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Solrinnes

Solrinnes est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Solrinnes
Solrinnes
Village de Solrinnes.
Blason de Solrinnes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CC Cœur de l'Avesnois
Maire
Mandat
Rémi Le Rouzic
2022-2026
Code postal 59740
Code commune 59573
Démographie
Gentilé Solrinnois, Solrinnoises
Population
municipale
141 hab. (2020 en augmentation de 4,44 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 12′ 25″ nord, 4° 04′ 29″ est
Altitude Min. 152 m
Max. 218 m
Superficie 5,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fourmies
Législatives 3e circonscription du Nord
Localisation
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Solrinnes
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Solrinnes
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Solrinnes
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Solrinnes
Liens
Site web https://www.solrinnes.fr/

    Géographie

    Description

    Solrinnes est un village rural de l'Avesnois dans le département du nord, limitrophe de Solre-le-Château et situé à 12 km au sud-est de Maubeuge, km à vol d'oiseau de la frontière franco-belge, 35 km au sud-ouest de Charleroi, 25 km au nord-est de Chimay et 14 km au nord-est d'Avesnes-sur-Helpe.

    La commune est membre du parc naturel régional de l'Avesnois.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Solrinnes est drainée par la Solre ainsi que par le Ruisseau de Hayette qui s'y jette.

    La Solre, qui actionnait autrefois des moulins, est un un affluent de la Sambre en rive droite et donc un sous-affluent du fleuve la Meuse.

    • La Solre
      La Solre
    • L'ancien moulin de Reumont, sur la Solre
      L'ancien moulin de Reumont, sur la Solre

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 915 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 75 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Solrinnes est un village donc aucune maison n'est mitoyenne avec une autre : toutes sont séparées par des jardins[14].

    Typologie

    Solrinnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,2 %), terres arables (35 %), prairies (21,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Le Warou.

    La commune compte plusieurs hameaux et écarts, dont le Warou, la Foulerie, le Moulin de Réaumont et le Moulin Collart

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 62, alors qu'il était de 61 en 2014 et de 56 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 90,4 % étaient des résidences principales, 5,8 % des résidences secondaires et 3,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Solrinnes en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,8 %) supérieure à celle du département (1,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,7 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Solrinnes en 2019.
    Typologie Solrinnes[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 90,4 90,6 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,8 1,6 9,7
    Logements vacants (en %) 3,9 7,8 8,2

    Toponymie

    La localité a été dénommée Solrinae en 1083, Sorrines auXIIe siècle, Soirinnes au XIVe siècle, Solrinnes, Solrines, Solreines au XVIIIe siècle ainsi que Sorrennes[22].

    Le nom du village dérive manifestement de celui de la rivière qui y passe, la Solre.

    Histoire

    Moyen Âge

    Une charte de 1083 de Gérard II. évêque de Cambrai stipule que tout habitant de Solrinnes ayant fait quelques libéralités au monastère d'Hautmont pourrait s'y faire enterrer après sa mort[22].

    L'abbaye d'Aulne a reçu en donation de Nicolas de la Flamgerie au XIIe siècle des biens et revenus à Solrinnes. L'abbaye de Liessies y disposait d'autres biens, dont le moulin de Reumont[22].

    Solrinnes est instituée en paroisse en 1186 conjointement avec Eccles. Elle dépendait du décanat de Maubeuge[22].

    Première Guerre mondiale

    Les allemands arrivent dans le village de Solrinnes le mercredi . Le village est en zone occupée jusque début .

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Solre-le-Château[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Fourmies

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Nord.

    Intercommunalité

    Solrinnes était membre de la communauté de communes des vallées de la Solre, de la Thure et de l'Helpe, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Cœur de l'Avesnois dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1802-1803[24] Philippe Rondeau
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 mars 2008 Jean-Pierre Poulain[25] Avocat
    mars 2008[26] mai 2020[27] Didier Corbinaud[28] Militaire retraité
    mai 2020[29] mai 2022 Carole Dhoudain (Carole Rivart) Profession libérale
    Démissionnaire
    mai 2022[30] - [31] En cours
    (au 13 septembre 2022)
    Rémi Le Rouzic Professeur d’Histoire-géographie

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2020, la commune comptait 141 habitants[Note 8], en augmentation de 4,44 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    116109139171191219220230246
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    231211174155160171176157150
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    135127125122137139105111131
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    105748711210496117118125
    2015 2020 - - - - - - -
    136141-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune.

