AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Bar commun

Dicentrarchus labrax

Le bar commun ou bar europĂ©en (Dicentrarchus labrax), surnommĂ© loup ou perche de mer, est une espĂšce de poissons principalement marins qui entrent parfois en eau saumĂątre et en eau douce, appartenant Ă  la famille des moronidĂ©s. Cette espĂšce est en nette rĂ©gression et fait donc l'objet de mesures de gestion (par quotas pour la pĂȘche rĂ©crĂ©ative du bar sur le littoral ouest de la France, fixĂ©s sous l'Ă©gide de la Commission europĂ©enne).

Description

Bar commun
Vue rapprochée de la langue (pigmentée) du Bar commun

Il possĂšde un corps fusiforme argentĂ© sur les cĂŽtĂ©s et gris argentĂ© Ă  bleuĂątre sur le dos, des petites Ă©cailles (la ligne latĂ©rale en comporte de 62 Ă  74), deux nageoires dorsales distinctes (la premiĂšre avec 8 Ă  10 Ă©pines, la seconde avec une Ă©pine et 12 ou 13 rayons mous), une nageoire anale munie de 3 Ă©pines et de 10 ou 12 rayons mous, un opercule pourvu sur son bord d'une tache noire diffuse et de 2 Ă©pines plates, une nageoire caudale modĂ©rĂ©ment fourchue. Il peut atteindre m de long pour un poids de 12 kg, mais des spĂ©cimens de 50 cm pour kg sont plus courants. Le plus vieux, dont l'Ăąge soit certain, Ă©tait un pensionnaire de l'aquarium d'Amsterdam qui avait 30 ans en 1963 ; Ă  SĂšte, le plus gros bar examinĂ© par un spĂ©cialiste Ă©tait ĂągĂ© de 15-16 ans, pour un poids de 11 kg et une longueur de 92,5 cm.

Les juvéniles peuvent posséder quelques taches sur le haut du corps, ce qui peut créer une confusion avec Dicentrarchus punctatus. Il est impossible de distinguer un mùle d'une femelle sans pratiquer l'autopsie du poisson.

Répartition géographique

On le trouve tout autour et à l'intérieur de l'Europe, y compris à l'est de l'océan Atlantique (de la NorvÚge au Sénégal), en mer Méditerranée et en mer Noire.

Alimentation

Le bar commun est plus actif la nuit que le jour. C'est un poisson qui prĂ©fĂšre les eaux battues et oxygĂ©nĂ©es, dans lesquelles il est trĂšs actif, mĂȘme s'il est aussi possible de le trouver dans les ports. En termes de proies recherchĂ©es, il est trĂšs versatile. Il est en effet capable d'adopter une attitude pĂ©lagique pour chasser en pleine eau des poissons grĂ©gaires de taille petite ou moyenne, des cĂ©phalopodes ainsi que des crabes nageurs. Il est aussi capable d'adopter un comportement benthique lorsqu'il cherche Ă  dĂ©nicher des vers polychĂštes et des crustacĂ©s. En gĂ©nĂ©ral il s'intĂ©resse aux proies vivantes, c'est un vĂ©ritable « chasseur ». Sa voracitĂ© et son agressivitĂ© en fait une prise privilĂ©giĂ©e de la pĂȘche au leurre.

Étymologie et dĂ©nominations

L'espÚce est appelée « loup » en Méditerranée en référence à l'appellation occitane (« lop »), provençale et catalane (« llop »).

L'animal est ainsi appelĂ© en raison de sa voracitĂ© que les anciens ont rapprochĂ©e de celle (supposĂ©e) du loup, le nom d'espĂšce labrax signifiant « vorace » en grec ancien. Étymologie Ă  rapprocher du latin labrum (en français : « lĂšvre ») que l'on retrouve pour une autre famille, celle des labridĂ©s.

