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Éméville

Éméville est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Éméville
Éméville
L’église Saint-Léger.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC du pays de Valois
Maire
Mandat
Yvette Valun
2020-2026
Code postal 60123
Code commune 60207
Démographie
Gentilé Emévillois, Emévilloises
Population
municipale
286 hab. (2020 en diminution de 2,72 % par rapport à 2014)
Densité 155 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 16′ 50″ nord, 3° 01′ 43″ est
Altitude Min. 114 m
Max. 165 m
Superficie 1,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crépy-en-Valois
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
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Éméville
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Éméville
Liens
Site web https://www.emeville.com/

    Géographie

    Description

    Eméville est un village ruralpicard du Valois dans l'Oise, limitrophe du département de l'Aisne situé à km au nord-ouest de Villers-Cotterêts, 12 km au nord-est de Crépy-en-Valois, 21 km au sud-est de Compiègne et 24 km au sud-ouest de Soissons.

    Il est aisément accessible depuis la route nationale 2.

    Louis Graves indiquait en 1836 qu'Eméville était une « petite commune à territoire découvert, touchant à la forêt de Retz. Elle avait été réunie en1827 à celle de Vez, de laquelle une ordonnance royale du quinze septembre 1835 l'a séparée de nouveau. Il n'y a pas d'eau oourante [de rivière] dans l'étendue du pays. Le village, presque central, est formé de trois rues parallèles, liées par une communication transversale; il est bâti sur le sable[1] ».

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 747 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[8] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 717,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 56 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Éméville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,1 %), forêts (7,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 409, alors qu'il était de 399 en 2014 et de 378 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 85,3 % étaient des résidences principales, 10,2 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,9 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Éméville en 2019 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (87,2 % en 2014), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Éméville en 2019.
    Typologie Éméville[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 85,3 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,2 2,4 9,7
    Logements vacants (en %) 4,5 7,1 8,2

    Toponymie

    La localité a été dénomée Emevilla, Demeville, Demesville[1].

    Histoire

    Moyen Âge

    Selon Louis Graves, « Le duc d'Orléans était seigneur suzerain du lieu , mais il y avait des seigneurs fieffés dont l'un appelé Rolland, fonda en 1539, dans, la ville de Soissons, un établissement appelé le collège de Bauton, destiné à élever treize étudians ecclésiastiques ; la nomination aux bourses était dévolue aux seigneurs d'Eméville et de Vez, et à leur défaut aux abbés de Valsery ou du Lieu-Restauré, assistés des curés locaux[1] ».

    Les habitants ont largement participé à la grande Jacquerie au XIVe siècle[1].

    Époque contemporaine

    En 1836, la commune venait de disposer d'une école. Les habitants, essentiellement des bûcherons et des agriculteurs, jouissaient du droit de ramasser le bois mort dans la forêt de Retz et d'y faire paître les vaches et les ânes[1].

    Les carrières

    La commune d'Éméville reste fortement marquée par toute l'activité liée à l'extraction de la pierre. qui commence au milieu du XIXe siècle à la carrière de la Bouloye. Cette carrière est rachetée en 1910 par Léon Civet pour le compte de la société Civet Pommier & Cie. De nombreuses carrières souterraines de pierre tendre sont exploitées dans la région pour en tirer de la pierre à bâtir. Deux Carrières ont été ouvertes à Éméville par deux carriers de Carrières-sur-Seine : Fréjus Daubin au tout début du XXe siècle et Georges Sarazin en 1920. La technique d'extraction pratiquée dans ces deux carrières est celle de « l'extraction à la lance », mise au point dans sa forme industrielle par Félix Civet (1829-1893) en 1860 à Saint-Maximin, technique qui a remplacé l'extraction au pic et qui permet d'extraire des blocs plus volumineux (jusqu'à 15 tonnes pour la carrière Daubin), tout en assurant un bien meilleur rendement. Cette méthode d'extraction a été ensuite largement diffusée dans les carrières de pierre tendre, aussi bien dans le bassin parisien que dans le Poitou en 1895. L'extraction industrielle de la pierre à la lance prend fin en 1963 à Bonneuil-en-Valois à la carrière des Trois-Fontaines.

    Pour remonter les blocs de pierre des galeries la carrière Daubin a utilisé un treuil à manège mu par trois chevaux jusqu'en 1913, tandis que la carrière Sarazin a, depuis son origine en 1920, utilisé un treuil à moteur thermique. En 1913 un réseau de voie ferrée type Decauville, avec un locotracteur, a été construit pour relier différentes carrières de la vallée à la gare d'Éméville pour remplacer les fardiers qui défonçaient les routes. À cette époque, la carrière Daubin est devenue la « carrière du Chemin de Vez » ayant pour propriétaire la Société Civet-Pommier & Cie, qui a remplacé le treuil à manège par une bouche de cavage avec un accès direct par une descenderie au réseau Decauville. La « carrière du Chemin de Vez », actuellement propriété de la Société Rocamat cesse son activité d'extraction au mois de , tandis que la carrière Sarazin l'a fait dès 1935.

