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Écuras

Écuras (Escuras[1] en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Écuras
Écuras
Mairie d'Écuras.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Denis Donnary
2020-2026
Code postal 16220
Code commune 16124
Démographie
Gentilé Écurassiens
Population
municipale
558 hab. (2020 en diminution de 5,26 % par rapport à 2014)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 04″ nord, 0° 34′ 05″ est
Altitude Min. 111 m
Max. 280 m
Superficie 24,22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Écuras
Géolocalisation sur la carte : France
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Écuras
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Écuras
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Écuras

    Ses habitants sont les Écurassiens et les Écurassiennes[2].

    Géographie

    Localisation et accès

    Écuras est une commune de la Charente limousine située à km à l'est de Montbron sur la route de Saint-Mathieu (D 699). Elle est limitrophe du département de la Dordogne et est située aussi non loin de celui de la Haute-Vienne.

    Le bourg est aussi à 10 km de MontembÅ“uf, 15 km de La Rochefoucauld et de Saint-Mathieu, 19 km de Nontron, 32 km d'Angoulême, la préfecture, 38 km de Confolens, 56 km de Limoges[3].

    En plus de la D 699, la commune est sillonnée par les routes départementales D 112, D 163 et D 416. À l'est, la D 699 franchit la Tardoire par une série de lacets et entre en Dordogne (commune de Busserolles), pour entrer dans la Haute-Vienne km plus loin (commune de Maisonnais)[4].

    La commune est aussi traversée par le GR 4, sentier qui relie Royan à Cannes, et qui passe dans la vallée de la Tardoire.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreux hameaux assez importants comme :

    • les Defaix
    • le Maine Pachou
    • Châtain-Besson (où est située la salle des fêtes)
    • les Limousines
    • le Chat (village de vacances hollandais)
    • la Borderie
    • Perry

    et d'autres moins importants : Chez Bonnet, Germanas, etc.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La Charente limousine à Ecuras

    Écuras est situé sur les premières hauteurs du Massif central en arrivant de l'ouest et forme avec Eymouthiers l'extrémité sud de la Charente limousine.

    Le sol est principalement composé de granit, avec une zone de gneiss à l'est. Les plateaux sont occupés de matériaux d'origine détritique de l'époque éocène à pliocène : galets, sables, argiles[5] - [6] - [7].

    Le dénivelé est important entre le bas de la commune situé au bord de la Tardoire en bas de Perry (111 m) et le sommet situé à la Prèze (280 m). Châtain-Besson est à 234 m d'altitude et le bourg à 222 m.

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Tardoire et la Renaudie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[9] - [Carte 1].

    La Tardoire, d'une longueur totale de 114,1 km, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de Pageas, et se jette dans la Bonnieure à Saint-Ciers-sur-Bonnieure, après avoir traversé 28 communes[10]. Elle sert de limite naturelle à la commune au sud et à l'est, la séparant de celle d'Eymouthiers, mais aussi du département de la Dordogne (Périgord vert).

    La commune est aussi bordée à l'ouest par la vallée de la Renaudie, profond vallon, zone protégée avec circuits de découverte, que parcourait autrefois l'ancienne voie ferrée métrique d'Angoulême à Roumazières passant par Montbron, le petit Mairat, qui entamait là la longue montée vers l'Arbre, 353 m d'altitude, et Montembœuf[11].

    • Carte en couleurs présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier d'Écuras.
    • La Tardoire au pont de la RD 699 en limite d'Écuras et de Busserolles.
      La Tardoire au pont de la RD 699 en limite d'Écuras et de Busserolles.
    • La Tardoire au pont de la RD 3, en limite d'Écuras et de Bussière-Badil.
      La Tardoire au pont de la RD 3, en limite d'Écuras et de Bussière-Badil.

    Gestion des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en Å“uvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[12]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].

    Climat

    Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département dû au relief, avec cependant des nuances méridionales du Périgord tout proche.

    Urbanisme

    Typologie

    Écuras est une commune rurale[Note 1] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,6 %), zones agricoles hétérogènes (31,9 %), prairies (24,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %), terres arables (2 %), zones urbanisées (1,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Écuras est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Tardoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Écuras.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 45,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 668 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 237 sont en en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Écuras est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Escuras, Escuriis en 1281[26], Escurato au XIIIe siècle[27].

