Saint-Martin-d'Écublei
Saint-Martin-d'Écublei est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 637 habitants[Note 1].
Saint-Martin-d'Écublei | |
La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Mortagne-au-Perche |
Intercommunalité | Communauté de communes des Pays de L'Aigle |
Maire Mandat |
Franck Gaultier 2020-2026 |
Code postal | 61300 |
Code commune | 61423 |
Démographie | |
Gentilé | Écubleins ou Écubléens |
Population municipale |
637 hab. (2020 ) |
Densité | 53 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 47′ 26″ nord, 0° 40′ 40″ est |
Altitude | Min. 182 m Max. 248 m |
Superficie | 11,94 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | L'Aigle (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de L'Aigle |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Martin-d'Écublei est située au sud du pays d'Ouche, dans le département de l'Orne et est limitrophe de l'Eure. Son bourg est à 4,5 km au sud-ouest de Rugles et à 5 km au nord-est de L'Aigle[1].
Elle s'étend sur 1 195 hectares, mesure 7 kilomètres de longueur sur une largeur de 3 kilomètres aux points les plus éloignés.
Géologie et relief
L'altitude de la commune varie entre un minimum de 182 mètres et un maximum de 248 mètres, soit une altitude moyenne de 215 mètres.
Craie turonienne[2].
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité très faible[3].
Hydrographie et les eaux souterraines
- La rivière la Risle[4].
- Réseaux karstiques : le Cauche[5].
Voies routières
- Commune située à 5 km de L'Aigle et 3 km de Saint-Sulpice-sur-Risle, par la D 930.
Transports en commun
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Escublaio au XIe e, Escubleyo en 1350, Scublatum (lire Scublacum).
Il s'agit d'une formation gauloise ou gallo-romaine en -(i)acum[9] - [10], suffixe d'origine celtique servant à la localisation, puis à définir la propriété. Le premier élément Écubl- représente l’anthroponyme gaulois ou gallo-romain Scopilius[10] ou Scopilus[9] - [11].
Homonymie avec Écublé (Eure-et-Loir, Escublé 1250) et Escoublac (Loire-Atlantique, de Scublaco 1050)[9]
L'élément Saint-Martin- atteste un culte lié à la pénétration du christianisme dans les milieux ruraux et parallèle à la mise en place de l'organisation territoriale à l'époque mérovingienne (Ve au VIIe siècle), saint Martin, évêque de Tours de la deuxième moitié du IVe siècle, dont une statue de pierre datant du XVIIe occupait la niche au-dessus du porche de l'église, a donné son nom à de nombreuses paroisses en Normandie.
Remarques : Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom d'Écubley-sur-Rille, voire Écubley sur Ille[12]. Le bulletin des lois la cite sous le nom de Saint-Martin-d'Embley en 1801[13], ce qui est une erreur manifeste. Plus récemment et de manière globale, le conseil général de l'Orne a fait modifier la graphie de tous les toponymes termninés par -y en les faisant remplacer par un -i, de la même manière, il a simplifié les graphies des toponymes du type Mesnil en Ménil, etc.
Le gentilé est Écublein ou les Écubléen.
Histoire
Des haches ont été mises au jour sur le territoire, datées — avec beaucoup de réserves — de l'Âge du bronze[14].
L’abbé Duval, écarté de ses fonctions en , du fait qu’il n’avait pas voulu reconnaître l’évêque constitutionnel du département[15], a été inhumé en 1826 au cimetière de la paroisse.
Émile Picot, fut maire de cette commune de 1908 à 1918, et président de la Société libre de l'Eure et de la Société de l'histoire de Normandie. Il a écrit de nombreux ouvrages[16] - [17].
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[24].
Intercommunalité
Saint-Martin-d'Écublei est membre de la communauté de communes des Pays de L'Aigle.
Les élus du Pays d'Argentan Pays d'Auge Ornais (PAPAO) et du Pays d'Ouche ont par ailleurs émis le souhait de travailler à la mise en place d’un schéma de cohérence territoriale (SCOT) et d’un syndicat mixte de SCOT communs sur leurs deux territoires. Le périmètre du SCOT envisagé comprendrait dix communautés de communes, pour 161 communes et 77 333 habitants[25].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].
En 2020, la commune comptait 637 habitants[Note 2], en augmentation de 0,47 % par rapport à 2014 (Orne : −3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Agriculture
- Agriculteurs et éleveurs[29].
Commerces, services et industrie
- Artisans locaux.
- La commune de Saint-Martin-d'Écublei dénombrait, en 1841, trente-neuf tréfileurs et tréfileuses résidant principalement aux Gondrillers mais aussi au Mesnil, à Landrière, au Lentil et à Boni.
