Bois-Guillaume
Bois-Guillaume est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.
Bois-Guillaume | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | Métropole Rouen Normandie | ||||
Maire Mandat |
Théo Pérez 2020-2026 |
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Code postal | 76230 | ||||
Code commune | 76108 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
14 378 hab. (2020) | ||||
Densité | 1 625 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 27′ 41″ nord, 1° 06′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 173 m |
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Superficie | 8,85 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Rouen (banlieue) |
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Aire d'attraction | Rouen (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bois-Guillaume (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Liens | |||||
Site web | ville-bois-guillaume.fr | ||||
Géographie
Situation
Bois-Guillaume se trouve sur les hauteurs de Rouen, à cinq minutes du centre-ville et de la gare de Rouen, et à proximité de la forêt Verte, rattachée à la commune d'Houppeville, via le hameau de la Bretèque.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 805,2 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 11 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].
Voies de communication et transports
Bois-Guillaume est desservie par trois lignes de bus régulières : le F1, le 11 et le 40, les trois lignes allant à Rouen. D'autres lignes comme la 96 ou la 321 desservent les établissements scolaires. Bois-Guillaume est traversée par une voie rapide qui descend à Rouen et passe par le tunnel de la Grand'Mare, et qui va vers Maromme dans l'autre sens.
Réseau ferroviaire
La gare la plus proche est la gare de Rouen-Rive-Droite, située à 3 kilomètres du centre de la commune et à 600 mètres de la limite communale avec Rouen.
Transports en commun
Trois lignes de bus du réseau Astuce desservent Bois-Guillaume : F1, 11 et 40 dont une à haute fréquence (ligne F1). Ces lignes permettent de rejoindre le centre-ville de Rouen ainsi que les autres communes voisines telles Mont-Saint-Aignan, Isneauville et Le Grand-Quevilly.
Le métro de Rouen ne dessert pas la commune de Bois-Guillaume, mais deux de ses stations sont situées à proximité : Gare-Rue Verte et Beauvoisine.
Urbanisme
Typologie
Bois-Guillaume est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (68,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (64,6 %), terres arables (24,2 %), prairies (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,9 %), forêts (1,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Bosco Willelmi en 1180[24].
Bois-Guillaume est la forme francisée de Bosc-Will[i]ame, forme normande (Bosc-Guérard a par contre conservé son phonétisme normand, la forme française étant Bois-Gérard).
La référence à Guillaume le Conquérant, qui aurait apprécié la chasse dans les bois alentour, et à sa mère, Arlette de Falaise, qui y aurait fait bâtir une maison de complaisance en 1040, ne repose sur aucune preuve sérieuse[24].
Histoire
Antiquité
Bois-Guillaume était située sur le territoire de la tribu gauloise des Véliocasses. Le site était sans doute habité à l'époque gallo-romaine, puisqu’il y fut trouvé des monnaies de bronze et or, et des monnaies d’or et d’argent romaines. Deux voies romaines traversaient la commune : Rouen-Dieppe par le chemin de Clères et le chemin de la Bretèque et Rouen-Amiens par l'actuelle route de Neufchâtel[25].
Moyen Âge
Les seigneurs de Bois-Guillaume figurent dans l’histoire. D’abord lors de la première croisade en 1096. Un Geoffroy de Bois-Guillaume est mentionné dans un procès au Parlement de Paris en 1259[26]. Lors de la guerre de Cent Ans, Mathieu de Bois-Guillaume, écuyer, était l’un des compagnons de Du Guesclin.
Un lieu de culte existait déjà au XIIIe siècle, mais il fut détruit par les Anglais qui donnèrent Bois-Guillaume à Guy Le Bouteiller qui s'était résolu à leur livrer Rouen en 1419.
Temps modernes
Les bois qui avaient donné leur nom au village sont progressivement rasés jusqu'à la limite des communes voisines, comme le montre la carte de Cassini du XVIIIe siècle, où l'on voit déjà la forêt dans ses limites actuelles.
