Avanne-Aveney
Avanne-Aveney est une commune française située dans le département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Avanne-Aveney | |||||
Vue d'Avanne depuis la rive gauche du Doubs. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
DĂ©partement | Doubs | ||||
Arrondissement | Besançon | ||||
Intercommunalité | Grand Besançon Métropole | ||||
Maire Mandat |
Marie-Jeanne Bernabeu 2020-2026 |
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Code postal | 25720 | ||||
Code commune | 25036 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Avannais | ||||
Population municipale |
2 232 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 259 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 12′ 10″ nord, 5° 57′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 228 m Max. 493 m |
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Superficie | 8,62 km2 | ||||
Unité urbaine | Besançon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Besançon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Besançon-1 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Doubs
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | avanne-aveney.com | ||||
Elle fait partie du canton de Besançon-1 et de Grand Besançon Métropole.
GĂ©ographie
Avanne-Aveney est une localité sise au sud de Besançon. Les villages d'Avanne et d'Aveney sont situés de part et d'autre du Doubs. Avanne se trouve sur la rive droite, donc côté nord, et Aveney lui fait face, enserré entre la rivière et la N 83.
Communes limitrophes
Franois | Besançon (Planoise) | |||
Grandfontaine Montferrand-le-Château |
N | Beure | ||
O Avanne-Aveney E | ||||
S | ||||
Rancenay | Larnod |
Urbanisme
Typologie
Avanne-Aveney est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Besançon, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[4] et 137 837 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Besançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 312 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7] - [8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,4 %), zones urbanisées (15,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), prairies (7,9 %), eaux continentales[Note 3] (7,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,6 %), terres arables (3,4 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les lignes  22  52 du réseau de transport en commun Ginko.
Toponymie
Deux propositions existent pour l'origine du nom de la commune. Selon certains linguistes Avanne tirerait son nom du latin avena (avoine et par extension terre maigre). Pour d'autres, le nom serait d'origine gauloise abona (la rivière).
Histoire
Antiquité
L'occupation du site à l'époque gallo-romaine est attestée par la découverte de vestiges de construction au nord de la commune, rue des Combots, lors de la réalisation du lotissement des Grands Prés dans les années soixante-dix. Malheureusement non signalés à l'époque, ces vestiges n'ont pas été étudiés mais d'après les descriptions faites, un hypocauste pouvant témoigner de l'installation d'une villa romaine, a été repéré rue des Blotets.
Époque ancienne
Blasonnement : d'or à trois quintefeuilles de gueules. Symbolique de la composition : cet écu rappelle les armoiries de Jean d'Avanne. Les cinq tours du cimier symbolisent le château d'Avanne, détruit vraisemblablement lors de la conquête de la Franche-Comté par le roi Louis XI de France.
Attestée dès 1092, la seigneurie d'Avanne dépend à l'origine des sires de Montfaucon (Doubs) et des comtes de Bourgogne. Au XIIe siècle, les sires de Faucogney sont titulaires des droits qu'ils cèdent en 1280 au comte de Bourgogne. La seigneurie repasse ensuite au XIVe siècle dans la mouvance des sires de Faucogney, puis du duc d'Aumont du XVe siècle à 1723. Elle est alors détenue par la famille Pourcheresse de Fraisans.
Généalogie de la maison d'Avanne
Le château d'Avanne, qui était situé à l'extrémité du territoire de Besançon, était possédé par les seigneurs de ce nom. Il semble que cette maison est ensuite passée dans celle de Faucogney : en effet Gislebert de Faucogney, seigneur d'Avanne, donnait, vers 1180, un terrain propre à planter une vigne ainsi que l'usage de ses forêts à l'abbaye Notre-Dame de Billon. Ce don devait être confirmé par Aymé de Faucogney. Déjà , en 1092, Guy d'Avanne apposait son nom sur la donation faite par l'archevêque Hugues III à l'église Sainte-Madeleine de Besançon. Hugues d'Avanne était cité dans un titre de Billon en 1163. Renaud d'Avanne, chanoine de Sainte-Madeleine, donnait en 1189 à son église la troisième partie du moulin d'Avanne. Thibaud d'Avanne, chanoine et chantre de la même église, cédait en 1246 à son chapitre la part qu'il avait dans son four, nommé four du Séet, situé à Charmont[11].
Hugues d'Avanne, chevalier, donnait à l'abbaye Saint-Paul de Besançon un meix (habitation d'un cultivateur, jointe à autant de terre qu'il en faut pour l’occuper et le nourrir) situé au village d'Estu ainsi qu'un pré vers Cussey. Il était père de Jean et d'Étienne, cités dans le testament de leur oncle Thibaud. Jean d'Avanne, chevalier, approuvait en 1246 la donation du four de Charmont faite au chapitre Sainte-Madeleine par son frère. Son fils, Pierre, damoiseau, avait épousé Oudette, fille de Raoul de Saint-Seigne, chevalier. En 1287 Aymé d'Avanne, fils de Thibaud d'Avanne, damoiseau, consentait à vendre une vigne faite par Lambert d'Avanne à Étiennette de Dessus le Pont, citoyenne de Besançon[11].
