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Souffelweyersheim

Souffelweyersheim (qui se prononce /su.fœl.va.jœr.sajm/, soufœlvayœrsaïm) est une commune située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Souffelweyersheim
Souffelweyersheim
Mairie de Souffelweyersheim.
Blason de Souffelweyersheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Strasbourg
Intercommunalité Eurométropole de Strasbourg
Maire
Mandat
Pierre Perrin
2020-2026
Code postal 67460
Code commune 67471
Démographie
Gentilé Souffelweyersheimois
Population
municipale
8 057 hab. (2020 en augmentation de 4,22 % par rapport à 2014)
Densité 1 786 hab./km2
Population
agglomération
484 217 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 08″ nord, 7° 44′ 30″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 153 m
Superficie 4,51 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Strasbourg (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Hœnheim
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Souffelweyersheim
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Souffelweyersheim
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Souffelweyersheim
Liens
Site web souffelweyersheim.fr

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace et est dans l'agglomération de Strasbourg et fait partie de l'Eurométropole de Strasbourg.

    Géographie

    Localisation

    Le village, d'une superficie de 451 hectares, est situé à km au nord de Strasbourg à une altitude d'environ 140 mètres. Le chemin de halage du canal est emprunté par le grand itinéraire cyclable EuroVelo 5 (EV5 Via Romea Francigena de Londres à Rome/Brindisi). Il croise au niveau de l'écluse l'itinéraire cyclable franco-allemand de la piste des forts qui épouse l'ancienne ceinture de la place fortifiée de Strasbourg sur 85 kilomètres.

    Communes limitrophes de Souffelweyersheim
    Mundolsheim Reichstett
    Souffelweyersheim
    Niederhausbergen Hœnheim

    Hydrographie

    Localisée dans la plaine d'Alsace, entre les massifs des Vosges et de la Forêt Noire, elle est traversée par la rivière Souffel dont elle tire son nom. Cette rivière prend sa source à Kuttolsheim et se jette dans l'Ill, affluent du Rhin, au sud de La Wantzenau après un parcours de 29 km. Située sur le canal de la Marne au Rhin, Souffelweyersheim possède une halte fluviale pour les plaisanciers.

    Urbanisme

    Typologie

    Souffelweyersheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Strasbourg (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 23 communes[4] et 484 217 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (58,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (56,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (38,7 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20 %), terres arables (18 %), eaux continentales[Note 3] (3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Voies de communication et transports

    Une grande partie du triage de Hausbergen est située sur le territoire de la commune.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Wichersheim en 1165, Wiheresheim en 1280, Suvelwihersheim en 1285.

    Souffel « la rivière Souffel » + weyer « étang, vivier » (cf. l'allemand Weiher « étang, vivier ») + s (de) + heim « hameau, village ». Les deux derniers éléments se retrouvent dans Weyersheim[11]. D'où le sens global de « village du vivier sur la Souffel. » L'ancien haut allemand wī[w]āri > wi[w]er, wiher est un emprunt au latin vivarium.

    Pour Souffel, voir à ce nom.

    En dialecte alsacien, Souffelweyersheim se prononce « suffel + vir + cheu ».

    La prononciation de Souffelweyersheim en français est « souffel + vaille + erre + sa + imm » (et surtout pas « cha + imm » !).

    Dans la seconde moitié du XXe siècle, avec le recul de l'usage du dialecte alsacien, s'est installée l'habitude de désigner le village par « Souffel », forme raccourcie de sa dénomination administrative officielle.

    Histoire

    En 1790, sur proposition de Schiltigheim, intervient le partage du ried de l'Ill, jusqu'alors pâturage public commun à Souffelweyersheim, Hœnheim, Bischheim, Adelshoffen et Schiltigheim.

    En 1792, les émigrés, alliés avec les Austro-Prussiens débutent les hostilités pour reprendre le pouvoir en France. D'octobre à décembre 1793, les combats entre les troupes de la République française et des Austro-Prussiens se stabilisent sur un front Hœnheim - Griesheim-sur-Souffel - Dingsheim avant que les troupes austro-prussiennes ne soient repoussées hors de l'Alsace en janvier 1794.

    En 1813, la campagne de Russie de Napoléon Ier se termine en catastrophe, il parvient difficilement à rejoindre la France, mais les troupes de la coalition le suivent. En janvier 1814, les troupes françaises se replient à Strasbourg devant les attaques des cosaques qui s'installent à Hœnheim, Bischheim et Schiltigheim. Puis, Napoléon Ier, battu, fut banni à l'île d'Elbe. Cependant son évasion entraîna le retour des troupes coalisées qui venaient juste de se retirer. À la suite de la défaite de Waterloo, le général Jean Rapp, ayant eu vent d'intentions d'annexion de l'Alsace, se rangea sous les ordres de Louis XVIII et continua à se battre sur la Souffel, aux portes de Hœnheim.

