Calendrier liturgique romain
Le Calendrier liturgique romain ou Calendrier romain gĂ©nĂ©ral est le calendrier liturgique du rite romain de l'Ăglise catholique indiquant les cĂ©lĂ©brations liturgiques associĂ©es Ă chaque jour de l'annĂ©e.
L'actuelle forme du Calendrier romain général lui a été donnée par le motu proprio Mysterii paschalis publié en 1969 par le pape Paul VI et par les modifications faites par ses successeurs.
Calendrier actuel
L'actuelle forme du Calendrier romain général lui a été donnée initialement par le motu proprio Mysterii paschalis publié en 1969 par le pape Paul VI[1], et a été modifiée au fil des ans successifs.
Quatre nouvelles fĂȘtes de dĂ©votion sont entrĂ©es dans le calendrier : le Nom de JĂ©sus (3 janvier), Notre-Dame de Fatima (13 mai), le Nom de Marie (12 septembre), Notre-Dame de Guadalupe (12 dĂ©cembre). On pourrait ajouter le souvenir de Notre-Dame des Douleurs le vendredi prĂ©cĂ©dant le dimanche des Rameaux avec une collecte alternative[2].
La plus rĂ©cente rĂ©vision majeure incorporĂ©e dans le Missel romain remonte Ă 2002 (troisiĂšme Ă©dition), mais par la suite d'autres changements ont Ă©tĂ© apportĂ©s au rythme d'un changement tous les deux ans[3]. Parmi ces inclusions rĂ©centes, on peut citer les rĂ©cents papes Jean XXIII, Paul VI et Jean-Paul II, qui ont eux-mĂȘmes modifiĂ© le calendrier de leur vivant.
Structure
Le Calendrier liturgique romain incorpore un cycle hebdomadaire centrĂ© sur le dimanche et un cycle annuel centrĂ© sur PĂąques, auxquels on peut ajouter les fĂȘtes dont les dates ne sont dĂ©terminĂ©es ni par la semaine ni par la date de PĂąques mais par le Calendrier civil[4].
Le concile Vatican II a dĂ©crĂ©tĂ© que le jour dominical est « le jour de fĂȘte primordial [âŠ] le fondement et le noyau de toute lâannĂ©e liturgique[5]». Il a aussi dĂ©clarĂ© : « Chaque semaine, au jour quâelle a appelĂ© "jour du Seigneur", elle [l'Ăglise] fait mĂ©moire de la rĂ©surrection du Seigneur, quâelle cĂ©lĂšbre encore une fois par an, en mĂȘme temps que sa bienheureuse passion, par la grande solennitĂ© de PĂąques[6]».
Ces principes sont réaffirmés dans les normes universelles de l'année liturgique édictées aprÚs par le Saint-SiÚge[7].
Cycle annuel
Sous l'aspect annuel, le Calendrier liturgique romain est basé sur deux cycles[8] :
Cycle temporal
Dans le Calendrier liturgique romain, l'annĂ©e liturgique commence le premier dimanche de l'Avent et sâachĂšve avant les premiĂšres vĂȘpres du premier dimanche de l'Avent de l'annĂ©e civile suivante[9].
Le cycle temporal est organisé en différentes périodes appelées temps liturgiques[10] :
- du premier dimanche de l'Avent à la veille de Noël est le temps de l'Avent Tempus Adventus
- de la solennitĂ© de NoĂ«l au BaptĂȘme du Seigneur est le temps de NoĂ«l, Tempus Nativitatis
- du lundi qui suit le dimanche tombant aprĂšs le 6 janvier, et se poursuit jusquâau mardi avant le CarĂȘme, est le temps ordinaire, Tempus per annum[11]
- du mercredi des Cendres Ă (exclusivement) la messe In Cena Domini est le temps du CarĂȘme, Tempus Quadragesimae[12]
- de la messe In Cena Domini aux vĂȘpres du dimanche de PĂąques est le Triduum pascal, Triduum paschale Passionis et Resurrectionis Domini[13]
- du dimanche de la RĂ©surrection jusquâau dimanche de PentecĂŽte (50 jours) est le temps pascal, Tempus paschalis[14]
- du lundi aprĂšs le dimanche de PentecĂŽte jusqu'aux premiĂšres vĂȘpres du premier dimanche de l'Avent de l'annĂ©e civile suivante, exclusivement, est, de nouveau, le temps ordinaire, Tempus per annum[11]
Pendant chacun de ces temps, les lectures de la messe sont organisĂ©es en deux sĂ©ries, celle des dimanches et des fĂȘtes, qui comporte trois lectures, et celle de la semaine, qui en comprend deux[15].
