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Tron

Tron est un film de science-fiction américain réalisé par Steven Lisberger, sorti en 1982.

Tron
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo du film.
RĂ©alisation Steven Lisberger
Scénario Steven Lisberger
Bonnie MacBird
Musique Wendy Carlos
Acteurs principaux
Sociétés de production Walt Disney Productions
Lisberger/Kushner
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre Science-fiction
DurĂ©e 96 minutes
Sortie 1982

SĂ©rie

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Avec notamment les acteurs Jeff Bridges, Bruce Boxleitner, David Warner et Cindy Morgan dans les rôles principaux, le film a pour sujet le monde informatique et des jeux vidéo du début des années 1980, et présente à la fois une plongée dans un monde virtuel et le concept de l'intelligence artificielle, alors qu'à l'époque, la souris à boule faisait à peine ses débuts. Le film présente également la particularité d'avoir été le premier long métrage dont la conception été assistée par ordinateur pour la plus grande partie de ses scènes.

Malgré un succès initial mitigé, Tron est devenu un film culte pour les amateurs de science-fiction. En 2010, il fait l'objet d'une suite, intitulée Tron : L'Héritage, réalisée par Joseph Kosinski.

Synopsis

Kevin Flynn, un talentueux programmeur américain de jeux vidéo, travaille pour l'éditeur ENCOM. Mais la paternité des jeux qu'il développe est usurpée par un de ses collègues, Ed Dillinger qui, devenu président d'ENCOM, parvient à le faire licencier.

Devenu par la suite le gérant d'une salle d'arcade où tournent ses propres jeux, mais au bénéfice d'ENCOM, Flynn tente, chaque soir depuis chez lui, de pénétrer le système informatique de son ancienne société. À l'aide de son programme informatique « CLU » (pour « Codified Likeness Utility »), il recherche des preuves de la spoliation dont il a été victime. Mais le système informatique d'ENCOM, bien protégé, est sous le contrôle du MCP (« Master Control Program », le « Maître Contrôle Principal » en VF), un ancien programme d'échecs créé par Dillinger qui a atteint le stade d'une intelligence artificielle par une évolution autonome incontrôlée.

La Moto Light Cycle, un véhicule présent dans le film lors de la séquence des jeux.

CLU ayant été neutralisé par le MCP, Flynn n'a d'autre choix que de s'introduire physiquement chez ENCOM pour accéder de l'intérieur au système informatique de l'entreprise. Pour cela, il compte sur la complicité de ses anciens collègues, Lora et Alan, qui travaillent toujours dans son ancienne entreprise.

Parvenu à entrer chez ENCOM, Flynn accède à un terminal informatique situé dans les laboratoires de la compagnie où est mené un projet de recherche sur la dématérialisation (téléportation) des objets. Alors qu'il est détecté par le MCP, celui-ci prend le contrôle d'un laser expérimental et l'active sur Flynn, le dématérialisant pour l'injecter au cœur du système informatique.

Au sein du réseau informatique d'ENCOM régi par le MCP, les programmes ont la même apparence que leur concepteurs. Flynn y retrouve donc ceux qui reprennent les traits de Lora (programme « YORI ») et Alan (programme « TRON »), mais aussi Dillinger (programme « SARK »). Cependant, Flynn est capturé par les entités à la solde du MCP, celles-ci essayant de l'éliminer en le lançant sur la « grille des jeux » d'ENCOM : des combats de disques et des courses de motocycles lumineux.

Flynn, en tant que concepteur de ces jeux, réussit à s'échapper et entreprend de libérer le système de la mainmise du duo SARK / MCP. Il y parvient finalement, récupérant au passage la preuve de ses droits de propriété, ce qui provoque la chute de Dillinger à la tête d'ENCOM, Flynn récupérant son poste de président.

Fiche technique

Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.

Distribution

Production

Pré-production

Le film provient d'un concept du réalisateur Steven Lisberger, passionné d'informatique[2]. Avec le producteur Donald Kushner, Lisberger passe deux ans à rechercher les technologies pour réaliser le film[2].