    Le a eu lieu la bataille de Souffelweyersheim-Hœnheim, opposant le général Rapp et le Kronprinz de Wurtemberg. Les 16 000 hommes du général Rapp ne purent battre les 42 000 hommes des troupes de la coalition, mais en représailles, les Wurtembergeois incendient le village. Le maire, George Schaeffer, et 17 habitants du village sont conduits au quartier général ennemi, à Vendenheim, pour y être exécutés. C'est grâce à des interventions courageuses, notamment celle du pasteur Dannenberger, que les otages sont graciés. Le , lendemain de la bataille de La Souffel, le Kronprinz de Wurtemberg fait incendier le village de Souffelweyersheim. Il faudra tout le XIXe siècle pour reconstruire le village. Toutes les maisons à colombage de Souffelweyersheim datent de cette époque (de 1816 à 1820). 1852 fut l'année de l'inauguration de deux nouvelles voies de communication passant par le territoire de Souffelweyersheim. La première est le canal de la Marne au Rhin qui relie Vitry-le-François à Strasbourg. La seconde est la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg.

    Le débuta la Guerre franco-prussienne de 1870-1871. Le , au lendemain de la bataille de Frœschwiller-Wœrth, les troupes Allemandes arrivent à Souffelweyersheim. Les troupes s'installèrent à Reichstett et commencèrent le siège de Strasbourg le 12 août, charge aux habitants des alentours de pourvoir à l'approvisionnement des troupes. Le , Strasbourg, incendié par les bombardements continus, se rend. Le traité de Francfort, signé le met fin à la guerre, parmi les conditions la France doit céder les trois départements de l'Alsace-Moselle, conservant uniquement le Territoire de Belfort.

    En 1906, la gare de triage de Hausbergen est inaugurée. Elle s'étend sur le territoire de plusieurs communes dont Souffelweyersheim.

    Le , les habitants des communes en avant de la ligne Maginot sont évacués dans la vallée de la Bruche. Le le Royaume-Uni, l'Australie, la Nouvelle-Zélande (à 11 h) et la France (à 17 h) déclarent la guerre à l'Allemagne. Le , un deuxième voyage attend les habitants évacués, cette fois-ci destination le Sud de la France, ils ne reviendront en Alsace, annexée de fait par les Allemands, qu'en août 1940.

    Le , Strasbourg est libérée par la 2e DB du général Leclerc, qui laisse aux Forces françaises de l'intérieur locaux le soin de libérer les faubourgs. En janvier 1945, la bataille des Ardennes entraine un redéploiement des troupes Alliées et une offensive Allemande sur le Nord de l'Alsace. Le général de Gaulle refuse l'ordre américain d'évacuer Strasbourg et les troupes françaises finissent par repousser l'offensive Allemande qui était arrivée jusqu'à Offendorf. Cependant Souffelweyersheim et ses alentours restèrent sous le feu des batteries allemandes jusqu'en avril 1945.

    Une loi de 1966 créa la communauté urbaine de Strasbourg et y intégra Souffelweyersheim.

    1970 vit l'achèvement de la construction de l'autoroute A34 Metz - Strasbourg, plus tard absorbée par l'autoroute A4 reliant Paris à Strasbourg, longeant le triage de Hausbergen.

    Une locomotive électrique de la SNCF, la BB 26002, a été baptisée à Souffelweyersheim.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Alfred Vix Boulanger

    (démission)
    Aloyse Hanssen Sous-directeur de banque
    Aloyse Lorentz Chef comptable

    (démission)
    Albert Bucher Directeur d'agence bancaire CIAL
    Robert Babilon[12] Chef de bureau au Génie
    Raymond Vetterhoeffer UDF-CDS Cadre de direction

    (démission)
    André Reichardt[13] RPR puis UMP Directeur général de Chambre des métiers
    Conseiller régional d'Alsace (1998 → 2015)
    Président intérimaire du conseil régional d'Alsace (2009 → 2010)
    Vice-président du conseil régional d'Alsace (1998 → 2009)
    Patrick Kurtz DVD Enseignant retraité

    (démission)
    André Reichardt UMP Directeur général de Chambre des métiers
    Sénateur du Bas-Rhin (2010 → )
    Conseiller régional d'Alsace (1998 → 2015)
    Président intérimaire du conseil régional d'Alsace (2009 → 2010)
    1er vice-président du conseil régional d'Alsace (2010 → 2015)
    En cours
    (au 31 mai 2020)
    Pierre Perrin [14]
    (réélu pour le mandat 2020-2026)
    UDI Infirmier libéral,
    Vice-Président de l'Eurométropole de Strasbourg,
    Vice-Président de la CTS

    Élections municipales du 15 mars 2020

    À la suite du premier tout des élections municipales du , la liste "Vivons Souffel Ensemble" est élue avec 86,57 % des suffrages exprimés[15].

    Jumelages

    La commune de Souffelweyersheim est jumelée avec la ville de Peymeinade, située dans les Alpes-Maritimes.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[17].

    En 2020, la commune comptait 8 057 habitants[Note 4], en augmentation de 4,22 % par rapport à 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    423475528662686720676668704
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    691671708713716781826915955
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9901 1001 2121 1701 2891 6241 9362 0522 340
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 7503 1443 9784 0125 5916 0176 2197 5487 860
    2020 - - - - - - - -
    8 057--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est plus âgée que celle du département. En 2019, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (35,8 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (27,3 %) est supérieur au taux départemental (24,5 %).