Pierre d'Avanne, il a pour fils Pierre qui suit[11].
Pierre d'Avanne, il Ă©pousait Odette de Saint-Seigne de qui il a Thierry qui suit[11].
Thierry d'Avanne, écuyer, seigneur de Chargey et de Franois. Il aliénait, en 1366 à Hugues d'Aigremont, chanoine et sous-chantre de l'église de Besançon, la quatrième partie des dîmes de Franois[11].
Mariage et succession[11] : il Ă©pousait Isabelle de Cordiron, de qui il a Renaud qui suit.
Renaud d'Avanne, chevalier, sire de Franois et seigneur de Chargey. Il testait le 31 juillet 1431 et choisissait sa sépulture dans l'église de Villers[11].
Mariage et succession[11] : il avait épousé Marguerite de Vezet de qui il a :
- Thibaud qui suit,
- Alix, mariée en premières noces à N... de Germigney, écuyer, et en secondes noces à Huguenin de Marey, écuyer, seigneur de Champvans.
Thibaud d'Avanne, Ă©cuyer, seigneur de Franois, Chargey, Purgerot et Villers[11].
Mariage et succession[11] : il Ă©pousait Jeanne du Four de qui il a Guillaume qui suit.
Guillaume d'Avanne, ( - 1484), Ă©cuyer, seigneur de Franois, Chargey, Purgerot et Villers[11].
Mariage et succession : il avait épousé Huguette de Lambrey de qui il a Guillaume II qui suit[11].
Guillaume II d'Avanne, écuyer, seigneur de Franois, Chargey, Purgerot et Villers. Il a Françoise qui suit[11].
Françoise d'Avanne, épouse de Louis de Grussy, écuyer. Il reprenait le fief d'Avanne en 1532 envers le comte de Bourgogne[11].
Fusion des communes
L'actuelle commune d'Avanne-Aveney résulte de la fusion des communes d'Avanne et d'Aveney, d'abord sous forme d'une fusion-association en 1973, puis d'une fusion simple en 2004.
Les vignes ont longtemps constitué une des principales ressources d'Avanne, surtout jusqu'au XVIIIe siècle. De ce passé, il subsiste de nombreuses traces, les anciennes maisons étant dotées de caves voûtées. Jadis, un bac reliait les deux villages, il fut remplacé par un pont métallique en 1893.
HĂ©raldique
Blason | D'or Ă trois quintefeuilles de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Galerie
- Ancien pressoir.
- Ancienne porte de cave.
- Ancienne porte de cave.
- Ancienne maison de vigneron.
- Serpe gravée sur un linteau.
Politique et administration
Liste des maires
((†) décès en cours de mandat)
Commune d'Aveney
Commune d'Avanne
Commune associée d'Aveney
Commune d'Avanne-Aveney
DĂ©mographie
Les habitants sont nommés les Avannais[15].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[17].
En 2020, la commune comptait 2 232 habitants[Note 4], en diminution de 2,62 % par rapport Ă 2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Vincent d'Avanne, datée de 1838, est inscrite à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1998. Elle est l'œuvre de l'architecte Pierre Marnotte. Cet édifice était une réalisation commune des deux villages non fusionnés à l'époque.Elle est désormais en rénovation pour un cout total de 400 000 euros[20].
- Le château d'Avanne : son histoire est étroitement liée à celle des sires et seigneurs de Montferrand (maison de Montferrand) du XIIIe siècle au XVe siècle et affiliée à celle du comté de Bourgogne. Il fait alors partie d'un ensemble de fortifications leur appartenant, comprenant celles de Montferrand-le-Château, Thoraise, Torpes, Corcondray, Fourg. Il est édifié en 1280 sur le haut de la falaise qui domine la Grande Rue. Il a été probablement détruit par les armées de Louis XI lorsqu'elles conquirent le comté après la mort de Charles le Téméraire en 1477. La dernière tour s'est écroulé en 1816. De l'existence de ce château, il ne reste que quelques marches d'escalier, un pan de mur et des soubassements.
- Le fort de Planoise : la colline de Planoise est partagée entre Besançon et Avanne-Aveney ; il en est de même pour le fort à enveloppe de la fin du XIXe siècle : si le réduit, le magasin à poudre et l'abri sous roc sont sur Besançon ainsi que les positions de batteries nord-est, la position centrale qui était équipée de mortiers lourds ainsi que les batteries sud-ouest sont sur Avanne, de même que la section médiane du chemin d'accès.
- La vallée du Doubs avec :
- le pont construit en 1893; c'est un pont à l'origine destiné à équiper une ligne de chemin de fer sur un autre site et qui a été racheté d'occasion par les communes d'Avanne et d'Aveney pour remplacer le bac qui assurait la liaison entre les deux villages. C'est un des rares ponts qui n'a pas été détruit lors de la Seconde Guerre mondiale. Il a permis le passage des armées alliées en septembre 1944 et a été à ce titre surnommé « Le Libérateur ». Il a été entièrement rénové en 2000 et doublé par une passerelle pour les piétons.