La série des dimanches est répartie sur un cycle des trois années, marquées A, B et C. Chaque dimanche du temps ordinaire comporte trois séries de textes, suivant le principe de la lecture continue ou semi-continue (certains passages sont omis) des évangiles synoptiques : les années A l'évangile selon Matthieu, les années B l'évangile selon Marc et le chapitre 6 de l'évangile selon Jean, les années C l'évangile selon Luc. L'évangile selon Jean est lu pendant le temps pascal au cours des trois années. La premiÚre lecture, tirée de l'Ancien Testament, sauf au temps pascal, s'harmonise avec la lecture évangélique du jour. La deuxiÚme lecture est tirée de l'une des épßtres du Nouveau Testament ou de l'Apocalypse de Jean. Ces textes sont lus en semi-continu[15] - [8] - [9].
En semaine, pendant le temps ordinaire, les lectures Ă©vangĂ©liques sont disposĂ©es selon un cycle unique, qu'on reprend chaque annĂ©e alors que la premiĂšre lecture est rĂ©partie sur un cycle de deux ans, suivant les annĂ©es paires et impaires. TirĂ©e soit de l'Ancien soit du Nouveau Testament, elle est gĂ©nĂ©ralement lue selon le principe de la lecture semi-continue : un livre est lu de son dĂ©but Ă sa fin, en omettant certains passages ; puis un nouveau livre est commencĂ©. Les cycles de l'Avent, du temps de NoĂ«l et du Temps pascal, tant pour la premiĂšre lecture que pour la lecture Ă©vangĂ©lique, sont les mĂȘmes tous les ans. Au temps pascal, la premiĂšre lecture est tirĂ©e des Actes des ApĂŽtres et on lit l'Ă©vangile selon Jean[15].
Cycle sanctoral
Le cycle sanctoral du Calendrier romain gĂ©nĂ©ral indique les fĂȘtes des saints ainsi que les fĂȘtes et solennitĂ©s liĂ©es Ă la Vierge Marie et sont, en gĂ©nĂ©ral, des dates fixes[16]. La mĂ©moire obligatoire de la Vierge Marie, MĂšre de l'Ăglise le lundi aprĂšs la PentecĂŽte[17] - [18].
L'Ă©dition actuelle (2002) du Missel romain prĂ©voit l'annonce, aprĂšs la proclamation de l'Ăvangile dans la messe de l'Ăpiphanie, des dates des fĂȘtes mobiles de l'annĂ©e[19]. Une fĂȘte est dite mobile quand elle ne tombe pas Ă date fixe : câest le cas de toutes celles dĂ©pendant du cycle pascal (PĂąques, Ascension, PentecĂŽte, FĂȘte-Dieu)[20]. Elles dĂ©pendent de la date de PĂąques, fixĂ©e selon le comput ecclĂ©siastique au premier dimanche qui suit la premiĂšre pleine lune aprĂšs l'Ă©quinoxe de printemps.
On les distingue des fĂȘtes fixes du Calendrier liturgique romain, qui sont liĂ©es Ă des dates dĂ©terminĂ©es du Calendrier civil (actuellement le Calendrier grĂ©gorien du pape GrĂ©goire XIII).
ConformĂ©ment au dĂ©cret du concile Vatican II, le calendrier liturgique du rite romain distingue les fĂȘtes gĂ©nĂ©rales (qui doivent ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ©es dans le monde entier, et qui sont au nombre de 180 environ), des fĂȘtes dites particuliĂšres[21] - [16]. Le calendrier gĂ©nĂ©ral est pour lâusage de tout le rite romain, le particulier pour lâusage dâune Ăglise particuliĂšre ou dâune famille religieuse. Les calendriers particuliers, approuvĂ©s par le Saint-SiĂšge, contiennent des cĂ©lĂ©brations spĂ©cialement propres, par exemple d'un continent ou rĂ©gion gĂ©ographique, un pays, un diocĂšse, une Ăglise locale, une congrĂ©gation ou une famille religieuse, s'harmonisant dâune façon opportune avec le cycle gĂ©nĂ©ral[22] - [23].
