Apiaceae
Umbelliferae ⹠Apiacées, OmbellifÚres
RĂšgne | Plantae |
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Sous-rĂšgne | Tracheobionta |
Division | Magnoliophyta |
Classe | Magnoliopsida |
Sous-classe | Rosidae |
Ordre | Apiales |
Les Apiaceae, en français Apiacées, anciennement Umbelliferae, les OmbellifÚres, sont une famille de plantes dicotylédones présentant quatre caractéristiques[1] :
- Leur inflorescence, typique, est une ombelle d'oĂč l'appellation dâOmbellifĂšres ou Umbelliferae, nom alternatif ; cependant quelques espĂšces de la famille ne forment pas d'ombelles ;
- Feuilles alternes, composĂ©es, pennĂ©es, au pĂ©tiole engainant au niveau des nĆuds ;
- Tige creuse et dotée de canaux sécréteurs de résines et d'essences odorantes ;
- Fruits secs doubles (dénommés diakÚnes).
Cette famille relativement homogĂšne, Ă rĂ©partition cosmopolite, comprend prĂšs de 3 500 espĂšces rĂ©parties en 463 genres[2], surtout prĂ©sentes dans les rĂ©gions tempĂ©rĂ©es du monde. C'est l'une des plus importantes familles de plantes Ă fleurs, aprĂšs les Orchidaceae, les Asteraceae et les Fabaceae par le nombre d'espĂšces. Plusieurs de ces espĂšces sont des lĂ©gumes ou donnent des condiments apprĂ©ciĂ©s, mais quatre sont mortellement toxiques comme la Grande ciguĂ«, la Petite ciguĂ«, l'Ćnanthe safranĂ©e et le Cerfeuil des fous.
Taxonomie
Ătymologie
Le nom gĂ©nĂ©rique dâApium (qui dĂ©signait dans l'antiquitĂ© le cĂ©leri) est originellement utilisĂ© par Pline l'Ancien vers 50 apr. J.-C. pour dĂ©signer des plantes ressemblant au cĂ©leri[3]. Les Apiaceae, dĂ©crites pour la premiĂšre fois par le botaniste John Lindley en 1836, ont un nom scientifique latin qui dĂ©rive du nom du genre type Apium par suffixation -Äceae, pluriel fĂ©minin du latin -Äceus « ressemblance »[4].
Umbelliferae (du latin umbella, ombrelle qui vient de umbra ombre) est un nom alternatif de cette famille, basĂ© sur la structure des inflorescences disposĂ©es en ombelle qui les font ressembler Ă des ombrelles. Cependant, lâappellation n'Ă©tant pas basĂ©e sur un nom de genre, on lui a prĂ©fĂ©rĂ© Apiaceae, conformĂ©ment au code international de nomenclature botanique, Umbelliferae (OmbellifĂšres) faisant partie des noms dits nomen conservandum, c'est-Ă -dire « nom devant ĂȘtre conservĂ© »[Note 1].
En 1672 le botaniste Robert Morison publia un ouvrage sur les OmbellifÚres, premiÚre monographie consacrée à une famille de végétaux, intitulée Plantarum umbelliferarum distribution nova[5].
Synonymes
Selon Catalogue of Life (5 mars 2021)[6] :
- Coriandraceae Burnett
- Sileraceae Bercht. & J.Presl
- Eryngiaceae Bercht. & J.Presl
- Actinotaceae Konstant. & Melikyan
- Imperatoriaceae Martinov
- Ammiaceae Bercht. & C.Presl
- Angelicaceae Martinov
- Smyrniaceae Burnett
- Ferulaceae Sacc.
- Saniculaceae Bercht. & J.Presl
- Caucalidaceae Bercht. & J.Presl
- Scandicaceae Bercht. & J.Presl
- Lagoeciaceae Bercht. & J.Presl
- Selinaceae Bercht. & J.Presl
- Bupleuraceae Bercht. & J.Presl
- Umbelliferae Juss.
- Mackinlayaceae Doweld
- Pastinacaceae Martinov
- Pimpinellaceae Bercht. & J.Presl
- Daucaceae Martinov
- Actinotaceae A. I. Konstant. & Melikyan
- Ammiaceae Bercht. & J. Presl
- Angelicaceae Martinov
- Daucaceae Martinov
- Ferulaceae Sacc.
