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Vauréal

Vauréal est une des treize communes de la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise, dans le département français du Val-d'Oise.

Vauréal
Vauréal
L'hĂ´tel de ville.
Blason de Vauréal
Blason
Vauréal
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CA de Cergy-Pontoise
Maire
Mandat
Sylvie Couchot
2020-2026
Code postal 95490
Code commune 95637
DĂ©mographie
Gentilé Vauréaliens
Population
municipale
16 020 hab. (2020 en augmentation de 1,05 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 4 630 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 02′ 00″ nord, 2° 02′ 00″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 122 m
Superficie 3,46 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂ´le principal)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives 10e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Vauréal
Liens
Site web https://vaureal.fr/

    CrĂ©Ă©e sous l'impulsion de l'État, la ville nouvelle de Cergy-Pontoise a vu le jour en 1971 et marquĂ© le vĂ©ritable point de dĂ©part du dĂ©veloppement de VaurĂ©al. Petit village de 800 Ă˘mes au dĂ©but des annĂ©es 1980, la commune comptait 16 020 habitants appelĂ©s les VaurĂ©aliens au dernier recensement de 2020.

    GĂ©ographie

    Description

    La place du CĹ“ur-Battant.

    SituĂ©e Ă  25 km au nord-ouest de Paris, dans le Vexin français, la ville s'Ă©tend sur la rive droite de l'Oise, Ă  l'est de la boucle qui forme les Ă©tangs de Cergy-Neuville.

    Elle a une superficie de 371 ha dont 48 had'espaces verts, et 54 ha d'espaces boisĂ©s[1], et compte 52 km de voiries.

    Communes limitrophes

    Vauréal est bordée au nord par la ville de Cergy, à l'ouest par Courdimanche et Boisemont, au sud par Jouy-le-Moutier et Neuville-sur-Oise à l'est.

    Communes limitrophes de Vauréal[2]
    Courdimanche Cergy
    Vauréal Neuville-sur-Oise
    Boisemont Jouy-le-Moutier
    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols
      Occupation des sols

    Hydrographie

    Les bords de l'Oise.

    Vauréal est limitée à l'est par un des méandres de l'Oise, l'un des affluent principaux de la Seine.

    Urbanisme

    Typologie

    Vauréal est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7] - [8].

    Morphologie urbaine

    Vauréal est divisée en deux : le village au bord de l'Oise est séparé de l'urbanisation récente sur le plateau par des coteaux boisés.

    On compte 9 quartiers sur la ville : les Toupets, les Longues-Terres, la Siaule, les Groues, le Boulingrin, l'Allée Couverte, les Moissons, les Sablons et le Village (du sud vers le nord, exception faite du Village qui couvre la ville sur toute sa longueur). Le Cœur de ville est compté avec les Moissons (voir L’Étincelle de ).

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 6 201, alors qu'il Ă©tait de 5 442 en 2014 et de 4 984 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 96,1 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 3,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 65,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 34,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Vauréal en 2019 en comparaison avec celle du Val-d'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 64,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67 % en 2014), contre 55,9 % pour le Val-d'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Vauréal en 2019.
    Typologie Vauréal[I 1] Val-d'Oise[I 4] France entière[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 96,1 92,6 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,7 1,3 9,7
    Logements vacants (en %) 3,3 6 8,2

    Voies de communication et transports

    La ville est desservie par l'ancienne route nationale 322 (actuelle RD 922). La gare du RER A la plus proche est la gare de Cergy - Le Haut.

    Le réseau de la STIVO dessert Vauréal :

    Des cars scolaires acheminent les élèves du Vexin au lycée Camille-Claudel.

    Toponymie

    L’ancien nom était Lieux avant 1644, le nouveau nom est au XVIIe siècle Vauréal.

    En 1189, le village est appelé Leus, et au début du XIIIe siècle (en 1253), le village est appelé Locus[9]
    L'historien Michel-Toussaint-Chrétien du Plessis indique dans sa Description géographique et historique du Vexin Français qu'on trouve des titres tels que Liex, Li Eu signifiant La Prairie[10]. Il n'y a pas d'explication plausible sur la signification de ce nom, toutefois Jean Lebeuf indique que cet endroit est appelé Lieux par corruption car la distance de Paris à Lieux est de 7 lieues[11].

    Le nom actuel de la commune provient du latin vallis regalis, la « vallée royale ».