- En 1886, la commune comptait, en tout, 53 ouvriers et 87 personnes vivant de l'industrie.
- Société Mécanique Aiglonne (S.M.A.)
Budget et fiscalité
Les comptes 2008 à 2018 de la commune s’établissent comme suit [31] - [32]:
Postes | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Produits de fonctionnement | 259 € | 258 € | 283 € | 295 € | 361 € | 343 € | 258 € | 188 € | 166 € | 172 € | 173 € | ||
Charges de fonctionnement | 223 € | 250 € | 254 € | 250 € | 312 € | 286 € | 223 € | 143 € | 123 € | 151 € | 136 € | ||
Ressources d’investissement | 37 € | 18 € | 16 € | 52 € | 100 € | 48 € | 9 € | 32 € | 114 € | 22 € | 48 € | ||
Emplois d’investissement | 88 € | 30 € | 53 € | 89 € | 36 € | 52 € | 54 € | 96 € | 45 € | 56 € | 56 € | ||
Dette | 179 € | 159 € | 145 € | 172 € | 153 € | 133 € | 113 € | 91 € | 74 € | 38 € | 86 €[33] | ||
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[34]: | |||||||||||||
Postes | en milliers d’€ | en € par habitant | Moyenne de la strate |
---|---|---|---|
Taxe d’habitation (y compris THLV) : taux voté :9,93 % | 636 € | 962 € | 1 131 € |
Taxe foncière sur les propriétés bâties : taux voté : 17,30 % | 381 € | 576 € | 957 € |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties : taux voté : 26,95 % | 53 € | 81 € | 63 € |
Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : taux voté : 0,00 % | 0 € | 0 € | 0 € |
Cotisation foncière des entreprises : taux voté : 0,00 % | 0 € | 0 € | 0 € |
Source : Ministère de l’Économie et des Finances[35]: | |||
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[36]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[37].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[40] complétée par des études régionales[41] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « L'Aigle », sur la commune de l'Aigle, mise en service en 1997[42] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[43] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 753,9 mm pour la période 1981-2010[44]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 7], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, dans le département de l'Eure, mise en service en 1968 et à 48 km[45], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[46] à 10,8 °C pour 1981-2010[47], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[48].
Urbanisme
Typologie
Saint-Martin-d'Écublei est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [49] - [50] - [51].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de L'Aigle, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 32 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[52] - [53].
La commune est dotée d'un plan local d'urbanisme[54].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,6 %), prairies (25,9 %), forêts (23,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,6 %)[55].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[56].
Lieux et monuments
- Le menhir d'Écublai[57], encore appelé le gravois de Gargantua, décrit par F. Galleron en 1828, se trouve au lieu-dit la Ferme d'Écublei (aujourd'hui situé sur la commune voisine de Saint-Sulpice-sur-Risle). atteste l'occupation humaine à la période néolithique (400 à 1500 avant Jésus-Christ).
- La fontaine Saint-Santin[58], source ferrugineuse connue dès l'époque gallo-romaine (50 avant Jésus-Christ à 481 après Jésus-Christ) pour ses vertus curatives.
- La voie romaine no 3 de Condé-sur-Iton à Bayeux, encore appelée chemin Perré, longeait la rive gauche de la Risle et drainait les activités de la région.
- Une motte féodale existait au Haut Moyen Âge[59], puis un château connu au XIe siècle, au lieu-dit la Ferme d'Écublei près duquel, d'après G. Vaugeois, l'historien aiglon, on apercevait encore à la fin du XIXe siècle « les traces des anciens fossés du château d'où le propriétaire actuel a fait tirer depuis peu des pierres des anciennes fondations ».
- L'église[60]. Construite en deux temps, l'église dédiée à saint Martin, se dresse sur le versant nord de la vallée de la Risle. La nef, partie la plus ancienne de l'édifice, date du XVIIIe siècle, tandis que le chœur et la sacristie ont été ajoutés au XIXe siècle. Cependant la présence de fenêtres à meneaux fait plutôt penser à des parties du XVe siècle. Deux plaques encastrées dans la maçonnerie permettent de dater l'édifice : la première dans la nef au-dessus du transept, indique Anno Domini 1772, la seconde, à l'extérieur de la sacristie, côté est, porte l'inscription suivante 1860, bâtie par les soins de M. X(avier) de Fontaines Président du Conseil de la Fabrique, Étaient Curé : M. V. Lucas (Ch(anoine)H(onoraire) de Séez, Maire M. F. Quatravaux, trésorier M. F. Monnier[61]. La paroisse de Saint Martin d’Ecublei a été rouverte au culte en conformité avec la circulaire du sous-préfet du quatrième arrondissement communal du département de l’Orne en date du . Cette mesure a été prise dans le cadre du régime concordataire français, dans l’année suivant la signature du « Concordat » , le , entre Bonaparte 1er Consul, et le pape Pie VII. Ce traité établissait notamment les attributions de chacun quant à la pratique religieuse du fait que, par décision de la Révolution française, les domaines et les possessions de l’Église (bâtiments, objets, terres agricoles, bois et forêts) avaient été déclarées bien national ou Domaine national par le décret des biens du clergé mis à la disposition de la Nation du .