- Saniculaceae Bercht. & J. Presl
- Umbelliferae Juss., nom. cons.
Caractéristiques générales
Appareil végétatif
La famille des Apiacées compte principalement des plantes herbacées annuelles souvent odorantes, bisannuelles ou vivaces, mais aussi quelques arbres et arbustes.
Leur appareil souterrain pérennant est trÚs varié : racine pivotante, rhizome ou tubercule.
Leur tige noueuse est souvent cannelée (sillons dans le sens de la longueur, cette forme étant due à des faisceaux de collenchyme sous-épidermiques qui parcourent la tige sur toute sa longueur) et devient généralement creuse par résorption de la moelle.
Des canaux sécréteurs d'essences et de résines circulent dans les racines et les tiges, faisant de la majorité des Apiaceae des plantes aromatiques à l'odeur caractéristique forte lorsqu'on les froisse ou on les broie.
Les feuilles sont alternes, sans stipules, à pétiole engainant partiellement la tige, et le plus souvent composées pennées à folioles finement découpées. Quelques rares espÚces ont cependant des feuilles entiÚres (buplÚvre par exemple)[8].
Abandonnant les alcaloïdes et les iridoïdes auxquels les prédateurs ont eu le temps de s'adapter, cette famille est la premiÚre avec les Asteraceae à développer deux nouvelles classes de repellents, les lactones sesquiterpéniques[9] et les polyacétyléniques (dérivés de polyacétylÚne et substances biogénétiquement apparentées) qui ont notamment des propriétés cytotoxiques, antimicrobiennes, anti-inflammatoires, neurotoxiques et phototoxiques[10].
Appareil reproducteur
L'inflorescence typique des ApiacĂ©es, justement appelĂ©es ombellifĂšres, est l'ombelle qui peut ĂȘtre simple ou le plus souvent composĂ©e d'ombellules. Elle est parfois condensĂ©e en un capitule (Panicaut, Astrance). Les ombelles sont souvent munies Ă leur base d'un involucre formĂ© de 1 Ă 20 bractĂ©es parfois ramifiĂ©es (bractĂ©es foliacĂ©es) divisĂ©es en segments allongĂ©s. Ces bractĂ©es peuvent devenir Ă©pineuses (Panicaut) ou pĂ©taloĂŻdes (Astrance). Les fleurs, gĂ©nĂ©ralement de petite taille due Ă l'inflorescence relativement condensĂ©e, Ă symĂ©trie pentamĂšre, sont le plus souvent blanches ou jaunĂątres, quelquefois rougeĂątres comme la fleur centrale de l'ombelle de carotte. L'ombelle est en effet souvent polygame, ce qui se traduit par un dimorphisme floral[11] : les fleurs centrales sont bisexuĂ©es ou femelles et actinomorphes, les fleurs pĂ©riphĂ©riques sont mĂąles ou stĂ©riles et zygomorphes, avec une corolle plus dĂ©veloppĂ©e (Berce, Coriandre), contribuant Ă faire de l'ombelle une simili-fleur. Les pĂ©riphĂ©riques servent essentiellement d'organes d'attraction pour les insectes pollinisateurs et les centrales sont surtout rĂ©servĂ©es Ă la reproduction. Le pĂ©rianthe est constituĂ© d'un calice Ă 5 sĂ©pales minuscules ou absents[12] (perte Ă©volutive), et d'une corolle Ă 5 pĂ©tales libres caducs, parfois Ă©chancrĂ©s. L'androcĂ©e est isostĂ©mone, avec 5 Ă©tamines alternipĂ©tales, Ă filets libres, et avec des anthĂšres Ă dĂ©hiscence longitudinale. La protandrie favorise la fĂ©condation croisĂ©e. Le gynĂ©cĂ©e comprend deux carpelles antĂ©ro-postĂ©rieurs, soudĂ©s en un ovaire infĂšre. L'ovaire porte deux styles qui s'Ă©largissent Ă la base en un disque ou coussinet nectarifĂšre (stylopode). Les fruits secs appelĂ©s Ă tort « graines », sont des schizocarpes qui se scindent en deux Ă maturitĂ© (diakĂšnes), chaque partie (akĂšne souvent suspendu au bout d'une columelle bifide) appelĂ©e mĂ©ricarpe contenant une graine. Les mĂ©ricarpes sont toujours plus ou moins cĂŽtelĂ©s (5 cĂŽtes primaires par mĂ©ricarpe). Les fruits sont trĂšs diversifiĂ©s par leurs formes externes : prĂ©sence de crochets ou d'Ă©pines, de protubĂ©rances ou de poils, parfois d'ailes, qui sont importants Ă observer pour la dĂ©termination des espĂšces[8].
