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Rue d'Assas

La rue d’Assas est une voie située dans le quartier de l'Odéon et le quartier Notre-Dame-des-Champs du 6e arrondissement de Paris.

6e arrt
Rue d’Assas
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Vue de la rue.
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Situation
Arrondissement 6e
Quartier Notre-Dame-des-Champs
Odéon
DĂ©but 25, rue du Cherche-Midi
Fin 12, avenue de l'Observatoire
Morphologie
Longueur 1 190 m
Largeur 12 m
Historique
DĂ©nomination Arr. du 2 avril 1868
Ancien nom Rue de l'Ouest
rue du Couchant
GĂ©ocodification
Ville de Paris 0466
DGI 499
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue d’Assas
GĂ©olocalisation sur la carte : 6e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 6e arrondissement de Paris)
Rue d’Assas
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Situation et accès

Ce site est desservi par les stations de métro Sèvres - Babylone, Rennes et Notre-Dame-des-Champs, ainsi que par le (RER) (B) à la gare de Port-Royal, station de RER.

À son extrémité nord se trouve la place Alphonse-Deville et à son extrémité sud la place Camille-Jullian.

Origine du nom

Elle porte le nom du chevalier Louis d'Assas (1733-1760), capitaine du régiment d'Auvergne sous Louis XV, connu par sa mort héroïque à la bataille de Kloster Kampen en Westphalie le .

Historique

Ouverte en 1798 entre les rues du Cherche-Midi et de Vaugirard, sur le terrain du couvent des Chartreux de Paris, elle prend en 1803 le nom de « rue d'Assas ».

Par arrêté du , elle est réunie à la rue de l'Ouest, ouverte en 1803, qui allait de la rue de Vaugirard à l'avenue de l'Observatoire.

De nouveau numéros sont par conséquent attribués aux immeubles de la rue de l'Ouest qui appartiennent désormais à la rue d'Assas (voir no 90). L'actuelle numérotation a été ratifiée par arrêté du [1].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