L’église paroissiale de la Sainte-Trinité fut construite à la fin du XVe siècle sur l'emplacement qu'elle occupe actuellement.
Révolution française et Empire
La loi du 14 décembre 1789 crée la commune de Bois-Guillaume dans les limites des actuelles communes de Bois-Guillaume et Bihorel. C'est à l'époque une commune rurale dévolue à l'agriculture et à l'élevage.
Époque contemporaine
Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, les parties de la commune situées à proximité de Rouen, dont le quartier de Bihorel, sont rattrapées progressivement par l'urbanisation.
La population augmente et l'église paroissiale devient trop petite. Des travaux sont menés de 1869 à 1871 pour l'agrandir et la désorienter.
Des tensions apparaissent entre les « urbains » et les « ruraux » et, en 1892, les habitants de Bihorel obtiennent la création d'une commune à part entière. Cette scission ampute la commune de Bois-Guillaume de 22 % de son territoire et 38 % de sa population.
Jusqu'au milieu du XXe siècle, l'activité économique de Bois-Guillaume reste très centrée sur l'agriculture. On y pratique l'élevage et la culture céréalière, activités toujours présentes mais à une échelle très réduite, ainsi que la culture maraîchère et fruitière. Une variété de pomme y a été inventée à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe siècle que l'on appelle la transparente de Bois-Guillaume. Les fraises de Bois-Guillaume étaient paraît-il exportées jusqu'en Angleterre. La présence de vignobles sur les pentes de Bois-Guillaume est attestée du début du XVIe siècle jusqu'à la fin du XIXe siècle.
En 2010, les municipalités de Bois-Guillaume et Bihorel engagent un rapprochement en vue d'une fusion, afin de revenir à la commune d'avant 1892. Ce projet provoque des réactions négatives d'une partie de la population des deux communes. Une consultation des habitants est réalisée le 26 juin 2011. 26,8 % des Bois-Guillaumais et 44,7 % des Bihorelais participent au scrutin. Le « non » à la fusion l'emporte dans les deux communes, avec 59 % à Bois-Guillaume et 66 % à Bihorel.
Le maire de Bois-Guillaume, Gilbert Renard, estime alors que « les opposants au projet se sont plus mobilisés que les partisans du oui lors de la consultation. »[27]. Le 4 juillet 2011, le conseil municipal vote la fusion des deux communes sous l'entité de la commune nouvelle de Bois-Guillaume-Bihorel, effective au .
La création de cette commune a été invalidée par le tribunal administratif de Rouen[28], décision contre laquelle ni la préfecture[29] ni la municipalité n'ont fait appel[30] - [31]. Les deux communes sont donc recréées le 1er janvier 2014[32].
Politique et administration
En 2010, la commune de Bois-Guillaume a été récompensée par le label « Ville Internet @@ »[33].
Liste des maires
Politique locale
La commune de Bois-Guillaume est le chef-lieu du canton de Bois-Guillaume, représenté par les conseillers départementaux Nathalie Lecordier (DVD), adjointe au maire de Bihorel, et Pascal Martin (UDI), sénateur et ancien président du conseil départemental. Le canton de Bois-Guillaume est intégré à la deuxième circonscription de la Seine-Maritime représentée par la députée Annie Vidal (LREM).
Jumelages
- Uelzen (Allemagne) ;
- Torgiano (Italie) ;
- Kegworth (Royaume-Uni), voir Kegworth (en) ;
- Vilaplana (Espagne) ;
- Rouko (Burkina Faso) ;
- Tikare (Burkina Faso).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[39] - [Note 8].
En 2020, la commune comptait 14 378 habitants[Note 9], en augmentation de 9,63 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Rouen.
Primaire | Collèges | Lycées |
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Santé
- L'hôpital de Bois-Guillaume est l'un des établissements de soins du centre hospitalier universitaire de Rouen.
