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Roure (Alpes-Maritimes)

Roure est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Rourois.

Roure
Roure (Alpes-Maritimes)
Le clocher de l’église Saint-Laurent et le village dominant la vallée de la Tinée.
Blason d’argent au chêne rouvre arraché de sinople, englanté d’or posé sur un mont escarpé de pourpre et devise.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Métropole Nice Côte d'Azur
Maire
Mandat
Jean-Claude Linck
2020-2026
Code postal 06420
Code commune 06111
DĂ©mographie
Gentilé Rourois
Population
municipale
116 hab. (2020 en diminution de 42,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 2,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 05′ 28″ nord, 7° 05′ 20″ est
Altitude Min. 500 m
Max. 2 339 m
Superficie 40,3 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Tourrette-Levens
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Roure
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Roure
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Roure
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Roure

    C'est un village médiéval à l'architecture agro-pastorale.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Le village est situĂ© Ă  1 100 m Ă  l'entrĂ©e de la vallĂ©e de la TinĂ©e, en lisière du Parc national du Mercantour.

    La commune a plusieurs hameaux :

    • hameau de Tiecs,
    • hameau de Rougios
    • hameau de la cerise
    • hameau de Puch
    • hameau de Valabre[1].

    GĂ©ologie et relief

    Entre en 1859 et 1926, de nombreuses mines de cuivre ont été exploitées. Les difficultés d'extraction ont entraîné leur arrêt. On procède encore à des recherches géologiques sur le site de Pitaffe.

    Roure est un site géologiquement intéressant car il se trouve au contact entre le permien et le trias. Sur le territoire de la commune, on trouve :

    Catastrophes naturelles - Sismicité

    Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[2]. Certains hameaux de la commune restent inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le . L'Arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Roure, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au "[3].

    Commune située dans une zone de sismicité moyenne[4].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou Ă  son aval[5] :

    • rivière la TinĂ©e[6],
    • rivière La Vionène[7],
    • 11 ruisseaux de l'ubac, de valabre, de ferroul, de longon, de vionène, de penchiniĂ©ra, du lac noir, de la sagne, de l'arcane, de rougios, de pervoux,
    • vallon de mollières, du moulin,
    • riou blanco.

    Roure dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 250 équivalent-habitants[8].

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[9].

    Voies routières

    La commune est accessible depuis Nice par la RN 202 (route nationale 202) en direction de Digne, au pont de la Mescla, puis la RD 2205, la RD 30 et la RD 130.

    Outre le chef-lieu, la commune contient cinq hameaux : Rougios, perdu dans la montagne, Tiecs, la Cerise, Puch et Valabres, accessible par le GR 5 où il y avait un curé et une école jusqu'en 1904.

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

    Communes limitrophes

    Toponymie

    La première indication du village date de 1067 sous le nom de Rora, mot peut être dérivé du latin robur qui signifie "chêne".

    Le village accueillait et élevait des troupeaux de vaches et de chèvres pour le compte de propriétaires et ceux-ci réglaient leurs affaires sous un grand chêne[11].

    Roure pourrait aussi venir du libyque "Arur" signifiant 'dos' ou 'versant', et qui serait une indication géographique du village. La région d'Azur ayant connu la présence des Libyens, Numides puis Maures pendant des millénaires[12].

    Histoire

    Le fief appartient à la famille de Thorame-Glandèves.

    Le fief est ensuite achetĂ©, vers 1340, par François CaĂŻs, jurisconsulte Ă  Nice. Le fief et son château sont convoitĂ©s par BarnabĂ© Grimaldi de Bueil car ils sont une enclave dans ses terres. Guillaume et BarnabĂ© Grimaldi, fils d'Andaron Grimaldi devenu seigneur de Beuil par son mariage avec Astruge Rostang, demandent alors l'hommage Ă  François CaĂŻs. BarnabĂ© n'ayant pas obtenu cet hommage, il attaque le château, mais est blessĂ© par le fils de François CaĂŻs, Bertrand. Remis de ses blessures, BarnabĂ© Grimaldi rĂ©ussit Ă  prendre le château avec l'aide de sa parentèle, des habitants de Roure. Pour se venger, il tranche le poignet droit de Bertrand CaĂŻs et lui crève les deux yeux avant de le laisser mourir, en 1353[13]. La reine Jeanne condamne BarnabĂ© de Grimaldi et les habitants Ă  payer 2 000 florins d'or. Mais le fief reste aux mains des Grimaldi de Bueil. Les autres parts du fief qui appartenaient Ă  Pierre Balbi, seigneur de Valdeblore, de Marie, de Rimplas, de Saint-Sauveur, ont Ă©tĂ© confisquĂ©es et donnĂ©es Ă  Jean Grimaldi de Bueil, en 1384. Les deux fils de BarnabĂ©, Jean et Louis, ont Ă©tĂ© les acteurs principaux de la dĂ©dition de Nice Ă  la Savoie, en 1388. Auparavant, le village est confisquĂ© en aux Grimaldi pour ĂŞtre donnĂ© Ă  un fidèle de la cause angevine, Pierre Balbi, seigneur de Tende[14].