Dans le bassin d'Arcachon, elle est dĂ©nommĂ©e « loubine », tandis qu'en Bretagne on l'appelle « drenek ». Les appellations « louvine » et « lubine » sont Ă©galement frĂ©quentes ; et il existe encore d'autres nom pour dĂ©signer ce poisson en France : barreau, brigne, crossia, drinĂ©e (jeune), loubas (provence), loubassou, loupassou, lupo, luvassu, perche de mer, pique


Le bar commun et l'Homme

Un bar commun en captivité.

Efforts de conservation

Les populations de bar commun ont considĂ©rablement diminuĂ©, a priori avec la pression croissante de la pĂȘche commerciale.

Cette espĂšce a rĂ©cemment fait l'objet au Royaume-Uni d'un effort de conservation par les pĂȘcheurs sportifs.
En Italie, le bar commun fait l'objet d'élevages intensifs dans les eaux salées.

En Irlande, il existe des lois strictes concernant le bar commun, toute pĂȘche commerciale y est interdite et il y a plusieurs restrictions en place pour les pĂȘcheurs, c'est-Ă -dire une pĂ©riode d'interdiction de pĂȘche du 15 mai au 15 juin chaque annĂ©e, des dimensions minimales de 400 mm et la limite de 2 poissons par pĂȘcheur dans un dĂ©lai de 24 heures.

Des tailles minimales pour les mailles des filets de pĂȘche ont Ă©tĂ© adoptĂ©es selon les pays, sachant que la maille biologique, c'est-Ă -dire la taille Ă  laquelle 100 % des bars se sont reproduits, est de 42 cm[1].

PĂȘche de loisir

Ce poisson est trĂšs recherchĂ© par les pĂȘcheurs sous-marins et les pĂȘcheurs sportifs en raison de sa « belle dĂ©fense » et de sa chair rĂ©putĂ©e dĂ©licieuse. Par temps calme, les pĂȘcheurs utilisent gĂ©nĂ©ralement un popper, ou un montage bulle-petit leurre. En automne, un « shad » est plus efficace et, Ă  la touche, ce poisson se ferre d'un petit coup sec.

Le « petit poisson nageur » utilisé au printemps ramÚnera les premiers lieus jaunes de l'année.

Au vif, une technique efficace est de laisser traßner dans le courant un lançon vivant accroché par les orbites.

PĂȘche professionnelle

Le bar commun ou bar franc est essentiellement pĂȘchĂ© par les chalutiers, les fileyeurs et les ligneurs. Le chalut reprĂ©sente plus de 60 % des dĂ©barquements de bar en France, les mĂ©tiers de la ligne 21 % des dĂ©barquements et 13 % pour les fileyeurs[2].

Le « bar de ligne » est un bar commun sauvage, pĂȘchĂ© Ă  la ligne en mer et qui a fait l'objet d'une Ă©colabellisation dans les annĂ©es 1990[3]. Dans les annĂ©es 2000, les procĂ©dures de labellisation (label rouge) ayant Ă©tĂ© abandonnĂ©es par les pĂȘcheurs, chaque rĂ©gion productrice a crĂ©Ă© une dĂ©marche qualitĂ© autour du bar de ligne (Normandie, Bretagne, VendĂ©e et Poitou-Charentes)[4].

Mesures de gestion

En France, la maille du bar, c'est-Ă -dire la taille lĂ©gale de capture est de 42 cm pour les pĂȘcheurs de loisir[1] et de 36 cm Ă  42 cm pour les pĂȘcheurs professionnels en Manche, Atlantique et Mer du Nord. :

  • Eaux occidentales septentrionales : 42 centimĂštres
  • Eaux occidentales australes : 36 centimĂštres ; sauf dans les divisions CIEM VIIIa et VIIIb : 40 centimĂštres[5]

En MĂ©diterranĂ©e elle est de 30 cm pour les pĂȘcheurs de loisir[1] et 25 cm pour les professionnels.

Depuis 2012, les pĂȘcheurs professionnels doivent dĂ©tenir une licence pour capturer du bar franc (Dicentrarchus labrax)[6]. En 2015, l’union europĂ©enne a imposĂ© l’interdiction de pĂȘche du bar au chalut pĂ©lagique en mer du Nord et en Manche jusqu’au 30 avril 2015. À partir du 23 juin 2015 et jusqu’au 31 dĂ©cembre 2015, les navires devront respecter Ă©galement une limitation de pĂȘche : entre une et trois tonnes par mois selon la technique de capture[7].

