Vielle-Saint-Girons
Vielle-Saint-Girons (prononcé [vjɛl sɛ̃ ʒiʁɔ̃] ; en gascon Viela-Sent Gironç) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département des Landes (région Nouvelle-Aquitaine). En outre, elle appartient à la communauté de communes Côte Landes Nature[1].
Vielle-Saint-Girons | |||||
L'église de Vielle. | |||||
Blason |
Logo |
||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Landes | ||||
Arrondissement | Dax | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Côte Landes Nature | ||||
Maire Mandat |
Karine Bertine Dasquet 2020-2026 |
||||
Code postal | 40560 | ||||
Code commune | 40326 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vieillois et Saint-Gironnais, Vieilloises et Saint-Gironnaises | ||||
Population municipale |
1 438 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 57′ 00″ nord, 1° 17′ 53″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 76 m |
||||
Superficie | 72,03 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Côte d'Argent | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Landes
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | www.viellesaintgirons.fr | ||||
Station balnéaire française, la commune est bordée à l'ouest par l'océan Atlantique sur 17 km de long et possède 5 plages[2]. La commune bénéficie du label Station Verte[3].
Géographie
Localisation
Situé dans le Marensin, Vielle-Saint-Girons est une commune située dans la forêt des Landes entre l'océan Atlantique et l'étang de Léon, avec ses plages sur la Côte d'Argent (Saint-Girons-plage, la Lette blanche, etc.) et sa plage sur l'étang de Léon.
La commune est implantée à environ 65 km à vol d'oiseau de la préfecture du département, Mont-de-Marsan[4].
|
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Léon, Linxe, Lit-et-Mixe, Moliets-et-Maa et Saint-Michel-Escalus.
Hameaux et lieux-dits
La commune est étendue principalement sur trois bourgs : Vielle, avec le lac ; Saint-Girons-en-Marensin, centre administratif de la commune ainsi que Saint-Girons-Plage, pour les activités estivales[2].
Géologie, relief et hydrographie
Les Landes, d'une manière générale, se démarquent géologiquement en raison de leur substrat sableux de l'âge quaternaire présent dans tous les sols du département[6].
L'ensemble d'étangs et de lacs près de l'océan serait le résultat de la transgression marine de l'Holocène[6].
Généralement, le sol près des lacs landais sont composés du sable des Landes, puis d'un complexe intermédiaire important composé de sables, graviers et d'argiles fluviatiles de l'âge Plio-pléistocène, suivi de pléistocène continental et lignite puis marin à l'approche de l'océan et enfin de substraf miocène[6].
L'altitude de la commune varie entre le niveau de l'océan, soit 0 m et 76 m dans les terres[7]. Globalement, le territoire est une étendue plate, très légèrement inclinée vers l'ouest, à l'approche de l'océan[8].
Vielle-Saint-Girons possède environ 8 km de cours d'eau sur son territoire communal avec notamment le ruisseau du Moulin de Loupsat, le ruisseau de la Palue et le ruisseau de Binaou[9]. Par ailleurs, une zone humide est recensée : la zone humide Courant d'Huchet[9].
Climat
La commune est soumise à un climat de type océanique, propre à l'ensemble de son département[10]. Ce climat se caractérise par des températures généralement douces et à une humidité souvent forte[11]. Ainsi, les températures moyennes maximales varient de 10,7 °C en février à 28,7 °C en juillet[12]. Les cumuls de précipitations sont supérieurs à la moyenne nationale et la fréquence des orages est aussi assez importante par rapport au reste du pays[13]. À l'inverse, les jours de gel et de neige sont limités voire inexistants[13].
Voies de communication et transports
La commune n'est traversée que par de petits axes départementaux visant à relier les petites communes du Marensin entre elles. Néanmoins, on notera la présence de l'autoroute A63 avec un échangeur à Castets, à une quinzaine de kilomètres à l'est de Vielle[14].
Aucune gare SNCF ne dessert Vieille-Saint-Girons, ni les communes alentour proches[15].
Pendant la période estivale un réseau de navette dessert la communauté de communes Côte Landes Nature reliant les bourgs aux plages.
Urbanisme
Typologie
Vielle-Saint-Girons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [16] - [17] - [18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19] - [20].
La commune, bordée par l'océan Atlantique, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,4 %), zones urbanisées (3,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), eaux continentales[Note 2] (1,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), terres arables (0,3 %), zones humides intérieures (0,1 %), zones humides côtières (0,1 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Vielle-Saint-Girons est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de la Palue et le ruisseau de Binaou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2018[27] - [25].
