Saint-FĂ©lix (Oise)
Saint-Félix est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.
Saint-FĂ©lix | |||||
La mairie et l'Ă©glise. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | CC Thelloise | ||||
Maire Mandat |
Patrick Vonthron 2020-2026 |
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Code postal | 60370 | ||||
Code commune | 60574 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Féliciens, Saint-Féliciennes | ||||
Population municipale |
620 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 121 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 20âČ 55âł nord, 2° 17âČ 11âł est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 140 m |
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Superficie | 5,13 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Mouy | ||||
LĂ©gislatives | 7e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Oise
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.saint-felix-notre-village.fr/ | ||||
Ses habitants sont appelés les Saint-Féliciens et les Saint-Féliciennes, ou, selon d'autres sources, les Saint-Félixiens et Saint-Félixiennes[1].
GĂ©ographie
Localisation
La commune se situe Ă 60,5 kilomĂštres au sud d'Amiens, Ă 17 kilomĂštres Ă l'est de Beauvais, Ă 40 kilomĂštres Ă l'ouest de CompiĂšgne et Ă 54,5 kilomĂštres au nord de Paris[2].
Communes limitrophes
Topographie et géologie
La commune s'Ă©tend entre 42 mĂštres sur les rives du ThĂ©rain et 140 mĂštres d'altitude Ă la limite nord du territoire, dans la forĂȘt de Hez-Froidmont. Son Ă©tendue s'Ă©tire de la vallĂ©e du ThĂ©rain jusqu'Ă cette mĂȘme forĂȘt situĂ©e sur un plateau dominant le village d'environ 90 mĂštres. Le village de Saint-FĂ©lix se trouve entre le fond de la vallĂ©e et les premiers coteaux du plateau du lieu-dit la Montagne.
Le hameau de Fay-sous-Bois se situe dans le vallon du ruisseau de la maladrerie naissant Ă l'orĂ©e de la forĂȘt. D'autres fonds et vallons descendent vers la vallĂ©e du ThĂ©rain comme le fond du Val Ă l'est, le val HĂ©mont au nord-ouest et la vallĂ©e Belle-Fille au nord.
Le village se localise à 48 mÚtres au-dessus du niveau de la mer, le hameau de Fay-sous-Bois à 58 mÚtres et le moulin à eau de Saint-Félix, sur les rives du Thérain, à 43 mÚtres d'altitude[3].
Hydrographie
- Le moulin-brosserie, sur les bords du Thérain.
- Les étangs de Saint-Félix, dans la vallée du Thérain.
- Lavoir, rue du Palais-Blanc.
La commune de Saint-FĂ©lix se trouve sur la rive gauche du ThĂ©rain, sous-affluent la Seine, naissant Ă Grumesnil et jetant dans l'Oise Ă Saint-Leu-d'Esserent. Son cours constitue la majeure partie de la limite communale sud. AprĂšs ĂȘtre passĂ© sous le pont de la route dĂ©partementale 89, il se divise en deux bras au niveau du moulin-brosserie de Saint-FĂ©lix avant de quitter la commune[4].
Le ru de la Maladrerie[5] prend sa source au nord du hameau de Fay-sous-Bois, passe à l'ouest du village avant de rejoindre l'un des nombreux étangs au sud du village puis conflue avec le Thérain.
Risques naturels
La commune se situe en zone de sismicité 1[6].
Les zones à proximité du Thérain se situent en zone inondable[6] et se trouvent au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[7].
Voies de communications
La commune est desservie par trois routes dĂ©partementales, la D 12, la D 12E et la D 89. La route dĂ©partementale 12, de Therdonne Ă Saint-Leu-d'Esserent, traverse le village d'ouest en est par la rue Principale. Reliant indirectement Beauvais Ă Creil, s'agit du principal axe routier traversant le territoire. Le second tronçon de la route dĂ©partementale 89 (le premier reliant Ansacq Ă Hondainville) se sĂ©pare de la route dĂ©partementale 12 et rejoint la commune d'Heilles par la rue du mĂȘme nom. La D 12E, antenne de la route dĂ©partementale 12, relie cet axe, dans le prolongement de la route du hameau de Caillouel (commune d'Hermes), au hameau de Fay-sous-Bois. Plusieurs routes communales relient les hameaux et communes limitrophes comme entre le chef-lieu et Fay-sous-Bois ainsi que l'ancienne D 12 rejoint Caillouel.
Transports en commun
SituĂ© Ă 2 km au sud, la gare d'Heilles-Mouchy, Ă©tablie sur la ligne de Creil Ă Beauvais, est la gare ferroviaire la plus proche de la commune. La gare d'Hermes-Berthecourt se trouve Ă 3 km Ă l'ouest, sur le mĂȘme ligne[2].
