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Rouvray-Saint-Denis

Rouvray-Saint-Denis est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Rouvray-Saint-Denis
Rouvray-Saint-Denis
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Beauce
Maire
Mandat
Pascal Reau
2020-2026
Code postal 28310
Code commune 28319
Démographie
Population
municipale
343 hab. (2020 en diminution de 24,12 % par rapport à 2014)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 16′ 44″ nord, 1° 56′ 43″ est
Altitude Min. 129 m
Max. 147 m
Superficie 19,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Villages Vovéens
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rouvray-Saint-Denis
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Rouvray-Saint-Denis
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Rouvray-Saint-Denis
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Rouvray-Saint-Denis

    Géographie

    Situation

    La commune est située à l'est du département d'Eure-et-Loir, à la limite du département du Loiret, qui appartient également à la région Centre-Val de Loire, et du département de l'Essonne, région Île-de-France, sur la ligne de partage des eaux entre les bassins de la Seine et de la Loire.

    Le territoire de la commune est traversé à l'est par l'ancienne route nationale 20 (aujourd'hui D 2020) et la ligne de chemin de fer Paris - Orléans.

    • Situation géographique
    • Rouvray-Saint-Denis dans son arrondissement.
      Rouvray-Saint-Denis dans son arrondissement.
    • Carte de la commune de Rouvray-Saint-Denis.
      Carte de la commune de Rouvray-Saint-Denis.

    Communes, départements et région limitrophes

    Communes limitrophes de Rouvray-Saint-Denis
    Mérouville Intréville Angerville (Essonne, Île-de-France)
    Neuvy-en-Beauce Rouvray-Saint-Denis Andonville (Loiret, Centre-Val de Loire)
    Oinville-Saint-Liphard Barmainville Boisseaux (Loiret, Centre-Val de Loire)

    Lieux-dits et écarts

    • Rouvray-Saint-Denis : bourg principal qui a donné son nom à la commune, situé au centre de celle-ci ;
    • Arbouville : hameau situé à l'est de la commune ;
    • Cérès : ferme isolée construite en 1944, située au nord-est de la commune et à 50 mètres au sud de l'ancienne ferme de Gondainville disparue au XIXe siècle ;
    • Le Chemin des Postes : ferme isolée construite en 1970, située à l'est et limitrophe de la commune d'Andonville.
    • Le Moulin : ferme isolée située à l'ouest de la commune ;
    • Villaine : ferme isolée située à l'ouest de la commune ;
    • Le Luxembourg : ferme isolée située au nord-est de la commune ;
    • Les Fontenelles : ferme isolée a l'ouest de la commune sur la route de Mérouville.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 634 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mereville », sur la commune du Mérévillois, mise en service en 1979[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 639,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Orléans - Bricy », sur la commune de Bricy, dans le département du Loiret, mise en service en 1937 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Rouvray-Saint-Denis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (97,1 %), zones urbanisées (2,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Rouvray-Saint-Denis est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Voise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rouvray-Saint-Denis.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[23]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 0,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 196 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en en aléa moyen ou fort, soit 0 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ruberidum en 862[27] ; Rubridum vers 1080[28] ; Rivereium vers 1250[29] ; Rouvrayum Sancti Dionysii en 1626[29] ; Rouvray les Chaumes en 1793[29].

    De *robur-etum « ensemble de chênes rouvres »[27].

    Saint-Denis est un hagiotoponyme de plusieurs localités, donné d'après saint Denis (Denis de Paris), premier évêque de Paris.

    Histoire

    Moyen Âge

    Journée des Harengs (Enluminure, XVe, BnF)

    Le eut lieu la bataille militaire dite « Journée des Harengs » qui vit la défaite des Français alliés aux Écossais face aux Anglais qui assiégeaient la ville d'Orléans.

    Époque moderne

    Le château d'Arbouville est reconstruit en 1715. Il sera rasé en 1871.

    XXe siècle

    La commune fut la plus sinistrée du département d'Eure-et-Loir, lors des combats de la Campagne de France qui eurent lieu le .

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1912 1929 Léon Sevestre SE agriculteur
    1929 André Legrand SE agriculteur
    mai 1953 André Pomereau SE employé
    mai 1953 mars 1983 René Pichot SE agriculteur
    mars 1983 mars 1989 Henri Sevestre SE agriculteur
    mars 1989 mars 2001 Benoît Pichot SE agriculteur
    mars 2001 mars 2014 Jean-Jacques Germain SE ingénieur
    mars 2014 juillet 2020 Victor Pichot[31] SE agriculteur
    juillet 2020 En cours Pascal Reau

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2020, la commune comptait 343 habitants[Note 8], en diminution de 24,12 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    616664656675693682663701685
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    719688721640655638597601520
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    527505480425431447421415433
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    385358308309326360406413465
    2015 2020 - - - - - - -
    441343-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Économie

    Agriculture

    Céréales, betteraves, pommes de terre, colza.