- Racine de persil.
- Ombelle composée.
- Le rÎle de la fleur centrale stérile, d'un pourpre foncé, reste encore débattu[13].
- La grande astrance.
Liste des sous-familles, tribus et sous-tribus
Selon GRIN (5 mars 2021)[7], la famille des Apiaceae comprend trois sous-familles, vingt-cinq tribus et cinq sous-tribus :
- sous-famille Apioideae
- tribu Aciphylleae
- tribu Annesorhizeae
- tribu Apieae
- tribu Bupleureae
- tribu Careae
- tribu Chamaesieae
- tribu Choritaenieae
- tribu Coriandreae
- tribu Echinophoreae
- tribu Erigenieae
- tribu Heteromorpheae
- tribu Komarovieae
- tribu Lichtensteinieae
- tribu Marlothielleae
- tribu Oenantheae
- tribu Phlyctidocarpeae
- tribu Pimpinelleae
- tribu Pleurospermeae
- tribu Pyramidoptereae
- tribu Saniculeae
- tribu Scandiceae
- sous-tribu Daucinae
- sous-tribu Ferulinae
- sous-tribu Scandicinae
- sous-tribu Torilidinae
- tribu Selineae
- tribu Smyrnieae
- tribu Steganotaenieae
- tribu Tordylieae
- sous-tribu Tordyliinae
- sous-famille Azorelloideae
- sous-famille Mackinlayoideae
Catalogue of Life (5 mars 2021)[6] ajoute la sous-famille des Hydrocotyloideae.
RĂ©partition
La famille des Apiaceae est présente dans tous les continents habités, mais surtout dans les régions tempérées, spécialement de l'Ancien Monde.
En France, cette famille regroupe en particulier : l'anis vert, l'aneth, la berce, la carotte, le cerfeuil, le cĂ©leri, le persil, le panais, le fenouil, la coriandre, la livĂšche, le cumin, l'angĂ©lique, la criste marine, mais aussi : la ciguĂ«, le SĂ©sĂ©li tortueux, les panicauts, les Ćnanthes, les buplĂšvres, les aches, les lasers et le moloposperme du PĂ©loponnĂšse.
Utilisation
Plantes alimentaires
- Daucus carota, la Carotte,
- Pastinaca sativa, le Panais,
- Apium graveolens, le CĂ©leri,
- Foeniculum vulgare, le Fenouil,
- Aegopodium podagraria, l'Ăgopode podagraire[14],
- Smyrnium olusatrum, le Maceron,
- Chaerophyllum bulbosum, le Cerfeuil tubéreux (uniquement la racine).
Ces plantes peuvent ĂȘtre confondues avec des Apiaceae toxiques mortelles : Conium maculatum (grande ciguĂ« mortelle Ă petit dose), Aethusa cynapium (petite ciguĂ«), Cicuta virosa (ciguĂ« aquatique), Oenanthe crocata (Ćnanthe safranĂ©e), Ferula communis (FĂ©rule). Un moyen mnĂ©motechnique de les distinguer en France est : « s'il y a des poils, c'est au poil », les ombellifĂšres toxiques mortelles n'Ă©tant pas poilues[15]. Ce moyen mnĂ©motechnique est juste indicatif car les dangers de confusion restent forts et le cueilleur ne doit pas oublier la possible existence d'exceptions : certaines ombellifĂšres poilues, sans ĂȘtre mortelles, sont toxiques (par exemple les chĂ©rophylles, dont les feuilles et les tiges sont toxiques, et prĂ©sentent des poils). Il arrive de plus que les informations rapportant la toxicitĂ© de diverses plantes de cette famille, dont les chĂ©rophylles, proviennent de confusions avec des OmbellifĂšres toxiques comme la Grande ciguĂ«[16] - [17].
