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Solre-le-Château

Solre-le-Château (prononcé : [sɔʁ.lə.ʃa.to] ) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Solre-le-Château
Solre-le-Château
Vue d'ensemble.
Blason de Solre-le-Château
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de l'Avesnois
Maire
Mandat
Patrick Dehen
2020-2026
Code postal 59740
Code commune 59572
Démographie
Gentilé Solréziens
Population
municipale
1 777 hab. (2020 en diminution de 2,2 % par rapport à 2014)
Densité 129 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 10′ 31″ nord, 4° 05′ 33″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 236 m
Superficie 13,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fourmies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Solre-le-Château
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Solre-le-Château
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Solre-le-Château
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Solre-le-Château
Liens
Site web www.solrelechateau.fr

    Géographie

    Solre-le-Château se situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut) en plein cœur du Parc naturel régional de l'Avesnois. L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».

    En fait, Solre-le-Château fait partie administrativement de l'Avesnois, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.

    Solre-le-Château se trouve à :

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Plaque de cocher

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 914 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 74 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Solre-le-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (60,6 %), forêts (25,5 %), terres arables (7,1 %), zones urbanisées (6,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie - étymologie

    • Noms anciens : 1186 : Sorre-le-Chastel, 1219 : Sorre, 1251 : Sorre-le-Castiel, 1349 : Sorra-Catelli, 1440 :Solre- le-Castiel, 1463 : Solre-le-Castiaul, 1482 : Solre-le-Castiau, 1525 : Solre-le-Casteau, 1552 : Solre-le-Chasteau, 1613 : Sor-le-Chasteau. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Solre-Libre[21].
    • Etymologie : Solre-le-Château doit son nom d'une part au ruisseau de la Solre qui le traverse, et d'autre part au château fort qui était bâti à l'emplacement actuel de la place.

    Ses habitants sont appelés les Solréziens[22].

    Histoire

    Politique et administration

    Maire en 1802-1803 : Antoine George, brasseur[25].

    Maire en 1806 : Hazard[26].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    maire en 1847 ? M. Delebecke Notaire
    Conseiller d'arrondissement
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020 Philippe Lety[27] PS Ingénieur
    Conseiller général de Solre-le-Château (2004 → 2015)
    mai 2020 En cours
    (au 23 mai 2020)
    Patrick Dehen

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 1 777 habitants[Note 8], en diminution de 2,2 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6121 5252 0112 1202 4772 5592 6452 7012 758
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 7773 0013 0062 8212 7502 6692 6592 6732 767
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5842 5922 4862 1432 1372 0761 9621 8432 038
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 0952 0502 1422 1531 9511 8611 8281 8341 793
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 8171 7801 777------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 854 hommes pour 943 femmes, soit un taux de 52,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    1,7
    8,0
    75-89 ans
    10,9
    19,6
    60-74 ans
    18,8
    18,3
    45-59 ans
    19,2
    18,2
    30-44 ans
    15,8
    16,9
    15-29 ans
    16,2
    18,7
    0-14 ans
    17,3
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Pierre

    L'église de Solre-le-Château est une construction en pierre bleue du XVIe siècle, facilement repérable à son clocher penché. Le , un incendie consuma l'ancienne flèche et une partie de l'église. Dans la remise en état de l'édifice, on substitua alors à l'ancien clocher (sans doute gothique) la belle flèche bulbiforme qui penche aujourd'hui la tête vers la place. Loin d'être un élément purement décoratif, le bulbe fut avant tout conçu comme un poste de guet à 360° qui permettait de surveiller plus particulièrement la route de Sars-Poteries, voie ordinaire des invasions françaises...

    le clocher penché
    Le clocher penché de l'église de Solre-le-Château

    Le penchant de la flèche peut s'expliquer doublement ; d'une part, par les fortes intempéries qui ont pourri le bois et déstabilisé la charpente ; d'autre part, par un défaut de fabrication au niveau du report des pièces de bois sur les murs périphériques et sur les corbeaux ancrés dans la maçonnerie à un niveau beaucoup plus bas… L'inclinaison du clocher ne remet cependant pas en cause son équilibre.

    Toutefois, M. Charles Beaumont, membre de la Société archéologique et historique de l'arrondissement d'Avesnes, pense que le clocher de Solre-le-Château penche vers le sud-ouest par la volonté de son constructeur, Jehan Lecoustre, maître-charpentier de Beaumont (Belgique). Cette inclinaison aurait pour but de donner au clocher une position de défense contre les tempêtes qui viennent presque toujours du sud-ouest, pratiquement jamais du nord et encore moins de l'est. D'autres clochers de la région présentent le même « penchant », mais il est particulièrement net à Solre-le-Château du fait d'une part, des proportions flèche/tour, d'autre part, de la présence de quatre clochetons contigus parfaitement verticaux. Jehan Lecoustre reproduisit la même charpente, quelques années plus tard, pour l'église Saint-Materne de Walcourt (Belgique).

    Le clocher possède aussi une légende fort malicieuse… Jadis, les filles de Solre étaient très dévergondées ; souvent, quand il leur arrivait de se marier, des marmots les attendaient à la porte en appelant leur mère. Or, un jour, une vraie pucelle se présenta à l'église pour convoler en justes noces. On affirme que le clocher en fut si surpris qu'il se pencha en avant pour mieux voir la mariée qui passait sous le porche, en robe légitimement blanche. En châtiment de sa curiosité, le Ciel lui aurait infligé un torticolis à perpétuité !