    Le fief a appartenu aux Grimaldi de Bueil jusqu'à l'exécution d'Annibal Grimaldi, en 1621. Le château est alors détruit et le fief donné à la famille piémontaise Allbrione.

    Depuis toujours, l'isolement du village obligea ses habitants Ă  vivre en autarcie ne descendant de la montagne qu'Ă  pied ou Ă  dos de mulet. La route ne fut crĂ©Ă©e qu'après la Seconde Guerre mondiale, cependant en 1927 les habitants mettent en place un câble de 1 850 m de long porteur de wagonnets en bois et actionnĂ© par un moteur Ă©lectrique[15]. Il fonctionna jusqu'en 1962 permettant d'assurer la descente de la production (lait, fromages et farine) et de remonter les provisions et le courrier. La route d'accès n'est arrivĂ©e Ă  Roure qu'en 1933. Le tronçon menant Ă  la chapelle Saint-SĂ©bastien date de 1968.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Jean-Paul Blanc
    mars 2008 2020 René Clinchard DVG Retraité
    2020 En cours Jean-Claude Linck

    Budget et fiscalité 2019

    Mairie.

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[16] :

    • total des produits de fonctionnement : 346 000 â‚¬, soit 1 715 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 407 000 â‚¬, soit 2 013 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 404 000 â‚¬, soit 1 999 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 286 000 â‚¬, soit 1 415 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 63 000 â‚¬, soit 310 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 8,79 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 24,89 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 45,54 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés en 2017[17].

    Intercommunalité

    Commune membre de la MĂ©tropole Nice CĂ´te d'Azur.

    Urbanisme

    La commune a adhéré au "plan local d'urbanisme métropolitain", approuvé le [18].

    Typologie

    Roure est une commune rurale[Note 1] - [19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2020, la commune comptait 116 habitants[Note 3], en diminution de 42,57 % par rapport Ă  2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
    652434540577646692572592570
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    440478558504502535517510507
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    26322220319416724714514871
    1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2020
    112147167195198216202119116
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[28] :

    • Écoles maternelles et primaires Ă  Saint-Sauveur-sur-TinĂ©e, Valdeblore,
    • Collège Ă  Saint-Sauveur-sur-TinĂ©e,
    • LycĂ©e Ă  Valdeblore.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[29] :

    • MĂ©decins Ă  Saint-Sauveur-sur-TinĂ©e, Isola,
    • Pharmacies Ă  Isola, Saint-Martin-VĂ©subie,
    • HĂ´pitaux Ă  Saint-Martin-VĂ©subie, Villars-sur-Var.
    • cabinet mĂ©dical sur place, mĂ©decin, ostĂ©opathe, pĂ©dicure...

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • Vacherie du TrĂ©ous[31].

    Tourisme

    • GĂ®te d'Ă©tape communal[32].
    • Chambres d'hĂ´tes.
    • Refuge de Longon[33].
    • Le Robur[34], restaurant gastronomique qui s'est vu attribuer une Ă©toile Michelin en avant de changer de gĂ©rant, depuis l'auberge est tenu par la cheffe DĂ©borah Georges.

    Commerces et services

    • Le village de Roure disposait d'une boulangerie qui Ă©tait ouverte tous les samedis soir (pour la traditionnelle pizza) et dimanches matin, fermĂ© depuis dĂ©cembre 2020
    • Buvette Communale, Le cafĂ© intergĂ©nĂ©rationnel[35], ouvert pendant la pĂ©riode estival (juillet/aout).
    • La commune dispose de services de proximitĂ©[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune possède deux bâtiments inscrits sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.