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 70 hommes pour 67 femmes, soit un taux de 51,09 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,4
    5,6
    75-89 ans
    10,1
    11,1
    60-74 ans
    11,6
    30,6
    45-59 ans
    27,5
    19,4
    30-44 ans
    13,0
    12,5
    15-29 ans
    13,0
    20,8
    0-14 ans
    23,2
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    le cœur du village
    La mairie et l'église.
    • Le moulin de Reumont, construit au XVIe siècle, ancienne propriéét de l' abbaye de Liessies, et son étang de retenue, où, dit-on, les grenouilles ne coassent pas[37]...
    • Solrinnes est travées par le sentier de grande randonnée de pays (GRP) du Grand tour de l'Avessnois ainsi que par un sentier Promenade et randonnée (PR).

    Héraldique

    Blason de Solrinnes Blason
    Écartelé :
    aux 1 et 4, d’argent à trois fasces de gueules ;
    aux 2 et 3, d’argent à trois doloires de gueules, les deux du chef adossées[38].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Solrines », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Solrinnes et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Solrinnes et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Solrinnes, communes du Parc naturel régional de l'Avesnois », Découvrir Solrinnes, sur https://www.solrinnes.fr (consulté le ).
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Solrinnes à travers les âges - Chronologie », Histoire, sur https://www.solrinnes.fr/ (consulté le ).
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
    25. « La mort de Jean-Pierre Poulain, l'avocat, le maire, l'artiste, l'érudit : Je l'ai dit à son épouse, c'était le meilleur ». L'émotion dans la voix, l'ancien avocat Marcel Durut honore le parcours de son indissociable confrère de barreau, Jean-Pierre Poulain, décédé mardi matin. « Le meilleur », mais dans quel domaine ? Au cours des 75 années de sa vie, Jean-Pierre Poulain se destina avocat, s'improvisa maire, se révéla conférencier, artiste et bâtisseur », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Solrinnes: le changement dans la continuité pour le maire, Didier Corbinaud : Arrivé dans la commune en 2003, l’ancien militaire à la retraite est devenu maire en 2008 à la suite de Jean-Pierre Poulain qui ne souhaitait pas se représenter. Pour son premier mandat, Didier Corbinaud, 52 ans, a souhaité s’inscrire dans la lignée de son prédécesseur, en poursuivant les travaux de voirie notamment », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    27. « Adjointe aux travaux, Carole Dhoudain sera candidate à la mairie de Solrinnes : Il avait la ferme intention de briguer un troisième mandat. Confronté à des difficultés d'ordre personnel, Didier Corbineau ne sera finalement pas candidat à sa succession. Il a donc décidé de soutenir Carole Dhoudain, actuellement adjointe aux travaux », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les conseillers municipaux ont élu leurs maires et leurs adjoints dans le canton du Solrézis », L'Observateur de l'Avesnois, no 19462,‎ , p. 22 (ISSN 0183-8415).
    29. « Solrinnes : Carole Dhoudain a été élue maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    30. Claire Courbet, « Après la démission de Carole Rivart, Rémi Le Rouzic devient maire de Solrinnes : Celle qui était maire de Solrinnes depuis le mois de juin 2020 a démissionné de ses fonctions. C’est son premier adjoint, Rémi Le Rouzic qui a été élu pour prendre la tête du conseil municipal. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    31. Issa Khreichi, « Solrinnes: Carole Rivart jette l’éponge, Rémi Le Rouzic devient le nouveau maire : Suite à la démission de la maire C. Rivart pour des raisons encore floues, son premier adjoint, R. Le Rouzic a été élu le 18 mai par la majorité des conseillers municipaux pour lui succéder. », L'Observateur de l'Avesnois,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Rémi Le Rouzic, n’est donc pas étranger à la gestion des affaires de la commune. Élu au conseil municipal depuis 2008 et premier adjoint depuis 2017, Rémi Le Rouzic vit à Solrinnes depuis prés de 30 ans ».
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Solrinnes (59573) », (consulté le ).
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    37. Pénélope Théry (CLP), « Ces contes et légendes de la Sambre-Avesnois : Solrinnes et son étang muet : L’Avesnois, comme beaucoup de lieux en France a son cortège, de contes et légendes, d’histoires fantastiques, parfois étranges que les traditions populaires ont bien souvent créées, amplifiées et fait voyager », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    38. Armoiries de la famille de Croÿ-Solre ("écartelé de Croÿ-Renty")
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