De la rue du Cherche-Midi Ă  la rue de Vaugirard

  • No 1 : Rosa Bonheur (1822-1899), artiste peintre et sculptrice, quittant – après son succès au Salon de 1854 – l'ancienne rue de l'Ouest (d'Assas depuis 1868), vient s'installer ici dans un vaste atelier sur cour qu'elle occupe encore en 1864[2].
  • No 4 : restaurant gastronomique[3] ouvert en 1999 par HĂ©lène Darroze (nĂ©e en 1967).
  • No 5 : ancien hĂ´tel Dubosc de CauquerĂ©aumont.
  • Nos 5 et 7 : entre ces deux numĂ©ros dĂ©bouche la rue CoĂ«tlogon, crĂ©Ă©e en vertu d'un dĂ©cret impĂ©rial du par Ă©largissement Ă  12 m et absorption de l'ancienne impasse Assas[4] oĂą vit en 1860, au no 2, l'historien Dominique-François-Louis Roget (1795-1872), baron de Belloguet[5].
  • Nos 7, 9 et 9 bis : immeubles mixtes de cinq niveaux sur rez-de-chaussĂ©e et combles, chacun signĂ© et datĂ© sur la façade de manière identique A. CALIGNY / ARCHTE 1883. Anatole Caligny[6] (1851-après 1888) a Ă©galement signĂ© de la mĂŞme façon l'immeuble 9, rue CoĂ«tlogon.
  • No 10 : maison d'habitation construite par l'architecte Victor Ruprich-Robert (1820-1887) pour lui-mĂŞme et sa famille. Son fils Gabriel Ruprich-Robert (1859-1953) y naĂ®t en 1859[7].
  • No 11 : immeuble d'habitation (1880[8]) dans lequel le compositeur RenĂ© de CastĂ©ra (1873-1955) et son frère aĂ®nĂ©, le peintre Carlos de CastĂ©ra occupent dans les annĂ©es 1900 et 1910 un appartement sur cour[9]. Ils prĂŞtent occasionnellement leur logement Ă  leur ami DĂ©odat de SĂ©verac (1872-1921)[10].
  • No 14 : hĂ´tel particulier construit en 1858 pour l'homme politique Émile Keller (1828-1909)[11].
  • Nos 19 et 21 (et no 74 rue de Vaugirard) : l'Institut catholique de Paris (ICP), fondĂ© en 1875 occupe une partie de l'ancien enclos et des bâtiments du couvent des Carmes dĂ©chaussĂ©s dont la communautĂ© est supprimĂ©e en 1790. L'entrĂ©e principale du campus est transfĂ©rĂ©e au 74, rue de Vaugirard en 2019, après la restauration de la cour d'honneur[12].
Plaque au no 20.
  • No 20 : une plaque apposĂ©e sur la façade rappelle que « Sur l'emplacement de cette maison et des immeubles voisins s'Ă©tendait la propriĂ©tĂ© occupĂ©e en partie par l'atelier du sculpteur David d'Angers (1788-1856) et par l'hĂ´tel oĂą il mourut, Ă  l'âge de 67 ans. »
  • No 22 : Jean Genet (1910-1986) dans Le Journal du voleur Ă©crit ĂŞtre nĂ© Ă  cette adresse : « Je suis nĂ© Ă  Paris le . Pupille de l'Assistance publique, il me fut impossible de connaĂ®tre autre chose de mon Ă©tat civil. Quand j'eus vingt et un ans, j'obtins un acte de naissance. Ma mère s'appelait Gabrielle Genet. Mon père reste inconnu. J'Ă©tais venu au monde au 22 de la rue d'Assas. — Je saurai donc quelques renseignements sur mon origine, me dis-je, et je me rendis rue d'Assas. Le 22 Ă©tait occupĂ© par la MaternitĂ©. On refusa de me renseigner ».
  • No 26 : annexe de l'Institut catholique de Paris[13] (voir nos 19 et 21).
  • No 28 : une inscription gravĂ©e sur la façade près de l'angle de la rue de Vaugirard indique « Ici s'Ă©levait un hĂ´tel oĂą mourut le Jean Bernard LĂ©on Foucault, membre de l'Institut, nĂ© Ă  Paris le . C'est dans cet hĂ´tel qu'il rĂ©alisa en 1851 la cĂ©lèbre expĂ©rience qui dĂ©montre la rotation de la terre par l'observation du pendule » ;
    — au rez-de-chaussé, l'agencement de l'ancien siège de l'hebdomadaire La Semaine à Paris[14], réalisé en 1929-1930 par l'architecte Robert Mallet-Stevens a disparu, mais la devanture d'origine, bien qu'elle ait perdu ses vitres peintes, est encore reconnaissable (en 2020) ;
    — de 1936 à 1972, l'école d'Assas (initialement CEPM), établissement de formation professionnelle occupait le premier étage ;
    — le chanteur Joe Dassin (1938-1980) y demeurait en 1968.
  • Les rues d'Assas et de l'Ouest dans la première moitiĂ© du XIXe siècle, Petit atlas pittoresque.
    Les rues d'Assas et de l'Ouest dans la première moitié du XIXe siècle, Petit atlas pittoresque.
  • Nos 19 et 21, Institut catholique de Paris (ICP), façade ouest.
    Nos 19 et 21, Institut catholique de Paris (ICP), façade ouest.
  • Ancien bâtiment conventuel des Carmes dĂ©chaussĂ©s, devenu une entrĂ©e au campus de l'ICP, 74 rue de Vaugirard.
    Ancien bâtiment conventuel des Carmes déchaussés, devenu une entrée au campus de l'ICP, 74 rue de Vaugirard.
  • Inscription gravĂ©e au no 28.
    Inscription gravée au no 28.

