AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Brissac (HĂ©rault)

Brissac [bʁi.sak] (en occitan, Briçac [bri.'sak]) est une commune française situĂ©e dans le nord-est du dĂ©partement de l'HĂ©rault, en rĂ©gion Occitanie.

Brissac
Brissac (HĂ©rault)
Le Pont de Saint-Étienne d'Issensac.
Blason de Brissac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement HĂ©rault
Arrondissement LodĂšve
Intercommunalité Communauté de communes des Cévennes gangeoises et suménoises
Maire
Mandat
Jean Claude Rodriguez
2020-2026
Code postal 34190
Code commune 34042
DĂ©mographie
Gentilé Brissagols
Population
municipale
601 hab. (2020 en diminution de 3,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 14 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 52â€Č 47″ nord, 3° 42â€Č 09″ est
Altitude 145 m
Min. 99 m
Max. 772 m
Superficie 44,13 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de LodĂšve
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Brissac
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Brissac
GĂ©olocalisation sur la carte : HĂ©rault
Voir sur la carte topographique de l'HĂ©rault
Brissac
GĂ©olocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Brissac
Liens
Site web https://brissac34.fr/fr/

    ExposĂ©e Ă  un climat mĂ©diterranĂ©en, elle est drainĂ©e par l'HĂ©rault, la BuĂšges, le Lamalou et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « gorges de l'HĂ©rault » et les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais »), un espace protĂ©gĂ© (le « ravin des Arcs ») et sept zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Brissac est une commune rurale qui compte 601 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelĂ©s les Brissagols ou Brissagoles.

    GĂ©ographie

    Carte de localisation.

    Localisation

    Brissac est située dans la vallée de l'AvÚze (flumine acquae d'Aveza en 1271), un petit affluent de l'Hérault.

    Le nord du territoire de la commune est traversé par le bourrelet montagneux formé par l'extrémité nord-est du massif de la Séranne[1].

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs[3].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 17,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 257 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 7,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 3,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Moules-et-Baucels », sur la commune de MoulĂšs-et-Baucels, mise en service en 1985[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 113,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Montpellier-AĂ©roport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et Ă  38 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13], Ă  15,1 °C pour 1981-2010[14], puis Ă  15,5 °C pour 1991-2020[15].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[16] - [17].

    Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « ravin des Arcs », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 263,4 ha[18].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[20] :

    • les « gorges de l'HĂ©rault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forĂȘt de Pins de Salzman et chĂȘnaie verte) et rupicoles sont bien conservĂ©s. La pinĂšde de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-DĂ©sert est une souche pure et classĂ©e comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forĂȘt dĂ©veloppĂ©e sur des roches dolomitiques[21]

    et un au titre de la directive oiseaux[20] :

    • les « hautes garrigues du MontpelliĂ©rais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs rĂ©gionaux[22].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[23] :

    • le « ravin des Arcs » (596 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[24] ;
    • la « riviĂšre de l' HĂ©rault de Saint-Bauzille-de-Putois Ă  l'embouchure du Lamalou » (163 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[25],
    • les « sources de Brissac » (13 ha)[26] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 6] - [23] :

    • le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la SĂ©ranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'HĂ©rault[27] ;
    • le « massif des gorges de l'HĂ©rault et de la BuĂšge » (21 342 ha), couvrant 17 communes du dĂ©partement[28] ;
    • le « massif du bois de Monnier » (5 858 ha), couvrant 8 communes dont trois dans le Gard et cinq dans l'HĂ©rault[29];
    • le « plateau du Taurac » (2 196 ha), couvrant 8 communes dont une dans le Gard et sept dans l'HĂ©rault[30].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Brissac.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Brissac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [31] - [I 1] - [32].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (89 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (89,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (51,6 %), forĂȘts (37,4 %), cultures permanentes (6,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,7 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Brissac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses, et Ă  un risque particulier : le risque de radon[34]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[35].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'HĂ©rault, la BuĂšges et le Lamalou. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1994, 1995, 1997, 2008, 2011, 2014, 2015 et 2020[36] - [34].

    Brissac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© approuvĂ© en juin 2013 et court jusqu'en 2022, oĂč il doit ĂȘtre renouvelĂ©. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par deux arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et s’appliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă  moins de 200 mĂštres de celles-ci. L’arrĂȘtĂ© du rĂ©glemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 9] - [37].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Brissac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 44,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59,3 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 309 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 289 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 94 %, Ă  comparer aux 85 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[38] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[39].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes ou la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[40].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Brissac est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[41].

    Toponymie

    La commune a été connue sous les variantes : ecclesie S. Nazarii de Brissiaco (1073), apud Breisag (1119), de castro Breixach, domino de Breixac (1122), castello de Brisaco (avant 1129), castrum de Breissacho (1189), castrum de Breissac (1217), parrochia S. Nazarii de Breissaco (1218), de Brixaco (1264), apud Brissac (1271), de Brissiaco (1275), 'apud Brissiacum (1283), Brissac (1526).