Rang des célébrations
Le calendrier précise pour chaque célébration liturgique son rang selon le degré d'importance accordé par le rite romain à l'événement ou au saint qui est célébré[23] - [24] :
- les 18 solennitĂ©s, dont la cĂ©lĂ©bration commence la veille au soir avec les premiĂšres vĂȘpres et la formule de la messe comprend trois lectures, la rĂ©citation du Gloire Ă Dieu et du Credo, et des lectures et oraisons propres ;
- les 52 ou 53 dimanches, dont chacun est considĂ©rĂ© le premier jour de la semaine, le jour du Seigneur et la fĂȘte primordiale : chaque dimanche est une petite PĂąques soulignant que le mystĂšre pascal est le point central de toute l'annĂ©e liturgique, et commence la veille au soir, et la messe est Ă trois lectures, avec Gloire Ă Dieu et Credo sont priĂ©s, et avec des lectures et des oraisons propres ;
- les 27 fĂȘtes, cĂ©lĂ©brĂ©es dans un jour naturel sans premiĂšres vĂȘpres (Ă moins que certaines fĂȘtes de notre Seigneur ne tombent le dimanche) et dont la messe a gĂ©nĂ©ralement deux lectures (trois dans une fĂȘte de notre Seigneur qui tombe le dimanche) communes ou propres et des oraisons propres et avecGloire Ă Dieu ;
- les mĂ©moires, dont la cĂ©lĂ©bration de certaines, qualifiĂ©es comme facultatives, n'est pas obligatoire, Les lectures du jour peuvent ĂȘtre utilisĂ©es, Ă moins qu'il n'y ait des lectures spĂ©cifiques qui mentionnent le saint cĂ©lĂ©brĂ©[25].
Le rang de chaque cĂ©lĂ©bration permet de dĂ©terminer laquelle doit ĂȘtre retenue pour la liturgie, par exemple dans le cas oĂč une fĂȘte mobile et une fĂȘte fixe tombent le mĂȘme jour[26].
CritĂšres de formation du sanctoral
Le commentaire qui accompagnait la publication de l'actuel Calendrier liturgique romain indique que le sanctoral du calendrier a été formé sur la base de cinq critÚres[2] - [27] :
- RĂ©duction du nombre de fĂȘtes de dĂ©votions nĂ©es et promues dans une rĂ©gion ou une famille religieuse particuliĂšre, qui ensuite a demandĂ© l'institution d'une relative fĂȘte liturgique. Le pape Pie V dans son BrĂ©viaire (1568) et son Missel romain (1560) n'en a retenue que deux : FĂȘte-Dieu (1264) et FĂȘte de la Sainte TrinitĂ© (1334). Entre 1683 et 1955 on en a introduit 16 autres. Dans l'actuel calendrier on peut classer comme fĂȘtes de dĂ©votion quatre solennitĂ©s du Seigneur (Sainte TrinitĂ©, Eucharistie, SacrĂ© CĆur, RoyautĂ©), une fĂȘte (Sainte Famille) et une mĂ©moire facultative (Saint Nom de JĂ©sus). Ăvidemment, il y a de trĂšs nombreuses fĂȘtes du Seigneur non classĂ©es comme fĂȘtes de dĂ©votion, par exemple, les fĂȘtes qui cĂ©lĂšbrent des Ă©vĂ©nements de la vie du Christ, et chaque dimanche, comme son nom l'indique, est une fĂȘte du Seigneur. De Marie â sans compter les fĂȘtes d'Ă©vĂ©nements (« mystĂšres ») de sa vie (conception immaculĂ©e, nativitĂ©, visitation, assomption) â le calendrier cĂ©lĂšbre comme solennitĂ© sa maternitĂ©, comme mĂ©moires obligatoires sa royautĂ©, ses douleurs, le rosaire, sa prĂ©sentation, et comme mĂ©moires facultatives Notre-Dame de Lourdes, Notre-Dame de FĂĄtima, son cĆur immaculĂ©, son nom, Notre-Dame du Mont-Carmel, la dĂ©dication de la Basilique Sainte-Marie-Majeure, Notre-Dame de Guadalupe. Il y a aussi une fĂȘte de dĂ©votion de Saint Joseph le travailleur (mĂ©moire facultative).
