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Saint-Paul-la-Coste

Saint-Paul-la-Coste est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.

Saint-Paul-la-Coste
Saint-Paul-la-Coste
Le Galeizon.
Blason de Saint-Paul-la-Coste
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Adrien Chapon
2020-2026
Code postal 30480
Code commune 30291
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Paulains
Population
municipale
303 hab. (2020 en augmentation de 4,12 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 16 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 09′ 02″ nord, 3° 58′ 13″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 680 m
Superficie 18,95 km2
Élections
DĂ©partementales Canton de La Grand-Combe
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Paul-la-Coste
Liens
Site web http://www.saint-paul-la-coste.eu

    Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Galeizon, l'Alzon, la Salindre et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée du Gardon de Mialet » et la « vallée du Galeizon ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Saint-Paul-la-Coste est une commune rurale qui compte 303 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 877 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelĂ©s les Saint-Paulains ou Saint-Paulaines.

    Ses habitants sont les Saint-Paulains.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située dans le nord-ouest du département du Gard. Elle est limitrophe de la Lozère.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie, relief et hydrographie

    Paysage de neige près du hameau de Mandajors au coeur du parc national des Cévennes. Février 2018.

    Adossée aux contreforts des Cévennes, la commune se trouve dans la zone périphérique du parc national des Cévennes et se singularise par sa foire à la châtaigne, ses cours d'eau et le pittoresque village de Mandajors.

    Commune rurale, jadis agricole, Saint-Paul-la-Coste est située à 300 mètres d'altitude, arrosée par le Galeizon et son affluent la Salindre. Recouverte de chênes verts dans sa partie calcaire, de châtaigniers et de pins dans le schiste.

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2] - [3]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes[Note 1]. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[4].

    La commune fait partie de la zone de transition des CĂ©vennes, un territoire d'une superficie de 116 032 ha reconnu rĂ©serve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaĂŻque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversitĂ© exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes Ă  fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[5] - [6].

    RĂ©seau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

    • la « vallĂ©e du Gardon de Mialet », d'une superficie de 23 371 ha, abritant des populations de poissons d'intĂ©rĂŞt communautaire, notamment le Barbeau mĂ©ridional (Barbus meridionalis), mais aussi le Castor et l'Écrevisse Ă  pattes blanches[9] ;
    • la « vallĂ©e du Galeizon », d'une superficie de 8 637 ha, une vallĂ©e très enclavĂ©e est restĂ©e sauvage. On y remarque une pinède de Pin de Salzmann, des landes sèches Ă  Ciste de Pouzolz (Cistus pouzolzii) et des ravins humides qui abritent de nombreuses fougères[10].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[11] :

    • la « forĂŞt domaniale des Gardons et versant sud de la montagne de la Vieille Morte » (3 041 ha), couvrant 5 communes dont 3 dans le Gard et 2 dans la Lozère[12] ;
    • la « vallĂ©e du Galeizon Ă  St-Paul-la-Coste » (598 ha), couvrant 4 communes dont 3 dans le Gard et 1 dans la Lozère[13] ;
    • les « vallons autour du ruisseau de Roquefeuil » (2 146 ha), couvrant 3 communes du dĂ©partement[14] ;

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4] - [11] : les « Hautes vallĂ©es des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[15].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Saint-Paul-la-Coste.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Paul-la-Coste est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Galeizon, la Salindre et l'Alzon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1995, 1998, 2002, 2008 et 2014[18] - [16].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Paul-la-Coste.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[19]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 23,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 234 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 137 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 59 %, Ă  comparer aux 90 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20] - [Carte 1].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

    Histoire

    De magnifiques mas, fermes et hameaux rappellent la place que la commune occupait tant dans l'industrie (vers à soie, minerais) que dans l'agriculture. Commune au passé peu commun, elle fut habitée dès la fin du néolithique. De nombreuses sépultures, ossements, gravures témoignent de la présence de l'homme dans la vallée. Bien plus tard, elle sera au cœur de la Guerre des religions qui opposèrent, au XVIIIe siècle, Protestants et Catholiques. La guerre religieuse qui éclata en 1702 avec l'assassinat de l'Abbé du Chaïla au Pont de Monvert (Lozère) plongea la commune dans une douloureuse période de conflit. En effet, elle était considérée comme un foyer de rébellion mais également une commune d'où l'un des premiers chefs camisards, le dénommé Gédéon Laporte était natif, qui avait participé à l'assassinat de l'Abbé du Chaïla.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de La Coste-la-Montagne[22].