    Au cours de la Révolution française, la commune reprit provisoirement le nom de Lieux[12].

    Histoire

    Préhistoire

    L'existence d'une allée couverte sur le territoire de la commune atteste la présence de l'homme dès le néolithique.

    Moyen Ă‚ge

    Anciennement dénommé Lieux et dépendant de Jouy-le-Moutier, le village est érigé en paroisse en 1252, en raison de son importante population vigneronne. On trouve une lettre datant de 1253 de Renaud de Corbeil, évêque de Paris, qui permet la construction d'une église baptismale « in villa quae dicitur Locus » qui était auparavant de la paroisse de Jouy sous condition qu'il soit payé au chapitre cathédral de Notre-Dame de Paris les droits de synode et de visite et autres comme le faisait le curé de Jouy.

    Pendant la guerre de Cent Ans, en 1433, les Anglais prennent, pillent et brûlent Vauréal, Courdimanche et Puiseux.

    C'est en 1656 qu'Antoine de Guérapin, seigneur du village depuis 1644 et devenu baron, lui donne son nom actuel. L'usage de cette appellation n'est généralisée qu'au milieu du XVIIIe siècle.

    Époque contemporaine

    Devenue commune avec la Révolution française, Vauréal vit de la viticulture avant de souffrir des conséquences de la concurrence méridionale, due au développement du chemin de fer au milieu du XIXe siècle. La commune se reconvertit alors dans la culture maraîchère et fruitière.

    Le un orage cause de gros dégâts à Neuville, et dévasta Jouy-le-Moutier, Vauréal, Boisemont, Courdimanche, Osny, Cergy, Puiseux, et Pontoise.

    La ville nouvelle

    Statue du Mahatma Gandhi édifiée en 2011 par l'importante communauté Tamoul de la ville[13]

    Ce n'est qu'en 1971 avec la création de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise que la commune connaît une réelle expansion. En 1984, le premier quartier du plateau (les Toupets) a été aménagé. La population s'est alors accrue de manière exponentielle.

    En 2005, d'importants travaux sont lancés pour la création d'un « Cœur de ville » qui faisait défaut jusqu'alors à la commune. Outre la création de logements, de nombreux commerces devraient y faire leur apparition. Situé à mi-chemin entre les quartiers de la Bussie, du Boulingrin et des Toupets, le Cœur de ville avait pour volonté affichée de faire disparaître l'impression d'une ville scindée en deux.

    En , le nouvel hôtel de ville est inauguré, le centre culturel "l'Antarès" est inauguré en . La première tranche du programme immobilier a été livrée durant le premier semestre de la même année et les premiers commerces ont ouvert en . La livraison de la deuxième tranche a été fait début 2008 et la troisième tranche en 2009.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du [14], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune se trouve désormais dans le département du Val-d'Oise et dans l'arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au .

    La commune relève de la compétence du tribunal judiciaire ainsi que de commerce de Pontoise[15] - [16].

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune est depuis 2014 le bureau centralisateur du canton de Vauréal

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    Vauréal fait partie de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, dont l'aménagement a été organisé par l'État au moyen d'un établissement public d'aménagement (EPA) créé en 1969 et par un syndicat communautaire d'aménagement (SCA) en 1971, puis en syndicat d'agglomération nouvelle en 1984.

    La ville nouvelle étant considérée comme achevée, l'EPA est dissout en 2002, et le SAN se transforme en communauté d'agglomération le .

    La ville est donc désormais membre de la communauté d'agglomération de Cergy-Pontoise, qui exerce de nombreuses de compétences transférées par les communes associées dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales

    Tendances politiques et résultats

    Pour les Ă©chĂ©ances Ă©lectorales de 2007, VaurĂ©al fait partie des 82 communes[17] de plus de 3 500 habitants ayant utilisĂ© les machines Ă  voter.

    Bernard Morin a été élu au premier tour des élections municipales de pour un second mandat à hauteur de presque 59 % des suffrages exprimés.

    Au premier tour des Ă©lections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste PS-PCF-EELV menĂ©e par la maire sortante Sylvie Couchot — qui avait succĂ©dĂ© en janvier 2013 Ă  Bernard Morin après sa dĂ©mission — remporte la majoritĂ© absolue des suffrages, avec 2 809 voix (53,69 %, 26 conseillers municipaux et 4 conseillers communautaires Ă©lus), devançant largement la liste UMP-UDI menĂ©e par HervĂ© Techer[18] (2 422 voix, 46,30 %, 7 conseillers municipaux et un conseiller communautaire Ă©lus), lors d'un scrutin marquĂ© par 49,92 % d'abstention[19].