- Examen critique des hagiographies traditionnelles de certains saints. On a donc exclu certains à propos desquels il y a de graves difficultés historiques, mais néanmoins on a conservé la mention de Sainte Cécile de Rome à cause de la dévotion populaire. Parmi les martyrs romains qui ont certainement existé mais dont on ne sait rien d'autre que le nom et le lieu et la date anniversaire de l'inhumation, il fallait choisir qui omettre et qui garder. On a aussi retiré du calendrier les noms de supposés saints qui semblent plutÎt avoir été les propriétaires de bùtiments privés transformés en lieux de culte paléochrétien (les tituli ou domus ecclesiae). Ici aussi une exception a été faite pour Sainte Cécile.
- Choix des saints d'importance majeure. Alors que personne ne doute que des saints tels que les quatre grands docteurs de l'Ăglise doivent ĂȘtre inclus dans le sanctoral, le choix des autres a Ă©tĂ© influencĂ© par des facteurs tels que l'Ă©tablissement d'un Ă©quilibre chronologique et gĂ©ographique, laissant la cĂ©lĂ©bration des autres Ă des calendriers particuliers, plutĂŽt qu'au Calendrier romain gĂ©nĂ©ral. Le nombre de papes et de martyrs non romains commĂ©morĂ©s a Ă©tĂ© diminuĂ©, gardant les martyrs antiques les plus cĂ©lĂšbres et ceux dont le culte est le plus populaire Ă Rome et ailleurs et les martyrs mĂ©diĂ©vaux et modernes les plus connus. Parmi les saints non martyrs, 33 mentionnĂ©s dans l'Ă©dition du sanctoral immĂ©diatement prĂ©cĂ©dente ne se trouvent plus dans le Calendrier liturgique romain.
- RĂ©vision des jours de cĂ©lĂ©bration, pour faire correspondre, selon les possibilitĂ©s, le jour de fĂȘte au jour de naissance au ciel. Si ceci n'Ă©tait pas possible, le jour immĂ©diatement avant ou aprĂšs a Ă©tĂ© choisi ; ou le jour de la translation du corps, de la dĂ©dicace d'une Ă©glise Ă©levĂ©e en son honneur, ou de son ordination ; ou la date Ă laquelle un saint oriental est cĂ©lĂ©brĂ© dans l'Ăglise Ă laquelle il appartenait.
- « Universalisation » du calendrier par l'inscription de saints des divers continents et régions, parmi lesquels les martyrs du Japon, d'Amérique du Nord, d'Ouganda, du Vietnam, de Chine.
Histoire
Rite pré-tridentin
Depuis les premiers siĂšcles chrĂ©tiens, le Calendrier de l'Ăglise romaine cĂ©lĂ©brait le dimanche et les principales fĂȘtes telles que PĂąques et aussi, chaque annĂ©e le dies natalis de ses martyrs. Ă la fin du IVe siĂšcle, le Calendrier romain Ă©tait presque complet. La documentation sur la dĂ©votion aux martyrs Ă Rome, telle qu'elle apparaĂźt dans les calendriers romains de la fin du Moyen Ăge au XIIIe siĂšcle, continue de tĂ©moigner qu'Ă Rome seules les fĂȘtes romaines authentiques Ă©taient admises et que normalement chaque Ăglise cĂ©lĂ©brait les fĂȘtes de ses propres martyrs. Un Ordo Romanus du XIIe siĂšcle nous apprend que le pape se rendait rĂ©guliĂšrement aux stationes dont la liste a Ă©tĂ© conservĂ©e encore dans les Ă©ditions tridentines du Missel romain[28].