La commune est desservie par le réseau d'autobus Kéolis Oise par plusieurs lignes de transports scolaires rejoignant le collÚge de Mouy et les établissements de l'agglomération de Clermont[8]. Les habitants peuvent bénéficier du service de transport à la demande du réseau Pass'Thelle Bus, géré par la communauté de communes du pays de Thelle depuis la gare de Mouy-Bury[9].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 18 km à l'ouest de la commune et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se trouve à 42 km au sud-est[2]. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[14] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[15] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[16] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[17] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 663,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[18]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944 et Ă 18 km[19], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[20] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[21], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels
Hormis les espaces bĂątis Ă©tablis sur 6,3% de la surface sur 31 hectares, le territoire communal se compose Ă 42,8% de cultures sur prĂšs de 214 hectares. Au nord la forĂȘt de Hez-Froidmont ainsi que les fonds et les coteaux des vallĂ©es du ThĂ©rain et de Fay-sous-Bois constituent les principales zones boisĂ©es. Elles s'Ă©tendent sur 170 hectares, soit 34% de la superficie. On compte Ă©galement 10,3% de vergers et prairies sur 51 hectares ainsi que plus de 31 hectares de marais et espaces humides, tel le marais de Fay. Les cours d'eau occupent Ă eux seuls 1,5 hectare[23] - [3].
Une partie de la forĂȘt de Hez-Froidmont fait l'objet d'un classement en zone natura 2000 sur le territoire communal[24]. Ce massif forestier et ses bois pĂ©riphĂ©riques sont en outre inscrits en tant que zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique de type 1[25] tout comme les Ă©tangs et milieux alluviaux du ThĂ©rain[26]. Les diffĂ©rents coteaux constituent des corridors Ă©cologiques potentiels[27].
Le sentier de grande randonnée 124, de Cires-lÚs-Mello (Oise) à Rebreuviette (Pas-de-Calais), traverse une partie du hameau de Fay-sous-Bois par les rues de l'HÎtel-Dieu et du Marais-de-Feu. Il se dirige ensuite vers La Neuville-en-Hez[3].
Urbanisme
Typologie
Saint-Félix est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [28] - [29] - [30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[31] - [32].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (64,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (32,4 %), forĂȘts (26,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (23,7 %), eaux continentales[Note 8] (10 %), zones urbanisĂ©es (5,3 %), prairies (2,4 %)[33].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[34].
Toponymie
Le village fut nommé Bourg Lançon, puis Foelicum en 1157, Felicem en 1164, Saint-Flix en 1384[1].
Histoire
Le lieu Ă©tait situĂ© prĂšs d'une voie romaine prĂšs du ThĂ©rain, et des monnaies romaines ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes vers la forĂȘt[1].
La cure dépendait de l'abbaye Saint-Lucien de Beauvais, dont les abbés avaient un manoir sur le chemin de Thury. Une maladrerie existait au lieu-dit qui porte ce nom, vers Hermes[1].
Le hameau du Fay-sous-Bois constituait une seigneurie distincte de celle de Saint-Félix, et de la vigne y était cultivée au XVIe siÚcle[1].
La commune, instituée lors de la Révolution française, a fugacement absorbé celle de Hondainville entre 1825 et 1832[35].
Deux moulins à eau existaient au XVIe siÚcle et servaient à moudre le blé. L'un d'eux a été transformé en 1910 en brosserie, et servait à travailler l'os et le bois afin d'y faire des brosses à dent, des brosses à cheveux, puis des brosses à ménage en matiÚre plastique. L'usine a cessé son activité en 1979 et est devenue en 1994 un musée de la brosserie[1].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septiÚme circonscription de l'Oise.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Mouy[35]. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, ce canton, oĂč le village reste rattachĂ©, s'agrandit et passe de 11 Ă 35 communes.
Intercommunalité
La commune a adhéré en 2000 à la communauté de communes du pays de Thelle (CCPT), créée en 1996.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[36], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[37] - [38].
La nouvelle intercommunalitĂ©, dont est membre la commune et dĂ©nommĂ©e communautĂ© de communes Thelloise, est crĂ©Ă©e par un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du qui a pris effet le [39].
Liste des maires
Prévention des risques
La commune, située sur le Thérain, est concernée par le plan de prévention du risque inondation dit du Thérain-aval, approuvé le [44].
Population et société
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[46].
En 2020, la commune comptait 620 habitants[Note 9], en diminution de 2,67 % par rapport Ă 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 36,8 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 20,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 320 hommes pour 306 femmes, soit un taux de 51,12 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Depuis la fin de l'industrie de la brosserie, la commune n'a plus d'activité industrielle. Elle compte en 2016 quelques artisans, ainsi qu'un café et un salon de coiffure[1].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Saint-FĂ©lix possĂšde deux monuments historiques sur son territoire :
- Ăglise Saint-FĂ©lix (inscrite au titre des monuments historiques depuis 1960[50]) : Elle rĂ©unit une vaste nef unique du dĂ©but du XIIe siĂšcle Ă un chĆur gothique du XIIIe siĂšcle, qui se compose de trois vaisseaux parallĂšles, et se termine par un chevet plat. Le portail occidental, de la premiĂšre pĂ©riode gothique, constitue l'amorce d'une nouvelle façade, qui est finalement restĂ©e inachevĂ©e. L'intĂ©rieur de la nef surprend par une charpente portĂ©e en partie par des poteaux de bois, dont certains se superposent aux petites baies romanes, et Ă©voque une grange plutĂŽt qu'un Ă©difice religieux. Les trois vaisseaux du chĆur, relativement cloisonnĂ©s et d'une facture rustique, sont sĂ©parĂ©s par des grandes arcades flamboyantes, issues d'une reprise en sous-Ćuvre au cours de la premiĂšre moitiĂ© du XVIe siĂšcle.