De la rue de Vaugirard Ă  l'avenue de l'Observatoire

  • No ?? (anciennement 38, rue de l'Ouest, et 25, rue Notre-Dame-des-Champs, selon le numĂ©rotage en vigueur en 1837[15]) : emplacement non identifiĂ© de l'ancienne maison du peintre Achille DevĂ©ria (1800-1857), accessible par les deux rues. MariĂ© en 1829, ses six enfants y sont nĂ©s. Son atelier et son salon Ă©taient frĂ©quentĂ©s par les plus illustres personnalitĂ©s du temps comme Victor Hugo ou Alfred de Musset, lequel y dĂ©clama ses premiers vers.
  • Nos 36, 38 et 40 : institut Arthur Vernes, prĂ©sent dans ces immeubles depuis 1923. FondĂ© par le mĂ©decin Arthur Vernes (1879-1976) avec le soutien financier de Frank Jay Gould (1877-1956) sous le nom d'« Institut Prophylactique » (1916-1981) dans un hĂ´tel particulier, 60, boulevard Arago (1916-1923)[16] pour lutter contre les maladies vĂ©nĂ©riennes, il porte le nom de son fondateur depuis 1981.
  • No 44 : Émile LittrĂ© (1801-1881) y est mort[17] Ă  l'age de 80 ans.
  • Nos 57 et 57 bis : cours latĂ©rales du lycĂ©e Montaigne. L'entrĂ©e du bâtiment principal (1882-1885, Charles Le CĹ“ur architecte) se trouve au 17, rue Auguste-Comte, face au verger du jardin du Luxembourg.
  • No 58 bis : plaque en hommage au poète Louis Mandin (1872-1943) et Ă  sa femme Marie-Louise Mandin (†1945), arrĂŞtĂ©s par les Allemands en 1941, morts en dĂ©portation.
  • Nos 60 et 62 : ancienne pension Orfila oĂą logèrent
    — de 1895 à 1896, le physicien polonais Marian Smoluchowski (1872-1917) auquel une plaque rend hommage ;
    — en 1896, l'écrivain suédois August Strindberg (1849-1912) auquel une plaque rend hommage.
  • No 63 : jardin botanique de la facultĂ© des sciences pharmaceutiques et biologiques de l'universitĂ© Paris V (voir 4, avenue de l'Observatoire).
  • No 64 (prĂ©cĂ©demment 32, rue de l'Ouest) : parcelle crĂ©Ă©e sur une partie de l'enclos des Chartreux louĂ©e Ă  des Ă©tablissements scolaires depuis le milieu du XIXe siècle
    — le cours Duchemin ouvert 32, rue de l'Ouest[18] vers 1850,
    — le Cours Valton, établissement secondaire libre pour jeunes filles qui reprit en 1899 le pensionnat Duchemin et fusionna avec l'Institut Sainte-Geneviève en 1966 avant d'en être absorbé[19],
    — l'institut Sainte-Geneviève, fondé en 1913 au 33, rue d'Assas, pour former les institutrices des écoles primaires du diocèse de Paris, et placé sous la tutelle des Filles du Cœur Marie. Il emménagea ici dans les années 1970 et réunit aujourd'hui école, collège et lycée privés[20].
  • No 68 (prĂ©cĂ©demment 36, rue de l'Ouest) : ancienne voie en cul de sac, rĂ©pertoriĂ©e et dĂ©nommĂ©e « impasse Vavin[21]» (supprimĂ©e en 1959), qui Ă©tait autrefois bordĂ©e d'ateliers. PropriĂ©tĂ© privĂ©e.
    — Le sculpteur Alexandre Falguière (1831-1900) mourut à l'âge de 68 ans en ce lieu[22], où il avait vécu et travaillé pendant plus de trente ans[23] - [24] ;
    — Raymond Barthélemy (1833-1902), grand prix de Rome (sculpture), et pensionnaire à la villa Médicis y loge à son retour d'Italie, en 1866[24] ;
    — le peintre Diogène Maillart (1840-1926) y eut un atelier de 1877[25] à 1878[26] ;
    — la sculptrice Chana Orloff (1888-1968) vecut et travailla ici[27] jusqu'en 1926, année où elle emménagea dans sa nouvelle maison-atelier de la villa Seurat.
    — la médecin Lasthénie Thuillier-Landry[28] y habita.
    De nos jours collège et lycée privé Saint-Sulpice.
  • No 74 : immeuble d'habitation sur rue signĂ© et datĂ© au-dessus de la porte Ă  gauche H. RAGACHE ARCHITECTE 1907, et Ă  droite E. CLEMENT CONSTRUCTEUR.
    — domicile de Jacques-Alain Miller (né en 1944), psychanalyste lacanien, directeur du département de psychanalyse de l'université de Paris VIII.
    — emplacement de l'ancienne maison du peintre-verrier Claudius Lavergne[29] (1815-1887) où il mourut à l'age de 72 ans[30]
  • No 76 : Jules Michelet (1798-1874) y demeura les dernières annĂ©es de sa vie[17]. L'immeuble est situĂ© au croisement avec la rue Vavin. Une plaque lui rend hommage[31]. Non loin de lĂ , son nom a Ă©tĂ© attribuĂ© en 1877 Ă  la rue Michelet[32] pour honorer sa mĂ©moire. Alfred Nicolas Rambaud y est mort[33].
  • No 82 : immeuble de logements contemporain occupant l'emplacement de la dernière demeure du sculpteur Auguste Bartholdi (1834-1904), un « magnifique hĂ´tel particulier » acquis en octobre 1893 grâce Ă  une « large indemnitĂ© » obtenue en dĂ©dommagement de l'expropriation de sa propriĂ©tĂ© du 40, rue Vavin[34]. Bartholdi y meurt moins d'une annĂ©e après y avoir emmĂ©nagĂ©[35]. Il est inhumĂ© au cimetière du Montparnasse (28e division)[36].
