MĂ©rey-sous-Montrond
Mérey-sous-Montrond est une ancienne commune française située dans le département du Doubs en région Bourgogne-Franche-Comté. Les habitants se nomment les Mérymontois et Mérymontoises.
MĂ©rey-sous-Montrond | |||||
L'Ă©glise Saint-SĂ©bastien de MĂ©rey-sous-Montrond. | |||||
HĂ©raldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
DĂ©partement | Doubs | ||||
Arrondissement | Besançon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Loue-Lison | ||||
Statut | ancienne commune | ||||
Maire délégué | Didier Laithier | ||||
Code postal | 25660 | ||||
Code commune | 25375 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Mérymontois, Mérymontoises | ||||
Population | 436 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 09′ 08″ nord, 6° 04′ 10″ est | ||||
Altitude | Min. 380 m Max. 522 m |
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Superficie | 10,79 km2 | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Ornans | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Historique | |||||
Dissolution | |||||
Commune(s) d'intégration | Les Monts-Ronds | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Doubs
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Depuis le , elle a fusionné avec Villers-sous-Montrond pour former la commune nouvelle des Monts-Ronds[1].
GĂ©ographie
Toponymie
Mayre in Varesco en 1230 ; Mérey en 1296 ; Mere au XIVe siècle[2].
Cette commune est située à 18 km au sud de Besançon, sur le premier plateau.
Communes limitrophes
Fontain | La Vèze | Tarcenay | ||
Fontain, Montrond-le-Château | N | Villers-sous-Montrond | ||
O MĂ©rey-sous-Montrond E | ||||
S | ||||
Montrond-le-Château | Montrond-le-Château, Villers-sous-Montrond | Villers-sous-Montrond |
Urbanisme
Typologie
Mérey-sous-Montrond est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6] - [7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,2 %), zones agricoles hétérogènes (34,8 %), prairies (17,5 %), mines, décharges et chantiers (4,2 %), zones urbanisées (3,3 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].
HĂ©raldique
Blason | Parti : au 1) de gueules aux deux bars adossés d’or, surmonté d’un lambel d’argent et soutenus d’une fleur de lys du même, au 2) d’argent à la crosse de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].
En 2018, la commune comptait 436 habitants[Note 3], en augmentation de 0,93 % par rapport Ă 2012 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Église Saint-Sébastien de 1841, inscrite aux monuments historiques depuis 1979.
- Sentier karstique du Grand Bois[16].
- Il fait l'objet chaque année au mois de juillet d'un chantier de jeunes participant à son entretien[17].
- Mairie.
- Église Saint-Sébastien.
- Croix.
- La grande doline du sentier karstique.
Personnalités liées à la commune
Jacquot de MĂ©rey construisit en 1750 un relais de chasse.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Préfecture du Doubs, « Arrêté no 25-2021-12-22-00004 portant création de la commune nouvelle de Les Monts-Ronds au » [PDF], (consulté le ), p. 38-42
- Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 4, Besançon, Cêtre, .
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Le Sentier Karstique », sur montrond-le-chateau.fr, le site officiel de la commune (consulté le ).
- Benoît Decreuse, « Le camp-chantier au Sentier Karstique », sur l'ancien site du Groupe Clostrophile du Plateau de Montrond (GCPM) (consulté le ).