Condiments et Ă©pices
Plantes médicinales
- Foeniculum vulgare, le Fenouil
- Anethum graveolens, l'Aneth
- Angelica sylvestris, l'Angélique des bois,
- Centella asiatica
- Peucedanum ostruthium, l'Impératoire ou Benjoin
Plantes ornementales
- Astrantia major, la Grande Astrance
- Orlaya grandiflora, l'Orlaya Ă grandes fleurs
- Daucus decipiens, le Persil de MadĂšre
Autres
Pharmacopée
Lâhyperpigmentation provoquĂ©e par lâapplication de certaines Rutaceae et Apiaceae riches en furanocoumarines a Ă©tĂ© mise Ă profit par les Ăgyptiens, la mĂ©decine ayurvĂ©dique et Dioscoride pour traiter le psoriasis, le vitiligo et dâautres affections dermatologiques. La mĂ©decine contemporaine a repris ces pratiques anciennes pour traiter les mĂȘmes affections. Cette photochimiothĂ©rapie (PUVAthĂ©rapie) consiste en lâingestion par le patient dâune dose voisine de 0,6 mg/kg de xanthotoxine et ensuite, il doit ĂȘtre soumis Ă une exposition contrĂŽlĂ©e de rayons UV longs (320-380 nm) (BĂ©ani, 1991). Cette pratique nâest pas sans risque et peut ĂȘtre la cause de cancĂ©rogenĂšse, si lâon considĂšre la photosensibilisation de ces furanocoumarines en cas dâexposition solaire (Lindelöf et al., 1991). La prĂ©sence de ces furanocoumarines dans lâhuile essentielle de Citrus aurantium L. ssp. bergamia Engler, a poussĂ© lâUnion EuropĂ©enne, en , Ă interdire la commercialisation des prĂ©parations destinĂ©es Ă accĂ©lĂ©rer le bronzage et dont la teneur en bergaptĂšne dĂ©passait 0,2 %(FollĂ©a, 1995 ; Bruneton, 2001).
Calendrier
Dans le calendrier républicain, Ciguë était le nom donné au 14e jour du mois de germinal[18].
Notes et références
Notes
- Selon le « Code international de Nomenclature botanique »
- Art. 21. Les familles sont dĂ©signĂ©es par le nom d'un de leurs genres anciens noms gĂ©nĂ©riques avec la dĂ©sinence -aceĆ.
- Art. 22. -Toutefois les noms suivants, consacrés par un long usage, font exception à la rÚgle : Compositae (Composées), Cruciferae (CrucifÚres), Gramineae (Graminées), Guttiferae, Labiatae (Labiacées, labiées ou lamiacées), Leguminosae (Légumineuses), Palmae, Umbelliferae (OmbellifÚres)
Références
- Le Chemin de la Nature, « La famille de la carotte, les confusions possibles » (consulté le ).
- (en) Anthony R. Magee & al., « New tribal delimitations for the early diverging lineages of Apiaceae subfamily Apioideae », Taxon, vol. 59, no 2,â , p. 567.
- (en) David Gledhill, The Names of Plants, Cambridge University Press, , p. 52
- (en) Theodore Savory, Naming the Living World, Wiley, , p. 96
- (en) John Hutchinson, The Families of Flowering Plants, Clarendon Press, , p. 9
- Catalogue of Life Checklist, consulté le 5 mars 2021
- USDA, Agricultural Research Service, National Plant Germplasm System. Germplasm Resources Information Network (GRIN-Taxonomy). National Germplasm Resources Laboratory, Beltsville, Maryland., consulté le 5 mars 2021
- Jean-Claude Rameau, Dominique Mansion et GĂ©rard DumĂ©, Flore forestiĂšre française. Plaines et collines, ForĂȘt privĂ©e française, , p. 719.
- Frédéric Dupont et Jean-Louis Guignard, Botanique. Les familles de plantes, Elsevier Masson, , p. 266-267.