- De l'architecture d'origine, ne restent plus que les rĂ©seaux des fenĂȘtres, en partie incomplets, et des vestiges des supports. Les voĂ»tes d'ogives actuelles sont purement fonctionnelles, et ne reflĂštent aucun style particulier.
- Moulin-musée de la Brosserie, installé dans un ancien moulin du XIXe siÚcle[51], qui fournissait l'énergie aux machines permettant la fabrication des brosses grùce à trois roues hydrauliques. L'entreprise, qui fut fondée en 1876, fonctionna jusqu'en 1979 et a été transformée en musée en 1994. Les machines y sont présentées en état de fonctionnement[52]. Il fait l'objet d'une inscription aux monuments historiques depuis 1990[53].
- Le musĂ©e, qui prĂ©sente un parc de machines authentiques ainsi que les appareils du moulin en Ă©tat de fonctionnement est ouvert Ă l'initiative de lâassociation « Les Amis du musĂ©e moulin de Saint FĂ©lix » de mai Ă septembre les premier et troisiĂšme dimanches du mois[Note 10] - [54].
- L'Ă©glise Saint-FĂ©lix depuis le sud-ouest.
- Portail occidental de l'Ă©glise.
- Le moulin-brosserie Autin.
- Roue Ă aubes du moulin-brosserie Autin.
On peut Ă©galement noter :
- ChĂąteau de FaĂż-sous-Bois
- Manoir, rue du Palais-Blanc : long et bas Ă©difice Ă Ă©tage, du XIIIe siĂšcle, dont le pignon est presque intact.
- Ancienne auberge, rue Principale.
- Lavoir, rue du Palais-Blanc.
- Monument aux morts, sur la façade de la mairie.
- Croix de cimetiĂšre.
- Ancienne auberge, rue Principale.
- Lavoir, rue du Palais-Blanc.
- Monument aux morts sur la façade la mairie.
- Croix de cimetiĂšre.
HĂ©raldique
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Les armes de Saint-FĂ©lix se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Bibliographie
- Antoine-Joseph Warmé, Mouy et ses environs : Saint-Félix, Beauvais, Impr. de D. PÚre, , 520 p. (lire en ligne), p. 421-428 sur Gallica.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[13].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Musée de la brosserie. Site : www.moulin-de-saint-felix.jimbo.com.
Références
- « Commune liĂ©e Ă la brosserie : Tout savoir sur le village de Saint-FĂ©lix », L'Observateur de Beauvais, no 983,â , p. 20.
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
- « Bras du Thérain », sur www.services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Ruisseau de la maladrerie », sur www.services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Risques potentiels majeurs de la commune de Saint-Félix », sur macommune.prim.net (consulté le ).
- « Carte de remontée des nappes », sur www.innondationsnappes.fr (consulté le ).
- « Transports en commun à Saint-Félix (carte et lignes) », sur www.oise-mobilité.fr (consulté le ).
- « Dessertes du réseau Pass'Thelle Bus », sur www.passthellebus.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivitĂ©s fusionnent », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, MinistÚre de l'intérieur, .
- « Le maire et ses colistiers dĂ©missionnent », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Les figures du Thelle : Patrick Vonthron, maire de la commune », L'Ăcho du Thelle, no 712,â , p. 15 « [en 1982] Francis Boulie et Jean-Claude Marchand venaient me proposer de mâinscrire sur leur liste « Union de la gauche ». Jâacceptais et depuis, je siĂšge Ă la mairie : 12 ans comme conseiller, 13 ans comme adjoint et⊠6 ans comme maire (battu aux Ă©lections de 2008, je faisais mon retour en 2011) ».
- RĂ©Ă©lu pour le mandat 2014-2020 : « Patrick Vonthron rend hommage Ă ses trois adjoints », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Clermont, no 3284,â , p. 14 (ISSN 1144-5092).
- « Ils sont Ă©tĂ© Ă©lus premier magistrat de leur commune », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Grandvilliers, no 3606,â , p. 20.
- Source : Page du site http://www.prim.net
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-FĂ©lix (60574) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de l'Oise (60) », (consultĂ© le ).
- « église Saint-Félix », notice no PA00114857, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Le site fut utilisé auparavant par un moulin à blé, puis un moulin à foulon, et enfin par le moulin à brosserie actuel, sous le nom de moulin d'Achon puis de Saint-Félix
- « Site du moulin musée de la Brosserie », sur Saint Félix, notre village (consulté le ).
- « Ancienne brosserie Autun », notice no PA00114985, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Le moulin musĂ©e attend ses visiteurs », Le Bonhomme picard, Ă©dition de Clermont, no 3392,â , p. 16.