    Lors du premier tour des Ă©lections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste DVG menĂ©e par la maire sortante Sylvie Couchot remporte la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 2 145 voix, 26 conseillers municipaux et 4 conseillers communautaires Ă©lus), devançant largement la liste menĂ©e par Rida Boultame (MoDem, 1 642 voix, 39,62 %, 6 conseillers municipaux et un conseiller communautaire Ă©lus) et celle de Dominique Flottes (Div, 357 voix, 8,61 %, un conseiller municipal Ă©lu), lors d'un scrutin marquĂ© par 61,99 % d'abstention[20].

    Politique locale

    Les élections municipales de 2020 ont été annulées par le tribunal administratif de Cergy-Pontoise qui a jugé que la diffusion tardive d'un communiqué de presse de Sylvie Couchot, qui n'a pas laissé le temps à ses adversaires de répliquer, avait porté atteinte à la sincérité du scrutin.

    Néanmoins, la municipalité élue en reste en place jusqu'à ce que le Conseil d'État, saisie par Sylvie Cuchot, statue[21], ce qui génère des conseils municipaux tendus[22].

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    août 1944 déc. 1944 Jean Astruc
    déc. 1944 mars 1971 Jean Parquet
    mars 1971 mars 1977 LĂ©on Taubert
    mars 1977 1986 Joseph Wattelier DVG
    1986 mars 2001 Jacky Breton DVG Conseiller général du canton de l'Hautil (2001 → 2015)
    mars 2001 décembre 2012[23] - [24] Bernard Morin[25] PS puis EELV[26] Retraité de l’Éducation nationale
    DĂ©missionnaire
    janvier 2013[27] En cours
    (au 3 décembre 2020)
    Sylvie Couchot[28] EELV puis DVG Infirmière à l'hôpital de Pontoise
    Conseillère départementale de Vauréal (2015 → 2021)
    Vice-présidente de la CA de Cergy-Pontoise (2020 → )
    RĂ©Ă©lue pour le mandat 2020-2026[29] - [30]

    Enseignement

    Lycée Camille-Claudel.

    Vauréal relève de l'académie de Versailles.

    Huit groupes scolaires (ÉlĂ©mentaire et maternelle) dispensent l'enseignement Ă  2 000 Ă©lèves en moyenne. On compte en outre deux collèges (Les Toupets et la Bussie) et un lycĂ©e d'enseignement gĂ©nĂ©ral, le lycĂ©e Camille-Claudel (en), conçu par Roger Taillibert.

    Les huit groupes scolaires sont : Les Groues, Les Hauts Toupets, Le Village, Le Boulingrin, La Siaule, Les Sablons, l'Allée couverte et les Moissons.

    On compte également une école primaire spécialisée pour enfants intellectuellement précoces, l'école Talentiel.

    Équipements culturels

    Le centre culturel Antarès offre trois salles de spectacles dont deux Ă  dominante cinĂ©matographique. La bibliothèque des Dames-Gilles offre plus de 30 000 ouvrages. Des travaux d'extension sont prĂ©vus pour la transformer en mĂ©diathèque avec salle d’étude, DVDthèque et espace multimĂ©dia. L'Ă©cole municipale de musique dispose de douze salles de cours adaptĂ©es et insonorisĂ©es et d'un auditorium de 132 places. 23 disciplines y sont enseignĂ©es : du djembĂ© Ă  la musique assistĂ©e par ordinateur.

    Le Forum, ouvert en 1995 d'abord sous forme associative puis municipalisé, est une salle de concerts d'une capacité de 500 places qui organise une soixantaine de concerts par an en particulier dans l'univers du metal rock ou d'autres courants de la musique actuelle, ainsi que des expositions et des résidences d'artistes. Il dispose également de studios de répétition et d'enregistrement. La construction d'un nouveau Forum2 avec des financements de la ville, de l'agglomération, de la DRAC, de la région et du département lui permettra de disposer de deux salles de concert au lieu d'une, dont la principale pourra accueillir 850 personnes, soit 350 de plus qu'antérieurement, avec des gradins. La seconde salle sera dévolue principalement aux groupes locaux, notamment de ceux qui fréquentent régulièrement les studios du Forum[31] - [32].