Vielle-Saint-Girons est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[28] - [29].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 099 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[25].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut[32] : l'usine DRT Vielle-Saint-Girons (notamment pour le stockage de produits inflammables, de soude ou potasse caustique, de détergents et savons)[33].
Toponymie
- Le nom « Vielle » est d'origine gallo-romaine et signifie « domaine rural »[34].
- « Saint-Girons » fait référence à un évêque martyrisé à Hagetmau au IVe siècle[34].
La commune a été formée entre 1790 et 1794 par la fusion des communes éphémères de Vielle et Saint-Girons[35].
Histoire
On a retrouvé sur le territoire communal des flèches et des éclats de silex permettant de démontrer l’existence d'espèces humaines dès la Préhistoire[36]. Par ailleurs, les dunes anciennes avec leurs forêts permettent de supposer que celles-ci se sont formées il y a au moins 5 000 ans[36].
D'autre part, les principaux documents historiques remontent au XIe siècle et XIIe siècle. Ainsi, on sait qu'à cette époque, la sauveté de Saint-Girons fut édifiée. On précisera que les sauvetés du Sud-Ouest de la France ont probablement favorisé le développement de terres encore vierges et également développé les étapes sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle[36] - [37].
Au XIVe siècle, un phénomène naturel concerna tout le Marensin, dont la commune de Vielle. En effet, les sables, poussés par des vents d'ouest, ont envahi toutes les zones habitées et ont bouché les cours d'eau[38]. En conséquence, le lac de Léon tripla de taille par rapport à celle du XXIe siècle et les églises de la commune et d'Escalus furent déplacées[36].
Pendant le XIXe siècle, l'ensemble des dunes de sable intérieures ont été semées de pins[36]. Ces forêts de pins étaient de véritables moteurs économiques (et le restent même encore aujourd'hui mais d'une manière plus minoritaire). En effet, l’exploitation de ces arbres amenait à la création de résine, de goudron, de charbon et de bois de sciage[36].
Néanmoins, au début du XXe siècle, une forte mobilisation de syndicats de gemmeurs, qui déclenchent des grèves en 1906 et surtout au printemps 1907, perturbe la vie économique du village et de l'ensemble du Marensin[39]. Ainsi, Vielle s'associe à ce mouvement qui dura pendant 134 jours[40].
Dans le département, durant la Seconde Guerre mondiale, des groupes de résistance à l'occupation émergent, comme ailleurs en France[41]. Pour les Landes, en général, cette formation de réseaux de résistance fut compliquée par le littoral à cause de la présence des Allemands et d'autre part, par le découpage territorial[41]. Ainsi, on sait qu'un réseau se consolida fortement : le « Léon des Landes »[42] - [43]. Celui-ci fut soutenu par les Anglais et structuré principalement par des résistants gaullistes ou socialistes[41]. Vielle et son département sont libérés le à la suite de la pression de groupes de résistants et au débarquement allié en Normandie[41] - [44].
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Vielle-Saint-Girons n'est pas jumelée avec une autre commune[45].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47]. En 2020, la commune comptait 1 438 habitants[Note 3], en augmentation de 17,39 % par rapport à 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Enseignement
La commune dispose d'une école publique primaire et élémentaire qui accueille 96 élèves tout au long de l'année scolaire[49]. Une cantine est mise à disposition des écoliers[49]. Le collège le plus proche se situe à Linxe, commune voisine, à quelques kilomètres du bourg de Vielle[50]. Il s'agit du collège public Lucie Aubrac qui accueille environ 400 élèves depuis [51]. Pour le lycée public le plus proche, on retrouve celui situé à une quarantaine de kilomètres, à Morcenx : le lycée professionnel Jean-Garnier[52].
Vielle-Saint-Girons relève de l'académie de Bordeaux et par conséquent, de la zone scolaire « A »[53].
Santé
Vielle dispose de plusieurs infirmières, de kinésithérapeutes, d'un ostéopathe, de deux médecins et d'un podologue[54]. En 2012, la municipalité a décidé de construire une maison de santé regroupant les différents services : le « Centre de santé Jean-Louis-Labadan »[54].
La commune possède également une pharmacie[54]. Un centre communal d’action sociale (CCAS) a été mis en place[55], ainsi qu'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD)[56].
Le centre hospitalier le plus proche est situé à Dax[57].