    • Façade de l'Ă©glise Saint-Laurent.
      Façade de l'église Saint-Laurent.
    • Le chĹ“ur de l'Ă©glise avec le retable de saint Laurent attribuĂ© Ă  Andrea de Cella.
      Le chœur de l'église avec le retable de saint Laurent attribué à Andrea de Cella[40].
    • Le retable de l'Assomption attribuĂ© Ă  François BrĂ©a.
      Le retable de l'Assomption attribué à François Bréa.
    • Peinture reprĂ©sentant les anges sauvant les âmes du Purgatoire.
      Peinture représentant les anges sauvant les âmes du Purgatoire.
    • La chapelle Saint-SĂ©bastien[41] a Ă©tĂ© construite pour conjurer le danger de la peste de 1510 Ă  400 m Ă  la sortie du village. Elle est dĂ©corĂ©e de fresques naĂŻves du peintre Andrea de Cella[42]. Les fresques murales comprennent six panneaux consacrĂ©s Ă  la vie de saint Bernard de Menthon et six autres, en vis-Ă -vis, racontant des Ă©pisodes de la vie de saint SĂ©bastien. Sur le mur du fond, on peut voir, au sommet, le Christ sortant du tombeau, en dessous, au milieu, saint Bernard de Menthon tient le diable enchaĂ®nĂ©. Ă€ sa gauche est reprĂ©sentĂ© saint SĂ©bastien percĂ© de flèches et, cĂ´tĂ© opposĂ©, saint Roch tenant un bourdon de pèlerin et montrant la plaie de sa cuisse qui est un stigmate de la peste pour la guĂ©rison de laquelle on l’invoquait[43].
    Une des particularitĂ©s de la chapelle est la fresque dite des « Vices »[44]. Elle a Ă©tĂ© commandĂ©e par les villageois dans un but moralisateur pour rappeler le châtiment rĂ©servĂ© aux personnes ayant fautĂ© par la chair. Cette fresque a probablement Ă©tĂ© voulue par la communautĂ© villageoise Ă  la suite du pĂ©chĂ© de chair commis 83 ans plus tĂ´t entre l’abbĂ© Pierre Blanqui et Delphine, femme de Jean Bovis.
    À l'extérieur, un bénitier à tête sculptée.
    • Chapelle Saint-SĂ©bastien-et-Saint-Bernard.
      Chapelle Saint-SĂ©bastien-et-Saint-Bernard.
    • Fresques d’Andrea de Cella.
      Fresques d’Andrea de Cella.
    • ReprĂ©sen-tation de saint Roch.
      Représen-
      tation de saint Roch.
    • Fresque.
      Fresque.
    • Christ de PitiĂ©.
      Christ de Pitié.

    Le patrimoine de la commune présente également plusieurs lieux et monuments :

    Église de Valabres.

    Patrimoine religieux :

    • l'Ă©glise Notre-Dame-des-Neiges, du XVIe siècle au hameau de Valabres[45] ;
    • la chapelle Saint-Pierre des PĂ©nitents Blancs[46], construite au XVIIIe siècle, transformĂ©e en mairie ;
    • la chapelle Notre-Dame-des-Grâces[47], ou de la Madone, datant du XVe siècle situĂ©e Ă  l'entrĂ©e du village ;
    • la chapelle Sainte-Anne du XVIIe siècle au hameau de Tiecs[48] ;
    • le monument aux morts[49].

    Autres patrimoines :

    • le four communal[50], en service le week-end ;
    • le moulin[51] Ă  farine et Ă  huile[52], qui est, de par sa double fonction, unique en son genre dans les Alpes-Maritimes. Il a Ă©tĂ© restaurĂ© par l'Association 3PR, pour le patrimoine Roure[53] ;
    • le vieux lavoir Ă  trois arches ;
    • les murs et linteaux[54] ;
    • le castel, ancienne maison forte dĂ©mantelĂ©e en 1621 ;
    • l'arboretum Marcel Kroenlein sur quinze hectares entre 1 280 et 1 700 m d'altitude. On y trouve des collections de conifères, de joubarbes, d'Ă©rables, de genĂ©vriers et de rosiers. Des sculptures y sont prĂ©sentĂ©es[55] ;
    • le plateau de Longon - traversĂ© par le GR 5 - et son refuge, surplombĂ© par les monts Gravières (2 331 m) et Autcellier ;
    • les blockhaus de Valabres principal et annexe, construits entre 1931 et 1935 face au centre de rĂ©sistance de Rimplas[56] ;
    • au hameau de Tiecs : le menhir ou Peira, monolithe en grès rose de 2,27 mètres de haut, dĂ©couvert en 1969 par P. Bodard.

