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Beure

Beure est une commune française située dans le département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle fait partie de la région culturelle et historique de Franche-Comté.

Beure
Beure
Vue du village depuis le plateau de Peu.
Blason de Beure
HĂ©raldique
Beure
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Doubs
Arrondissement Besançon
Intercommunalité Grand Besançon Métropole
Maire
Mandat
Philippe Chaney
2020-2026
Code postal 25720
Code commune 25058
DĂ©mographie
Gentilé Beurots, Beurotes [1]
Population
municipale
1 361 hab. (2020 en diminution de 0,58 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 341 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 12′ 32″ nord, 6° 00′ 16″ est
Altitude Min. 234 m
Max. 480 m
Superficie 3,99 km2
Unité urbaine Besançon
(banlieue)
Aire d'attraction Besançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Besançon-6
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.beure.fr

    Toponymie

    Boriis en 1134, Boyres en 1179, Bures en 1233, Buire en 1247, Bueyres en 1255 puis Buyres en 1349, ont pour origine le terme germanique bûr désignant une habitation isolée et plus spécialement l'habitat des castors proliférant jadis le long du ruisseau des Mercureaux[2]. Ont suivi : Behure en 1354, Beures en 1447, Beure en 1492, Beurue en 1629[3], et même Beurre plus récemment.

    GĂ©ographie

    Situation

    La commune est située sur la rive gauche du Doubs, à environ km en aval du centre-ville de Besançon. Le village, établi initialement dans le cirque rocheux, s'est étalé dans la plaine d'alluvions puis sur les pentes des collines.

    Le village au bord du Doubs vu depuis la colline de Rosemont.

    Hydrographie

    Le Doubs, le Ruisseau des Mercureaux sont les principaux cours d'eau parcourant la commune ainsi que le canal du RhĂ´ne au Rhin.

    Communes limitrophes

    Voies de communications et transports

    Dès le XIIIe siècle, Beure était le point de départ de la route Besançon- Pontarlier qui, via Mérey-sous-Montrond, rejoignait Ornans, puis Mouthier Haute Pierre avant de gagner Aubonne sur le plateau. Au début du XVIIIe siècle, l'itinéraire sera modifié après Ornans ; il passera par Chantrans, Sombacour et Chaffois.

    Jusqu'au milieu du XIXe siècle, les routes royales 67 (St Dizier-Lausanne) et 83 (Lyon-Strasbourg) passaient dans le bourg et montaient vers Larnod par les actuels chemins du Sinaï et de la Maltournée. À ce dernier lieu-dit, elles se séparaient, la RR 67 partant sur Pugey et Mérey-sous-Montrond, tandis que la RR 83 continuait vers le relais de la diligence de Larnod, puis Busy et Chouzelot en suivant l'itinéraire d'une voie romaine.

    Dans les années 1840, ces deux tronçons de route ont été déclassés, la route 67 rejoignant Tarcenay depuis Besançon en passant par Morre et le tunnel du Trou au loup[Note 1] (actuelles N. 57 et D 67), tandis que la route 83 empruntait un nouveau parcours par la montée du Comice et la descente directe sur Chouzelot (actuelle N. 83). Un double péage eut cours jusqu'en 1849 sur ce dernier tronçon.

    La D 141 relie Beure à Arguel depuis 1849, date d'ouverture du passage contournant l'extrémité de la crête d'Arguel. En l'absence de chemin carrossable direct, les chariots devaient précédemment emprunter la route royale 67 pour gagner Arguel via Pugey[Note 2].

    Beure disposait jadis d'une halte ferroviaire, ce dont témoigne encore le nom « rue de la Gare ». À l'emplacement du bâtiment de la halte[Note 3], se trouve actuellement le restaurant l'Escale, voisinant le rond-point principal (RN 83 - RD 683) de la commune. La gare était située sur la ligne à voie métrique exploitée de 1910 à 1951 par la Compagnie des chemins de fer du Doubs (CFD) ; cette ligne reliait la gare de Besançon St Paul à la commune d'Amathay-Vesigneux, via Cléron. Le « tacot » qui y circulait passait de Rivotte à Tarragnoz par un tunnel sous la Citadelle dont on peut voir encore les extrémités ; il empruntait jusqu'à Larnod-Gare la voie actuelle de la RN83[4].