Économie
Revenus
En 2012, le revenu moyen disponible était d'environ 21 015 €, tandis qu'il s'élevait à 19 594 € pour l'ensemble du département des Landes[58]. Par ailleurs, le nombre de ménages fiscaux s'élevait à 585[58].
Emploi
Le taux de chômage de la population, en 2012, était de 12,8 %[58]. En 2012, 188 actifs travaillaient dans la commune contre 242 hors du territoire communal[59].
Établissements
Établissements | Vielle |
Nombre d'établissements actifs au | 186 |
Part de l'agriculture, en % | 7,5 |
Part de l'industrie, en % | 6,5 |
Part de la construction, en % | 8,1 |
Part du commerce, transports et services divers, en % | 65,1 |
dont commerce et réparation automobile, en % | 16,7 |
Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale, en % | 12,9 |
Part des établissements de 1 à 9 salariés, en % | 11,3 |
Part des établissements de 10 salariés ou plus, en % | 3,2 |
Culture et patrimoine
Patrimoine naturel
Vielle-Saint-Girons fait partie de cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[62] :
- « Le courant d'Huchet et les milieux dunaires associés » (type I) sur une surface partagée avec deux autres communes de 160 hectares ;
- « Zones humides de la rive Est de l'étang de Léon et du ruisseau de la Palue » (type I) sur une surface partagée avec deux autres communes de 532 hectares ;
- « Zones humides des rives Ouest et Sud de l'étang de Léon » (type I) sur une surface partagée avec une autre commune de 259 hectares ;
- « Étang de Léon et courant d'Huchet » (type II) sur une surface de 1 820 hectares partagée avec plusieurs autres communes ;
- « Dunes littorales du Banc de Pineau à l'Adour » (type II) sur toute la partie littorale du département pour une surface de 5 101 hectares.
Lieux et monuments
- Église Saint-Eutrope de Vielle.
- Église Notre-Dame de Saint-Girons. Ces deux églises dépendent de la paroisse catholique Saint-Paul du Marensin[63]
- Maison Boulart.
- Le courant d'Huchet commence sa route vers l'Océan à proximité du bourg de Vielle.
- Amer d'Huchet.
Bibliographie
La commune est le cadre d'une partie du roman de Christian Oster Sur la dune (2007) sous le nom de « Saint-Girons-Plage ».
Héraldique
Blasonnement :
Écartelé : au premier d'azur à la barque contournée au naturel portant trois personnages de sable, habillée de deux voiles, celle de senestre gonflée d'or doublée d'un burelé de sinople et d'argent, celle de dextre triangulaire d'argent tranchée en pointe de gueules à une cotice d'argent, ladite barque adextrée en chef de trois oiseaux en chevron renversé d'argent et voguant sur un étang de pourpre mouvant de la pointe, au deuxième gironné de gueules et d'azur de vingt-quatre pièces au besant d'or brochant sur le tout, au troisième de pourpre au besant d'or en chef soutenu d'une branche d'argent posée en bande abaissée à dextre et mouvant des flancs, sur laquelle est assis un écureuil au naturel tenant une pomme de pin de gueules, brochant sur le besant, au quatrième d'azur à la forêt de pins mouvant d'un sous-bois de gueules sur une champagne de pourpre[64] |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Communauté de communes Cote Landes Nature, « Vielle-Saint-Girons / Les dix communes membres / La communauté / Accueil - Communauté de communes Cote Landes Nature », sur www.cc-cln.fr (consulté le ).
- « Tourisme - Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons », sur Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons (consulté le ).
- « Vielle-Saint-Girons, OFFICE DE TOURISME, VIELLE-SAINT-GIRONS Station Verte, vacances, weekend, tourisme », sur vielle-saint-girons.stationverte.com (consulté le ).
- « Orthodromie : Calcul de distance (à vol d'oiseau) entre deux villes : Vielle-Saint-Girons et Mont-de-Marsan », sur www.lion1906.com (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- André Klingebiel, Pilippe Legigan, Université de Bordeaux I, « HISTOIRE GEOLOGIQUE DE LA GRANDE LANDE » [PDF], sur Archeolandes (consulté le ).
- Conseil-General.com, « Mairie de VIELLE SAINT GIRONS (40560) - Conseil-General.com », sur Conseil-General.com (consulté le ).
- « Sylvoécorégion F 21 Landes de Gascognes » [PDF], sur inventaire-forestier.ign.fr (consulté le ).