    Deux associations de bénévoles relèvent le défi de réhabiliter ces deux carrières. Il est question des associations « Roches & Carrières » pour la carrière du Chemin de Vez et de « Carrières Patrimoine » pour la carrière Sarazin. La première reconstruit un treuil à manège et la seconde a restauré un treuil à moteur et travaille actuellement sur les piles du treuil et les margelles du puits d'extraction.

    Les carrières constituaient avec l'agriculture et la forêt l'essentiel de l'activité économique. Éméville et les villages des alentours comptaient de grandes familles de carriers dont les descendants habitent encore sur place. Certaines carrières ont été reconverties avec succès en champignonnières ou à la culture d'endives ; mais il n'y en a plus aucune en activité. Dans la commune voisine de Bonneuil-en-Valois, l'extraction se poursuit encore, mais avec des moyens très modernes : haveuse à chaîne, bulldozers, etc[22].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Crépy-en-Valois[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 d'un nouveau canton de Crépy-en-Valois

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Éméville est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[24]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    octobre 1989 En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Yvette Valun Fonctionnaire
    Réélue pour le mandat 2020-2026[25] - [26]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2020, la commune comptait 286 habitants[Note 8], en diminution de 2,72 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    166196210172200213241188186
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    172184183162261174195201209
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    176175198206206172175184155
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    133142180226279276269293294
    2019 2020 - - - - - - -
    288286-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 148 hommes pour 140 femmes, soit un taux de 51,39 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    0,0
    8,1
    75-89 ans
    7,9
    17,6
    60-74 ans
    20,7
    25,0
    45-59 ans
    22,1
    15,5
    30-44 ans
    19,3
    16,2
    15-29 ans
    11,4
    17,6
    0-14 ans
    18,6
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Éméville compte un monument historique sur son territoire :

    • Église Saint-Léger, rue de la Forêt (classée monument historique en 1937[32]) :
      C'est l'une des églises les plus petites du département. Bâtie sous une seule campagne à la fin du XIIIe siècle, elle fournit l'un des rares exemples d'une église de cette époque dans le Valois, et illustre l'adaptation du style gothique rayonnant alors en vigueur à l'économie des moyens d'une petite paroisse rurale. Les compromis stylistiques sont nombreux, et il n'y a que les chapiteaux du chœur pour indiquer l'époque de construction réelle, alors que les fenêtres en plein cintre évoquent une date d'un siècle antérieur.
      L'église est néanmoins soigneusement appareillée en pierre de taille, et possède un puissant clocher influencé par l'école gothique champenoise, qui n'a pas son pareil dans les environs.
      À l'intérieur, les restes de la polychromie architecturale retiennent l'attention, notamment dans la chapelle qui forme la base du clocher. Il y avait jadis une deuxième chapelle, légèrement différente, qui lui faisait pendant au sud[33] - [34].
    • L'église Saint-Léger
    • Façade sud
      Façade sud
    • Le clocher.
      Le clocher.
    • Le chevet
      Le chevet
    • La nef et la poutre de gloire
      La nef et la poutre de gloire
    • Le chœur.
      Le chœur.
    • Fonts baptismaux
      Fonts baptismaux
    • La carrière souterraine Sarazin, accessible par un puits de 20 m. de profondeur, est parfois ouverte au public par l'association Carrières Patrimoine[35] - [36].

    Personnalités liées à la commune

    Gastronomie

    En 2018, une bière brassée selon une ancienne recette de carrier local datant de 1920 a été réalisée par la brasserie de l'Etre, à Paris pour l'association Carrières Patrimoine[37].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Éméville », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crépy-en-Vlois, arrondissement de Senlis (Oise) : Annuaire de l'Oise, 1836, Beauvais, Achille Desjardins, , 252 p. (lire en ligne), p. 118-119, sur Google Livres.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Trumilly - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Éméville et Trumilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Trumilly - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Éméville et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Site consacré de l'association Carrières Patrimoine
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. « Les maires de Éméville », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    25. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Eméville », Cartes de France (consulté le ).
    26. « Compte-rendu du conseil municipal du 23 mai 2020 », sur https://www.emeville.com.
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Éméville (60207) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    32. « Église Saint-Léger », notice no PA00114677, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. Dominique Vermand, Églises de l'Oise, canton de Crépy-en-Valois : Les 35 clochers de la Vallée de l'Automne, Comité Départemental de Tourisme de l'Oise / S.E.P Valois Développement, , 56 p., p. 23-24.
    34. Dominique Vermand, « Eméville, église Saint-Léger : Diocèse : Soissons », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    35. « Immergez-vous sous terre dans les carrières d'Emeville », Le Parisien; édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « 'est bien à 20 m sous terre que de 1920 à 1935 des carriers ont travaillé à l'extraction de pierres. La carrière d'Emeville, située en plein champ, appartenait autrefois à Jules-Constant Sarazin. Abandonné du jour au lendemain, le site est désormais entretenu par des passionnés de l'association Carrières Patrimoine ».
    36. « Voyage au centre de la carrière Sarazin d’Eméville », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    37. Cindy Belhomme, « Emeville : une bière tout droit sortie des carrières : L’association Carrières Patrimoine a retrouvé une vieille recette dans le journal d’exploitation de la carrière Sarazin. Une brasserie parisienne en a produit 1 000 litres », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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