    Le contournement routier de Besançon (Voie des Mercureaux) est ouvert à la circulation depuis le . La route, équipée du premier radar « tronçon » de France, traverse une partie de la commune, suivant la vallée des Mercureaux (en amont du village)[5]. Le chantier a gravement atteint le site, les salamandres tachetées jusqu'alors présentes pourraient disparaître, il s'agit de la seule population de cette espèce recensée en Franche-Comté[6].

    Plusieurs sentiers pédestres traversent la commune dont le GR 59.

    La commune est desservie par les lignes  51  85  86 du réseau de transport en commun Ginko.

    Cadre géologique

    Carte géologique simplifiée des unités structurales du massif du Jura.

    La commune s'inscrit dans la grande région naturelle du Jura externe, où elle s'est implantée sur un des plis majeurs du faisceau bisontin, le synclinal de La Chapelle-des-Buis (difficile à lire dans le paysage), flanqué à l'ouest par l’anticlinal des Mercureaux, qui marque le début du plateau de Montrond, lequel se raccorde à la Haute Chaîne du Jura par le plateau d'Ornans[7].

    Le territoire communal repose sur un lambeau du bassin keupérien Haute-Saônois[8].

    Beure est entourée de vallons boisés, ce qui donne à ce village un cachet indéniable. Le ruisseau des Mercureaux qui prend sa source en haut du vallon sur la commune de Fontain, traverse les lieux-dits Maillot et Metz (le bout du monde), puis le bourg, et termine sa course dans le Doubs. Son nom pourrait évoquer l'exploitation de l'or, dont le mercure est utilisé comme amalgame. Ses principaux affluents, tous rive gauche, sont le ruisseau du Pré Joliot, le ruisseau de la Pisseure (des Fontaines) venant d'Arguel et le ruisseau à Maillot.

    Le gypse, présent dans le sous-sol, a été exploité autrefois au lieu-dit le bout du monde.

    Urbanisme

    Typologie

    Beure est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [9] - [10] - [11]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Besançon, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 13 communes[12] et 137 837 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56 %), zones urbanisées (27,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,3 %), eaux continentales[Note 6] (5 %), prairies (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Histoire

    Origine

    L'histoire de la localité est connue depuis le XIIIe siècle. Le cirque rocheux qui la protège, la rivière le Doubs et le ruisseau des Mercureaux ont profité au regroupement des populations, d'abord autour des grottes, puis des plâtrières et finalement dans la plaine où la découverte récente de squelettes prouve que le site était habité depuis très longtemps.

    Le village est situé sur une voie romaine ou plus certainement une voie routière gauloise puisque les ornières de celle-ci correspondent à la largeur des jantes de roues des chariots employés par les Gaulois. Une partie de cette voie sur laquelle, selon la légende, Jules César est passé à cheval, est encore visible sur quelques dizaines de mètres.

