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Hagetmau

Hagetmau (prononcĂ© [aʒɛtmo] ; Haget, en occitan[1]) est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes (rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine).

Hagetmau
Hagetmau
Hagetmau, le centre-ville.
Blason de Hagetmau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Mont-de-Marsan
Intercommunalité Communauté de communes Chalosse Tursan
Maire
Mandat
Pascale Requenna
2020-2026
Code postal 40700
Code commune 40119
DĂ©mographie
Population
municipale
4 631 hab. (2020 en augmentation de 0,83 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 163 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 39â€Č 22″ nord, 0° 35â€Č 33″ ouest
Altitude Min. 72 m
Max. 142 m
Superficie 28,37 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Hagetmau
(ville-centre)
Aire d'attraction Hagetmau
(commune-centre)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chalosse Tursan
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Hagetmau
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Hagetmau
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Hagetmau
Liens
Site web http://www.hagetmau.fr

    La ville se trouve sur la voie de VĂ©zelay du chemin de Compostelle[2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    Commune situĂ©e au cƓur de la Chalosse dans le dĂ©partement des Landes.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Lacrabe, Doazit, Horsarrieu, Labastide-Chalosse, Momuy, Monségur, Sainte-Colombe, Saint-Cricq-Chalosse, Samadet, Serres-Gaston et Serreslous-et-Arribans.

    Hydrographie

    La commune de Hagetmau est arrosée par le Louts, affluent de l'Adour.

    Voies de communication et transports

    La gare de Hagetmau était le terminus de la ligne de Saint-Sever à Hagetmau, ouverte en 1910 et qui a fonctionné jusqu'en 1938 pour les voyageurs[4], et jusqu'en 2009 ou 2010[5] pour le transport de marchandises.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort au mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui compte cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 105 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Boos », sur la commune de Bonnegarde, mise en service en 1999[12] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[13] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 237,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. À la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », de la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et Ă  27 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă  13,5 °C pour 1981-2010[17], puis Ă  13,9 °C pour 1991-2020[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Hagetmau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [19] - [20] - [21]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Hagetmau, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[22] et 5 377 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[23] - [24].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Hagetmau, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Ce regroupement de 16 communes, est catĂ©gorisĂ© dans les aires de moins de 50 000 habitants[25] - [26].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (68,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (67,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (52,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (14,1 %), zones urbanisĂ©es (13,8 %), forĂȘts (12,8 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,6 %), prairies (2,3 %), eaux continentales[Note 7] (1,2 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Hagetmau est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[28]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[29].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Louts. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1991, 1999, 2009, 2018 et 2020[30] - [28].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[31].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Hagetmau.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 29,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Pour les 2 128 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 425 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 20 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. La cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[32] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle à la suite de dommages causés à ce titre, en 1999[28].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses affectant la commune provient de sa traversĂ©e par une ou par des infrastructures routiĂšres ou ferroviaires importantes, ainsi que de la prĂ©sence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures serait susceptible d’affecter gravement les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[33].

    Toponymie

    Le nom est couramment compris comme Ă©tant formĂ© des mots gascons haget (forĂȘt de hĂȘtres) et mau (mauvais) : « mauvaise hĂȘtraie »[34] - [35].

    Mais d'autres hypothĂšses attribuent Ă  mau une racine proto-basque ou (proto-)indo-europĂ©enne mal, ou mau ou mel (« montagne, proĂ©minence »)[36]. En effet, la racine « mal » est frĂ©quente dans les noms occitans et provençaux ; elle signale les caractĂ©ristiques des lieux — tels Malacan (plateau Ă©levĂ©), Malbosc (village en contrebas d'un bois). Malpas et Malpasset ne sont pas des cols infranchissables : plus Ă©levĂ©s que les autres, ils n'ont pas le sens de « mauvais. »

    Histoire

    Hagetmau possĂ©dait une tradition de production de chaises et de fauteuils. Plusieurs usines y sont implantĂ©es. En 1994, l'industrie du siĂšge y comptait 2 000 emplois directs, 3 500 au total[37].