    Industrie

    • La société Raigi, spécialiste des matières plastiques, à Arbouville[36].

    Parc du Bois Cheneau

    Dans la commune et les communes voisines de Barmainville et Rouvray-Saint-Denis, la société Futuren met en service en cinq turbines Enercon E82 d'une puissance de MW chacune, cumulant une puissance totale de 10 MW[37].

    Parc du Grand Camp

    Implanté également sur les communes voisines de Barmainville, Neuvy-en-Beauce et Oinville-Saint-Liphard, le parc éolien du Grand Camp, mis en service en par Boralex, réunit 5 turbines Enercon E82 d'une puissance de MW chacune, totalisant une puissance de 10 MW[37].

    Culture locale et patrimoine

    Église paroissiale Saint-Denis

    Datée des XIIe et XIIIe siècles, elle réunit les mobiliers suivants :

    • La Descente de Croix, XVIe siècle. Haut-relief. Bois taillé. Hauteur : 89 cm. Largeur : 47 cm. La Descente de Croix est classée au titre des monuments historiques le [38].
    • 1re cloche (1741), bronze. Cloche refondue en 1963. L'ancienne cloche, bien qu'endommagée par les bombardements de 1940, est classée au titre des monuments historiques le [39].
    • 2e cloche (1871), bronze. Elle remplace une cloche précédente remontant à 1571 qui avait déjà été refondue en 1789, puis cassée à la Révolution en 1793.
    • Ensemble de trois retables en bois sculpté et peint (XVIIIe siècle).
    • Ensemble de quatre tableaux : Martyre de Saint Denis, Résurrection, Nativité, Assomption. Un 5e tableau représentant l'Annonciation fut détruit en 1940 par les bombardements.
    • Baptistère, situé du côté nord au niveau de la nef (1943).
    • Église Saint-Denis
    • Façade ouest.
      Façade ouest.
    • Clocher.
      Clocher.
    • Chevet.
      Chevet.

    Cimetière et monument aux morts

    Monument aux morts.
    Monument aux morts.

    L'ancien cimetière était situé juste derrière le chevet de l'église (1851). Aujourd'hui, s'y trouve le monument aux morts.

    Chapelle Notre-Dame de Lorette

    Chapelle Notre-Dame de Lorette d'Arbouville.
    Chapelle Notre-Dame de Lorette d'Arbouville.

    À Arbouville se trouve l'ancienne chapelle seigneuriale (XVIe siècle).

    • Souterrain annulaire, dont l'accès se fait par un caveau funéraire.
    • Quatre pierres tombales, dressées dans la nef contre le mur sud (XVIe et XVIIIe siècles).

    Vestiges des communs de l'ancien château d'Arbouville

    Maison du garde, écuries et traces des anciens fossés, toujours visibles rue Saint-Denis (XVIIIe siècle).

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Mereville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Rouvray-Saint-Denis et Le Mérévillois », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Mereville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Rouvray-Saint-Denis et Bricy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Rouvray-Saint-Denis », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Rouvray-Saint-Denis », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 339.
    28. Dans une charte de l’abbaye de Saint-Denis-en-France.
    29. René Merlet, Inventaire sommaire des archives départementales antérieures à 1790, Garnier.
    30. Liste des maires depuis 2001 sur la base en ligne mairesgenweb.org Consulté le 10/04/2012.
    31. François Feuilleux, « Amer, le plus jeune maire d'Eure-et-Loir jettera l'éponge à la fin de son mandat », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. « Bienvenue sur le site de la société RAIGI », sur http://www.raigi.com (consulté le ).
    37. « Parcs éoliens en France, zone 28 », sur https://www.thewindpower.net, .
    38. « Haut-relief : la Descente de Croix », notice no PM28000780, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 14/11/2011.
    39. « Cloche de clocher », notice no PM28000506, base Palissy, ministère français de la Culture. Consulté le 14/11/2011.
    40. Histoire et antiquitez de la ville et duché d'Orléans par François Lemaire, 2e éd., 1648, 1er vol., p. 227.
    41. Les antiquitez de la ville et duché d'Estampes par Basile Fleureau, 1683 p. 204 à 207.
    42. Le Tribunal révolutionnaire par Henri Wallon, Plon, 1899, t. II p. 347.
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