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Pérols-sur-Vézère

Pérols-sur-Vézère (Peròl en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.

Pérols-sur-Vézère
Pérols-sur-Vézère
Le pont de Variéras.
Blason de Pérols-sur-Vézère
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Ussel
Intercommunalité Communauté de communes Haute-Corrèze Communauté
Maire
Mandat
Alain Fonfrède
2020-2026
Code postal 19170
Code commune 19160
Démographie
Gentilé Pérolais - Pérolaises
Population
municipale
194 hab. (2020 en augmentation de 10,86 % par rapport à 2014)
Densité 4,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 13″ nord, 1° 58′ 50″ est
Altitude Min. 708 m
Max. 943 m
Superficie 46,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Plateau de Millevaches
Législatives Première circonscription
Localisation
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Pérols-sur-Vézère
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Pérols-sur-Vézère
Liens
Site web Le site de la commune

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Pérols-sur-Vézère
    Toy-Viam Saint-Merd-les-Oussines
    Bugeat Pérols-sur-Vézère Meymac
    Gourdon-Murat Bonnefond Ambrugeat

    Commune du Massif central située sur le plateau de Millevaches dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

    Comme son nom l'indique, la commune est baignée par la Vézère qui, au nord-ouest, la sépare de la commune de Bugeat. Elle est également arrosée par trois affluents de la Vézère, la Corrèze qui prend sa source sur le territoire communal, le ruisseau d'Orluc et la rivière d'Ars ainsi que par les deux principaux affluents de l'Ars, le ruisseau des Maisons et le ruisseau de Barsanges.

    La rivière d'Ars.

    Transports

    La commune est desservie par deux gares ferroviaires situées sur la ligne Limoges − Ussel :

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 8,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 416 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bugeat », sur la commune de Bugeat, mise en service en 1996[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 9,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 599,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987 et à 59 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Pérols-sur-Vézère est une commune rurale[Note 5] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,1 %), prairies (17 %), zones agricoles hétérogènes (9,6 %), zones humides intérieures (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Pérols-sur-Vézère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère, la rivière la Soudeillette, l'Ars, le ruisseau des Maisons, le ruisseau de Pérols, le ruisseau des Rochers et la Corrèze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[22] - [20]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pérols-sur-Vézère.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 25,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 256 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 91 sont en en aléa moyen ou fort, soit 36 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 6] situé dans le Cantal et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[27]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Pérols-sur-Vézère est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

    Histoire

    On rassemble ici sous le nom de « villages » tous les lieux habités : chef-lieu, hameaux, écarts. Les noms sont en gaulois, latin ou composés d'éléments combinés des deux langues. Ce qui donne une idée de l'époque de fondation des premières exploitations rurales permanentes dans la région avant la conquête de César (époque gauloise) et surtout après (époque gallo-romaine).

    Les noms désignent ici soit une situation géographique, une nature de terrain ou une particularité du paysage, soit le propriétaire fondateur de l’exploitation[30].

    • Le nom du chef-lieu.
    Pérols est latin : Petrariolum, « les rochers », première vision sans doute de la butte formant le centre du village, région de l'église et de la place avant aménagement par les hommes.

    Héraldique

    Blason de Pérols-sur-Vézère Blason
    D'or à un écureuil de gueules grimpant sur une branche de sinople posée en bande, feuillée et fruitée de même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Le monument aux morts.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 ? Josette Leblanc PCF
    Pierre Bataille
    En cours Alain Fonfrède[31] SE Agriculteur
    Vice-président de la communauté de communes

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33]. En 2020, la commune comptait 194 habitants[Note 7], en augmentation de 10,86 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7207385576186186636871 0141 118
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9629509189329851 1641 0501 0621 084
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0831 0931 005703677785715512562
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    459373297229214182183184186
    2014 2019 2020 - - - - - -
    175192194------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Le hameau de Barsanges

    Situé à 3 km au sud-est du village, de 1880 à 2014, le hameau de Barsanges avait sa propre gare située sur la Ligne du Palais à Eygurande - Merlines.

    • Ancienne carte postale du hameau de Barsanges en 1911.
      Ancienne carte postale du hameau de Barsanges en 1911.
    • Entrée du hameau de Barsanges.
      Entrée du hameau de Barsanges.
    • L'ancienne gare de Baranges fermée en 2025.
      L'ancienne gare de Baranges fermée en 2025.
    • Clocher-mur de l'église Saint-Léonard de Barsanges.
      Clocher-mur de l'église Saint-Léonard de Barsanges.
    • L'église Saint-Léonard et son porche de style roman.
      L'église Saint-Léonard et son porche de style roman.

    Galerie

    • La place de l'église.
      La place de l'église.
    • La nef de l'église.
      La nef de l'église.
    • Ancien puits public surmonté d'un calvaire.
      Ancien puits public surmonté d'un calvaire.
    • La croix sur le parvis de l'église.
      La croix sur le parvis de l'église.
    • Ancien four à pain dans le hameau d'Ars.
      Ancien four à pain dans le hameau d'Ars.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[26].
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Bugeat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Pérols-sur-Vézère et Bugeat », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Bugeat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Pérols-sur-Vézère et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Pérols-sur-Vézère », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    23. « PPRI Vézère », sur le site de la préfecture de Corrèze (consulté le )
    24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pérols-sur-Vézère », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    26. Article R214-112 du code de l’environnement
    27. « barrage de Monceaux la Virole », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    29. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    30. Source : Jean Mazaleyrat, professeur honoraire de la Sorbonne.
    31. Site de la préfecture, consulté le .
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Notice no PA00099826, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Notice no PA00099827, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Eglise paroissiale Saint-Côme, Saint-Damien », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    39. Notice no PA00099972, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Voir sur lamontagne.fr ;
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