération d'Agen (depuis 2016)
    Suppléant du conseiller départemental du Canton du Sud-Est agenais
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[37].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

    En 2020, la commune comptait 2 391 habitants[Note 10], en augmentation de 0,89 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    788720805785824840810843838
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    819793721741736679715761701
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    676641634552626626660641705
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    7688151 0051 2331 5971 6972 1322 2562 374
    2018 2020 - - - - - - -
    2 3922 391-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Églises

    Châteaux de Castelculier et de Saint-Amans

    Non loin de Saint-Amans se trouvent aussi les ruines du château de Laclotte, bâtisse érigée par Jean-Baptiste de Chaudordy dans les années 1820 sur les ruines d’une tour datant du Moyen Âge.

    Château de Laclotte

    Le château de Laclotte servait de maquis à la résistance sous l’occupation allemande. Le site a d’abord servi de zone de parachutage. Un important dépôt d’armes y fut ensuite constitué par trois membres du réseau Victoire : Maurice Jacob, Paul Blasy et Élie Moulia. Ces derniers sont arrêtés sur place le samedi par le chef du SD d’Agen Stotz, en présence de Johann Freidrich Zorn, son successeur en 1944[43] (ceci en conséquence de l’arrestation par la gendarmerie de La Réole le 16 août 1943 de l’adjudant Fernand Gaucher, qui, remis aussitôt entre les mains du SD d’Agen, avait avoué l’existence de dépôts d’armes à Marmande et Laclotte). Il s'ensuivit maintes arrestations, notamment sur la zone de Monségur, l’extinction du réseau en Lot-et-Garonne, puis en Gironde, zone précédemment non occupée. Un réseau renaît sur Agen en février 1944, sous les initiatives d’Alfred Streiff, alias Fred, et de l’abbé Pierre Frischman, pour devenir le bataillon d’Agen au sein du Corps Franc Pommiès. À la veille du débarquement, le château de Laclotte redevient le poste de commandement provisoire de la compagnie Fred Streiff. Le château est pris d’assaut le par la 2e division SS Das Reich des Waffen-SS, sous la conduite de la Gestapo d’Agen.

    Site archéologique

    Personnalités de la commune

    Jasmin lui a dédié un poème[44]. Boudon de Saint-Amans et le comte de Chaudordy s'y sont établis. On doit au célèbre botaniste la première étude scientifique du site gallo-romain de La Marque[45] ; et au magistrat, élu député de 1844 à 1848 et enterré au cimetière de Saint-Amans, un domaine aujourd’hui connu pour avoir été un lieu de résistance durant la Seconde Guerre mondiale.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    8. Le périmètre de km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
    9. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Agen-La Garenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Castelculier et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 d'Agen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. « Les risques près de chez moi - commune de Castelculier », sur Géorisques (consulté le )
    23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    24. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
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    26. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Castelculier », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    31. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE de Golfech - plaquette de présentation. », sur www.edf.fr (consulté le )
    32. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
    33. « La villa gallo-romaine de LAMARQUE », Ville de Castelculier, 3 juin 2011.
    34. « Manifestations grand public », Villascopia, 3 juin 2011.
    35. « Castelculier à l’heure gallo-romaine », Ladépêche.fr, 20 mai 2011.
    36. Armorial de France
    37. Site des villes et villages fleuris, consulté le .
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    42. « Eglise de Cabalsault », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    43. Michel Sercan, « Gestapo à AGEN », sur 7juin44.fr, (consulté le ).
    44. L’Abuglo de Castel-cuillé, en gason, Agen, imprimerie Prosper Noubel, 1836, [lire en ligne], 28 pages ;
    45. Jean Florimond Boudon de Saint-Amans, Essai sur les antiquités du département de Lot-et-Garonne, Agen, Imprimerie de Prosper Noubel, éd. 1859, p. 58.
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