- Le château du Mesnil, construit de 1766 à 1868 (les deux tours qui bordent l'entrée principale sud portent les dates 1766 et 1767)[62]. Le nom de Mesnil, issu de mansus (petite exploitation ou habitat) indique l'origine de cette demeure seigneuriale. Le château (propriété d'Émile Picot entre 1905 et 1918) et le parc ont été acquis en 1947 par la ville de Pantin qui les utilise encore aujourd'hui comme centre de loisirs[63] - [64]. Le château a par ailleurs accueilli une plate-forme télégraphique du réseau "Claude Chappe" relais réalisé lors de la création de cette liaison entre Paris et Brest[65]. Ce poste télégraphique sera remplacé par la tour du Buat, aujourd'hui sur la commune de Saint-Michel-Tubœuf.
- Le château du Bois-Bertre et sa chapelle[66] ont été construits en 1824 sur l'emplacement d'une motte féodale par le baron de Saillard qui fit dessiner son parc par le comte de Choulot célèbre paysagiste du XIXe qui dessina les jardins du Vesinet. Le toponyme Bois-Tertre permet de dater vers le XIIe siècle un site fortifié. Le château accueille aujourd'hui ses visiteurs en chambres d'hôtes.
- Le château des Gondrilliers[67].
- La Tréfilerie établie en 1807 par Louis Fleuri à l'emplacement d'un moulin à blé. La commune possède en effet un riche patrimoine industriel : la tréfilerie des Gondrillers[68] qui employait en 1856 une cinquantaine d'ouvriers [69].
- Le manoir du Lentil datant du XVIe siècle.
- Le moulin de la Chaise. Au départ, moulin à blé puis transformée vers 1867 en tréfilerie et usine métallurgique[70] - [71].
- Le lavoir communal [72], avec son mécanisme permettant aux lavandières de travailler au fil de l'eau.
- Le four à pain à la Rolerie.
L'église Saint-Martin. L'intérieur de l'église Saint-Martin. Le monument aux morts près de l'église. Le château du Mesnil. Tour de 1766 du château du Mesnil. Tour de 1767 du château du Mesnil.
Le mécanisme du lavoir communal. Maquette matériel agricole. Exposition Maquettes.
Activité et manifestations
Personnalités liées à la commune
- Émile Picot (13/09/1844-24/09/1918), membre libre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres en 1897 [75] - [76], est un linguiste renommé, philosophe érudit, historien, bibliographe et bibliophile.
- Il a par exemple traduit et annoté l'œuvre d'un chroniqueur moldave sous le titre «Chronique de Moldavie : depuis le milieu du XIVe siècle jusqu'à l'an 1594 de Grigore Ureche», publiée par l'Institut national des langues et civilisations orientales (éditeur Leroux, Paris, 1878).
- Il a également collaboré avec Kristoffer Nyrop, au «Nouveau recueil de farces françaises des XVe et XVIe siècles» (Paris 1880, Genève 1968). En 1907, il publie «Les Français italianisants au XVIe siècle» (Paris, Honoré Champion).
- Il s'est rendu acquéreur du château du Mesnil en 1905 et fut maire de la commune où il décéda à l'âge de 74 ans.
- L’abbé Duval, qui a été écarté de ses fonctions en novembre 1791, du fait qu’il n’avait pas voulu reconnaître l’évêque constitutionnel du département, est décédé en 1826 et a été inhumé au cimetière de la paroisse.
- Famille Girard de la Chaise[77].
- Famille Bérault[78].