    Cette ville est présentée dans le roman Un sac de billes de Joseph Joffo. Les frÚres Joffo devaient y traverser la ligne de démarcation pendant la DeuxiÚme Guerre mondiale.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur au chĂąteau d’or, ouvert, ajourĂ© et maçonnĂ© de sable flanquĂ© de deux tourelles essorĂ©es de gueules, sommĂ© d'un arbre de sinople ; Ă  la bordure en filet d’or[38] - [39].
    Commentaires : Devise : « labore crescit » (croßtre par le travail).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1971 1995 Alain Dutoya PRG Conseiller général du canton de Hagetmau (1961-2004)
    mars 1995 2020 Serge Lansaman UMP-LR Agent d'assurances
    Président de Hagetmau Communes Unies (???-2016)
    2020 En cours Pascale Requenna Modem ConseillÚre régionale, présidente de la communauté de communes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué quatre fleurs à la commune[41].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[43]. En 2020, la commune comptait 4 631 habitants[Note 8], en augmentation de 0,83 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2842 3322 5162 6603 0533 0763 0813 1003 118
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 1043 0293 0983 0493 1663 1273 1693 1423 089
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 1233 2153 1492 8462 8822 8972 8692 8703 008
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    3 3763 7554 3184 5144 4494 4034 4804 5834 535
    2015 2020 - - - - - - -
    4 6164 631-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee Ă  partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • EntrĂ©e de la crypte de Saint-Girons.
      Entrée de la crypte de Saint-Girons.
    • Crypte de Saint-Girons.
      Crypte de Saint-Girons.
    • Lac d'Halco.
      Lac d'Halco.
    • Lac d'AgĂšs.
    • Église abbatiale Sainte-Marie-Madeleine de Hagetmau.
    • Les arĂšnes de Hagetmau accueillent des courses landaises
    • Complexe d'Ă©quipements sportifs (nommĂ© la CitĂ©-Verte), notamment une piscine olympique (centre aquatique Henri-Capdevielle).
    • Les lacs d'Halco, Ă  quelques kilomĂštres au sud-ouest de la bourgade, offre de jolies promenades et constitue un lieu de pĂȘche trĂšs prisĂ© oĂč sont organisĂ©s de nombreux concours de pĂȘche.
    • À quelques kilomĂštres, le lac d'AgĂšs, plus sauvage et plus grand (environ 67 ha au total) est aussi trĂšs poissonneux. Certains pĂȘcheurs passent plusieurs jours Ă  pĂȘcher la carpe. Depuis plusieurs annĂ©es un parcours nocturne de pĂȘche Ă  la carpe est amĂ©nagĂ© le long d'une partie du lac. Le lac d'AgĂšs communique avec le plan d'eau de la Grabe, crĂ©Ă© en 1998.

    PĂšlerinages

    Le village est une étape de l'un des chemins français vers Saint-Jacques de Compostelle, celui venant de Vezelay[46] - [47].

    Personnalités liées à la commune

    • Henri II de Navarre, (1503-1555), y est mort lors d'un pĂšlerinage Ă  Saint Girons, saint patron de la ville.
    • Diane d'Andoins, (1554-1620), surnommĂ©e la belle Corisande, est nĂ©e au chĂąteau de Hagetmau.
    • Bernard d'Audijos, (1638-1677), en 1664, cet ancien soldat du roi se rĂ©volte contre la gabelle imposĂ©e par Jean-Baptiste Colbert et par son intendant Pellot. Avec ses "Invisibles" - des paysans locaux exaspĂ©rĂ©s par l'impĂŽt sur le sel -, il assaille les convois royaux avant de se replier dans les forĂȘts des environs de Hagetmau, offrant ainsi le premier exemple de "guĂ©rilla" telle qu'on la connaĂźt aujourd'hui.
    • Pascal Duprat, (1815-1885), homme politique y est nĂ© et est mort en mer Ă  bord du navire "Niger". RĂ©publicain convaincu, plusieurs fois dĂ©putĂ©, il s'oppose Ă  NapolĂ©on III qui l'exile. Ministre plĂ©nipotentiaire de la TroisiĂšme RĂ©publique.
    • Jean-Gilles de Panetier (1836-1898), ingĂ©nieur en industrie, contribue Ă  l'Ă©laboration des premiers plans de l'amĂ©nagement du lac d'AgĂšs.
    • Fernand Lubet-Barbon, (1857-1948), professeur de mĂ©decine est nĂ© Ă  Hagetmau. Il met au point plusieurs traitements pour les affections de l'oreille et des voies respiratoires notamment.
    • Ernest Daraignez, (1864-1940), homme politique est nĂ© Ă  Hagetmau, ancien maire de Mont-de-Marsan, conseiller gĂ©nĂ©ral et sĂ©nateur des Landes.
    • Henri Lefebvre, (1901-1991), philosophe, sociologue de la vie quotidienne, est nĂ© Ă  Hagetmau.
    • Jacques ClavĂ©, (1943-2023), joueur de rugby Ă  XV, est nĂ© et mort Ă  Hagetmau.