Pie V
Avant la publication par le Saint-SiÚge en 1570 du premier Missel romain officiel, de nombreuses éditions de ce que l'on signalait comme étant la forme de la messe à la Curie romaine étaient imprimées sur initiative privée. La premiÚre édition connue portant le titre Missale romanum a été réalisée à Milan en 1474, c'est-à -dire à peine 24 ans aprÚs l'invention de l'imprimerie et 4 ans aprÚs le premier livre imprimé en France. La production de ce livre a inspiré plusieurs autres éditeurs à publier leurs propres éditions. De 1474 à la publication de 1570 prÚs d'un siÚcle s'est écoulé. Durant cette période au moins 14 autres éditions paraissent : dix à Venise, trois à Paris et une à Lyon[29]. Faute d'un organe de contrÎle sur leur qualité, ils ont subi plusieurs modifications de la part des éditeurs, dont certaines ne sont pas négligeables[30].
Dans sa rĂ©vision en 1570 du rite romain de la messe, le pape Pie V a rĂ©duit fortement Ă 158 le nombre de saints vĂ©nĂ©rĂ©s dans le Calendrier liturgique. On note l'absence de beaucoup de saints d'Ă©poques antĂ©rieures, par exemple, Patrick d'Irlande, François de Paule, Bernardin de Sienne, Antoine de Padoue, Anne, Joachim, Ălisabeth de Hongrie. Cette rĂ©duction a Ă©tĂ© rapidement annulĂ©e : au dĂ©but du XXe siĂšcle, le Calendrier gĂ©nĂ©ral contenait 230 fĂȘtes et certains calendriers diocĂ©sains ajoutaient plus de 100 fĂȘtes propres[31] - [32]. Dans le calendrier de Pie V, la fĂȘte du 8 dĂ©cembre s'appelle « Conception de la bienheureuse Marie », sans l'adjectif « ImmaculĂ©e »[32]. Elle a repris l'adjectif « ImmaculĂ©e » en 1854[33]. Pie V n'a retenu que deux fĂȘtes de dĂ©votion : FĂȘte-Dieu (1264) et FĂȘte de la Sainte TrinitĂ© (1334)[34].
XXe siĂšcle
Les principales modifications du Calendrier général romain qui ont eu lieu au XXe siÚcle sont les suivantes :
- 1951 : restauration dans le calendrier de la Vigile pascale par Pie XII[35] ;
- 1955 : restauration dans le calendrier de la totalité de la semaine sainte par Pie XII[35] ;
- 1960 : institution d'un nouveau calendrier général (Calendrier romain général (1960)) ;
- 1969 : institution d'un nouveau calendrier général, qui avec de successives modifications mineures est le Calendrier liturgique romain actuel.
Notes et références
- (la) « Le motu proprio Mysterii paschalis », sur Vatican (consulté le )
- José Antonio Goñi Beåsoain de Paulorena, Origine ed evoluzione del Calendario romano. dans Rivista Liturgica, 102 (2015), pp. 417-451
- (en) « Liturgical Year and Calendar | USCCB », sur www.usccb.org (consulté le )
- Marcel Metzger, « AnnĂ©e, ou bien cycle liturgique », Revue des sciences religieuses, t. 67 fascicule 1,â , p. 85-96 (DOI 10.3406/rscir.1993.3216, lire en ligne)
- Sacrosanctum Concilium. 106
- Sacrosanctum Concilium, 102
- Normes universelles de l'AnnĂ©e liturgique et du Calendrier, 1â4, sur le site cĂ©rĂ©moniaire.net
- « Le Calendrier liturgique », sur oise.catholique.fr
- « Missale Romanum 2002 - NormÊ Universales de Anno Liturgico et de Calendario », sur ceremoniaire.net
- Normes universelles de l'AnnĂ©e liturgique et du Calendrier, 17â44, sur le site cĂ©rĂ©moniaire.net
- Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 44
- Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 28
- Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 19
- Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 22
- « Questions about the Scriptures used during Mass », sur www.usccb.org (consulté le )
- « Guide des fĂȘtes chrĂ©tiennes », sur hozana.org
- Le décret Laetitia plena en français.