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Paul-la-Coste Blason
    D'argent, à une épée basse de gueules posée en barre, accompagnée en chef d'une feuille de mûrier posée en barre et en pointe d'une feuille de châtaignier posée en bande, à un mont de trois copeaux mouvant de la pointe, le tout de sinople.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    18881904Victor Laval
    19041906Elie Plantier
    19061912Victor Laval
    19121919Justin Peladan
    19191925Jules Fontane
    19251929Numa Peladan
    19291934Victor Laval
    19341939Justin Robert
    19431944Victor Laval

    Président de la délégation spéciale

    19441947Robert GastonPrésident du comité local de libération
    Maire en 1945
    19471955Henri Vieljus
    19551961Marcel Plantier
    19611965Henri Vieljus
    19651977André LaporteSE
    19772001Daniel LayrisSE
    20012008Joseph RochelemagneSE
    20082020Claude ChaponDVD
    2020en coursAdrien ChaponSE
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2020, la commune comptait 303 habitants[Note 5], en augmentation de 4,12 % par rapport Ă  2014 (Gard : +2,1 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    820640718725795796813828877
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    868801792742709652646662612
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    621612586488434383344310281
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    234184194172193220264298283
    2020 - - - - - - - -
    303--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (donnĂ©es Insee publiĂ©es en ), la commune compte 131 mĂ©nages fiscaux[Note 6], regroupant 300 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 19 380 â‚¬[I 1] (20 020 â‚¬ dans le dĂ©partement[I 2]).

    Emploi

    Taux de chĂ´mage
    200820132018
    Commune[I 3]8 %7,2 %9,6 %
    DĂ©partement[I 4]10,6 %12 %12 %
    France entière[I 5]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lève Ă  160 personnes, parmi lesquelles on compte 72,6 % d'actifs (63,1 % ayant un emploi et 9,6 % de chĂ´meurs) et 27,4 % d'inactifs[Note 7] - [I 3]. Depuis 2008, le taux de chĂ´mage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂ´le[Carte 2] - [I 6]. Elle compte 33 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 103, soit un indicateur de concentration d'emploi de 31,8 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 49,8 %[I 7].

    Sur ces 103 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 27 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 8]. Pour se rendre au travail, 88,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3 % les transports en commun, 2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 9].

    Activités hors agriculture

    30 Ă©tablissements[Note 8] sont implantĂ©s Ă  Saint-Paul-la-Coste au . Le tableau ci-dessous en dĂ©taille le nombre par secteur d'activitĂ© et compare les ratios avec ceux du dĂ©partement[Note 9] - [I 10]. Le secteur de la construction est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 46,7 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (14 sur les 30 entreprises implantĂ©es Ă  Saint-Paul-la-Coste), contre 15,5 % au niveau dĂ©partemental[I 11].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations7465
    SAU[Note 10] (ha)8516946106

    La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[26]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 3]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (sept en 1988). La superficie agricole utilisée est de 106 ha[28] - [Carte 4] - [Carte 5].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle de Mandajors
      La commune est classée « Réserve de la Biosphère » par l'UNESCO.
    • L'Église (XIIe), le Temple (XVIIIe) et chapelle du château de Mandajors (XIIe) sont au cĹ“ur de la Guerre des Camisards qui a enflammĂ© le pays en 1702.
    • Église Saint-Paul de Saint-Paul-la-Coste.
    • Temple protestant de Saint-Paul-la-Coste.
    • Chapelle de Mandajors.
    • Ancienne moulinerie, filature de soie Chambon puis Boudon au Martinet. Elle a Ă©tĂ© construite sur l'emplacement d'un ancien martinet en 1836. il ne reste que l'aqueduc qui amenait l'eau et des ruines du bâtiment.
    • Dans le col d'Uglas, se trouve au bord de la route la « Fontaine des Dragons Â» qui fut amĂ©nagĂ©e au XVIIIe siècle sur ordre de l'intendant du Languedoc afin que les Dragons (soldats du Roi) puissent boire ainsi qu'abreuver leurs chevaux.
    • Moulin troglodyte de Mayelle construit aux environs du dĂ©but du XIXe siècle ; il Ă©tait actionnĂ© par la traction animale et permettait de traiter olives et grain.
    • Pont de la confrĂ©rie construit en pierres sèches Ă  la sortie de l'Ă©glise ; il remonte Ă  l'Ă©poque de l'Ă©tablissement d'un chemin par les Romains.
    • Signes gravĂ©s très anciens, gravures, dolmens.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[27].
    • Cartes
    1. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    4. « Parc national des Cévennes - les cinq massifs », sur le site du parc national des Cévennes (consulté le )
    5. « Réserve de biosphère des Cévennes », sur mab-france.org (consulté le )
    6. « Cévennes - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Paul-la-Coste », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « site Natura 2000 FR9101367 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. « site Natura 2000 FR9101369 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Paul-la-Coste », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « ZNIEFF la « forêt domaniale des Gardons et versant sud de la montagne de la Vieille Morte » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    13. « ZNIEFF la « vallée du Galeizon à St-Paul-la-Coste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « ZNIEFF les « vallons autour du ruisseau de Roquefeuil » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « ZNIEFF les « Hautes vallées des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Paul-la-Coste », sur Géorisques (consulté le )
    17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur www.gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Paul-la-Coste », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    26. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    27. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
    28. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Paul-la-Coste - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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