    En 2019, la commune comptait 3 839 hommes pour 4 155 femmes, soit un taux de 51,98 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,37 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2019 en pourcentage[I 1]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    1,7
    7,2
    75-89 ans
    10,1
    17,2
    60-74 ans
    17,9
    20,6
    45-59 ans
    20,7
    20,6
    30-44 ans
    18,6
    17,3
    15-29 ans
    15,7
    16,6
    0-14 ans
    15,4
    Pyramide des âges du département du Bas-Rhin en 2018 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    6,4
    75-89 ans
    8,7
    15,7
    60-74 ans
    16
    21,1
    45-59 ans
    20,4
    19,1
    30-44 ans
    18,8
    19,5
    15-29 ans
    18,6
    17,8
    0-14 ans
    16

    Sports et loisirs

    Souffelweyersheim compte plus d'une quarantaine d'associations[21] actives dans la commune. Parmi elles, 17 associations sportives (dont le Basket Club de Souffelweyersheim qui évolue en Pro B et le Souffel Escrime Club où Vincent Anstett est licencié), 2 écoles municipales de danse (jazz et classique), 1 École Municipale de Musique (ÉMUS), 1 École Municipale des Arts et des Sports (ÉMAS), 1 orchestre (l'OHSouffel) ainsi que 6 associations à portée plus civique.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Georges.

    L'église Saint-Georges fut construite en 1781 dans le style néo-classique. D'après le style de la façade, les plans sont probablement de Nicolas-Alexandre Salins dit de Monfort, architecte de l'évêché. Actuellement, seule une partie de la tour est d'origine. En 1935, l'église a été agrandie de trois travées.

    • Écluse sur le canal de la Marne au Rhin.
      Écluse sur le canal de la Marne au Rhin.
    • Maisons à colombages dans Souffelweyersheim.
      Maisons à colombages dans Souffelweyersheim.
    • Maisons à colombages dans Souffelweyersheim.
      Maisons à colombages dans Souffelweyersheim.

    Personnalités liées à la commune

    • Aloïse Lorentz, horloger et facteur d'orgues, né le à Souffelweyersheim et décédé le . Autodidacte, Aloïse Lorentz se spécialisa dans l'horlogerie et la mécanique de précision. Il acquit ainsi une notoriété comme constructeur d'automates musicaux, mais surtout d'horloger. Il construisit notamment une copie de l'horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg dont l'évêque, Mgr Stumpf, se porta acquéreur pour l'offrir au pape Léon XIII pour son jubilé. Cette œuvre remarquable est conservée au Musée du Vatican. Il restaura également une douzaine d'orgues en Alsace. Cette activité lui a valu le qualificatif de facteur d'orgues[22].
    • Vincent Anstett, escrimeur français et champion olympique par équipe lors des Jeux Olympiques de Pékin est licencié dans le club d'Escrime de Souffelweyersheim
    • Christophe Agius, la voix du catch en France y a grandi et y habite toujours [23]

    Héraldique

    Blason de Souffelweyersheim

    Les armes de Souffelweyersheim se blasonnent ainsi :
    « Parti : au premier d'argent à la croix de gueules, au second de gueules à bande d'argent. »[24].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jean-Marie Holderbach, « Souffelweyersheim / Histoire », Encyclopédie de l'Alsace, t. 11, Strasbourg, 1985.
    • Jean-Marie Holderbach, « Souffelweyersheim », dans Le patrimoine des communes du Bas-Rhin, éd. Flohic, 1999, t. II, p. 856-861.
    • Jean-Marie Holderbach, Notice « Souffelweyersheim » dans FLOTTÉ (Pascal), FUCHS (Matthieu), Carte archéologique de la Gaule : Le Bas-Rhin (67/1), Paris, 2000, p. 607-608.
    • Jean-Marie Holderbach, Jean Vogt, Souffelweyersheim entre ville et campagne, 2000.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sites

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Strasbourg (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    12. HOLDERBACH (Jean-Marie), « Babilon Robert », dans Nouveau Dictionnaire de Biographie Alsacienne, Strasbourg, 2004, fasc. 43, p. 4460
    13. [PDF] « Liste des maires du Bas-Rhin au 1er avril 2008 », sur http://www.bas-rhin.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    14. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    15. Ministère de l'intérieur, « Elections municipales et communautaires 2020 » (consulté le ).
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Bas-Rhin (67) », (consulté le ).
    21. « Le Guide des Associations », sur Ville de SOUFFELWEYERSHEIM (consulté le ).
    22. HOLDERBACH (Jean-Marie), « LORENTZ Aloyse », dans Nouveau Dictionnaire de Biographie Alsacienne, Strasbourg, 1999, fasc. 25, p. 2426-2427 (avec photo)
    23. « Tu viens de Stras toi, Christophe Agius ? | ZUT », sur ZUT Magazine, (consulté le )
    24. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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