- «Marie MĂšre de l'Ăglise» cĂ©lĂ©brĂ©e le lundi aprĂšs la PentecĂŽte sur VaticanNews.Va
- L'Annonce des FĂȘtes mobiles le jour de l'Ăpiphanie, sur le site cĂ©rĂ©moniaire.net
- Le temps en liturgie, sur le site de l'Insitute de recherche et d'histoire des textes
- Le Calendrier romain gĂ©nĂ©ral sur le site la fĂȘte du jour
- 52 Le calendrier et les cĂ©lĂ©brations qui doivent y ĂȘtre inscrites, sur le site cĂ©rĂ©moniaire.net
- « FĂȘtes, solennitĂ©s, mĂ©moires ⊠les degrĂ©s des cĂ©lĂ©brations liturgiques », sur liturgie.catholique.fr
- « SolennitĂ©s, fĂȘtes, mĂ©moires : les diffĂ©rentes cĂ©lĂ©brations liturgiques dans l'Ăglise catholique », sur hozana.org
- (en) Jennifer Gregory Miller, « Prioritizing the Liturgical Calendar: Part 1.5, Keeping Track of the Feasts », sur Catholic Culture, (consulté le )
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- (it) Manlio Sodi et Achille Maria Triacca, Missale Romanum : Editio Princeps (1570), Libreria Editrice Vaticana, , p. XV
- (it) Ćukasz CeliĆski, « Per una rilettura della storia della formazione e dello sviluppo del Messale Romano. Il caso del Messale di Clemente V. », Ecclesia Orans, no 33,â , p. 383-40415 (lire en ligne)
- (en) Adolf Adam, The Liturgical Year: Its History & Its Meaning After the Reform of the Liturgy, Liturgical Press, (lire en ligne), p. 209]
- (en) Paul Cavendish, « The Tridentine Mass » (consulté le )
- (en) John Dowden, The Church Year and Kalendar, Cambridge University Press, (lire en ligne), p. 52]
- (la) Calendarium Romanum ex decreto sacrosancti oecumenici Concilii Vaticani II instauratum auctoritate Pauli PP. VI promulgatum, Typis Polyglottis Vaticanis, , p. 65â75
- « La réforme liturgique de la Vigile pascale et de la Semaine sainte sous Pie XII », sur liturgie.catholique.fr
Voir aussi
Bibliographie complémentaire
- Odo Casel, La fĂȘte de PĂąques dans l'Ăglise des PĂšres, Paris, Cerf, coll. « Lex orandi » (no 37), .
- Jean Chelini, Le Calendrier chrétien : cadre de notre identité culturelle, Paris, Picard, .
- HĂ©lĂšne BĂ©nichon, FĂȘtes et calendriers. Les rythmes du temps, Paris, .
- Arnaud Join-Lambert, « Quel sens pour les fĂȘtes chrĂ©tiennes ? », Ătudes, no 4123,â , p. 355-364.
- Pierre Jounel, Le dimanche, Paris, coll. « Lâhorizon du croyant » (no 12), .
- Pierre Jounel, Le renouveau du culte des Saints dans la liturgie romaine, Roma, Bibl. Ephemerides Liturgicae, coll. « Collectio Subsidia » (no 36), .
- Robert Le Gall, « AnnĂ©e liturgique et vie spirituelle », La Maison Dieu, no 195,â , p. 197-210
- Thomas J. Talley, Les origines de l'année liturgique, Paris, Cerf, coll. « Liturgie » (no 1), .
- Jean-Baptiste Lebigue, « Rits et couleurs. Acronymie et chromonomie des calendriers liturgiques au Moyen Ăge », dans Claudia Rabel (dir.), Le manuscrit enluminĂ©. Ătudes rĂ©unies en hommage Ă Patricia Stirnemann, Paris, Le LĂ©opard d'or, coll. « Cahiers du LĂ©opard d'or » (no 16), , p. 39-73.
Articles connexes
- Calendrier chrétien
- Calendrier liturgique orthodoxe
- Calendrier romain tridentin
- Comput (calcul des dates des fĂȘtes mobiles)
- Calcul de la date de PĂąques
- Couleur liturgique
- Martyrologe romain