Tournage

Post-production

Afin d'assurer la promotion du film, le studio produit une émission spéciale de 30 minutes, intitulée Computers are people, too!, diffusée le en syndication[7].

Durant la décennie plusieurs projets d'attractions liés à des films sont envisagés mais les mauvais résultats des films en question mettent un terme à ces projets[8]. David Koenig évoque Robin des Bois (1973), L'Île sur le toit du monde (1974), Le Trou noir (1979) mais aussi Tron (1982)[8].

Effets spéciaux

Tron est le premier film à présenter des séquences retravaillées ou conçues par ordinateur, et de l'imagerie informatique de manière intensive, non seulement comme un élément d'effets spéciaux — comme dans Mondwest (1973) ou Star Wars (1977) —, mais aussi pour concevoir un monde virtuel[2].

Parmi les responsables de l'équipe des effets spéciaux du film, on compte les designers et artistes Syd Mead[9], Jean Giraud (Moebius)[9] et l'illustrateur Peter Lloyd (en) - [9], ceux-ci étant supervisés par Harrison Ellenshaw[9] et Richard Taylor[2] - [9].

Quatre sociétés d'informatique fourniront les images de synthèse du film :

  • deux basĂ©es Ă  Los Angeles : Information International Inc (en) (Triple-I) et Robert Abel & Associates (en) (RA&A), fondĂ©e en 1971 par Robert « Bob » Abel (1937-2001) et Con Pederson ;
  • deux basĂ©es Ă  New York : Digital Effects (en) (fondĂ©e par Jeff Kleiser) et Mathematic Application Group Inc (en) (MAGI) (fondĂ©e en 1966 par Phillip Mittelman), cette dernière ayant fourni la plus grande partie du travail grâce Ă  l'installation d'une ligne tĂ©lĂ©phonique transcontinentale avec les studios de Disney Ă  Burbank en Californie[2]. Toutefois, la durĂ©e de calcul informatique nĂ©cessaire pour crĂ©er une scène permettait de couper le lien deux jours et demi Ă  cinq jours entre chaque transmission[2].

Les scènes du monde virtuel du film sont tournées (puis retravaillées) à Burbank tandis que les scènes du monde réel sont tournées à Los Angeles et au Laboratoire national Lawrence Livermore d'Oakland en Californie[2].

En 1980, la souris informatique n'était pas encore répandue, l'invention de la souris à boule datant de 1979. Elle n'a émergé pour le public qu'en 1983 avec l'Apple Lisa. À cette époque, les informaticiens engagés par Disney travaillaient de longues heures uniquement avec un clavier en mode texte.

Les sĂ©quences informatiques du film ont Ă©tĂ© notamment conçues grâce Ă  l'utilisation d'un supercalculateur de la firme Cray[10], Ă  l'Ă©poque un matĂ©riel encore destinĂ© Ă  la recherche universitaire ou militaire. En 1982, un ordinateur Cray avait une capacitĂ© de 8 MĂ©gaoctets (Mo) de mĂ©moire vive, pour un coĂ»t de 7 000 000 de dollars[10]. Pour Tron, chaque rendu d'image nĂ©cessitait 18 Mo de mĂ©moire, de sorte que, mĂŞme sur un Cray, les animateurs n'ont pu voir aucune image lors de leur travail. En effet, pour chaque rendu d'image, ils devaient gĂ©nĂ©rer une ligne Ă  la fois et ne pouvaient donc voir le rĂ©sultat de leurs efforts que lorsque ces lignes de balayage Ă©taient combinĂ©es au film[10].

Le rendu lissé et artificiel obtenu avec les images de l'époque n'est pas un défaut, puisqu'il permet de donner un caractère artificiel au monde de l'ordinateur par rapport à la réalité. Ce rendu a par ailleurs été utilisé plus tard par John Carpenter en 1996 pour créer le sous-marin dans le film Los Angeles 2013, les trucages ayant été faits par Buena Vista Visual Effects, une branche de Disney.