    Seigneurie

    Au Moyen Ă‚ge, Beure dĂ©pendait du seigneur d'Arguel, qui, au XIVe siècle, rendait la justice sur la place du village. Dès le XIIIe siècle, des moulins banaux sont en fonctionnement, alors qu’un four banal et un poste Ă  pĂ©age ne sont mentionnĂ©s qu’au XVe siècle. Du XIIIe siècle au XIXe siècle, la vigne est la principale activitĂ© Ă©conomique du village, les vignerons travaillaient pour le compte de l'archevĂŞchĂ© et quelques bourgeois de Besançon, propriĂ©taires des parcelles. Les grandes portes des maisons en plein cintre des celliers s'ouvraient sur la rue pour laisser entrer charrettes et tonneaux. Une forge est implantĂ©e depuis le XVe siècle dans le quartier de Gouille le long du Doubs. Elle a fabriquĂ© certains Ă©lĂ©ments de la tour Eiffel[19]. L'usine ferme ses portes au dĂ©but des annĂ©es 1880. Mis aux enchères en 1883 pour la somme de 100 000 francs, le site est acquis en 1884 par Nicolas Paul et Armand Louis Dubourg. Les ateliers de la forge et deux logements sont dĂ©molis, et une demeure, appelĂ©e "château" est achevĂ©e en 1885. Nicolas Paul Dubourg reste seul propriĂ©taire du site en 1892[20], annĂ©e oĂą il fait construire une centrale hydroĂ©lectrique. Cette dernière alimente en Ă©lectricitĂ© une scierie, construite par ses soins en amont Ă  Port-Marchand, et les habitants du village. La centrale hydroĂ©lectrique est mise hors service au XXe siècle et ses installations dĂ©mantelĂ©es. Les bâtiments subsistants abritent aujourd'hui des logements (Villa Saint-Charles).

    Époque contemporaine

    Aujourd'hui la plupart des habitants de la commune travaillent dans l'agglomération de Besançon, mais Beure est le site de quelques petites entreprises industrielles, artisanales et commerciales. Les activités maraîchères et viticoles ne subsistent que de façon résiduelle. La plus grande partie des zones constructibles est à présent bâtie. L'implantation d'usines dans la plaine, à proximité du Doubs, et le projet de magasin de vente au détail en libre-service à prédominance alimentaire illustrent la perte du caractère rural de la commune.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 2001 Jean Cretin (+) Contremaître à l'usine Rhodia
    2001 En cours
    (au 1er juin 2020)
    Philippe Chaney[21] - [22]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    Sans Ă©tiquette Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].

    En 2020, la commune comptait 1 361 habitants[Note 7], en diminution de 0,58 % par rapport Ă  2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6907427767499901 0921 1441 2121 205
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0921 1071 1551 0961 2681 228925814741
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    7727987526488008508638871 003
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 1311 2781 2431 1661 1881 3771 3831 3851 361
    2018 2020 - - - - - - -
    1 3351 361-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[26].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Le clocher Ă  dĂ´me Ă  impĂ©riale de l'Ă©glise, typique de la Franche-ComtĂ©, permet de situer l’église dans les rues très Ă©troites par lesquelles on y accède. L’église, dont le vocable est Saint Hippolyte, date de 1715. Elle renferme une statue de saint Vernier en bois polychrome[27].
    • La station-service AGIP (AGIP ayant acquis une partie du rĂ©seau Total) est inscrite, depuis 2013, Ă  l'inventaire des monuments historiques. Dans les annĂ©es 1970, Jean ProuvĂ© rĂ©alise pour Total une centaine de stations de ce type. Le principe est d'ĂŞtre modulables et dĂ©plaçables. Jean ProuvĂ© utilise alors son matĂ©riau fĂ©tiche : l’aluminium. Il est aujourd'hui considĂ©rĂ© commet l'un des plus grands concepteurs en architecture et design du XXe siècle. Quasiment toutes les stations de ce type ont Ă©tĂ© dĂ©truites ou dĂ©montĂ©es. Il n'en resterait que deux en activitĂ© et dans leur Ă©lĂ©ment en France, la seconde Ă©tant Ă  Marseille.
    • Le musĂ©e militaire : le musĂ©e des armĂ©es Lucien-Roy qui regroupe des objets, des armes et des costumes de diffĂ©rents conflits depuis la conquĂŞte de la Franche-ComtĂ© par Louis XIV jusqu'aux guerres rĂ©centes[28].
    • Les deux cascades : la cascade du Bout du Monde crĂ©Ă©e par la chute quasi-verticale du ruisseau des Mercureaux depuis le bord du plateau et la cascade de la Pisseure, ruisseau venant d'Arguel[Note 8].
    • L'ancienne voie antique classĂ©e aux monuments historiques qui se trouvait Ă  l'emplacement du chemin du Sert et montait vraisemblablement Ă  la Chapelle des Buis[Note 9]. Une dĂ©rivation passait au-dessus de la cascade du Bout du Monde pour rejoindre Arguel puis le premier plateau du Jura et la vallĂ©e de la Loue en franchissant la cluse de Pugey.
    • Le plateau de Peu situĂ© sur les hauteurs du territoire de la commune et offrant un aperçu presque complet du village; on peut y observer une partie du quartier de Planoise (Besançon) et quelques collines voisines. La photographie prĂ©sentĂ©e ci-dessus (dans l'infobox) a Ă©tĂ© prise depuis cet endroit.
    • La grotte dite de la Vieille Église[Note 10] ou de la Chère, souvent appelĂ©e Ă  tort, Baume Saint Georges.
    • L'Ă©glise Saint-Hippolyte.
      L'Ă©glise Saint-Hippolyte.
    • La station-service.
      La station-service.
    • La cascade du Bout du Monde.
      La cascade du Bout du Monde.
    • Cascade gelĂ©e en fĂ©vrier 2012.
      Cascade gelée en .
    • La cascade de la Pisseure.
      La cascade de la Pisseure.
    • EntrĂ©e supĂ©rieure de la grotte de la Chère
      Entrée supérieure de la grotte de la Chère

