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Saint-Martin-Château

Saint-Martin-Château est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Martin-Château
Saint-Martin-Château
La Maulde.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes Creuse Sud-Ouest
Maire
Mandat
Nicolas Derieux
2020-2026
Code postal 23460
Code commune 23216
Démographie
Population
municipale
147 hab. (2020 en diminution de 1,34 % par rapport à 2014)
Densité 4,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 51′ 29″ nord, 1° 47′ 59″ est
Altitude Min. 410 m
Max. 741 m
Superficie 31,25 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Felletin
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Saint-Martin-Château
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Saint-Martin-Château

    Géographie

    Localisation

    La commune est limitrophe du département de la Haute-Vienne.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Maulde, vient du plateau de Millevaches où, barrée, elle forme le vaste lac de Vassivière. Elle va à Peyrat-le-Château et vers les autres lacs de barrages hydroélectriques en aval. Elle finit dans la Vienne un peu avant Saint-Léonard-de-Noblat. Près de Saint-Martin-Château elle descend la Cascade des Jarrauds qui permit en 1889 l'électrification de Bourganeuf avec une des premières centrale hydro électrique de France. Sur la commune ses principaux affluents sont le ruisseau de Tourtoulloux (aussi dit ruisseau de la Buse) et le ruisseau de Langladure (aussi dit ruisseau de Masgrangeas).

    Les "planches" sont une particularité du plateau de Millevaches. Ce sont des ponts dont le tablier entre deux piles est fait d'une grande "planche" de pierre taillée. Parfois il y a deux "planches" côte à côte. Il fallait de la pierre qui s'y prêtait. C'est le granite à deux micas du Millevaches celui que l'on appelle dans la commune « pierre du Compeix ».

    Elles ont été posées pour les piétons, car elles sont en général trop étroites pour une charrette. Pour celles-ci il y avait toujours un gué proche. Ces "planches" de pierre pèsent de l'ordre de 2 tonnes et parfois plus. Elles sont toutes accessibles par des chemins à faible distance des routes et la plupart ont été flêchées par l'association "Éclats de rives".

    Les "planches" sont au nombre de sept. Il y a également deux vieux ponts à Palin et à Villegouleix.

    Ce sont : dans le nord de la commune : les trois planches de La Clavelle (détruite), de Pont et de Verrière. Dans la partie centrale : la planche Périne située sur le Langladure, les deux planches de La Cour, les ruines du pont Palin. Au sud : la planche La Pierre et le pont de Villegouleix.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 261 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaumont du Lac », sur la commune de Beaumont-du-Lac, mise en service en 1992[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10 °C et la hauteur de précipitations de 1 445,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-Château est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,7 %), prairies (14,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Martin-Château est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Martin-Château.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 202 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 71 sont en en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[21].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Vassivière, un ouvrage sur la Maulde de classe A[Note 6] soumis à PPI disposant d'une retenue de 106 millions de mètres cubes[26]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Martin-Château est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].

    Histoire

    Avant la création du département de la Creuse à la Révolution française, le , la paroisse de Saint-Martin-Château faisait partie du Poitou, de la généralité de Limoges, de la sénéchaussée de Montmorillon et de l’archiprêtré d’Aubusson. C’était une cure séculière placée sous le vocable de saint Martin, évêque de Tours. La nomination des titulaires appartenait au prieur de Peyrat-le-Château.

    Entre 1143 et 1156, l'évêque de Limoges, Gérald II, donna l’église de Saint-Martin-Château à l'Abbaye Saint-Martial de Limoges et de Saint Denis de Peyrat. L’église date du XIIe siècle, elle abrite un tombeau sculpté du XVe siècle.

    Guillaume de Lomènie, seigneur de Saint Martin-Château et de Saint-Pardoux-Lavaud, demeurant au château de Monteil vendit en 1776, la seigneurie de Saint-Pardoux-Lavaud avec les droits de justice, qu’il avait sur ce lieu, a Pierre Esmoing chevalier, et à François Esmoing, prieur de Sainte-Croix-de-Josselin, demeurant au château de la Grillére. Le revenu de la cure était de 2 280 livres en 1780.