Bande originale

La bande originale du film a été composée par Wendy Carlos et elle comprend aussi deux compositions du groupe Journey : Only Solutions et 1990's Theme.

Accueil

Accueil critique

Sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes, le film obtient un score de 72 % d'avis favorables, sur la base de 69 critiques collectées et une note moyenne de 6,40 sur 10 ; le consensus du site indique : « Bien que peut-être pas aussi fort dramatiquement que technologiquement, TRON est une œuvre de science-fiction originale et visuellement époustouflante qui représente une étape marquante dans l'histoire de l'animation par ordinateur »[11]. Sur Metacritic, le film obtient une note moyenne pondérée de 58 sur 100, sur la base de 13 critiques collectées ; le consensus du site indique : « Avis mitigés ou moyens »[12].

En France, le site Allociné donne au film une note moyenne de 3,6 sur 5, sur la base de 5 critiques de presse collectées. Parmi celles-ci, le critique Yann Tobin du magazine Positif (n°263, paru en janvier 1983) indique : « Tel quel, Tron est une fête pour les yeux et une intéressante approche pédagogique de l’informatique. On aurait simplement apprécié que tant d’efforts aussi brillamment accomplis aient généré un peu plus d’émotion »[13].

Box-office

Distinctions

Entre 1982 et 1983, le film Tron a été sélectionné dans diverses catégories et a remporté une récompense[15] - [16].

RĂ©compense

Nominations

Autre

Autour du film

Divers

  • Le nom du film (et du personnage interprĂ©tĂ© par Bruce Boxleitner) « TRON » vient de elecTRONique. Bien avant la crĂ©ation du film, ses crĂ©ateurs avaient inventĂ© un personnage rĂ©tro-Ă©clairĂ© dont l'apparence renvoyait Ă  un univers Ă©lectronique. Cette première esquisse a d'abord Ă©tĂ© utilisĂ©e pour promouvoir des chaĂ®nes de radio aux États-Unis avant de donner naissance Ă  un projet de film basĂ© sur ce concept.
  • La majeure partie du film se passe en un temps rĂ©el extrĂŞmement court. En effet, tous les Ă©vènements dont l'action se situe dans le monde virtuel sont Ă  l'Ă©chelle de l'informatique, c'est-Ă -dire que les temps sont mesurĂ©s en nanosecondes. On peut donc supposer que toute l'aventure de Flynn dans le monde virtuel ne dure que quelques secondes dans le monde rĂ©el.
  • MCP est le sigle de « MaĂ®tre ContrĂ´le Principal » en français et de « Master Control Program » en version originale. « Master Control Program » est aussi le nom d'un système d'exploitation rĂ©el, le Burroughs MCP (en) qui fonctionnait sur Burroughs large systems (en), un des plus grands mainframes de la compagnie Burroughs Corporation.
  • Sur les vieux systèmes informatiques, la fonction trace on, appelĂ©e par la chaĂ®ne de commande TRON permettait de suivre les processus de fonctionnement d'un programme. Certaines rumeurs veulent que le personnage principal porte ce nom Ă  cause de la fonction qu'il opère initialement dans le système informatique oĂą il Ă©volue.

Références cachées à d'autres œuvres

Voici quelques easter eggs (références cachées à d'autres œuvres) du film.

  • Sur une affiche dans le bureau d'Alan Bradley, on peut lire les mots « Gort klaatu barada nikto », en rĂ©fĂ©rence Ă  la formule qu'utilise Klaatu, l'alien du film Le Jour oĂą la Terre s'arrĂŞta (1951) de Robert Wise pour diriger son robot, Gort (visible Ă  0:27:11 dans le film).
  • Sur un des murs lumineux de la salle de surveillance de Sark, oĂą celui-ci donne ses ordres et s'isole pour dialoguer avec le MCP, un petit Pac-Man clignote sur la droite de l'Ă©cran (Ă  0:45:30 dans le film).
  • Lors de la scène du voilier solaire, on peut apercevoir une tĂŞte de Mickey Mouse au sol (Ă  1:12:29 dans le film).
  • La rĂ©plique du professeur Walter Gibbs (Barnard Hughes) : « Il m'arrive de rĂŞver Ă  mon ancien garage » est une allusion Ă  la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Monsieur Merlin, dans laquelle Hughes incarnait l'enchanteur Merlin, reconverti en mĂ©canicien.