Annexes
Article connexe
Bibliographie
- Bulletin Société historique et archéologique de l’Orne (Alençon. 1913 - Notice sur le boisbertre (commune de Saint-Martin-d'Ecublei), par Émile Picot
- Patrick Marie, La Télégraphie Chappe et le Château du Mesnil, Verneuil-sur-Avre, Editions Les Amis de Verneuil, , 45 p.Bulletin d’information historique
- Brochure de 19 pages conçue par la municipalité pour les nouveaux arrivants, et relatant l'histoire de la commune, par JP Lambla, maire. Historique de la commune :
- p. 9 : Période néolithique (-4000 à -1500 avant Jésus-Christ),
- p. 10 : Période gallo-romaine -50 avant Jésus-Christ à 481 après Jésus-Christ) : la Fontaine Saint-Santin, la voie romaine),
- p. 10 : Au Moyen Âge,
- p. 10 et 11 : Origine de Saint-Martin-d'Ecublei : La famille d'Ecublei, Saint-martin,
- p. 11 à 15 : Quelques lieux, particularités et personnages historiques de Saint-Martin-d'Ecublei : *p. 11 : La pluie de météorite du sur Chevaline, La Vavassorerie et Saint-Antonin de Sommaire, ***p. 11 : Emile Picot (1844-1918), *p. 11 et 12 : L'église, *p. 12 et 13 : Le château du Mesnil, *p. 13 et 14 : Le château du Bois-Bertre, *p. 14 et 15 : La tréfilerie des Gondrillers, *p. 15 : Le Moulin de la Chaise, *p. 15 et 16 : Le lavoir communal.
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Liens externes
- Saint-Martin-d'Écublei, sur le site www.annuaire-mairie.fr/
- Saint-Martin-d'Écublei sur le site de la communauté de communes du Pays de L'Aigle et de la Marche
- Résumé statistique de Saint-Martin-d'Écublei sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région]
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Sites et paysages
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[38].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[39].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2014 (site de l'IGN, téléchargement du 1er mars 2015)
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- Turonien inférieur. Craie blanche, pp.13-30
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- Affluents de la rivière La Risle
- Communauté de Communesdu Canton de Rugles : PLU
- Archéologie ferroviaire (v2). Atlas des lignes de chemins de fer disparues
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 260a.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 1 : Formations préceltique, celtiques, romanes, Genève, (lire en ligne), p. 502.
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 232.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean-Baptiste Duvergier, Collection complète des lois, décrets, ordonnances, réglemens et avis du Conseil d'état, t. 13, Paris, (lire en ligne), p. 117.
- Occupation du sol : Gisements préhistoriques
- Constitution civile du clergé
- Les pères du théâtre médiéval : Emile Picot
- Emile Picot (1844- 1918)
- Louis Quatravaux
- Émile Picot et la Roumanie : Le diplomate et le professeur, Emile Picot et les Balkans
- Émile Picot (1844- 1918)
- La commune rend hommage à Émile Picot, ancien maire
- « Claude Delahaye reçoit la médaille échelon vermeil », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Jean-Pierre Lambla reste maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Municipales. Franck Gaultier est le nouveau maire de Saint-Martin-d’Écublei », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Prise de la compétence SCOT
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Agriculteurs et éleveurs
- (fr+en) Écogîte Le Bois Martin
- Les Comptes des Communes, Analyse des équilibres financiers fondamentaux Les comptes des communes, Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement : La Commune de Saint-Martin-d’Écublei
- Le budget de la Commune de Saint-Martin-d'Écublei
- Encourt total de la dette au 31 décembre 2018 : 86 000 €; Dette par habitant : 130 €; Moyenne de la strate : 615
- Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (années 2000 à 2018)
- Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (année 2018)
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de L'Aigle », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Procédure de révision du plan local d'urbanisme
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Le Menhir d’Ecubleï
- La fontaine Saint-Santin
- La motte féodale
- Photos église Saint-Martin : Cartes postales
- Saint Martin d'Ecublei, paroisse de Saint Martin-en Ouche
- Ancienne carte postale du Château du Mesnil
- Notice no IA61002706, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le Centre de Vacances de Saint-Martin d’Ecublei
- Patrick Marie, La Télégraphie Chappe et le Château du Mesnil, Verneuil-sur-Avre, Editions Les Amis de Verneuil, , 45 p.Bulletin d’information historique.
- Le château du Bois-Bertre et sa chapelle
- Le château des Gondrilliers
- La tréfilerie des Gondrillers
- « Tréfilerie », notice no IA00061055, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tréfilerie », notice no IA00061059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le moulin de la chaise
- Le lavoir communal
- Fête du ciel à Saint-Martin-d'Écublei
- « Faï » Spectacle de feu
- « Éloge funèbre de M. Émile Picot, membre de l'Académie, par le président de séance. », sur http://www.persee.fr, (consulté le ).
- Brochure conçue par la municipalité pour les nouveaux arrivants dans la commune, p. 2 et 9-15
- Un acte de vente du 19 novembre 1563 porte le nom de noble homme Jehan de Girard, sieur de la Chaise, homme d'armes de la compagnye de Monsieur le Duc de Guise. La seigneurie de la Chaise était alors à Saint-Martin d'Écubley, pages 10-22-23-71-89-93-13.
- Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, 1911, Domaine patrimonial des BÉRAULT