- le barrage en «V» associé à l'ancien moulin de la minoterie[21] (rive droite du Doubs) et à l'écluse du canal (rive gauche).
- le canal du RhĂ´ne au Rhin,
- la véloroute EuroVelo 6.
- Le moulin de la Grâce-Dieu : En 1939, Lucien Mesny, propriétaire, depuis 1928, du moulin de La Grâce-Dieu[22] non loin de l’abbaye du même nom, acquiert le moulin d’Avanne[23], en rive dive droite du Doubs. En 1948, la vocation de l’entreprise se précise avec la production des farines spécifiques pour le bétail, proposées sous la marque « Aliments Grâce-Dieu ». Le site est rénové et modernisé à partir de 1955 et, en 1958, le moulin de la Grâce-Dieu s’arrête définitivement ; toute la production étant transférée à Avanne, devenue une usine d’avant-garde portant également le nom de moulin de la Grâce-Dieu. Les produits de la société L. Mesny & Cie gardent également leur appellation d’origine. Entre 1960 et 1980, l’extension et la modernisation du site se poursuit : la demande est en augmentation constante, les produits Grâce-Dieu étant appréciés pour leur qualité. Dans les années 90, l’automatisation se confirme avec l’informatisation complète de tout le processus de fabrication. En 1997, la Société Mesny est reprise par le Groupe Guyormarc’h Nutrition Animale ; en 2001, elle devient "Grâce-Dieu S.F.N.A" groupe EVIALIS. En 2007, Chays frères rachète l’usine au groupe EVIALIS[24].
- Vue sur les deux villages.
- L'Ă©glise vue du pont.
- Le pont sur le Doubs.
- Le Doubs avec le barrage, le moulin et l'Ă©cluse
- La résurgence de la Furieuse : La source de la Fontaine à École-Valentin, est une résurgence qui sort d’une grotte située en contrebas du bourg d’École. Elle alimente une fontaine-lavoir dont le déversoir, le ruisseau du Moulin, disparait dans un entonnoir 1 km plus loin. Ce sont ces eaux qui réapparaissent, 7 km plus au sud, près du moulin de la Grâce-Dieu, avant de rejoindre le Doubs après 110 m de parcours[25].
- Les belvédères du rocher de Valmy et de la roche trouée (dans le bois Martelin), offrent une vue magnifique sur la boucle du Doubs ainsi que sur les rives du Doubs sur plus de 6 kilomètres. Au rocher de Valmy est érigée une stèle à la mémoire des martyrs des groupes de résistants "Guy Mocquet" et "Marius Vallet" fusillés à la citadelle de Besançon le 26 septembre 1943 ou morts en déportation.
- Panorama depuis le rocher de Valmy.
- Stèle du rocher de Valmy.
- Panorama depuis la crĂŞte du bois Martelin
- La mairie.
- Vue du Doubs et du moulin.
- La rue de l'Église.
- Le Doubs pris par le gel.
- Vue du village depuis Thoraise.
- Vue du village depuis le fort de Planoise.
- MĂ©moire des eaux crues du Doubs.
- Roche percée, anciennement grotte Martelin.
Label
La boucle du Doubs[26] (méandre) est labellisée espace naturel sensible pour ses prairies de fauche et pâturages.
Personnalités liées à la commune
- Alexandre Verdel : barde local, auteur entre autres, d'une chanson sur la Cancoillotte.
- Mgr LĂ©on Taverdet : Ă©vĂŞque de Langres de 1981 Ă 2000.
- René Paillard : résistant, membre du groupe Guy Mocquet, fusillé à la citadelle de Besançon le 26 septembre 1943.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Baptiste Guillaume, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, Besançon, Jean-Antoine Vieille, (lire en ligne), p. 91 à 94
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Besançon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Baptiste Guillaume de Chevigney, Histoire généalogique des sires de Salins au comté de Bourgogne, 1757
- https://maitron.fr/spip.php?article230289, notice DONY Léon, Émile par Jean-Louis Ponnavoy, version mise en ligne le 18 juillet 2020, dernière modification le 18 juillet 2020.
- Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- « Le nom des habitants du 25 - Doubs - Habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise D'AVanne Aveney », sur Fondation du patrimoine (consulté le ).
- Une micro-centrale d'une puissance brute de 200 kW (société SAS Moulin d'Avanne) a pris la place du moulin hydraulique de la minoterie.
- Où il exerce les activités de meunerie et moutures de céréales
- À l'abandon suite à un sinistre
- https://www.fondationberliet.org/wp-content/uploads/2016/11/grace-dieu-pour-site.pdf
- admin, « Pollution violette des eaux de la résurgence d'Ecole (25). Une énigme vite résolue. », sur Cpepesc, (consulté le )
- http://cbnfc-ori.org/sites/cbnfc-ori.org/files/AVANNE.pdf