Editions en vidéo

[réf. nécessaire]

Produits dérivés

Série télévisée d'animation

Jeux vidéo

Jeu de société

  • Tron: Assault on MCP Game (1981)[21]. ÉditĂ© par Ideal. De 2 Ă  4 joueurs pour une durĂ©e de jeu de 30 minutes.

Bandes originales

Dans la culture populaire

Cinéma

  • Dans le film I, Robot (2004) d'Alex Proyas, on peut relever plusieurs similitudes avec le film Tron ; Ă  la fin, l'officier de police Del Spooner (Will Smith) se jette dans un immense rayon lumineux qui est en fait l'ordinateur principal qui dirige tous les robots, afin de lui injecter un « virus » pour le dĂ©truire. Ă€ la fin de Tron, Kevin Flynn se jette dans un rayon lumineux qui est en fait le MCP, pour permettre Ă  Tron d'y placer un programme qui le dĂ©truira.

Télévision

  • Dans la sĂ©rie Chuck (2007-2012), qui prend place Ă  Burbank, le hĂ©ros Chuck Bartowski, un geek devenu agent secret contre son grĂ©, est un grand fan de Tron. On peut remarquer une affiche du film dans sa chambre.
  • Dans la sĂ©rie Le Laboratoire de Dexter, l'Ă©pisode « Fin de partie » du montre le personnage Dexter qui tombe dans un univers similaire Ă  celui de Tron. Dans cet Ă©pisode, sont prĂ©sents les Light Cycle et un maĂ®tre du virtuel qui ressemble au MCP de Tron.
  • Dans la sĂ©rie Les Simpson, une rĂ©fĂ©rence au film est faite dans l'Ă©pisode « Simpson Horror Show VI » du .
  • La forme du MCP est reprise par la sĂ©rie South Park pour reprĂ©senter MoĂŻse ; la première fois dans l'Ă©pisode « Les Scouts juifs » du . Dans l'Ă©pisode 4 de la saison 14, « Vous avez 0 ami », Stan se fait happer par son profil Facebook, devenu trop puissant et se retrouve dans un monde virtuel oĂą tous les profils sont reprĂ©sentĂ©s par leur propriĂ©taire et oĂą, Ă  l'image de l'univers de Tron, ils sont vĂŞtus de combinaisons et de casques luminescents.
  • La sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Automan (1983-1984) reprend en partie l'univers de Tron. Le hĂ©ros est un hologramme au costume lumineux dont la voiture prend des virages Ă  90°.
  • Le monde de Tron, futuriste lors de sa crĂ©ation, mais quelque peu « rĂ©tro » Ă  peine trente ans plus tard, avec ses objets virtuels « fil de fer » et ses motos bizarres virant Ă  angle droit, est parodiĂ© dans un Ă©pisode de la sĂ©rie Futurama de Matt Groening intitulĂ© « Law and Oracle » (). On y voit l'antihĂ©ros de l'histoire, le peu douĂ© Philip J. Fry, devenu pour l'occasion un motard de la police, se lancer sur son Ă©trange moto Ă©lectronique Ă  gros pneus Ă  la poursuite d'un dĂ©linquant routier qui a dĂ©passĂ© la limite de vitesse... de la lumière. Il s'avère que ce dangereux contrevenant n'est autre qu'Erwin Schrödinger qui transporte dans sa voiture, outre des hallucinogènes d'une puissance inconnue, une mystĂ©rieuse boĂ®te contenant son cĂ©lèbre (et très agressif) chat quantique.