En ce qui concerne la pĂȘche de loisir, la capture du bar en dessous du 48e parallĂšle nord est limitĂ©e Ă  2 poissons par jour et par pĂȘcheur ; au-dessus de cette limite gĂ©ographique, la capture est suivie d'un relĂącher depuis le 23 janvier 2018[8] - [9]. AprĂšs une interdiction totale de la pĂȘche rĂ©crĂ©ative au dĂ©but 2018 au nord du 48e parallĂšle, il est de nouveau autorisĂ© de garder deux bar par jour et par pĂȘcheur du 1er mars au 31 juillet 2021.

RĂ©glementation 2021 (pĂȘche rĂ©crĂ©ative)

Elle a Ă©tĂ© publiĂ©e le 28 janvier 2021[10] pour la pĂȘche rĂ©crĂ©ative ou pĂȘche de loisir, du bar pour les zones françaises:

  • Au nord du 48e parallĂšle (situĂ© au niveau d’Audierne en Bretagne, zones 4b, 4c, 6a et 7a Ă  7k), la limite de prises conservĂ©es (quota) est fixĂ©e Ă  deux bars par jour et par pĂȘcheur pour la pĂ©riode du 1er mars au 31 juillet 2021[11]. Hors de cette pĂ©riode (c'est-Ă -dire du 1er janvier au 28 fĂ©vrier 2021), seul le pĂȘcher-relĂącher (no-kill) est autorisĂ©.
  • Au sud du 48e (c'est-Ă -dire en zones 8a et 8b, soit le Sud-Bretagne et le Sud Gascogne), le quota est de deux bars par jour et par pĂȘcheur, pour toute l'annĂ©e.
  • Dans ces zones, la maille est de 42 cm pour le loisir. En Mer MĂ©diterranĂ©e, la maille est fixĂ©e Ă  30cm pour le loisir. La maille biologique, c'est-Ă -dire la taille Ă  laquelle 100 % des bars se sont reproduits, est de 42 cm[1] - [12].
  • Les bars pĂȘchĂ©s conservĂ©s, doivent faire l’objet d’un marquage. Ce marquage consiste en l’ablation de la partie infĂ©rieure de la nageoire caudale[13].

Élevage piscicole

Le bar est l'une des deux espĂšces de poissons mĂ©diterranĂ©ens les plus cultivĂ©es en Europe, Ă  Ă©galitĂ© avec la dorade royale (148 000 tonnes de bar produites en 2014, dont la moitiĂ© en Turquie). En France, la production de bar d'Ă©levage reste trĂšs modeste (2 000 tonnes en 2014), mais les Ă©closeries exportent de nombreux alevins (48 000 juvĂ©niles produits en France, pour un total europĂ©en de 492 000 en 2014)[14]. Dans le contexte de promiscuitĂ© propre aux Ă©levages piscicoles, c'est une espĂšce sensible au stress[15] et vulnĂ©rable Ă  diverses Infections par des parasites, dont Vibrio anguillarum, responsable de la vibriose chez le bar[16]. En raison de son intĂ©rĂȘt commercial, l'immunologie de cette espĂšce est trĂšs Ă©tudiĂ©e[17] - [18].

Menace liée au réchauffement climatique

La survie future du bar europĂ©en est gĂȘnĂ©e par l'augmentation associĂ©e des niveaux de CO2 dans l'eau de mer dans le contexte de la crise climatique, car elle entraĂźne une modification de la rĂ©ponse aux signaux sensoriels. Les recherches montrent que, lorsque le bar europĂ©en est exposĂ© Ă  des niveaux Ă©levĂ©s de CO2 (1000 ”atm), il doit ĂȘtre jusqu'Ă  42% plus proche d'une source d'odeur que les niveaux actuels de CO2 (400 ”atm). Leurs systĂšmes olfactifs ont donc des problĂšmes de dĂ©tection. Cela rĂ©duit la probabilitĂ© de trouver de la nourriture ou des prĂ©dateurs, et donc la viabilitĂ© du bar europĂ©en[19].