- (en) Christian Zidorn, Karin Jöhrer, Markus Ganzera, Birthe Schubert, Elisabeth Maria Sigmund, Judith Mader, Richard Greil, Ernst P. Ellmerer & Hermann Stuppner, « Polyacetylenes from the Apiaceae Vegetables Carrot, Celery, Fennel, Parsley, and Parsnip and Their Cytotoxic Activities », J. Agric. Food Chem., vol. 53, no 7,â , p. 2518â2523 (DOI 10.1021/jf048041s).
- Michel Botineau, Botanique systématique et appliquée des plantes à fleurs, Lavoisier, , p. 1085.
- Les sépales sont absents ou trÚs réduits du fait que le calice est presque complÚtement soudé à l'ovaire
- Guide de nectar attirant les pollinisateurs ? RĂ©duction d'infestation par des insectes parasites en mimant une galle dĂ©jĂ prĂ©sente, ce qui dissuade ces insectes de pondre dessus ? Cf (en) Sabrina Polte, Klaus Reinhold, « The function of the wild carrot's dark central floret: attract, guide or deter ? », Plant Species Biology, vol. 28, no 1,â , p. 81â86 (DOI 10.1111/j.1442-1984.2012.00368.x).
- Heidi Collombier, « La cuisine Sauvage », 2008-2010 (consultĂ© le ) : « Tendres et aromatiques, les jeunes feuilles dâĂ©gopode font de trĂšs bonnes salades, de savoureux lĂ©gumes cuits Ă la vapeur ou de succulents soufflĂ©s. »
- Christophe de Hody, Cueilleur urbain. à la découverte des plantes sauvages et comestibles dans la ville, Arthaud, , p. 54.
- François Couplan, Le régal végétal, Editions Ellebore, , p. 458.
- CĂ©cile Lemoine, Les plantes toxiques, Paris, Ăditions Jean-Paul Gisserot, coll. « Gisserot-nature », , 31 p. (ISBN 2-87747-756-8, SUDOC 079184820), p. 10.
- Ph. Fr. Na. Fabre d'Ăglantine, Rapport fait Ă la Convention nationale dans la sĂ©ance du 3 du second mois de la seconde annĂ©e de la RĂ©publique Française, p. 25.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- (en) Boris Lariushin, Apiaceae Family, Volume 1, Lulu.com, (lire en ligne)
- (en) Boris Lariushin, Apiaceae Family, Volume 2, Lulu.com, (lire en ligne)
- Les OmbellifÚres de France, tomes I, II, III, IV, V, Jean-Pierre Reduron, édité par la Société botanique du Centre-Ouest (2007)
- LĂ©on GĂ©neau de LamarliĂšre, Recherches morphologiques sur la famille des ombellifĂšres, suivi de Recherches physiologiques sur les ombellifĂšres, Le Bigot FrĂšres, 1893, 200 pages
- Paloma Filliat, Les plantes de la famille des Apiacées dans les troubles digestifs, Sciences pharma-ceutiques, (lire en ligne [PDF]).
Liens externes
- (fr) Référence Belles fleurs de France : Apiaceae
- (fr) Référence Belles fleurs de France 2 : Apiaceae
- (en) Référence Flora of China : Apiaceae
- (en) Référence Madagascar Catalogue : Apiaceae
- (en) Référence Madagascar Catalogue : Umbelliferae
- (en) Référence Flora of Chile : Apiaceae
- (en) Référence GRIN : famille Apiaceae Lindl., nom. cons. (+liste des genres contenant des synonymes) (consulté le )
- (en) Référence Angiosperm Phylogeny Website : Apiaceae ( )
- (en) Référence Tree of Life Web Project : Apiaceae
- (en) Référence Catalogue of Life : Apiaceae Lindl. (consulté le )
- (fr) Référence Tela Botanica (France métro) : Apiaceae
- (en) Référence BioLib : Apiaceae Lindl.
- (en) Référence Paleobiology Database : Umbelliferae de Jussieu
- (fr+en) Référence ITIS : Umbelliferae Non valide
- (fr+en) Référence ITIS : Apiaceae
- (en) Référence NCBI : Apiaceae (taxons inclus)
- (en) Référence DELTA Angio : Umbelliferae
- Flore du CRDP de Besançon (fr)
- Flore photographique régionale (fr)