Auzances
Auzances (Auzansa en occitan[1]) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine, à la jonction des routes D 4, D 988 et D 996.
Auzances | |||||
Le portail de l'église Saint-Jacques. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Aubusson | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine (siège) |
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Maire Mandat |
Françoise Simon 2020-2026 |
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Code postal | 23700 | ||||
Code commune | 23013 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Auzançais, Auzançaises | ||||
Population municipale |
1 201 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 170 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 01′ 39″ nord, 2° 30′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 486 m Max. 624 m |
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Superficie | 7,08 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auzances (bureau centralisateur) |
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Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | ville-auzances.fr | ||||
Géographie
Auzances est située sur la rive gauche de La Noisette, et à quelques kilomètres du Cher dont La Noisette est un affluent.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1996 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | −0,5 | 0 | 1,8 | 4 | 7,9 | 11,1 | 12,5 | 12,5 | 9 | 6,9 | 2,6 | 0,1 | 5,7 |
Température moyenne (°C) | 2,9 | 3,8 | 6,5 | 9 | 13,2 | 16,7 | 18,2 | 18,2 | 14,4 | 11,5 | 6,1 | 3,3 | 10,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 6,3 | 7,7 | 11,1 | 14 | 18,4 | 22,3 | 23,8 | 23,9 | 19,9 | 16 | 9,5 | 6,4 | 15 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,9 20.01.17 |
−15,6 12.02.12 |
−18,3 01.03.05 |
−8,1 08.04.21 |
−2,8 03.05.21 |
1,9 04.06.01 |
3,8 16.07.16 |
2,5 29.08.1998 |
−1,6 25.09.02 |
−6,9 30.10.1997 |
−10,3 22.11.1998 |
−13,2 24.12.01 |
−18,3 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21 01.01.22 |
23,7 20.02.1998 |
25,5 16.03.12 |
28,1 30.04.05 |
32 11.05.12 |
38,7 29.06.19 |
38,6 23.07.19 |
41,6 18.08.12 |
33,7 04.09.13 |
28,7 12.10.01 |
25,7 08.11.15 |
19,4 31.12.21 |
41,6 2012 |
Précipitations (mm) | 70,2 | 60,6 | 59,8 | 77,3 | 101,7 | 81,9 | 77,8 | 69,7 | 83,1 | 68,6 | 74,6 | 68,8 | 894,1 |
Urbanisme
Typologie
Auzances est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [9] - [10] - [11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12] - [13].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,8 %), zones agricoles hétérogènes (25,7 %), zones urbanisées (17,2 %), forêts (0,3 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Auzances est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 37,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 633 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 86 sont en en aléa moyen ou fort, soit 14 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Auzances est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].
Géologie
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[20].
Toponymie
Hydronyme pré-celtique alz- et le suffixe locatif -antia.
Ausancia : XIe s.
La toponymie suppose une agglomération d'origine pré-gallo-romaine.
Histoire
Auzances fut une des cinq châtellenies de la baronnie des Combrailles dont la capitale était à Chambon-sur-Voueize. Le territoire combraillais occidental fut rattaché au comté d'Auvergne par le mariage de Péronnelle de Chambon avec le comte Guy II d'Auvergne. Peu après l'annexion de l'Auvergne par le roi de France Philippe-Auguste contre lequel le comte Guy II s'est battu, Péronnelle se retrouve sans ressources et une fois veuve, rejoint la Chartreuse de Port Sainte-Marie. Elle demande au pape de récupérer une part de ses terres d'autrefois. Ce dernier lui accorde grâce à la médiation du roi Saint Louis le retour de la ville d'Auzances pour son bien[21]. La guerre de Cent Ans marque la prise de la place forte médiévale par les Anglais en 1357.
- Le château fut démoli en 1830.
Les Hospitaliers
Courleix, aujourd'hui le Pont de Courleix sur la rive droite de la Noisette, fut une paroisse et un membre de la commanderie hospitalière de Tortebesse au grand prieuré d'Auvergne[22]. L'église paroissiale dont il ne subsiste plus rien était sous le vocable de Saint-Eustache. Elle est supprimée en 1784, unie à celle d'Auzances[23].
Politique et administration
Liste des maires
À l'issue des élections municipales de mars 2008, André Vénuat a été réélu maire de la commune[24] par le nouveau conseil municipal.
Jumelages
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2020, la commune comptait 1 201 habitants[Note 5], en diminution de 6,75 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Jacques-le-Majeur (XIIIe siècle - XVe siècle) relevant de la prévôté d'Évaux : berceau en plein cintre de la nef à deux travées, chœur à voûtes d'ogives, collatéraux, chapiteaux intéressants, clocher du XVe siècle à deux étages ouvrant sur la nef ; pietà en pierre polychrome du XVIe siècle.La maison des Archives en cours de rénovation.
- Chapelle Sainte-Anne du XVIe siècle.
- Chapelle Sainte-Marguerite du XVIIe siècle : clocheton au pignon.
- La Maison des archives du XIVe siècle en pleine rénovation depuis 2005, est une demeure privée qui mérite une visite. Au rez-de-chaussée, un pilier central supporte 4 ogives bas cintre, avec une voûte croisée. Un gros travail de restauration est en cours. La mairie d'Auzances, est souvent sollicitée pour les travaux, tout comme l'équipe des monuments historiques. Cette demeure pourrait être classée, il n'en est rien, le propriétaire refuse tout classement.
Personnalités liées à la commune
- Jean Beaufret (né à Auzances en 1907 - mort à Paris en 1982), philosophe, disciple de Martin Heidegger, a donné son nom au collège d'Auzances.
- Auguste Léon Chambonnet est un homme politique français né le à Auzances, décédé le à Aubusson. Il s'installe comme vétérinaire à Aubusson après la première guerre mondiale. Jusque dans les années 1950, il exerce différentes fonctions dans le monde agricole. Il enseignera à l'école d'agriculture de Crocq puis à celle d'Ahun pendant plusieurs années. Député (1936-1938) puis sénateur radical-socialiste (1938-1942) de la Creuse.
- Jean Taillandier, né le à Auzances. Ancien gardien de but du Racing Club de France football, du Racing Club de Lens et de l'AS Cannes.
Héraldique
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Les armoiries d'Auzances se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- site de la mairie
- Auzances sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Notes
Références
- Paul-Louis Grenier, Lo Bon Duc, in Chansó de Combralha, éditions Occitania, Toulouse / Paris, 1927, p. 107, [lire en ligne]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 23013001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune d'Auzances », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Auzances », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- « Didacticiel de la règlementation parasismique > Département : 23 > Commune : AUZANCES - Le Plan Séisme », sur www.planseisme.fr (consulté le ).
- Pierre Rigaud, « Originalité de la zone entre Berry, Bourbonnais, Marche et Auvergne : La Combraille », Médioromanie - Etudes sur la France médiane - Numéro 1 - Acte des 1ères rencontres médioromanes de Souvigny (27-28 Mai 2000),‎ 2000 ; éd. 2001.
- Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 143, lire en ligne sur Gallica.
- Ambroise Tardieu, Grand dictionnaire historique, généalogique et biographique de la Haute-Marche : département de la Creuse, , 431 p. (lire en ligne), p. 93Dans Histoire de la ville du pays et de la baronnie d'Herment, en Auvergne, 1866, p. 252 du même auteur, il est écrit que Courleix faisait partie de la paroisse de Dontreix. Peut-être avant la création de la paroisse par les Hospitaliers?.
- « Source : préfecture de la Creuse »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.