    Personnalités liées à la commune

    Protection - Tourisme

    Le village fait partie des sites inscrits du Doubs par la DREAL[29].

    HĂ©raldique

    Blason de Beure Blason
    D’azur semé de billettes d’or au castor assis du même, armé de gueules, brochant sur le tout.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Avec l'ouverture de la route des gorges en 1845, l'itinéraire rejoindra directement Aubonne en parcourant la vallée de la Loue en totalité et en remontant jusqu'à Saint-Gorgon-Main.
    2. Le chemin des prés du Carron, voie médiévale, permet une liaison directe entre Arguel et Maillot, mais présente une section en forte déclivité. La présence d'ornières indique que des chariots l'empruntaient.
    3. Le bâtiment était identique à ceux des haltes de Pugey et Reugney.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Le ruisseau des Fontaines, qui prend sa source Ă  Arguel, effectue deux cascades sur cet ex commune avant la cascade dite de la Pisseure, nom qu'il prend jusqu'Ă  sa confluence avec le ruisseau des Mercureaux.
    9. Cette hypothèse n'a pas pu être confirmée par la découverte de vestiges archéologiques.
    10. Auguste Castan la désigne comme grotte de la Chaise. Pour le groupe spéléologique du Doubs, c'est la grotte-chapelle de la Chère. Des offices religieux officiés par des prêtres réfractaires s'y tenaient durant la Révolution française d'où son nom.

    Références

    1. « Doubs », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. http://www.grandbesancon.fr/index.php?p=33&art_id=757&vars=Y29tbXVuZV9pZD0xMD
    3. Jean COURTIEU, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 1, BESANÇON, CÊTRE, .
    4. Musée du Tacot à Cléron, Doubs
    5. Site officiel de la voie de contournement, consulté le 24 avril 2010.
    6. la Presse Bisontine no 115 de novembre 2010
    7. Jean Boichard, Pierre Gresser, Le guide de Besançon, La Manufacture, , p. 14-17.
    8. Henri-Amé Resal, Statistique géologique, minéralogique et minéralurgique des départements du Doubs et du Jura, (lire en ligne), p. 84.
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Besançon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Site sur les communes de Franche-Comté
    20. « Patrimoine en Bourgogne-Franche-Comté - Accueil », sur patrimoine.franche-comte.fr (consulté le ).
    21. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
    22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Clocher de Beure sur un site amateur
    28. Le musée de Beure sur le site de Grand Besançon Métropole
    29. « Fiche Site Inscrit », sur donnees.franche-comte.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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