    XIXe siècle

    La cascade des Jarrauds rentre dans l'histoire au XIXe siècle alimentant une dynamo permettant à la ville de Bourganeuf d'être la troisième ville française à recevoir l'électricité en 1886.

    La Maulde ou Maude au XIXe siècle permettait d'acheminer du bois à partir de Saint-Martin-Château vers Limoges[29].

    En 1846, la commune comptait 1 294 habitants et 160 migrants soit 12,4 % de la population. Parmi ces 160 migrants, 100 étaient maçons et 20 tailleurs de pierre[30].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Georges Barlet
    mars 2008 mars 2014 Jean-Paul Monnier
    mars 2014 En cours Nicolas Derieux SE

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 147 habitants[Note 7], en diminution de 1,34 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1341 2291 1101 1001 1961 2301 2101 2941 311
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2731 1761 3221 3001 2351 2791 2501 2891 290
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2281 1581 118930812695667572485
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    373323259219152135134136159
    2015 2020 - - - - - - -
    147147-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La cascade des Jarrauds

    Personnalités liées à la commune

    • Marcel Deprez né à Aillant-sur-Milleron en 1843 et mort à Vincennes en 1918, est un ingénieur français ayant essentiellement travaillé sur l'électricité. De 1876 à 1886, Deprez mène les premiers essais de transport d'électricité sur de longues distances à Creil. À l'Exposition internationale d'électricité de Paris en 1881, il présente pour la première fois une installation de distribution d'énergie électrique alimentée par deux dynamos. Marcel Deprez permit de réaliser le transport de l'électricité entre les installations des usines de la Cascade des Jarrauds et Bourganeuf.
    • Henri Prébost est un soldat fusillé pour l'exemple. Il est né le à Saint-Martin-Château. Il vivait à Villeurbanne où il exerçait le métier de maçon. Pendant la Première Guerre mondiale, Henri Prébost a été incorporé au 63e RI, 5e Cie. Il a été fusillé pour l'exemple le à Flirey avec trois autres soldats, à la suite du refus collectif de sa compagnie de remonter à l'assaut de la crête de Mortmare. Henri Prébost a été désigné par ses supérieurs pour être fusillé car il était militant du syndicat de la CGT fondée à Limoges en 1895. Il a été réhabilité par jugement de la cour spéciale de justice militaire le . Les Fusillés pour l'exemple de Flirey s'ajoutent à ceux de Vingré, Fontenoy, Fleury, Mouilly, Montauville… En quatre ans, 2 400 poilus auront été condamnés à mort et 600 exécutés, les autres voyant leur peine commuée en travaux forcés. Henri Prébost est enterré à Villeurbanne.

    Enseignement

    Au cours de l'année scolaire 2011/2012, Le village de Saint-Martin-Château a accueilli le collège associatif de la Traverse dans un de ses gites communaux. Ce collège privé hors contrat était uniquement encadré par des bénévoles. Il a ensuite déménagé à la rentrée scolaire 2012 dans le village de La Villedieu.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Beaumont du Lac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Martin-Château et Beaumont-du-Lac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Beaumont du Lac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Martin-Château et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Martin-Château », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Martin-Château », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. Article R214-112 du code de l’environnement
    26. « barrage de Vassiviere », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Creuse », sur www.creuse.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    28. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    29. Source : Dictionnaire Hydrologique de 1823
    30. Source :Quand Martin Nadaud maniait la truelle… La vie quotidienne des maçons limousins, 1830-1849, de Pierre Urien, Felletin, Association les Maçons de la Creuse, 1998, 143 p., préface de Pierre Riboulet p. 137.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Eglise paroissiale Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    36. http://www.tourmagazine.fr/Creuse-le-1er-sentier-de-randonnee-labellise-GR-de-Pays-_a5778.html Le premier GR de pays en Creuse
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