- « Vielle-Saint-Girons - Mon Environnement en Aquitaine », sur macommune.environnement-aquitaine.fr (consulté le ).
- Landes (Encyclopédies régionales), Bénédicte Boyrie-Fénié, Christine Bonneton, , 431 p. (ISBN 2-86253-112-X).
- Laurent Bonnet, La manuel d'Histoire et géographie du PE, Hachette Éducation, , 320 p. (ISBN 978-2-01-181727-3 et 2-01-181727-7).
- « Climat et historique météo Vielle Saint Girons (Landes) en 2015 », sur www.linternaute.com (consulté le ).
- « Météo Express - Climat Français », sur www.meteo-express.com (consulté le ).
- « La carte détaillée de l'A63 - Atlandes », sur Atlandes (consulté le ).
- « Gares par ville », sur Voyages-sncf.com (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Vielle-Saint-Girons », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- « Sites classés Seveso seuilhaut dans les Landes », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le )
- Julien Lesbats, Toponymie des Landes : recherches historiques, , 99 p., p. 68.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Historique - Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons », sur Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons (consulté le ).
- Françoise Divorne, Les Bastides d'Aquitaine, du Bas-Languedoc et du Béarn : essai sur la régularité, Archives d'architecture moderne, , 119 p..
- Bartolomé Bennassar, Les catastrophes naturelles dans l'Europe médiévale et moderne : actes des XVe Journées internationales d'histoire de l'Abbaye de Flaran, 10,11 et 12 septembre 1993, Toulouse, Presses Univ. du Mirail, , 272 p. (ISBN 2-85816-264-6).
- Protestations paysannes dans les Landes : les gemmeurs en leur temps, 1830-1970, Paris/Budapest etc., Harmattan, coll. « Logiques politiques », , 215 p. (ISBN 2-7475-0634-7).
- « Les luttes des ouvriers resiniers (1906-1907) », sur www.histoiresocialedeslandes.fr (consulté le ).
- « Les Landes dans la Seconde Guerre mondiale (1939-1945) », sur www.histoiresocialedeslandes.fr (consulté le ).
- Maurice Bordes, Histoire de la Gascogne contemporaine : des Landes aux Pyrénées, Horvath, , 371 p..
- Alain GUERIN, Chronique de la Résistance (nouvelle édition), Place Des Editeurs, , 1812 p. (ISBN 978-2-258-08853-5 et 2-258-08853-4, lire en ligne).
- Tresors d'archives des Landes, le Festin, , 144 p..
- « Annuaire des villes jumelées | AFCCRE », sur www.afccre.org (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « École maternelle et élémentaire - Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, etc. », sur Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (consulté le ).
- « COLLÈGE LUCIE AUBRAC - Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, etc. », sur Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (consulté le ).
- « Collège de Linxe - Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons », sur Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons (consulté le ).
- « Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, etc. », sur Ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (consulté le ).
- Communauté de communes Cote Landes Nature, « Calendrier scolaire 2015-2016 : changement de zone pour l'académie de Bordeaux / Les actus du territoire / Actualités / Accueil - Communauté de communes Cote Landes Nature », sur www.cc-cln.fr (consulté le ).
- « Centre de santé - Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons », sur Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons (consulté le ).
- « CCAS - Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons », sur Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons (consulté le ).
- « EHPAD - Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons », sur Site de la Mairie de Vielle-Saint-Girons (consulté le ).
- « Hôpitaux et cliniques à Vielle-Saint-Girons (40560) », sur Le Guide Santé (consulté le ).
- « Insee - Chiffres clés : Commune de Vielle-Saint-Girons (40326) », sur www.insee.fr (consulté le ).
- « Insee - Commune de Vielle-Saint-Girons (40326) - Dossier complet », sur www.insee.fr (consulté le ).
- Novaldi - Bidart - www.novaldi.com, « DRT aujourd'hui - DRT », sur www.drt.fr (consulté le ).
- « LES DERIVES RESINIQUES ET TERPENIQUES (DAX) Chiffre d'affaires, résultat, bilans sur SOCIETE.COM - 985520154 », sur www.societe.com (consulté le ).
- « INPN - Liste des ZNIEFF dans - Commune : Vielle-Saint-Girons », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
- Site de la paroisse
- « Banque du blason »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Office de tourisme de Vielle-Saint-Girons
Étape précédente Lit-et-Mixe |
Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle Voie de Soulac |
Étape suivante Léon |