    Depuis , la commune dispose d'un pôle d'artisanat d'art, la cour des arts, qui regroupe une vingtaine d'ateliers d'artistes et d'artisans d'art. Située au 8 rue Nationale, dans Vauréal-village, on peut y trouver des luthiers, un sculpteur-céramiste, un souffleur de verre, une vitrailliste, des peintres sur porcelaine, une créatrice de bijoux, un designer, une spécialiste des décors ajourés, des professionnels de la patine contemporaines et des mosaïques, des créateurs de lampes etc. Les ateliers sont ouverts au public et l'entrée y est libre - les artistes et artisans propose à la vente leurs réalisations (des pièces uniques) et proposent également des cours et stages.

    Sports

    • Piscine intercommunale de l'Hautil. Elle met Ă  disposition des nageurs deux bassins principaux, bassin de 25 m et bassin de dĂ©tente avec buses d'hydromassage et toboggan, elle propose ainsi de nombreuses activitĂ©s : Ă©cole de natation, bĂ©bĂ©s nageurs, aquagym, natation adultes, water-polo, natation prĂ©natale .
    • Parc des sports : terrain d'athlĂ©tisme avec piste de 400 m, terrain de football d'honneur, terrain d'entrainement, tennis couverts et extĂ©rieurs.
    • Deux gymnases : Bussie et Toupets.De nombreux terrains de sport (terrains de football, de basket-ball, skatepark, vĂ©locross)
    • Un terrain de baseball utilisĂ© par l'Ă©quipe vaurĂ©alienne des Squales qui Ă©volue actuellement en Championnat de France de baseball Nationale 2 .
    • le golf de Cergy-VaurĂ©al est en partie situĂ© sur la commune.
    • Une courte piste cyclable de quelques centaines de mètres.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[33] - [Note 3].

    En 2020, la commune comptait 16 020 habitants[Note 4], en augmentation de 1,05 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    611602601595547537509481490
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    446452428406382382405401397
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    387425385363358384363372606
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    56958764178211 71716 20615 31616 22316 258
    2020 - - - - - - - -
    16 020--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population est très jeune, puisque VaurĂ©al se place en deuxième position des villes de plus de 1 000 habitants les plus jeunes de France[35], avec 41,6 % de la population de moins de 20 ans.

    Cultes

    L'Ă©glise Sainte-Claire.
    • Catholique : la paroisse de VaurĂ©al est rattachĂ©e au groupement de l'Hautil. Deux Ă©glises, Notre-Dame-de-l'Assomption et Sainte-Claire. Conçue par l'architecte belge Jean Cosse, cette dernière est consacrĂ©e en 1995, les cloches "Paix" et "Joie" ont Ă©tĂ© baptisĂ©es en . Les messes s'y dĂ©roulent gĂ©nĂ©ralement le dimanche Ă  11 heures[36].
    • Protestantisme : Ă©glise de Dieu-en-France (Ă©glise protestante Ă©vangĂ©lique)[37].
    • Islam : la mosquĂ©e Assalam qui est situĂ©e au quartier des Toupets attire entre 50 et 80 fidèles quotidiennement et plus de 300 fidèles pour la grande prière du vendredi. Des cours d'arabe se dĂ©roulent Ă©galement dans l'enceinte principalement le week-end. La mosquĂ©e est la troisième de l'agglomĂ©ration de Cergy-Pontoise avec celle de Pontoise et de Cergy. La mosquĂ©e a subi des travaux d'agrandissement durant l'annĂ©e 2013, ceci a permis de disposer de nouvelles salles de classe, plus d'espace pour l'emplacement des femmes ainsi qu'un ascenseur. Les fidèles de la mosquĂ©e sont de diffĂ©rentes nationalitĂ©s, on retrouve des Français, Marocains, AlgĂ©riens, Tunisiens, Maliens, SĂ©nĂ©galais, Pakistanais...

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2009, le salaire horaire net moyen de la population salariĂ©e est de 14,10 euros, avec 12 euros pour les femmes et 16,2 euros pour les hommes. La moyenne par catĂ©gorie professionnelle s'Ă©tale entre 9,8 euros pour les ouvriers non qualifiĂ©s, jusqu'Ă  23 euros pour les cadres.

