Ambrugeat
Ambrugeat (Ambrujac en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Ambrugeat | |||||
Croix du XVIe siècle à Besse. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Ussel | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté | ||||
Maire Mandat |
Michel Saugeras 2020-2026 |
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Code postal | 19250 | ||||
Code commune | 19008 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ambrugeacois | ||||
Population municipale |
207 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 31′ 38″ nord, 2° 07′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 614 m Max. 972 m |
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Superficie | 29,57 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Ussel (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Plateau de Millevaches | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Le village d'Ambrugeat appartient au canton de Meymac et à l'arrondissement d'Ussel. Il est bordé, notamment, par le lac de Sèchemaille. Sur la commune est située la source du ruisseau de la Prade, branche mère de la Dadalouze.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].
En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales.
Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meymac », sur la commune de Meymac, mise en service en 1963[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 268 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 62 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Ambrugeat est une commune rurale[Note 5] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Ussel, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,2 %), prairies (13 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,4 %), eaux continentales[Note 7] (1,4 %), zones humides intérieures (0,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ambrugeat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau d'Ambrugeat, la rivière la Soudeillette et la Dadalouze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999, 2001 et 2021[22] - [20]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Altillac - Bassin de la Dordogne », approuvé le [23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 23,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 221 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 32 sont en en aléa moyen ou fort, soit 14 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1994 et par des mouvements de terrain en 1999[20].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval des barrages de Bort-les-Orgues, du Chastang, de Marcillac, d'Enchanet, de Hautefage et de Saint-Étienne-Cantalès, des ouvrages de classe A[Note 8] soumis à PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[27].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Ambrugeat est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Histoire
- 1308 : l'évêque de Saint Léonard de Noblat met fin aux querelles entre les deux curés d'Ambrugeat.
- 1370 : la totalité des terres de Barsanges est rattachée à la paroisse d'Ambrugeat.
- 1436 : Pierre de Coux est curé prieur d'Ambrugeat.
- 1453 : le roi Charles VII fait renforcer le château d'Ambrugeat.
- 1502 : Huges de Beynette fonde une vicairerie à l'autel de la Vierge et une communauté de quinze prêtres est installée à Beynat d'Ambrugeat.
- 1554 : François Granier est prieur d'Ambrugeat.
- 1558 : il est procédé à l'arpentage de la commune.
- 1592 : le roi Henri IV reçoit le soutien du seigneur d'Ambrugeat.
- 1598 : des recherches sont effectuées sur les titres de noblesse d'Ambrugeat.
- 1599 : Murat Antoine est curé d'Ambrugeat
- 1647 : Gilbert du Boucheron vend les cens rentes justices haute et basse et moyenne du village de Besse d'Ambrugeat.
Politique et administration
Démographie
Les habitants sont appelés les Ambrugeacois et les Ambrugeacoises[29] - [30].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2020, la commune comptait 207 habitants[Note 9], en augmentation de 5,08 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- À l'entrée de la commune, château d'Ambrugeat datant des XIIe – XVIe siècles, fortifié en 1444 par Jacques de Valon avec la permission de Charles VII[35]. Le château, transformé en ferme, a gardé une tour.
- Au centre du village, l'église Saint-Éloi et Saint-Martin du XIIIe siècle, remarquable avec son clocher pignon triangulaire à trois baies cintrées du XVIe siècle ; à l’intérieur derrière l'autel, se trouve un grand retable du XVIIIe siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[36].
Quelques monuments de la commune :
- À Besse : croix de granite du XVIe siècle
- Lafond et Besse : maisons du XVIIe siècle
- Croix du village de Lafond[37]
- Bac en pierre, très ancien, accolé à la maison Chassagnac, au milieu du village de Beynat[38]. Marius Vazeilles, érudit local, signale ce bac-lavoir très ancien[39].
- Dans ce même village, il existe deux autres bacs remarquables. Le deuxième est situé dans le four à pain, très ancienne construction de la maison Madesclaire-Aumarchand. Le troisième est installé sur la terrasse de la maison des familles Chèze Sailly Chassagnac. Ce dernier bac, en granite, d'un diamètre de 0,90 cm et d'une hauteur de 0,95 cm de forme ronde est entièrement taillé à la main. Il constitue manifestement une pièce très ancienne d'une incontestable valeur archéologique.
- Retable du XVIIIe siècle.
- Croix de Besse (détail).
- Linteau XVIIe (maison Mazaud à Besse).
Personnalités liées à la commune
- Jean-Martin Darche, (famille d'Arche de Pessan), seigneur d'Ambrugeat, lieutenant-général du Présidial de Tulle en 1749.
- Martial Brigouleix (1903-1943), alias Beaudouin, résistant, Compagnon de la Libération, assassiné comme otage par les Allemands le au mont Valérien[40].
- André Désassis (dit « Darius »), résistant martyr né en 1920 au village de Lassagne et mort en avril 1944 après un emprisonnement douloureux à la prison de Limoges. Il prit contact avec Georges Guingouin pour fonder les premières troupes FTP (Francs-tireurs et partisans). Un monument a été érigé à sa mémoire sur la place d'Ambrugeat ; une cérémonie a lieu tous les lundis de Pâques pour rappeler ses engagements en présence, en particulier, de l'Association nationale des anciens combattants de la Résistance (ANACR) et du maire de la commune.
- Bernard Mazaud (1923-2013) peintre-mosaïste et ancien résistant. Le département de la Corrèze lui consacre une exposition au château de Sédières pendant l’été 2020[41].
Héraldique
Blasonnement :
d'or à trois lions de gueules posés 2 et 1. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à l'architecture :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Ambrugeat sur le site de l'Institut géographique national
- Ambrugeat sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Meymac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ambrugeat et Meymac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Meymac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Ambrugeat et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune d'Ambrugeat », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « PPRI Altillac - Bassin de la Dordogne », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Ambrugeat », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- « Ville d'Ambrugeat », sur conseil-general.com (consulté le ).
- Les gentilés de Corrèze
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Marie-Madeleine Macary, Châteaux en Limousin. La Corrèze, Limoges, éditions René Dessagne, 1972 (BNF 34703389) — p. 10.
- « Eglise paroissiale Saint-Salvy, Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Le village est orthographié avec un « d ». Il existe plusieurs orthographes (LAFOND, LAFON, LAFONT). Quasiment tous ses habitants préfèrent et écrivent LAFONT, faisant référence à la fontaine commune où, jadis, ils allaient quérir chaque jour de l'eau.
- Le 8 août 2010, une petite fête a été organisée pour la mise en valeur de ce bac.
-
« Je n'en connais qu'un autre semblable à Feyssaguet de Saint-Setiers. Mais cette dernière pierre lavoir était à l'origine circulaire ; celle de Beynat est rectangulaire. »
- Fiche biographique sur le site de l'ordre de la Libération.
- Voir sur correze.fr.