    L'église de Solre-le-Château comporte en outre des raretés architecturales telles qu'un porche ouvert sur trois côtés et un double transept qui élargit les bras de la croix et donne de la profondeur à l'édifice.

    L'hôtel de ville

    Église et hôtel de ville de Solre-le-Château

    Il a été construit en 1574 et ne comportait, à l'origine, qu'un seul étage. Il possédait aussi un escalier extérieur et un gracieux beffroi en saillie, à six pans. En 1865, l'édifice fut profondément remanié, gagnant un second étage, mais perdant son escalier extérieur et son beffroi, qui lui donnaient un caractère Renaissance. Les portes sont en plein cintre, de même que les fenêtres. Ce type d'architecture est très rare dans l'art régional qui utilise le plus souvent la baie carrée à meneau cruciforme, l'arc en anse de panier ou l'arc en segments. Le bâtiment comportait au rez-de-chaussée un marché couvert, maintenant occupé par les bureaux de la mairie. On peut encore distinguer sur les clefs de voûte des anciennes portes, des inscriptions en lettres gothiques recommandant la probité aux marchands de la halle, dont voici la transcription littérale (hors abréviations) :

    Côté église (baie vitrée)

    Vous qui venes marchander en ce lieu,
    Gardes-vous bien, pour plus ample proufit,
    Par tromperie, offenser le bon Dieu
    Duquel la grâce, à tout bon cœur suffit.

    Côté Grand-place (passage)
    1574
    Quiconcque vient icÿ pour marchander
    Ne veuille point, pour le plus de gaignage,
    Par fraude ou vol son âme hasarder,
    Car perdre l'âme es(t souver)ain dommage.

    Côté place Verte (passage)

    Soÿes léaulx. Uses de conscience.
    Gens qui traictes icÿ la marchandise,
    Ne gaignes riens avec divine offense,
    Car mauldicte est richesse mal acquise.

    Où est le château ?

    Historiquement situé sur l'actuelle Grand-Place, il ne subsiste aucune trace visible du château de Solre-le-Château. La forteresse fut prise et brûlée une première fois en 1473 par le comte de Saint-Pol (Louis de Luxembourg), au service du roi de France, Louis XI. En 1560, elle retrouve toute sa splendeur et passe aux mains d'une des familles les plus illustres de Solre, les Croÿ. Le château est pris d'assaut par Turenne en 1637 et, en 1651, il est pillé par les troupes du général Rose, un aventurier au service de la France. En 1656, Turenne s'en empare de nouveau, avant d'aller assiéger Valenciennes. Les Croÿ demeurent seigneurs, puis deviennent princes de Solre après que leur seigneurie fut érigée en principauté par Charles II, roi d'Espagne, en 1677… Mais la ville est rattachée à la France par le traité de Nimègue, en 1678. En 1793, au plus fort de la Révolution, le château tombe sous la pioche des démolisseurs.

    La chapelle Saint-Roch

    Situé entre les numéros 12 et 14 de la rue de Liessies, cet édifice est en cours de restauration. Il s'agit de la chapelle d'un hôpital fondé en 1514 par Philippe de Lannoy, seigneur de Solre, pour accueillir les pèlerins.

    La chapelle Notre-Dame-de-Walcourt

    Cet élégant oratoire daté de 1732, bâti en briques et pierres bleues, est situé en face du numéro 14 de la rue de Trélon, non loin du croisement avec l'avenue du Général de Gaulle.

    Les pierres Martine

    Les pierres Martines.

    Situées à environ un kilomètre au sud de la ville, c'est un groupe de deux menhirs. Elles étaient trois à l'origine, mais l'une d'elles a été brisée au XIXe siècle pour empierrer la route ! On conte que saint Martin, alors qu'il était soldat des légions romaines de l'empereur Constance II, se reposa sur l'une de ces pierres, y laissant l'empreinte de son dos. Véritable artisan de l'apostolat rural en Gaule septentrionale, au IVe siècle, saint Martin fut en effet un grand destructeur de temples païens et convertit nombre de monuments druidiques en autels du christianisme. La foi populaire suivit son enseignement et fit comme lui, même dans les endroits où il n'était pas passé. C'est ainsi que la légende de saint Martin reste attachée, en France, à un grand nombre de fontaines ou mégalithes. Les pierres Martines forment un alignement parfait avec la pierre de Dessus-Bise de Sars-Poteries et la Pierre-Qui-Tourne de Sivry (Belgique)[33].

    Personnalités liées à la commune

    jardinière municipale

    Héraldique

    Les armes de Solre-le-Château se blasonnent ainsi :

    D'argent à un annelet de sable accompagné de trois lionceaux de gueules.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Solre-le-Château et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Solre-le-Château et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.
    23. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
    24. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 345, lire en ligne.
    25. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 69, lire en ligne.
    26. « Annuaire statistique du département du Nord. Pour … (0000AnNord_0... », sur Mnesys (consulté le )
    27. « Résultats Solre-le-Château - Primaire de la gauche 2017 - 1er et 2nd tour », sur Le Monde.fr.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Solre-le-Château (59572) », (consulté le ).
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    33. M. Desailly, « Le Menhir de Solre-le-Château (Nord) », Bulletin de la Société préhistorique française, no 5, , p. 139–146 (DOI 10.3406/bspf.1924.7300, lire en ligne).
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