Musique

  • Le clip de la chanson 12:51 du groupe The Strokes, rĂ©alisĂ© par Roman Coppola en 2003, s'inspire du film.
  • Le clip de la chanson From Paris to Berlin d'Infernal, sorti en 2005, s'inspire de l'univers Ă©purĂ© du film, notamment de ses courses de moto.
  • Le clip de la chanson Qu'en est-il de la chance de Pierre Lapointe, sorti en 2006, s'inspire Ă©galement de la course de moto de Tron mais, au lieu de laisser un mur derrière elle, la moto efface les lignes.
  • Le clip de la chanson The Tron girl de la websĂ©rie The key of Awesome (en) s'inspire de l'univers de Tron.
  • Le groupe français Daft Punk rend hommage au film lors de sa tournĂ©e mondiale Alive 2007 ; pendant leurs concerts, lors du rappel (titres Human After All/Together/One More Time (Reprise)/Music Sounds Better With You), les deux membres du groupe apparaissent vĂŞtus de costumes de scène noirs Ă  bandes orange rappelant les combinaisons cybernĂ©tiques des personnages du film. Ils participeront Ă©galement Ă  la bande originale du film Tron : L'HĂ©ritage.
  • L'univers du clip du morceau Abiura di me (2008), interprĂ©tĂ© par l'Italien Caparezza, reprend le design visuel de Tron ainsi que le Light Cycle.

Jeux vidéo

  • L'univers de Tron apparaĂ®t dans le jeu vidĂ©o Kingdom Hearts 2 oĂą il fait partie du système de l'ordinateur d'Ansem. La Grille devient un monde jouable dans Kingdom Hearts 3D: Dream Drop Distance.
  • Dans Darwinia, les ingĂ©nieurs qui servent Ă  prendre bâtiments, technologies et « âmes » des vies numĂ©riques de Darwinia, ainsi que les nuages ou encore le relais de communication du dernier niveau du jeu, sont directement inspirĂ©s de l'univers de Tron.
  • Dans Grand Theft Auto V, le mode de jeu « Retour Ă  la ligne » qui ressemble au jeu des motos dans Tron est disponible sur Grand Theft Auto: Online.

Notes et références

  1. « Budget du film Tron », sur JP box-office.com (consulté le ).
  2. (en) Dave Smith, Disney A to Z: The Updated Official Encyclopedia, p. 572
  3. (en) « Tron - Dates de sortie » sur l’Internet Movie Database (consulté le ).
  4. « Tron », sur cinoche.com (consulté le ).
  5. « Tron - Dates de sortie » sur Allociné (consulté le ).
  6. « Visa et Classification - Fiche œuvre Tron », sur CNC (consulté le ).
  7. (en) Bill Cotter, The Wonderful World of Disney Television - A Complete History, pp. 15-16
  8. (en) David Koenig, Mouse Under Glass - Secrets of Disney Animation & Theme parks, p. 139
  9. (en) David McClain, « The Making of TRON: Special effects leap into the future », Video Games Player, no 1,‎ , p. 50-55
  10. (en) « TRON Legacy: Oh how far we've come in computer rendering », Scott Sheppard, labs.blogs.com, 21 décembre 2010.
  11. (en) « Tron », Rotten Tomatoes.com (consulté le 21 mai 2023).
  12. (en) « Tron (1982) », Metacritic.com (consulté le 21 mai 2023).
  13. « Critiques Presse pour le film Tron », Allociné.fr (consulté le 21 mai 2023).
  14. Selon le site jpbox-office
  15. (en) « Tron - Distinctions » sur l’Internet Movie Database (consulté le ).
  16. « Palmares du film Tron », sur Allociné (consulté le ).
  17. (en) « TRON : Three new video games based on the Disney movie », Intellivision News, no 4,‎
  18. (en) « Science Fiction Games Go Portable », Electronic Games, no 13,‎ , p. 57
  19. « Tank Universal sur Steam », sur store.steampowered.com (consulté le ).
  20. « TRON RUN/r sur Steam », sur store.steampowered.com (consulté le ).
  21. Fiche du jeu sur le site boardgamegeek.com (consulté le 16 janvier 2016).

Liens externes

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