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Saint-Amarin

Saint-Amarin est une commune française située dans l'aire d'attraction de Mulhouse et faisant partie de la Collectivité européenne d'Alsace (circonscription administrative du Haut-Rhin), en région Grand Est.

Saint-Amarin
Saint-Amarin
HĂ´tel de ville de Saint-Amarin.
Blason de Saint-Amarin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Thann-Guebwiller
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de Saint-Amarin
(siège)
Maire
Mandat
Charles Wehrlen
2020-2026
Code postal 68550
Code commune 68292
DĂ©mographie
Population
municipale
2 217 hab. (2020 en diminution de 4,03 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 191 hab./km2
Population
agglomération
9 763 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 52′ 23″ nord, 7° 01′ 54″ est
Altitude Min. 393 m
Max. 1 347 m
Superficie 11,61 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Amarin
(ville-centre)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Cernay
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Saint-Amarin
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Saint-Amarin
Liens
Site web ville-saint-amarin.fr

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Ses habitants sont appelés les Saint-Amarinois et les Saint-Amarinoises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Saint-Amarin (Sankt-AmĂ ri en alsacien) est situĂ© Ă  412,07 mètres au-dessus du niveau moyen de la mer Ă  Marseille, l'altitude minimale Ă©tant de 395 mètres Ă  la sortie de la Thur, en amont de l'Ă©glise Saint-Joseph-Artisan de Malmerspach et l'altitude maximale Ă©tant de 1 345 mètres, en lĂ©ger contrebas du sommet du Storkenkopf[1]. La petite ville se situe Ă  9 km au nord-ouest de Thann dans le dĂ©partement du Haut-Rhin (68). Elle se situe dans les Hautes Vosges cristallines, près du dĂ©partement des Vosges, dans la vallĂ©e de la Thur. Cette vallĂ©e est une ancestrale voie de passage entre la plaine d'Alsace (Mulhouse) et la haute vallĂ©e de la Moselle (Bussang, Remiremont), dĂ©jĂ  utilisĂ©e du temps des Romains pour atteindre Trèves, mais aussi les vallĂ©es de la Moselotte (La Bresse) et la Vologne (GĂ©rardmer). NĂ©anmoins, de nos jours, la congestion de la route (N66) la traversant reste un problème consĂ©quent.

    Communes limitrophes de Saint-Amarin
    Ranspach Lautenbachzell
    Saint-Amarin Geishouse
    Mitzach Malmerspach Moosch

    C'est une des 188 communes[2] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

    Lieux-dits et Ă©carts

    • Le Vogelbach et le Hintervogelbach sur la rive droite amont de la rivière Vogelbach. Le Hintervogelbach est une zone d'ancien peuplement de fermes isolĂ©es sur les pentes reculĂ©es du vallon.
    • Le Fistelhaeuser, en face du Vogelbach, dominant la rive gauche de la rivière Vogelbach d'une trentaine de mètres pour le moins.
    • Le Herrenwald dominant le village par l'est.
    • Le Stockenmatt, quartier au-delĂ  de la carrière, vers le nord-ouest.
    • Le Meerbaechel, ferme-auberge dominant le vallon du Vogelbach et le village par le nord, Ă  près de 700 mètres d'altitude[3].
    • La Vue des Alpes est un Ă©cart de la commune, regroupant quelques maisons agglomĂ©rĂ©es Ă  la commune de Geishouse.
    • Le Hirschenbach, vallon boisĂ© inhabitĂ© au pied du bĂ»cher de la Saint-Jean (FĂ ckel en alsacien).
    • Le Mordfeldloch, arrière vallon inhabitĂ© de la rivière Vogelbach.
    Panorama de la ville de Saint-Amarin dans la vallée de la Thur, vue vers l'aval. De gauche à droite, le cimetière, l'église, le musée Serret (au premier plan) et la voie ferrée. Au fond le massif du Thanner Hubel.

    Hydrographie

    Le principal cours d'eau de la commune est la Thur, affluent de l'Ill, qui passe en bordure ouest de l'agglomération, avec un écoulement orienté de nord-ouest vers sud-est. Cette rivière a longtemps fourni l'énergie nécessaire aux usines locales, en particulier aux entreprises textiles, qui ont été aménagées de part et d'autre des berges.

