Saint-Vallier (Charente)
Saint-Vallier est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Saint-Vallier | |||||
Mairie de Saint-Vallier. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 4B Sud-Charente | ||||
Maire Mandat |
Patrick Henri Favreau 2020-2026 |
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Code postal | 16480 | ||||
Code commune | 16357 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
138 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 7,6 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 17′ 42″ nord, 0° 03′ 37″ ouest | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 158 m |
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Superficie | 18,21 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Charente-Sud | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation et accès
Saint-Vallier est une commune du Sud Charente limitrophe de la Charente-Maritime, située à 4 km au sud de Brossac et 43 km au sud d'Angoulême. Elle est entièrement située dans la forêt de la Double saintongeaise, appelée aussi forêt de Chaux dans la partie charentaise.
Le bourg de Saint-Vallier se trouve aussi à 8 km à l'ouest de Chalais, 13 km au nord-est de Montguyon, 21 km au sud-est de Barbezieux, 49 km de Cognac et 65 km de Bordeaux[1].
La commune est assez étendue. La D 7 la traverse dans toute sa longueur du sud-ouest au nord-est. Cette petite départementale qui mène à Brossac passe ensuite à Blanzac, Roullet-Saint-Estèphe et finit à Hiersac. Au sud-ouest, cette route permet d'atteindre Montguyon. Saint-Vallier est aussi relié à Bardenac par la D 89. La D 731, route de Chalais à Barbezieux, passe au nord-est de la commune à 3,5 km du bourg[2].
La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
L'habitat est dispersé, et le bourg n'est pas plus gros que les nombreux hameaux, comme Chez Périou, le Peyrat, Chez Gruet, Vinsac, etc.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La totalité de la commune est occupée par un terrain composé de sable kaolinique, d'argiles et de galets, dépôt datant du Tertiaire[3] - [4] - [5].
Bien que la commune ne soit pas très haute en altitude (environ 110 m), le terrain est assez vallonné. Son point culminant est à une altitude de 158 m, situé sur la limite nord-est, non loin de Bardenac. Le point le plus bas est à 53 m, à l'extrémité sud de la commune le long du Palais. Le bourg, construit sur une avancée entre deux vallées, est à 120 m d'altitude[2].
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par le Palais, la Poussonne, la Laine et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Le Palais, affluent du Lary et sous-affluent de l'Isle et qui prend sa source à Brossac, fait la limite communale avec Guizengard puis départementale avec la Charente-Maritime à l'ouest de la commune.
La Poussonne, petit affluent du Palais, prend sa source dans la commune, passe à l'ouest du bourg puis fait la limite au sud avec Sauvignac. Le ruisseau des Lorettes au nord de la commune et le ruisseau de la Laine qui passe à l'est du bourg sont de petits affluents de la Poussonne sur sa rive gauche, et servent aussi de limites communales.
Comme toute cette région de la Double au sol argileux, on trouve aussi de nombreux petits étangs[2].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[8]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [9].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Végétation
Ces sols peu fertiles ou landes sont souvent boisés en pins maritimes, châtaigniers, chênes (rouvres, pédonculés, tauzins), et bruyère et constituent la Double saintongeaise, appelée forêt de Chaux ou Petit Angoumois dans la partie charentaise, qui couvre une grande partie des cantons de Brossac et Baignes.
Toutefois, la commune a de grandes clairières dans la forêt, et on y cultive beaucoup la vigne, surtout en direction de Brossac.
Urbanisme
Typologie
Saint-Vallier est une commune rurale[Note 1] - [10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,1 %), zones agricoles hétérogènes (38,7 %), terres arables (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), prairies (0,2 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Saint-Vallier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Saint-Vallier est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[18]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2] - [18] - [19] - [20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[21]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 99 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 99 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[16].
Toponymie
Le nom est attesté sous la forme ancienne latine Sanctus Valerius en 1302[24].
Valère est le nom de plusieurs saints, mais le nom de Saint-Vallier en Charente proviendrait de Valère, évêque du Couserans, mort martyr en 504[25] - [26].
Pendant la Révolution, Saint-Vallier s'est appelé Les Landes[27].
Histoire
L'église était au Moyen Âge le siège commun d'une vicairie perpétuelle et d'un prieuré dédié à saint Gilles. Lorsque ce dernier a disparu, l'église en a conservé le vocable[28].
La seigneurie de Saint-Vallier était formée à 60 % du démembrement de la châtellenie ou motte féodale de Coyron, paroisse de Bardenac. Elle comprenait aussi les paroisses de Sainte-Souline, Saint-Cyprien et Châtignac, toutes en Saintonge dont le territoire comprenait alors Barbezieux, Brossac et Chalais.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, la famille du Verdier étaient les seigneurs de Saint-Vallier, et ils habitaient leur château au nord de l'église. En 1767, la terre de Saint-Vallier passa par mariage à Jacques de Restier, seigneur de Durfort.
La paroisse de Saint-Vallier comprenait aussi quelques autres domaines, moins importants. Le domaine de Vinsac existait dès 1090 et a appartenu à l'abbaye de Baignes jusqu'après la guerre de Cent Ans. Le domaine de Chalard, dont le nom désigne peut-être un lieu fortifié (le Châtelard), était la propriété des familles de Nouveau, puis Gandaubert. Enfin le domaine de la Prime, autrefois Jarousseau, était possédé au début du XVIIe siècle par Pierre Verrier, dit La Prime. En un siècle, il passa aux mains des Brémond d'Ars, seigneurs d'Orlac, puis des Feuilleteau, de Montils, et enfin, en 1696, à François Ribéreau, greffier de la paroisse, qui le transmit à ses descendants jusqu'au XXe siècle. Son petit-fils, François Ribéreau, fut le premier maire de Saint-Vallier et le premier juge de paix de Brossac. La mairie restera dans la famille, car une petite-fille se maria à Augustin Vigen qui reprit la propriété de la Prime et le fauteuil de maire, ainsi que nombreux de leurs descendants depuis 1808.
De 1816 à 1823, la paroisse de Saint-Vallier fut successivement desservie par trois prêtres espagnols, qui avaient quitté leur pays où ils avaient été compromis comme partisans du roi Joseph Bonaparte, frère de Napoléon[29].
Administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2020, la commune comptait 138 habitants[Note 3], en diminution de 1,43 % par rapport à 2014 (Charente : −0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
D’après le recensement Insee de 2007, Saint-Vallier compte 152 habitants (soit une diminution de 9 % par rapport à 1999).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 25,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 68 hommes pour 67 femmes, soit un taux de 50,37 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Agriculture
Forêt de pins maritimes (Double saintongeaise) et élevage.
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- L'église paroissiale Saint-Gilles de Saint-Vallier était un ancien prieuré-cure attaché au prieuré inconnu de Saint-Gilles. L'église a été construite au XIe siècle, reconstruite au XIVe siècle et restaurée aux XVIIIe et XIXe siècles, en particulier avec le remplacement du clocher[28] - [29]. La nef est à absides romanes, le reste de style ogival[37].
Personnalités liées à la commune
- Guy Epaud (1936-), coureur cycliste professionnel de 1961 à 1967, y est né.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Saint-Vallier » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Saint-Vallier », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Vallier », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur www.charente.gouv.fr, (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Vallier », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne)
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 631.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
- Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 340
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 370-371
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Vallier (16357) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 317
- « Logis de Saint-Vallier », notice no IA00041183, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Logis de La Prime », notice no IA00041185, base Mérimée, ministère français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Saint-Vallier », base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Saint-Vallier », base Palissy, ministère français de la Culture
- Catillus Carol, « Saint-Vallier », (consulté le )