  • Nos 84 et 86 : entre ces numĂ©ros dĂ©bute l'avenue Vavin qui se termine en impasse face Ă  l'Ă©tablissement scolaire Notre-Dame de Sion.
  • No 84 : le sculpteur Jean Gautherin (1840-1890) y demeurait en 1879. Les artistes-peintres et cofondatrices de l'AcadĂ©mie de la Grande Chaumière, Martha Stettler (1870-1945) et Alice Dannenberg (1861-1948), y habitèrent entre 1906 et 1930.
  • No 85 : l’historien AndrĂ© Aymard (1900-1964) habita Ă  cette adresse[37].
  • No 86 : la cantatrice et artiste peintre grecque SpĂ©ranza Calo-SĂ©ailles (1885-1949) y possĂ©dait une rĂ©sidence de famille dans les annĂ©es 1930.
  • No 87 : la compositrice Germaine Tailleferre (1892-1983) habita Ă  cette adresse les dernières annĂ©es de sa vie ; une plaque lui rend hommage.
  • No 89 : hĂ´pital Tarnier.
  • No 90 (prĂ©cedemment 64, rue de l'Ouest) :
    immeuble contemporain (1968[38]). Dans la cour de la maison qui lui a fait place s'alignaient des ateliers d'artistes.
    — En 1866, Lucien Crépon (1828-1887), artiste-peintre français qui s'était marié en décembre de l'année précédente (alors domicilié au 72, rue de l'Ouest) à la mairie du 6e arrondissement[39], s'installa ici avec sa femme dans un atelier malsain situé au rez-de-chaussée du 64, rue de l'Ouest. Il avait autrefois séjourné à Philadelphie où il s'était lié d'amitié avec le jeune Thomas Eakins à la Pennsylvania Academy of the Fine Arts[40] ;
    — Thomas Eakins (1844-1916), arrivé à Paris au début du mois d' pour intégrer l'école des Beaux-Arts de Paris trouva en Lucien Crépon un ami fidèle qui l'aida à trouver un logement (46, rue de Vaugirard), puis à obtenir à la fin du mois de un atelier face au sien, au 64, rue de l'Ouest qui était alors en passe de devenir le 90, rue d'Assas[40].
  • No 92 : facultĂ© de droit de l'universitĂ© Paris II PanthĂ©on-Assas.
Entrée du musée Zadkine.
  • No 100 bis : musĂ©e Zadkine, amĂ©nagĂ© dans la maison atelier que le sculpteur français d'origine russe Ossip Zadkine (1890-1967) occupa de 1928 Ă  1967.
  • No 108 (48, rue de l'Ouest en 1844)
  • Nos 108 et 110 (80, rue de l'Ouest en 1867) : embranchement de la rue Joseph-Bara ouverte en 1800 sous la dĂ©nomination « passage Laurette Â». RenommĂ©e « rue Carnot Â» en 1848[41], puis « rue Bara Â» en 1880, elle porte son nom actuel depuis 1907.
  • No 110 (50, rue de l'Ouest en 1844) : maison faisant angle avec la rue Joseph-Bara, construite en 1820[42].
  • No 112 : ancien atelier du peintre et graveur LĂ©opold LĂ©vy (1882-1966), que cet artiste associĂ© Ă  l'École de Paris partageait avec le peintre AndrĂ© Derain (1880-1954) avant de le louer Ă  ce dernier Ă  partir de 1936 (ou 1939) et jusqu'en 1946. LĂ©vy, appelĂ© en Turquie pour diriger Ă  partir de 1937 Ă  l'AcadĂ©mie des beaux-arts d'Istanbul la section peinture et rĂ©former l'enseignement artistique[43], retrouva son atelier en 1949 Ă  son retour Ă  Paris, mais dut le laisser — avec son contenu — Ă  sa seconde Ă©pouse lors de leur sĂ©paration (1952)[44].
  • No 116 (et 1, rue Le Verrier) : immeuble d'habitation. Le compositeur DĂ©odat de SĂ©verac (1872-1921) y emmĂ©nagea en . Lorsque, en novembre de la mĂŞme annĂ©e, le pianiste et compositeur Joseph Canteloube de Malaret (1879-1957) s’installa Ă  Paris, il vint habiter Ă  proximitĂ© au 23, rue Le Verrier[45]. Ce fut le dĂ©but de la grande amitiĂ© qui lia les deux hommes[46].
  • No 120 : domicile de l'Ă©crivain Pierre Benoit (1886-1962) de 1924 Ă  1947. Une plaque apposĂ©e sur la façade lui rend hommage. Elle fut inaugurĂ©e en 1982 en prĂ©sence de l'historien RenĂ© de La Croix de Castries[47] (1908-1986), dĂ©lĂ©guĂ© de l'AcadĂ©mie française, et de l'Ă©crivain Jacques Nels (1901-1994)[48].
  • No 128 : École alsacienne, entrĂ©e des primaires.
  • Le jardin du Luxembourg dans sa partie occidentale que la rue d'Assas longe entre la rue Guynemer et la rue Auguste-Comte.
  • Ă€ un numĂ©ro inconnu ont vĂ©cu Louise Bryant et William C. Bullitt[49].
  • Plaque au no 55.
    Plaque au no 55.
  • Plaque au no 58 bis.
    Plaque au no 58 bis.
  • Plaque au no 60.
    Plaque au no 60.
  • Plaque au no 62.
    Plaque au no 62.
  • Plaque au no 87.
    Plaque au no 87.
  • Plaque au no 120.
    Plaque au no 120.

