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Davignac

Davignac (Davinhac en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Davignac
Davignac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Ussel
Intercommunalité Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté
Maire
Mandat
Patrice Barbe
2020-2026
Code postal 19250
Code commune 19071
Démographie
Gentilé Davignacois - Davignacoises
Population
municipale
211 hab. (2020 en diminution de 7,46 % par rapport à 2014)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 29′ 09″ nord, 2° 05′ 40″ est
Altitude Min. 566 m
Max. 944 m
Superficie 30,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Plateau de Millevaches
Législatives Première circonscription
Localisation
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Davignac
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Davignac
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Davignac
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Davignac

    Ses habitants sont appelés les Davignacois et Davignacoises[1].

    Géographie

    Entrée du village.

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière Soudeillette (au pont du Gourgeat)[2] affluent de la Luzège et ses propres affluents le Mas[3], le Jacquet[4], le Rouffiat[5] et le Tauvelou[6], mais aussi la Dadalouze[7] affluent de la Corrèze et ses propres affluents le ruisseau de Pierre dure[8], le ruisseau de la Prade grande[9] et le ruisseau de Jama[10].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Davignac
    Bonnefond Ambrugeat
    Péret-Bel-Air Davignac Maussac
    Soudeilles
    Panorama du village.

    Transports

    L'autoroute A89 passe en limite sud de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]

    • Moyenne annuelle de température : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 183 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meymac », sur la commune de Meymac, mise en service en 1963[17] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[18] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 268 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 57 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,7 °C pour 1981-2010[22], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[23].

    Urbanisme

    Typologie

    Davignac est une commune rurale[Note 5] - [24]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[25] - [26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27] - [28].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), prairies (16,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %), zones humides intérieures (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %)[29].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 128 lieux-dits administratifs[Note 6] répertoriés consultables ici[30]

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Davignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tulle-Brive, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Corrèze et de la Vézère (17 dans la Corrèze et trois dans la Dordogne), un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[33]. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2001[35] - [31]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Corrèze et affluents du bassin de Brive-la-Gaillarde », approuvé le [36].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Davignac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 14,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 212 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 14 sont en en aléa moyen ou fort, soit 7 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[31].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Davignac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[39].

    Histoire

    Au Moyen Âge, Davignac constituait un bourg important dont le château constituait un chef lieu de châtellenie. Il fut résidence d'été des Ventadour au début du XIVe siècle.

    Héraldique

    Blason de Davignac Blason
    Inconnu.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    La Mairie.
    Le monument aux morts.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1935 1939 Baptiste Bunisset SFIC
    1944 1947 Baptiste Bunisset PCF
    mars 1965 décembre 1999 Joseph Lacassagne[40] PCF Paysan
    janvier 2000 mars 2008 Patrick Bordas PCF
    mars 2008 mai 2020 Daniel Caraminot[41] PCF Retraité de l'enseignement
    2020 En cours Patrice Barbe Technicien forestier à la retraite
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].

    En 2020, la commune comptait 211 habitants[Note 7], en diminution de 7,46 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    910595645746681807817838840
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9009479309561 0031 0471 1021 0801 085
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0651 102979751715754764590463
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    355360307279289272256240213
    2020 - - - - - - - -
    211--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Activité minière

    La commune possédait une mine d'extraction d'uranium à ciel ouvert (1979-1989) mais elle ne comportait localement aucun traitement des minerais.

    Tous ces nombreux sites de Corrèze, Haute-Vienne et Cantal sont à l'origine du développement de l'industrie nucléaire en France[46].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Galerie

    • L'église.
      L'église.
    • L'église
      L'église
    • La chapelle du cimetière.
      La chapelle du cimetière.
    • L'église et le château.
      L'église et le château.
    • L'église, le château et le monument.
      L'église, le château et le monument.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[14].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations, un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Les gentilés de Corrèze
    2. Le saulière sur le site du Sandre
    3. Le mas sur le site du Sandre
    4. Le jacquet sur le site du Sandre
    5. Le rouffiat sur le site du Sandre
    6. Le tauvelou sur le site du Sandre
    7. La dadalouze sur le site du Sandre
    8. Le ruisseau de pierre dure sur le site du Sandre
    9. Le ruisseau de la prade grande sur le site du Sandre
    10. Le ruisseau de Jama sur le site du Sandre
    11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    12. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    14. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    17. « Station Météo-France Meymac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    18. « Orthodromie entre Davignac et Meymac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Meymac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Davignac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    24. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    30. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en )
    31. « Les risques près de chez moi - commune de Davignac », sur Géorisques (consulté le )
    32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    33. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    34. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tulle-Brive », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    36. « PPRI Corrèze et affluents du bassin de Brive-la-Gaillarde », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
    37. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    38. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Davignac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    39. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    40. ,
    41. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    46. La carte des sites miniers d'uranium de la base Mimausa (IRSN).
    47. L'église Saint-Saturnin sur la Base Mérimée.
    48. La Chapelle Notre-Dame sur la Base Mérimée.
    49. Le Château sur la Base Mérimée.
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