    Le Vogelbach est une rivière de quelques kilomètres qui prend sa source au pied du Hundskopf, à plus de mille mètres d'altitude. Il passe au cœur du village et se love autour du château, avant de s'écouler vers la Thur avec laquelle il conflue par la rive gauche. Le Vogelbach, comme la Thur, est soumis à des sautes de débit importantes, lors des fontes nivales de printemps, voire à l'occasion d'orages, aussi son cours est canalisé dans la partie aval et urbaine.

    Le Hirschenbach est un ruisseau de quelques centaines de mètres qui prend sa source à 500 mètres d'altitude et se jette dans la Thur par la rive droite. Il tire sa notoriété locale par le bûcher de la Saint-Jean qui domine son vallon. La crémation des bûchers est une coutume ancestrale dans les villages de la vallée. Avec les festivités qui entourent l'embrasement du bûcher, on célèbre ainsi le solstice d'été.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Amarin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Amarin, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 9 communes[7] et 9 763 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (71,7 %), zones urbanisées (12,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,9 %), prairies (6,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    • Doroangus en 668 (Cloroangus, du celtique tuar = maison), Sanctus Amarinus (vers 1135), Sand Heimmerin (1316), Saint Amarin (1793).

    Histoire

    Cette vallée fut déjà visitée et occupée par les Romains. Au début du VIIe siècle, un pieux ermite nommé Marin avait bâti une cellule près de Doroangus. Étant tombé malade, il eut la visite de saint Prix, également appelé Project, évêque de Clermont qui, de la cour de Childéric II roi d'Austrasie, s'en retournait en Auvergne. Le saint prélat le guérit de la fièvre. Pour lui témoigner sa reconnaissance, Marin le reconduisit dans son diocèse. Mais arrivé à Volvic en Auvergne, les deux voyageurs furent assaillis par des brigands qui s'en prirent d'abord à l'ermite. Project, voyant l'erreur de ces gens, s'écria : je suis celui que vous cherchez. À ces mots, il tomba sous les coups du brigand nommé Radbert. Son ami et l'acolyte Elidus le suivirent de près. Rapportées à Doroangus, les reliques de Marin furent honorées en cet endroit, qui lui dut son nom. Ceci se passait en 676[14]. Le monastère de Saint-Amarin fut plus tard régularisé par les abbés de Murbach, transformé au XIIe siècle en un chapitre de chanoines dépendant de cette abbaye, qui possédait le village fondé autour du couvent et toute la vallée. Au XIIIe siècle, grâce à l'ouverture du col du Saint-Gothard, la route de la vallée de Saint-Amarin s'ouvrit au commerce international entre l'Italie et la Flandre. Pour en profiter, l'abbé de Murbach établit un péage, gardé par le château de Friedburg (avant 1255), et le défendit avec succès contre les convoitises des comtes de Ferrette et des seigneurs de Saint-Amarin. Saint-Amarin fut fortifié entre 1240 et 1260 mais déclina après que le chapitre eut été transféré à Thann en 1441.

    Totalement dépeuplé par les guerres du XVIIe siècle, Saint-Amarin s'industrialisa au XIXe siècle grâce à d'anciennes mines d'argent, cuivre, plomb, cobalt, zinc.

    Intégrée à l'Empire allemand après la guerre de 1870, Saint-Amarin fera partie des rares communes alsaciennes libérées par l'armée française en , mais reperdue, peu après, lors de la contre offensive allemande.

    La commune a été décorée le de la croix de guerre 1914-1918[15].

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2014

    HĂ´tel de ville de Saint-Amarin.