Notes et références

  1. Nomenclature des rues de la ville de Paris.
  2. Annuaire Didot-Bottin, 1864.
  3. Deux étoiles au Guide Michelin en 2003, la deuxième perdue en 2010.
  4. Rue Coëtlogon dans la nomenclature des voies de Paris (en ligne) sur le site Paris.fr de la Marie de Paris.
  5. Lettre de Roget, baron de Belloguet du 15 juillet 1860 adressée à et publiée par la Revue d'Aquitaine cinquième année, t. V, Condom, 1861, p. 146 (en ligne).
  6. Marie-Laure Crosnier Leconte, Caligny, Anatole (8 janvier 1851-après 1888), notice biographique, Institut national d'histoire de l'art, 2009 (en ligne sur le site agorha.inha.fr).
  7. Alexandre Thommes, Ruprich-Robert, Gabriel, notice bibliographique du Comité des travaux historiques et scientifiques (en ligne).
  8. 11 rue d'Assas, cadastre et périodes de construction (en ligne) sur le site bercail.com.
  9. Anne de Beaupuy, Claude Gay, Damien Top, René de Castéra (1873-1955), un compositeur landais au cœur de la musique, Séguier, 2004, p. 85.
  10. DĂ©odat de SĂ©verac, Pierre Guillot, DĂ©odat de SĂ©verac, la musique et les lettres, Ă©d. Mardaga, p. 296.
  11. Gustave Gautherot, Emile Keller (1828-1909) : un demi-siècle de défense nationale et religieuse, Paris, 1922, p. 38.
  12. Claire Lesegretain, L'Institut catholique de Paris fait peau neuve, La Croix, 10 septembre 2017 (en ligne).
  13. Plaque apposée à côté de la façade.
  14. Le no 371 du 5 au 12 juillet 1929 de l'hebdomadaire La Semaine à Paris mentionne en p. 35 le transfert au 28, rue d'Assas de ses services (rédaction, administration et publicité) gallica.bnf.fr.
  15. Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture ... des artistes vivans exposés au Musée Royal le , Paris, Vinchon, 1837, p. 63 (en ligne).
  16. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, t. 1, Éditions de Minuit, 1963, pp. 113-114.
  17. Félix de Rochegude et Jean-Paul Clébert, Promenades dans les rues de Paris. La rive gauche et la Seine, Club des libraires de France, 1958, p. 257.
  18. Almanach impérial, édition 1853, p. 1025. (en ligne).
  19. Institut Sainte-Geneviève, Etude historique et architecturale, juillet 2009 (en ligne).
  20. Historique de l'institut Sainte-Geneviève (en ligne sur le site officiel isg6.paris).
  21. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, t. 2, Éditions de Minuit, 1963, p. 610.
  22. Archives de Paris 6e, acte de décès no 885, année 1900 (p. 2/26).
  23. Léonce Bénédite, Gustave Larroumet (préf.), Alexandre Falguière, Librairie de l’art ancien et moderne, Paris, 1902, p. 1 (en ligne).
  24. Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture… des artistes vivants… exposés au Palais des Champs-Elysées le , Paris, Mourgues Frères, successeurs de Vinchon, 1866, p. 452 (en ligne).
  25. Société des artistes français, Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture… des artistes vivants, exposés au palais des Champs-Elysées, le 1er mai 1877, Charles de Mourgues frères, Paris, 1877, p. 178 ().
  26. Exposition Universelle de Paris, en 1878, Catalogue général de l’Exposition spéciale de la Ville de Paris et du Département de la Seine, Paris, A. Chaix et Cie, 1878, p. 22 (en ligne).