- Clinique du Cèdre.
- Clinique Saint-Antoine.
- Croix-Rouge française : Hôpital de Bois-Guillaume et Institut de formation.
Sports
Bois-Guillaume héberge plusieurs clubs d'équitation, un club de football (FUSC Bois-Guillaume), un club de tennis, de volley-ball, de tennis de table, de badminton, de judo, d'aikibudo et un terrain d'entraînement au golf.
Médias
- En 2010, la commune a été récompensée par le label « Ville Internet @@ ».
- Le quotidien Paris Normandie et l'hebdomadaire Liberté-Dimanche relatent les informations locales.
- La commune est située dans le bassin d'émission de la chaîne de télévision France 3 Normandie ainsi que La Chaîne normande.
Cultes
- L'église de la Sainte-Trinité de Bois-Guillaume est le siège de la paroisse catholique de Saint-Pierre et Saint-Paul de Bois-Guillaume Forêt Verte, qui regroupe, en plus de Bois-Guillaume, les communes d'Isneauville, Quincampoix, Saint-André-sur-Cailly.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 43 419 €, ce qui plaçait Bois-Guillaume au 1 207e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[42].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église de la Sainte-Trinité (fin XVe siècle). Son chœur a changé d'orientation au XIXe siècle[43]. Une partie importante de l'édifice d'origine subsiste, notamment l’ancienne nef et la tour-lanterne. Les vitraux du maître verrier Pierre-Jules Boulanger datent de 1871. Il existe un lien historique avec les chartreux d'Aubevoye (Eure).
- Chapelle du Carmel : ancienne chapelle de la Purification (fin XIXe) du monastère des carmélites servant aujourd’hui aux manifestations culturelles. Le monastère a été détruit en 1983. On y trouvait un artisanat d’hosties, de livres et d’images.
- Mairie, construite en 1886 par Louis Loisel.
Personnalités liées à la commune
- Eugène Noël (1816-1899), poète.
- François Depeaux (1853-1920), industriel et collectionneur.
- Robert Antoine Pinchon (1886-1943), peintre.
- Richard Dufour (1888-1959), sculpteur, y a vécu.
- Bernard Pluchet, né le 1er janvier 1903 au Coudray-Montceaux et mort le 8 septembre 1981 à Bois-Guillaume, a été député de l'Eure de 1951 à 1956[44]. Il est un descendant de Vincent Charlemagne Pluchet.
- Georges Breuil (1904-1997), peintre, y vécut.
- Gaston Sébire (1920-2001), peintre, y vécut de 1942 à 1957.
- Jacques Natanson (1923-2016), professeur, philosophe, pédagogue, syndicaliste, a vécu à Bois-Guillaume de 1966 à sa mort en 2016.
- Jacques Rouland (1929-2002), animateur TV, y passera sa retraite, entre 1991 et 2002.
- Le général Arnold Schwerdorffer (né en 1943), homme politique.
- François Hollande (né en 1954), homme politique, président de la République française de 2012 à 2017[45].
- Grégory Tafforeau (né en 1976), footballeur et capitaine du LOSC, formé au stade Malherbe de Caen et revenu en 2009 (saison 2009/2010), avec comme objectif de remonter en L1 avec le SMC.
- Marie Le Vern (née en 1983), femme politique.
- Pierre Gasly (né en 1996), pilote automobile, vécut son enfance dans cette ville.
Héraldique
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Les armes de la commune de Bois-Guillaume se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Bibliographie
- Gabrielle Sueur et Alfred Morel (préf. Jean Fréret et René Seille), Du Bois-Guillaume d'hier au Bihorel d'aujourd’hui : une commune centenaire, au passé millénaire, Luneray, Groupe d'histoire et études de Bihorel, , 334 p. (ISBN 2-86743-129-8, OCLC 463702806)
- Bois-Guillaume en images (préf. René Seille), Mairie de Bois-Guillaume, , 144 p. (ISBN 2-9520830-1-0)
- « Bois-Guillaume », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5)
Articles connexes
- Liste des communes de la Seine-Maritime
- FUSC Bois-Guillaume (football)
- Woodchucks de Bois-Guillaume (baseball)
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Bois-Guillaume et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bois-Guillaume et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150)Ouvrage publié avec le soutien du CNRS.