    En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi[16] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 908 000 â‚¬, soit 792 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 571 000 â‚¬, soit 652 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 308 000 â‚¬, soit 128 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 296 000 â‚¬, soit 123 â‚¬ par habitant.
    • endettement : 981 000 â‚¬, soit 407 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 9,05 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 12,66 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 75,86 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 mars 1977 Adolphe Kern SE Chef de service, maire honoraire
    mars 1977 mars 1983 André Biehler SE Professeur d'allemand
    mars 1983 juin 1995 Germain Klingelschmidt[17]
    (1925-2020)
    SE Ancien secrétaire de mairie, 1er adjoint (1977 → 1983)
    Maire honoraire (2001)
    juin 1995 mars 2001 Jean-Paul Horny SE
    mars 2001 En cours
    (au 26 mai 2020)
    Charles Wehrlen [18]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026
    DVD Cadre retraité
    1er vice-président de la CC de la Vallée de Saint-Amarin[19]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

    En 2020, la commune comptait 2 217 habitants[Note 3], en diminution de 4,03 % par rapport Ă  2014 (Haut-Rhin : +1,01 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 6721 3981 3801 6521 9951 8941 8911 9152 166
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    2 2312 2962 3142 2432 0252 1492 1452 1792 196
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2982 2672 2032 0712 1042 0822 0011 8481 996
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 0442 0132 0352 3052 4002 4402 4862 3532 278
    2020 - - - - - - - -
    2 217--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Collège public d'enseignement secondaire Robert Schuman.

    Il compte plus de 600 élèves en 2013.

    Économie

    Entreprises et commerces

    • Usine DMC Concord (groupe Bernard Krief), anciennement SAIC Velcorex (textile)[24] - [25].
    • Usine Garnier Ponsonnet Vuillard, anciennement les « Enveloppes Vuillard Â» (EVA) (papier Ă  lettres)[26].
    • Restaurants et Fermes Auberges de la vallĂ©e de Saint Amarin :

    Culture locale et patrimoine

    Saint-Amarin en 1917
    Etang du Firmenweiher

    Lieux et monuments

    • Aspect actuel de l'ancien château du Friedberg
      L'hôtel de ville XVIIIe siècle[29].
    • L'Ă©glise Saint-Projet-Saint-Amarin[30],
      • son orgue de Martin Rinckenbach de 1897[31] - [32],
      • et son presbytère[33].
    • Cimetière[34] et monuments commĂ©moratifs[35] - [36].
    • Château fort dit Château de Friedberg[37] - [38].
    • Voie romaine (vestiges)[39].
    • Étang du Firmenweiher creusĂ© au dĂ©but des annĂ©es 1970[40].
    • MusĂ©e Serret[41].
    • L'Ă©glise Saint-Projet et Saint-Amarin

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Blason de Saint-Amarin

    Les armes de Saint-Amarin se blasonnent ainsi :
    « Coupé de gueules et d'azur, un croissant d'argent brochant sur sa partition. »[42]

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Altitudes minimale et maximale estimées d'après « Carte IGN autour de Saint-Amarin », sur www.geoportail.fr (consulté le ).
    2. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
    3. Auberge du mehrbächel
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Saint-Amarin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur insee.fr (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. « fortification d'agglomération », notice no IA68003183, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    15. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
    16. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur Internet Archive).
    17. « L'ancien maire de Saint-Amarin, Germain Klingelschmidt, est décédé », Dernières Nouvelles d'Alsace,‎ (lire en ligne)
    18. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    19. « Saint-Amarin : Charles Wehrlen élu maire », L'Alsace,‎ (lire en ligne).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    24. DMC Tissus repris par Bernard Krief Consulting et un groupe pakistanais
    25. Le spécialiste du velours alsacien SAIC Velcorex repart de l'avant
    26. L'histoire de GPV France
    27. HĂ´tel Au Cheval Blanc
    28. Auberge du Meerbäechel
    29. « hôtel de ville », notice no IA68003181, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « église paroissiale Saint-Projet, Saint-Amarin », notice no IA68003179, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Notice no IM68006399, base Palissy, ministère français de la Culture orgue (grand orgue)
    32. Inventaire de l'orgue
    33. « presbytère », notice no IA68003185, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « cimetière », notice no IA68003180, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Monument aux Morts, Stèle commémorative du 152e R.I., Carré militaire 1914-1918 cimetière communal, Stèle commémorative entrée du musée Serret
    36. À la découverte des lieux de mémoire
    37. « Château fort dit Château de Friedberg », notice no IA68003184, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Le château de Saint-Amarin : Une citadelle nommée "Friedburg" »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
    39. La Voie Romaine de Malmerspach
    40. Sentier découverte du Hirschenbach
    41. Musée Serret & de la Vallée de Saint-Amarin
    42. Archives DĂ©partementales du Haut-Rhin
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