    La population comporte 7 608 foyers fiscaux, dont 4 932 sont imposables. Les totaux dĂ©clarĂ©s des revenus fiscaux s'Ă©lèvent Ă  208 millions d'euros en 2009 pour la commune, soit un revenu moyen de 27 416 euros, et un impĂ´t moyen de 1 428 euros. Le revenu mĂ©dian par mĂ©nage est de 20 975 euros. Pour les 64,8 % de foyers imposables (soit 73,6 % des mĂ©nages), le revenu moyen est de 36 692 euros, contre 10 319 euros pour les foyers non imposables. Globalement, les revenus par foyer sont au mĂŞme niveau qu'en 2006, avec une lĂ©gère progression pour les foyers imposables, et une lĂ©gère rĂ©gression pour les foyers non imposables, alors que sur la zone de comparaison, ces revenus par foyer dĂ©croissaient de 1,7 %.

    68,8 % des 5 005 mĂ©nages sont propriĂ©taires de leur logement, 29,3 % sont locataires, dont 21,8 % en HLM[38].

    Emploi

    Sur la population statistiquement en âge de travailler (entre 15 et 65 ans), soit 11 762 personnes, 75,2 % sont actives, dont 2 078 sur la commune, soit un indicateur de concentration d'emploi de 21,8 %, traduisant son caractère rĂ©sidentiel. 1 066 personnes travaillent sur VaurĂ©al, 3 195 dans le Val-d'Oise, et 3 643 dans d'autres dĂ©partements de la rĂ©gion parisienne, le solde, soit 96 personnes, travaillant dans une autre rĂ©gion ou Ă  l'Ă©tranger.

    Le taux de chômage est de 9,7 % en 2009, légèrement plus élevé pour les hommes que pour les femmes.

    Les 2 203 emplois disponibles sur la commune dĂ©pendent majoritairement des secteurs de l'administration publique, de l'enseignement, de la santĂ©, et de l'action sociale (62,9 %) du commerce, des transports et autres services pour 28 %, l'agriculture ne reprĂ©sentant que 9 emplois en 2009[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vauréal compte trois monuments historiques sur son territoire :

    • l’église Notre-Dame-de-l'Assomption, rue de l'Église (classĂ©e monument historique par arrĂŞtĂ© du [39]) : La paroisse a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en 1253, mais la première Ă©glise a Ă©tĂ© incendiĂ©e par les Anglais en 1432, sous la guerre de Cent Ans. Elle a Ă©tĂ© remplacĂ©e par un nouvel Ă©difice de style gothique flamboyant, dont la construction a probablement dĂ©butĂ© Ă  la fin du XVe siècle. Au moment de la dĂ©dicace, en 1561, la majeure partie de l'Ă©glise est sans doute terminĂ©e depuis plusieurs annĂ©es, mais le clocher et la façade sont de style Renaissance et probablement postĂ©rieurs. Les voĂ»tes de la nef et de ses bas-cĂ´tĂ©s n'ont jamais Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es. L'Ă©glise Notre-Dame rĂ©pond Ă  un plan très simple, et ne prĂ©sente architecturalement rien de particulièrement remarquable, mais est assez homogène et reprĂ©sentative des reconstructions après la guerre de Cent Ans. Certains Ă©lĂ©ments du mobilier sont intĂ©ressants. Depuis l'inauguration de l'Ă©glise Sainte-Claire de VaurĂ©al en 1995, l'Ă©glise Notre-Dame est relĂ©guĂ©e au second plan, et les messes dominicales se cĂ©lèbrent actuellement le dimanche soir[40] - [41] ;
    • l’allĂ©e couverte du cimetière des Anglais, promenade du Dolmen (classĂ©e monument historique par arrĂŞtĂ© du [42]) : Elle est situĂ©e sur le rebord du plateau qui domine l'Oise, Ă  l'orĂ©e d'un bois. AppelĂ©e « Cimetière des anglais » depuis le XIVe siècle, elle doit ce nom Ă  l'occupation anglaise durant la guerre de Cent Ans. Le vicomte AmĂ©dĂ©e de Caix de Saint Aymour la fouille en 1867 et met au jour les restes d'au moins soixante-cinq personnes, ainsi que divers outils (haches, outils en silex, hachettes polies). Le dolmen est orientĂ© est/ouest ; le monument mesurait 14 m de long et environ 2,30 m de large et Ă©tait constituĂ© de trois chambres sĂ©pulcrales sĂ©parĂ©es par des murs. Les dalles qui recouvraient l'allĂ©e ne sont plus sur place[41] ;
    • l’ancienne croix de cimetière, au cimetière, rue de Caix-de-Saint-Aymour (classĂ©e monument historique par arrĂŞtĂ© du [43]) : Le cimetière abrite une croix provenant de l'ancien cimetière près de l'Ă©glise, dĂ©placĂ©e lors de la crĂ©ation du cimetière actuel vers 1862-1866. Elle porte sur une face le Christ et sur l'autre une Vierge Ă  l'Enfant. Le socle date de 1903 seulement[41].
    • L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption.
      L'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption.
    • AllĂ©e couverte du cimetière des Anglais.
      Allée couverte du cimetière des Anglais.
    • Ancienne croix de cimetière.
      Ancienne croix de cimetière.