Gastronomie

Bars de ligne de Noirmoutier au marché.
Bar en croûte de sel de Guérande (en cours de démoulage).
Bars sauvages au marché de Neuilly-sur-Seine.

Le plus recherchĂ© par les gastronomes est le « bar de ligne », (appellation ayant fait l'objet en France d'une Ă©colabellisation dans les annĂ©es 1990)[3], pĂȘchĂ© Ă  la ligne et commercialisĂ© en France avec une Ă©tiquette Ă  l'ouĂŻe permettant d’identifier le nom du bateau et le lieu de pĂȘche.

La consommation de bar en France, avoisine les 11 500 tonnes dont 59 % proviennent de l’aquaculture[20].

Pour sa prĂ©paration, certains prĂ©fĂ©reront Ă©viter la tomate. NĂ©anmoins, dans la cuisine du Maghreb, on prĂ©pare un couscous au bar, oĂč il est cuit dans une sauce tomate.

On peut le préparer :

Synonymes

Ce taxon admet de nombreux synonymes :

  • Centropomus lupus (LacepĂšde, 1802)
  • Centropomus mullus (LacepĂšde, 1802)
  • Dicentrarchus elongatus (Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
  • Dicentrarchus lupus (LacepĂšde, 1802)
  • Labrax diacanthus (Bloch, 1792)
  • Labrax elongatus (Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
  • Labrax labrax (Linnaeus, 1758)
  • Labrax linnei (Malm, 1877)
  • Labrax lupus (LacepĂšde, 1802)
  • Labrax vulgaris GuĂ©rin-MĂ©neville, 1829-38
  • Morone labrax (Linnaeus, 1758)
  • Perca diacantha (Bloch, 1792)
  • Perca elongata (Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
  • Perca labrax (Linnaeus, 1758)
  • Perca sinuosa (Geoffroy Saint-Hilaire, 1817)
  • Roccus labrax (Linnaeus, 1758)
  • Sciaena diacantha (Bloch, 1792)
  • Sciaena labrax (Linnaeus, 1758)