- Pierre-Côme Duval, « Rouen et les voies antiques de Haute-Normandie », Annales de Normandie, nos 34-1,‎ (lire en ligne).
- Olim, t. I, p. 99, XV, Saint-Martin d’hiver 1259
- « Fusion Bois-Guillaume/Bihorel : ça chauffe », sur Côté Rouen, (consulté le ).
- Article 2 du jugement du 18 juin 2013 rendu par le tribunal administratif de Rouen annulant l'arrêté du préfet de la Seine-Maritime du 29 août 2011, [lire en ligne].
- Florestan, « Annulation de la fusion Bois-Guillaume/Bihorel : la préfecture ne fera pas appel », sur le site du quotidien Paris-Normandie, (consulté le ).
- Florestan, « Bois-Guillaume- Bihorel: laboratoire du crétinisme territorial? », sur le site du quotidien Paris-Normandie, (consulté le ).
- « Défusion de Bois-Guillaume-Bihorel : la Ville ne fera pas appel », sur le site tendanceouest.com, (consulté le ).
- Florestan, « Bois-Guillaume-Bihorel : le maire ne fera pas appel », sur le site du quotidien Paris-Normandie, (consulté le ).
- [PDF]Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19/12/2009.
- « Un homme de conviction : Bois-Guillaume-Bihorel. Pierre Quintard, maire de 1965 à 1987, est décédé vendredi matin à l'âge de 87 ans », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Bois-Guillaume de 1965 à 1987 - sous l'étiquette Divers droite - il s'est éteint vendredi 3 août à l'âge de 87 ans. Né le 26 octobre 1925 sur l'île d'Oléron, conseiller municipal dès 1962, il prend les rênes de la commune trois ans plus tard en 1965. Il est aussi conseiller général du canton de Bois-Guillaume ».
- « Un dernier hommage : Bois-Guillaume.Les obsèques de René Seille, ancien maire de la commune, ont eu lieu jeudi », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Florian Gambin, « Municipales 2020. À Bois-Guillaume, Gilbert Renard passe la main à sa première adjointe : Gilbert Renard, maire de Bois-Guillaume raccroche son écharpe : il passe la main à sa première adjointe, Marie Guguin pour les élections municipales de mars 2020 », 76 actu,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Deux mandats et demi, soit, en mars prochain, quatorze années passées à la tête de la municipalité de Bois-Guillaume, sur le plateau Nord de Rouen (Seine-Maritime) : c’est le temps durant lequel Gilbert Renard aura arboré son écharpe tricolore. À 71 ans et « après mûre réflexion, il est temps pour moi de prendre du recul dans mon engagement local », annonce l’élu. Devenu maire en 2006 à la suite du passage de témoin en cours de mandat de l’ancien maire René Seille, Gilbert Renard se dit « fier » de ce qu’il a pu faire ».
- Sophie Bogatay, « Municipales 2020. Théo Pérez, 29 ans, sera le nouveau maire de Bois-Guillaume : Bois-Guillaume. Incroyable suspense qui se termine par la victoire de Théo Pérez, 29 ans. Sa liste citoyenne récolte 46,52 %, devant Marie Gugin, première adjointe (40,22%) et Philippe Couvreur (LRM) avec 13,26% », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Sophie Bogatay, « Municipales 2020. Qui est Théo Pérez, le nouveau maire de Bois-Guillaume ? : Bois-Guillaume. Il aura trente ans dans quelques jours. Portrait d’un citoyen engagé, nouveau maire d’une ville plutôt conservatrice », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010 | Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
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