    On peut Ă©galement signaler :

    • le château de VaurĂ©al, rue Nationale (RD 922) : le premier château en ce lieu date vraisemblablement du XIIIe siècle. En 1656, Antoine GuĂ©rapin en devient propriĂ©taire et entreprend d'importants travaux de restauration. De 1731 Ă  1786, le château est propriĂ©tĂ© de la famille des princes de Conti. Louise-AdĂ©laĂŻde de Bourbon-Conti fait reconstruire le château selon le style de l'Ă©poque et fait amĂ©nager le parc selon le modèle français. Ă€ la RĂ©volution, le château est confisquĂ© Ă  son propriĂ©taire d'alors le marquis de Caumont. Acquis par CĂ©sar et LĂ©opold Chevalier, ils font dĂ©molir le corps principal, le château actuel est construit sur les anciens communs. Les propriĂ©taires se succèdent ensuite jusqu'Ă  Mathilde Heintz en 1895, première compagne d'Henri Menier, celui-ci en hĂ©rite en 1907. Il lui permet d'y faire stationner son yacht l'AlmĂ©e. La propriĂ©tĂ© comprenait alors de nombreux communs, une chapelle de style gothique, des serres accueillant des plantes exotiques, une mĂ©nagerie et une usine fournissant l'Ă©lectricitĂ© au château et au parc. Henri MĂ©nier meurt Ă  VaurĂ©al le , et le château est acquis par Henri DaydĂ©. Il restera dans sa famille jusqu'en 1946, date Ă  laquelle il devient le Clos Levallois, un institut pour enfants et adolescents ayant besoin d’un suivi Ă©ducatif et psychologique particulier[44] ;
    • le pseudo-dolmen Ă  VaurĂ©al village, 27 rue de la Mairie ;
    • le viaduc Ă  trois arches de l'ancienne voie ferrĂ©e d'intĂ©rĂŞt local CGB, rue de Puiseux, et pont Ă  une arche, rue des Marais : ces ouvrages d'art sont Ă©rigĂ©s après 1910 dans le contexte de la crĂ©ation de la ligne Pontoise - Poissy. Mais la ligne qui a suscitĂ© des espoirs de dĂ©senclavement et de dĂ©veloppement Ă©conomique dans la rĂ©gion est fermĂ©e Ă  tout trafic dès 1948. Dans l'agglomĂ©ration de Cergy, elle est aujourd'hui amĂ©nagĂ©e en piste cyclable et chemin de promenade, exception faite de courts tronçons intermĂ©diaires ;
    • le lavoir de la rue de Puiseux : petit lavoir couvert du Modèle:S-XIX en contrebas de la rue, avec un abri construit en moellons et un toit en appentis[41].
    • Pseudo-dolmen Ă  VaurĂ©al-village.
      Pseudo-dolmen à Vauréal-village.
    • Ancien viaduc ferroviaire.
      Ancien viaduc ferroviaire.
    • Lavoir de la rue de Puiseux.
      Lavoir de la rue de Puiseux.
    • Ancien pont ferroviaire.
      Ancien pont ferroviaire.
    • la croix de chemin, rue Nationale / citĂ© des Dames Gilles : crucifix en fer du XIXe siècle, sans christ, sur un socle plus ancien ;
    • le lavoir des Dames Gilles, rue des Dames-Gilles : situĂ© sur une sente en pente comportant un escalier, mais qualifiĂ©e nĂ©anmoins de rue (près de la RD 55), c'est un lavoir couvert en atrium du XIXe siècle. Son nom Ă©voque les sĹ“urs de Pierre Gilles, naturaliste français du XVIe siècle, qui eurent jouissance d'une partie de la propriĂ©tĂ© du baron d'Aramont, diplomate envoyĂ© par François Ier Ă  Istanbul[41]. La citĂ© des Dames Gilles se trouve Ă  proximitĂ©, constituĂ©e de plusieurs maisons anciennes mitoyennes les unes des autres ;
    • la maison de François AndrĂ© Michaux, 57 rue Nationale : la maison proprement dite, au sein d'un grand jardin, n'a pas de façade sur la rue, mais une plaque commĂ©morative Ă  cĂ´tĂ© du portail rappelle que ce botaniste et explorateur demeura ici de 1822 jusqu'Ă  sa mort, le [41] ;
    • le puits mural, rue des Carneaux ;
    • le lavoir des Carneaux, sentier des Marettes : il est protĂ©gĂ© par un abri semblable Ă  celui du lavoir de la rue de Puiseux, mais le bassin se situe Ă  l'air libre.
    • Croix de chemin.
      Croix de chemin.
    • Lavoir des Dames Gilles.
      Lavoir des Dames Gilles.
    • Maison de Michaux.
      Maison de Michaux.
    • Puits mural.
      Puits mural.
    • Lavoir des Carneaux.
      Lavoir des Carneaux.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Vauréal
    Blason de Vauréal Blason
    D'azur au dolmen d'argent, au chef aussi d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
    Devise
    Iste locus sacrificii (c'est ici le lieu des sacrifices).
    DĂ©tails
    Le dolmen rappelle l'allée couverte du cimetière des Anglais et indique que Vauréal fut un centre religieux druidique[49].
    Le blason fut conçu vers 1943, à partir de celui de la famille des Conti, propriétaires du château entre 1731 et 1786. Sa création fut lancée sous l'impulsion de la préfecture, qui proposa aux communes de Seine et Oise qui n'en avaient pas de se munir d'un emblème[50].