Notes et références

  1. [PDF] RĂ©publique Française, « ArrĂȘtĂ© du 26 oct 2012 dĂ©terminant la taille minimale ou le poids minimal de capture des poissons ou autres organismes marins effectuĂ©e dans le cadre de la pĂȘche maritime de loisir » (consultĂ© le )
  2. Drogou M., Biseau A., Berthou P., De Pontual H., Habasque J., Le Grand C. SynthÚse des informations disponibles sur le Bar : flottilles, captures, marché. Réflexions autour de mesures de gestion. Avril 2011. IFREMER. (http://www.archimer.ifremer.fr/doc/00035/14577/11879.pdf)
  3. Erwann CHARLES, « Mieux pĂȘcher le bar pour en vivre mieux », www.cnrs.fr (consultĂ© le )
  4. Fiche espĂšce bar. Guide des espĂšces 2014; Magazine Produits de la mer
  5. Direction InterrĂ©gionale de la Mer Nord Atlantique Manche Ouest, « PĂȘche professionnelle du bar », sur www.dirm.nord-atlantique-manche-ouest.developpement-durable.gouv.fr, (consultĂ© le )
  6. « la-licence-bar-reconduite-pour-2013 »
  7. « Bar : les limites mensuelles votĂ©es », Le Marin, no 3546,‎ , Page 5.
  8. « PĂȘche rĂ©crĂ©ative du bar : un quota Ă  respecter en 2018 », sur peche-en-kayak-alain17, (consultĂ© le )
  9. « RĂšglement (UE) 2018/120 du Conseil du 23 janvier 2018 Ă©tablissant, pour 2018, les possibilitĂ©s de pĂȘche pour certains stocks halieutiques et groupes de stocks halieutiques, applicables dans les eaux de l'Union et, pour les navires de pĂȘche de l'Union, dans certaines eaux n'appartenant pas Ă  l'Union et modifiant le rĂšglement (UE) 2017/127 » (Article 9 - Mesures relatives Ă  la pĂȘche du bar europĂ©en), Journal officiel de l'Union europĂ©enne,‎ , p. 11-12 (lire en ligne)
  10. « L_2021031FR.01003101.xml », sur eur-lex.europa.eu (consulté le )
  11. « RÈGLEMENTSRÈGLEMENT (UE) 2021/703 DU CONSEIL du 26 avril 2021modifiant les rĂšglements (UE) 2021/91 et (UE) 2021/92 en ce qui concerne certaines possibilitĂ©s de pĂȘche pour 2021 dans les eaux de l’Union et les eaux n’appartenant pas Ă  l’Union »
  12. BAR : LA RÉGLEMENTATION 2020 No-kill, quota, TAC... URL:https://www.peche-poissons.com/news/bar-la-reglementation-2020
  13. « ArrĂȘtĂ© du 17 mai 2011 imposant le marquage des captures effectuĂ©es dans le cadre de la pĂȘche maritime de loisir », sur https://www.legifrance.gouv.fr
  14. (en) European Aquaculture Production Report 2005-2014, FEAP (the united voice of the European aquaculture production industry), , 54 p. (lire en ligne)
  15. Torrecillas S, Makol A, Caballero MJ, Montero D, Dhanasiri AK, Sweetman J, Izquierdo M., Effects on mortality and stress response in European sea bass, Dicentrarchus labrax (L.), fed mannan oligosaccharides (MOS) after Vibrio anguillarum exposure ; J Fish Dis. 2012 Aug; 35(8):591-602. Epub 2012 Jun 13.
  16. Rekecki A, Gunasekara RA, Dierckens K, Laureau S, Boon N, Favoreel H, Cornelissen M, Sorgeloos P, Ducatelle R, Bossier P, Van den Broeck W., Bacterial host interaction of GFP-labelled Vibrio anguillarum HI-610 with gnotobiotic sea bass, Dicentrarchus labrax (L.), larvae ; J Fish Dis. 2012 Feb 13. doi: 10.1111/j.1365-2761.2011.01342.x. (Résumé)
  17. Chistiakov DA, Hellemans B, Volckaert FA (2007), Review on the immunology of European sea bass Dicentrarchus labrax ; Vet Immunol Immunopathol. 2007 May 15; 117(1-2):1-16. Epub 2007 Feb 22.
  18. Scapigliati G, Romano N, Buonocore F, Picchietti S, Baldassini MR, Prugnoli D, Galice A, Meloni S, Secombes CJ, Mazzini M, et al. (2002), The immune system of sea bass, Dicentrarchus labrax, reared in aquaculture ; Dev Comp Immunol. 2002 Mar; 26(2):151-60.
  19. Porteus, C. S., Hubbard, P. C., Webster, T. M. U., van Aerle, R., CanĂĄrio, A. V., Santos, E. M., & Wilson, R. W. (2018). Near-future CO 2 levels impair the olfactory system of a marine fish. Nature Climate Change, 8(8), 737. https://doi.org/10.1038/s41558-018-0224-8
  20. DonnĂ©es et bilans : consommation des produits de la pĂȘche et de l'aquaculture 2014. France Agrimer ( http://www.franceagrimer.fr/content/download/38313/352902/file/STA-MER-CONSO%202014-mai2015.pdf)

Voir aussi

Bibliographie

  • Chatain B. & Dewavrin G. (1989) Influence des anomalies de dĂ©veloppement de la vessie natatoire sur la mortalitĂ© de Dicentrarchus labrax au cours du sevrage. Aquaculture, 78(1), p. 55-61 (rĂ©sumĂ©).
  • Chatain B. (1986) La vessie natatoire chez Dicentrarchus labrax et Sparus auratus. Aquaculture, 53(3-4), p. 303-311 (rĂ©sumĂ©).
  • Chatain B. (1987) La vessie natatoire chez Dicentrarchus labrax et Sparus auratus. Aquaculture, 65(2), p. 175-181 (rĂ©sumĂ©)

Articles connexes

Références taxinomiques

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.