    Domaine gallo-romain, gentilice latin ou gaulois Briccius' + suffixe -acum. Le i bref explique les graphies en -ei[42].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 Jean-Pierre Terme
    mars 2008 En cours Jean-Claude Rodriguez PCF Retraité Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[44].

    En 2020, la commune comptait 601 habitants[Note 10], en diminution de 3,22 % par rapport Ă  2014 (HĂ©rault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    731706779875860898949938953
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    901885883865830832833793779
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    807740741636668572542449420
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    416370305285365442555596615
    2014 2019 2020 - - - - - -
    621605601------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee Ă  partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 253 mĂ©nages fiscaux[Note 11], regroupant 583 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 21 290 â‚Ź[I 4] (20 330 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 5]).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]10,6 %10,2 %11,9 %
    DĂ©partement[I 7]10,1 %11,9 %12 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  382 personnes, parmi lesquelles on compte 78,4 % d'actifs (66,5 % ayant un emploi et 11,9 % de chĂŽmeurs) et 21,6 % d'inactifs[Note 12] - [I 6]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement, mais supĂ©rieur Ă  celui de la France, alors qu'en 2008 il Ă©tait supĂ©rieur Ă  celui du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 3] - [I 9]. Elle compte 116 emplois en 2018, contre 138 en 2013 et 106 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 258, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,9 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 59,3 %[I 10].

    Sur ces 258 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 50 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 88,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 3,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Secteurs d'activités

    61 établissements[Note 13] sont implantés à Brissac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14] - [I 13].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble61
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    58,2 %(6,7 %)
    Construction711,5 %(14,1 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    1626,2 %(28 %)
    Activités immobiliÚres58,2 %(5,3 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    1118 %(17,1 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    1219,7 %(14,2 %)
    Autres activités de services58,2 %(8,1 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 26,2 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (16 sur les 61 entreprises implantĂ©es Ă  Brissac), contre 28 % au niveau dĂ©partemental[I 14].

    Entreprises et commerces

    L'entreprise ayant son siÚge social sur le territoire communal qui génÚre le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[47] :

    • Amd Holding, activitĂ©s des sociĂ©tĂ©s holding (185 k€)

    Agriculture

    La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations35291911
    SAU[Note 16] (ha)500911326538

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 35 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] Ă  29 en 2000 puis Ă  19 en 2010[50] et enfin Ă  11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 69 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 67 % de ses exploitations[51] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a quant Ă  elle augmentĂ©, passant de 500 ha en 1988 Ă  538 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 14 Ă  49 ha[50].

    Culture locale et patrimoine

    Le chĂąteau

    Le chĂąteau de Brissac (tours Bermonde) date du dĂ©but du XIe siĂšcle. Il appartient aux seigneurs de Ganges pour moitiĂ©, et Ă  la maison de Roquefeuil pour l’autre. Il est reconstruit presque entiĂšrement dans la premiĂšre moitiĂ© du XVIe siĂšcle. En 1819, Emmanuel de Roquefeuil, vend le chĂąteau Ă  Marie-Anne Bougette, Ă©pouse d'un nĂ©gociant de Bordeaux, moyennant 15 000 francs.

    L'Ă©glise paroissiale Saint-Nazaire-et-Saint-Celse

    L'église Saint-Nazaire-et-Saint-Celse est une église romane dédiée à saint Nazaire et saint Celse. Elle est mentionnée pour la premiÚre fois en 1123 et était le siÚge d'un prieuré dépendant de l'abbaye d'Aniane. Sa construction remonte au XIIe siÚcle[52].

    L'édifice a été classé au titre des monuments historiques en 1907[53].

    Le sanctuaire Notre-Dame-du-Suc

    Le sanctuaire Notre Dame du Suc se situe à l'entrée de la vallée de la BuÚges sur les pentes de la Séranne, au sud-ouest du village[54].

    La chapelle Saint-Étienne d'Issensac

    Au sud du village, dominant l'HĂ©rault, le long duquel on peut apercevoir deux chĂąteaux trĂšs originaux, dont une ancienne papeterie, Ă  l'architecture mĂȘlant pierres et briques avec tourelles d'angle formant sortes d'Ă©chauguettes, se dresse la chapelle Saint-Étienne d'Issensac, aujourd'hui dĂ©saffectĂ©e. Avant la RĂ©volution, elle Ă©tait l'Ă©glise paroissiale d'une communautĂ© d'environ 70 habitants[55]. Il s'agit d'un Ă©difice roman au plan trĂšs simple : nef unique de deux travĂ©es terminĂ©e par une abside semi-circulaire[56]. L'appareillage des pierres calcaires est particuliĂšrement soignĂ©[57]. L'Ă©difice a Ă©tĂ© remaniĂ© par la suite : les arcatures aveugles de l'abside ont pratiquement disparues, et la voĂ»te de la nef date vraisemblablement du XVIIe siĂšcle[56]. En contrebas de la chapelle se dresse le pont de Saint-Étienne d'Issensac, d'origine mĂ©diĂ©vale, qui franchit l'HĂ©rault. Datable du XIVe siĂšcle, il a Ă©tĂ© fortement restaurĂ© et il subsiste vraisemblablement peu d'Ă©lĂ©ments de l'ouvrage d'origine[55]. L'Ă©difice a Ă©tĂ© classĂ© au titre des monuments historiques en 1945[58].