    Vauréal dans les arts et la culture

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Il Ă©tait une fois VaurĂ©al, Cergy-Pontoise, Ă©ditions du Valhermeil, , 115 p. (ISBN 2-913328-04-0)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Vauréal en chiffres, sur le site de la mairie
    2. « Communes limitrophes de Vauréal » sur Géoportail..
    3. « Communes limitrophes de Vauréal » sur Géoportail..
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    10. Qui viendrait (selon l'auteur) de La Prairie - Li Ă©tant le substantif et Eu signifiant la Prairie
    11. Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris volume 2
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. La communauté Tamoul du val d’Oise était nombreuse ce vendredi 11 novembre à Vauréal. La ville inaugurait une imposante statue de bronze de près de deux mètres de haut à l’effigie du Mahatma. Une initiative de l’association des Tamouls de Vauréal, « La sagesse de Gandhi veille désormais sur Vauréal », VO News,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    14. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    15. Site du conseil général - Administration du Val-d'Oise
    16. Ministère de la Justice - Conseil départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    17. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
    18. Jérôme Cavaretta, « Hervé Techer veut "changer Vauréal" : En mars 2014, Hervé Techer conduira une liste soutenue par l'Ump. », La Gazette du Val d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À 39 ans, cet agent Ratp passé par les rangs du MoDem et de République solidaire conduira une liste soutenue par l’Ump aux élections municipales de mars prochain ».
    19. Résultats officiels pour la commune Vauréal
    20. Jérôme Cavaretta, « Val-d'Oise. Municipales 2020. Vauréal : Sylvie Couchot l'emporte avec 51,76 % des voix : La maire (dvg) sortante n'aura eu besoin que d'un seul tour : elle l'emporte avec 51,76 % des voix. Rida Boultame (Modem), son principal adversaire, obtient 39,62 % des suffrages. », La Gazette du Val d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élue maire de Vauréal en janvier 2013 suite à la démission de Bernard Morin, réélue dès le premier tour avec 53,69 % des voix en 2014, Sylvie Couchot, 62 ans, entamera son dernier mandat ».
    21. Julie Ménard, « Vauréal : les élections municipales invalidées par le tribunal administratif : La maire (DVG) Sylvie Couchot va faire appel de cette décision. Son opposant Rida Boultame (DVC) avait déposé un recours après la diffusion d’un communiqué de presse l’accusant d’avoir foncé sur l’équipe de sa rivale. », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    22. Jérôme Cavaretta, « Val-d'Oise. Vauréal. Rien ne va plus entre le maire et l'opposition : Conseils municipaux-fleuves, échanges acerbes... La tension est palpable entre la maire et ses opposants avec en filigrane un possible retour aux urnes », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    23. « Bernard Morin finira-t-il son mandat ? », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    24. « Le maire de Vauréal a démissionné », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    25. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Préfecture du Val-d'Oise, Liste des maires du département du Val-d'Oise, avril 2008
    26. Le maire de Vauréal quitte le PS pour rejoindre les Verts, sur Vonews.com
    27. « Sylvie Couchot, nouvelle maire de Vauréal », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elle a été élue à 29 voix pour et 3 contre, face à Patrick-Louis Box, candidat de l'opposition (UMP). Sa victoire ne faisait aucun doute puisqu'elle avait obtenu le soutien du Parti socialiste ».