  27. Thérèse Bonney (attribué), Chana Orloff photographiée dans son atelier, 68, rue d'Assas (en ligne sur le portail des bibliothèques municipales spécialisées de la Ville de Paris).
  28. « membres », sur www.biusante.parisdescartes.fr, Association internationale des femmes médecins, (consulté le )
  29. Revue d'Archéologie moderne et d'Archéologie générale No 7, Presses Paris Sorbonne, p. 86 (en ligne).
  30. Inventaire après décès de Claude dit Claudius Lavergne
  31. Yann Potin, « Forum », L'Histoire n°476, octobre 2020, p. 4.
  32. « Rue Michelet » dans la nomenclature des rues de Paris sur le site de la mairie de Paris v2asp.paris.
  33. Société de l'histoire de la Révolution française, Compte rendu de l'assemblée générale du 2 mars 1890, Société de l'histoire de la Révolution Française, (lire en ligne)
  34. Après y avoir vécu et travaillé durant 37 ans, Bartholdi est contraint, à la fin de sa vie, de quitter sa maison de la rue Vavin. Elle est détruite en vue du prolongement du boulevard Raspail (voir Robert Belot, Bartholdi : L'homme qui inventa la liberté, Ellipses, 2019, pp. 6 et 534.
  35. Archives de Paris 6e, acte de décès no 1757, année 1904 (page 30/31)
  36. Registre journalier d'inhumation de Paris Montparnasse de 1904, en date du 7 octobre (vue 11/20)
  37. « Liste générale des membres de l'Association », Revue des Études grecques, 1948, 61-286-288, pp. 47-63.
  38. 90 rue d'Assas, cadastre et périodes de construction sur le site bercail.com.
  39. L'Indicateur des mariages: relevé des mariages affichés dans les mairies, Paris, 17 décembre 1865 (en ligne)
  40. Thomas Eakins, William Innes Homer (ed.), The Paris Letters of Thomas Eakins, Princeton, Princeton University Press, 2009 (en ligne).
  41. Frédéric Lock, Dictionnaire topographique et historique de l'ancien Paris (avant l'annexion), Paris, Hachette, 1867, p. 72 (en ligne).
  42. 110 rue d'Assas sur le site bercail.com.
  43. Xavier du Crest, De Paris à Istanbul, 1851-1949 : un siècle de relations artistiques entre la France et la Turquie, p. 186ff, (partiellement en ligne).
  44. Repères biographiques, Association pour la Défense de l’œuvre de Léopold-Lévy (adoll) sur le site leopoldlevy-peintre.com.
  45. Françoise Cougniaud-Raginel, Joseph Caneloube : chantre de la terre, société de musicologie de Languedoc, 1988, p. 24.
  46. Déodat de Séverac, Pierre Guillot, Écrits sur la musique, Éditions Mardaga, 1993 (en ligne), p. 30.
  47. René de La Croix de Castries, Discours pour l’inauguration d’une plaque apposée sur la demeure du 120 rue d'Assas à Paris VIe où Pierre Benoît vécut de 1924 à 1947, à Paris, le 19 octobre 1982 sur le site academie-francaise.fr.
  48. Société des gens de lettres, Ephéméride de la Société des gens de lettres de France de 1888 à 1987 : extraits des procès-verbaux, La Société, 1988, p. 543.
  49. Patrick Weil, Le Président est-il devenu fou? : le diplomate, le psychanalyste et le chef de l'État, (ISBN 978-2-246-85811-9 et 2-246-85811-9, OCLC 1333208535, lire en ligne).

Annexes

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