    • Chapelle de la VernĂšde.
    • Le pont et la chapelle d'Issensac
      Le pont et la chapelle d'Issensac
    • Le Pont de Saint-Étienne d'Issensac
      Le Pont de Saint-Étienne d'Issensac
    • La chapelle Saint-Étienne, vue du nord
      La chapelle Saint-Étienne, vue du nord
    • La chapelle Saint-Étienne, façade ouest
      La chapelle Saint-Étienne, façade ouest
    • La chapelle Saint-Étienne, chevet
      La chapelle Saint-Étienne, chevet
    • La chapelle romane d'Issensac (vue partielle)
      La chapelle romane d'Issensac (vue partielle)
    • Plan du pont de Saint Etienne d'Issensac (1781-1790)
      Plan du pont de Saint Etienne d'Issensac (1781-1790)

    HĂ©raldique

    Blason de Brissac Blason
    De gueules à la fasce ondée d'argent, accompagnée en chef d'un lion passant d'or et en pointe de trois besants d'argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[19].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mĂštres de part et d’autre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    11. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    13. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    14. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    15. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    16. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    17. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Brissac » (consulté le ).
    5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Brissac » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
    8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Brissac » (consulté le ).
    11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Brissac » (consulté le ).
    14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Daniel Caumont, « Montagne de la Seranne », sur st-guilhem-le-desert.com (consulté le ).
    2. Carte IGN sous GĂ©oportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky (Annexe 2 : Tableau communal), « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Moules-et-Baucels - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Brissac et MoulÚs-et-Baucels », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Moules-et-Baucels - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
    12. « Orthodromie entre Brissac et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    17. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Brissac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « site Natura 2000 FR9101388 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Brissac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « ravin des Arcs » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF la « riviÚre de l' Hérault de Saint-Bauzille-de-Putois à l'embouchure du Lamalou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « sources de Brissac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la BuÚge » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « massif du bois de Monnier » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF le « plateau du Taurac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    34. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Brissac », sur Géorisques (consulté le )
    35. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    36. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    37. « Les risques majeurs dans l'HĂ©rault », sur www.herault.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    39. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Brissac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    40. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    41. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    42. Frank R. Hamlin et abbĂ© AndrĂ© Cabrol, Les noms de lieux du dĂ©partement de l'HĂ©rault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 59
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    47. « Entreprises à Brissac », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
    48. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    49. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    50. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Brissac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    51. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
    52. Jacques Lugand, Languedoc Roman, p. 27-28.
    53. « Eglise Saint-Nazaire et Saint-Celse », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    54. Site du Sanctuaire Notre-Dame-de-Suc, « Page d'accueil ».
    55. [PDF]Conseil Général de l'Hérault, « Le Pont de Saint-Etienne-d'Issensac (Brissac) », sur www.cg34.fr.
    56. Jacques Lugand, Languedoc Roman, p. 28.
    57. Pierre ClĂ©ment, Églises romanes oubliĂ©es du bas Languedoc, p. 332.
    58. « Chapelle Saint-Etienne d'Issensac », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • [PDF] Conseil GĂ©nĂ©ral de l'HĂ©rault, « Le Pont de Saint-Etienne-d'Issensac (Brissac) », sur www.cg34.fr
    • R. Bastide, « L'Altier ChĂąteau mĂ©diĂ©val de Brissac, prĂšs de Ganges en voie de reconstitution », Causses et CĂ©vennes : revue du Club cĂ©venol, Club cĂ©venol, no 3,‎ , p. 202-205
    • Pierre ClĂ©ment, Églises romanes oubliĂ©es du bas Languedoc, Presses du Languedoc, (ISBN 2-85998-118-7), p. 332
    • Francis Delmas, Alain Lignon. Brissac par la carte postale ancienne, Ă©diteur "Imprimerie des CĂ©vennes " Ă  SumĂšne-30-
    • Francis Delmas et Alain Lignon, Brissac : notre village dans les annĂ©es 1830-1930, S.l., avl-diffusion, , 52 p.
    • DieudonnĂ© Giraut, Brissac, coll. « MĂ©moire d'Oc » (no 90),
    • Sylvie L'hostis, « A Brissac, le moulin neuf », Les Moulins de l'HĂ©rault, nos 26-29,‎ , p. 28-31
    • Jacques Lugand, Jean Nougaret et Robert Saint-Jean, Languedoc Roman, Saint-LĂ©ger-Vauban, Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 43), , 419 p. (ISBN 2-7369-0017-0), p. 27-28
    • Si Brissac m'Ă©tait contĂ©, dĂ©pliant patrimoine, Office de Tourisme CĂ©vennes MĂ©diterranĂ©e.
    • Pierre Ranquie et J.-B. Poitevin, L'abbĂ© Pierre RanquiĂ©, curĂ© de Brissac : une Ăąme de prĂȘtre, NĂźmes, Impr. gĂ©nĂ©rale, , 190 p.

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.