    28. « Sylvie Couchot », Le Maire et les élus, sur https://www.vaureal.fr, (consulté le ).
    29. Christophe Lefevre, « Municipales à Vauréal : l'écologie au cœur de la campagne à Vauréal : Aux commandes de la ville depuis l'an dernier, Sylvie Couchot (EELV) se présente comme tête de liste pour la première fois. Elle est opposée à Hervé Técher (UMP), qui l'attaque sur le terrain de l'environnement », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    30. érôme Cavaretta, « Val-d'Oise. Municipales 2020. Sylvie Couchot, le dernier mandat : Élue en 2014 avec 53,69 % des voix, la maire (dvg) de Vauréal (Val-d'Oise) sera candidate à sa succession en mars. Elle veut repartir pour un dernier mandat », La Gazette du Val d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Un dernier tour de piste. Élue maire de Vauréal (Val-d’Oise) en janvier 2013 suite à la démission de Bernard Morin, réélue dès le premier tour avec 53,69 % des voix en 2014, Sylvie Couchot (dvg) visera en mars 2020 la passe de deux. Face à elle : Rida Boultame (Modem) qui a reçu le soutien de Jacky Breton, ancien maire de la commune (1986 à 2001) et Dominique Flottes qui sera à la tête d’une liste sans étiquette ».
    31. Marie Persidat, « Vauréal : le nouveau Forum gardera son côté chaleureux : La salle de concert va être reconstruite et accueillera plus de concerts et de spectateurs. Un nouveau départ même si elle entend garder son âme », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. Anne Collin, « Val-d’Oise : comment le Forum de Vauréal est devenu un lieu incontournable de la scène metal : Depuis plus de vingt ans, la salle de concert accueille régulièrement des groupes de renommée nationale et internationale pour une date unique en Île-de-France. Le fruit d’un héritage et d’une histoire que l’équipe entretient et développe », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. L'internaute : Encyclopédie des villes de France
    36. Site des paroisses de l'Hautil-Services
    37. Site de la ville de Vauréal- Cultes
    38. Statistiques communales Insee, au 28 juin 2012
    39. « Église Notre-Dame-de-l'Assomption », notice no PA00080223, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Bernhard Duhamel, Guide des églises du Vexin français, Paris, Éditions du Valhermeil, , 344 p. (ISBN 2-905684-23-2), p. 325-326.
    41. Véronique Daver et Hautem Bali, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Vauréal », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 372-374 (ISBN 2-84234-056-6).
    42. « Allée couverte du cimetière aux Anglais », notice no PA00080221, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. « Croix de cimetière », notice no PA00080222, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Le château », sur Vauréal (site officiel) (consulté le ).
    45. L. M., « Claude Brasseur tourne sur le marché », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    46. Marie Persidat, « Claude Brasseur, l’amoureux de Pontoise et du Vexin : Durant une trentaine d’années, l’acteur qui vient de s’éteindre a partagé sa vie entre la capitale et sa maison de Vauréal », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    47. Registre Vauréal An VIII-an XI, page 95/117, acte N°11
    48. AD de Pontoise, acte de décès de 1856, page41/53, N°146
    49. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
    50. Il était une fois Vauréal, éditions du Valhermeil, 1999
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