    Sports

    Hagetmau est Ă©lue ville la plus sportive de France de 2012 par le journal sportif L'Équipe, en catĂ©gorie moins de 20 000 habitants[48].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Diccionari toponimic occitan de las Lanas e deu Baish Ador », sur locongres.org (consulté le ).
    2. Chemins de Saint Jacques dans les Landes.
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. Voies ferrées des Landes (V.F.L.), consulté le .
    5. Ligne Saint Sever - Hagetmau sur blog YPF-dico), consulté le .
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Hagetmau et Bonnegarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Boos - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
    15. « Orthodromie entre Hagetmau et Mont-de-Marsan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Mont-de-Marsan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Unité urbaine 2020 de Hagetmau », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    28. « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Hagetmau », sur Géorisques (consulté le )
    29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    30. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    31. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    32. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    33. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matiÚres dangereuses.
    34. DAUZAT (Albert) et ROSTAING (Charles), Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, librairie Guénégaud, Paris, 1978 ; p.281.
    35. NÈGRE (Ernest), Toponymie générale de la France, volume II, Librairie DROZ S.A., GenÚve, 1991 ; p. 1240.
    36. cf Boisson Claude Pierre. Notes mĂ©thodologiques sur les racines prĂ©-indo-europĂ©ennes en toponymie. In: Nouvelle revue d'onomastique, n°15-16, 1990. pp. 25-38, extrait: "DonnĂ©es illustrant le possible caractĂšre nostratique de certaines bases 1. MONTAGNE (Opyt, vol. 2, n. 286, p. 51 ; Blazek 1988b). PN **mALA, PIE *mel-«montagne, Ă©minence » : albanais mal «montagne », vieil irlandais meli «colline arrondie, bosse », letton mala «bord, rive » | PD *mal-«montagne » : tamoul malai «colline, montagne », tĂ©lougou mala, brahoui mash (cf. Malabar, peut-ĂȘtre aussi Malaisie ) | Ouralien : nenets mal «pic, bout » / CorĂ©en mallo «chaĂźne, pic ». Cf. Neroznak 1978. 2. COLLINE (Materialy p. 371 ; Blazek c.p.), PN **mĂ€KV, PA *m/Ă€g/V ; proto-toungouse "mĂ€gdi «rive escarpĂ©e » | PU *mĂ€ke «colline », youkaghir maka «pierre »."
    37. « Le siÚge de la chaise », Sud Ouest, .
    38. Armorial de France
    39. Site de la mairie
    40. Annuaire des villes jumelées sur www.afccre.org
    41. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    46. https://www.landes-chalosse.com/se-divertir/fan-de-culture-et-patrimoine/chemin-saint-jacques-de-compostelle-voie-de-vezelay-a-hagetmau-759889
    47. https://camino-europe.eu/fr/eu/fr/jakobswege-fr/f-via-lemovicensis-a/
    48. Vincent Dewitte, « Landes : Hagetmau élue ville la plus sportive de France », sur www.sudouest.fr, Sud Ouest, (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • [Capdeville et al. 1997] Jean-Pierre Capdeville, Marie-Christine Gineste (PrĂ©histoire, archĂ©ologie), Alain Turq (PrĂ©histoire, archĂ©ologie) et Philippe Vergain (PrĂ©histoire, archĂ©ologie), Notice explicative de la carte de gĂ©ologie au 1/50000e « Hagetmau » no 978, OrlĂ©ans, BRGM, , 70 p. (lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr).

    Liens externes

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