    Selon certains auteurs, l'origine du nom d'Écuras remonterait à un personnage gallo-romain Scurrius auquel a été apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Scurriacum, « domaine de Scurrius ». D'autres auteurs le font dériver du mot germanique skur signifiant grange, d'où l'occitan escura (écurie) est tiré. Il y a aussi las Escuras en Dordogne; on compte cinq les Écures en Charente, sans parler des Hautes Écures et du Moulin des Écures[28] - [29].

    Le hameau de Châtain-Besson tire son nom de deux châtaigniers jumeaux (bessons signifiant jumeaux en occitan)[30].

    Langues

    La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[31]. Elle se nomme Escuras en occitan[32].

    Histoire

    À la Borderie et au lieu-dit Conan, des tegulae ont été retrouvées, et pourraient indiquer les sites de villas gallo-romaines[33].

    Entre Chassagne et Perry (orthographié Peyris au début du XXe siècle), la combe boisée abritait une petite mine de plomb argentifère exploitée pendant peu de temps avant le XIXe siècle. La commune abritait aussi quelques moulins et tuileries[34] - [4] - [30].

    Administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 mars 2014 Claude Fils SE Enseignant retraité
    mars 2014 En cours Denis Donnary Artisan dans le bâtiment
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 558 habitants[Note 2], en diminution de 5,26 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    1 4001 4991 5471 6131 6501 6771 7881 7721 741
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 6851 7301 6371 6171 6951 6411 5811 5431 520
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 4631 4001 2441 2301 1481 1321 004894838
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    776686634628557626650632589
    2019 2020 - - - - - - -
    569558-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 47,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 306 hommes pour 270 femmes, soit un taux de 53,13 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0
    90 ou +
    1,1
    13,9
    75-89 ans
    13,9
    31,8
    60-74 ans
    33,3
    20,9
    45-59 ans
    23,2
    11,9
    30-44 ans
    13,1
    7,6
    15-29 ans
    6,0
    12,9
    0-14 ans
    9,4
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1
    90 ou +
    2,5
    8,9
    75-89 ans
    11,8
    20
    60-74 ans
    20,3
    21
    45-59 ans
    20,8
    16,9
    30-44 ans
    16,2
    15,6
    15-29 ans
    13,7
    16,6
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    Tourisme

    • Village hollandais du Chat
    • Golf et resort de la Prèze (en limite avec Rouzède)
    • Village du Chat.
      Village du Chat.
    • Golf de la Prèze.
      Golf de la Prèze.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école est un RPI entre Écuras et Rouzède, qui possèdent chacune une école élémentaire. Le secteur du collège est Montbron[41].

    Lieux et monuments

    • le bourg et Châtain-Besson
    • la tuilerie Gaillard située à Rairie près de Châtain-Besson est une tuilerie du début du XXe siècle qui a cessé ses activités vers 1975[42].
    • L'église, au bourg.
      L'église, au bourg.
    • Bibliothèque, au bourg.
      Bibliothèque, au bourg.
    • Salle des fêtes, à Châtain-Besson.
      Salle des fêtes, à Châtain-Besson.

    Patrimoine environnemental

    La réserve naturelle régionale de la Vallée de la Renaudie se trouve en partie sur le territoire de la commune ainsi que le site Natura 2000 « val de Tardoire » qui englobe la vallée de la Renaudie.

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique d'Écuras » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. (oc) IEO - Geoccitània, « Mapa occitana »
    2. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    4. Carte IGN sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. Carte du BRGM sous Géoportail
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le )
    8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
    9. « Fiche communale d'Écuras », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
    10. Sandre, « la Tardoire »
    11. Claude Fils, « Le Petit Mairat », La Motte, (consulté le )
    12. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    13. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune d'Écuras », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Écuras », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    26. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 312
    27. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 185,186,284
    28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 260.
    29. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    30. Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 334
    31. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
    32. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    33. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 150
    34. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 154
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écuras (16124) », (consulté le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
    41. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    42. « Tuilerie Gaillard », notice no IA00066267, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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