    HĂ©raldique

    Roure
    Blason de Roure Blason
    D’argent au chêne rouvre arraché de sinople, englanté d’or posé sur un mont escarpé de pourpre et devise[57].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Le hameau oublié de Valabre
    2. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
    3. Communes reconnues en Ă©tat de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et CĂ´tes-d'Armor
    4. Didacticiel de la règlementation parasismique
    5. Hydrographie
    6. rivière la Tinée
    7. rivière La Vionène
    8. Description de la station de ROURE
    9. Table climatique
    10. Réseau régional de transport
    11. Vexillologie Provençale : Roure
    12. Chorographie du comte de Nice par le baron Louis Durante
    13. Georges Barbier, Châteaux et places fortes du comté de Beuil, p. 178, année 1994, no 11, Texte.
    14. G. Xhayet, op. cit., p. 421.
    15. Les gens sont vraiment différents ici
    16. Les comptes de la commune
    17. Chiffres clés en 2017. Dossier complet
    18. Le PLU a fait l’objet d’une mise à jour par arrêté métropolitain du 2 septembre 2015 et la modification no 2 a été approuvée par délibération du Conseil Métropolitain du 29 juin 2017
    19. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Établissements d'enseignements
    29. Professionnels et établissements de santé
    30. aroisse Notre-Dame de la Tinée
    31. Vacherie du Tréous
    32. Gîte d’étape communal
    33. Refuge de Longon
    34. Auberge Le Robur
    35. Buvette Communale
    36. Services de proximité
    37. « Église Saint-Laurent », notice no PA00080829, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Notice no PM06000863, base Palissy, ministère français de la Culture triptyque : l'Assomption de la Vierge
    39. Église Saint Laurent
    40. Andrea de Cella
    41. « Chapelle Saint-Sébastien », notice no PA00080828, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Notice no PM06000854, base Palissy, ministère français de la Culture peintures monumentales : Scènes de la vie de saint Sébastien et de saint Bernard
    43. Chapelle-saint-sebastien-et-saint-bernard-roure
    44. La frise dite "des vices" de la chapelle Saint-SĂ©bastien de Roure
    45. Chapelle Notre Dame des Neiges
    46. Chapelle Saint Pierre (PĂ©nitents Blancs)
    47. Chapelle Notre Dame des Grâces
    48. Chapelle Sainte Anne Tiecs
    49. Conflits commémorés : 1914-1918 - 1939-1945 - Indochine (1946-1954).
    50. Four Communal
    51. Ancien moulin, fontaine, lavoir
    52. Le moulin de Roure
    53. A3PR Association pour le patrimoine Roure
    54. Les murs et linteaux de Roure
    55. Michèle Ramin, Arbres de la Tinée et du Comté. L'arboretum de Roure, conservatoire de nos forêts, p. 156-159, Nice-Historique, année 1993, no 3-4, Texte.
    56. « blockhaus dit ouvrage d'avant-poste de Valabres principal », notice no IA06000033, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. Dominique Cureau, « La Tinée : Roure », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Archives de la commune, Inventaire Ă©tabli par JC Linck, archiviste communal bĂ©nĂ©vole.
    • Roure, un village de la TinĂ©e
    • L'histoire de Roure
    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Roquebillière Ă  Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Saint-Sauveur-sur-Tinée : pp. 863 à 865 : Roure
    • Murs et linteaux
    • Philippe de Beauchamp, Photographies LoĂŻc-Jahan, L'art religieux dans les Alpes-Maritimes, architecture religieuse, peintures murales et retables, Aix-en-Provence, Édisud, , 143 p. (ISBN 2-85744-485-0)
      Vallées de la Tinée : Roure, Chapelles Saint-Sébastien-et-Bernard, l'église Saint-Laurent, p. 88
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Roure, p. 995
    • Peintures murales dĂ©cors peints, VallĂ©e de la TinĂ©e, Alpes-Maritimes, Association Saint Jean le Vieux, 18 p.
      *La Tour-sur-Tiné; *Clans; *Valdeblore Saint-Dalmas; *Roure; *Roubion; *Saint-Étienne-de-Tinée; *Quelques saints représentés dans les vallées de la Tinée; *Les chapelles peintes de la Vallée de la Tinée
    • Village de Roure, par JPB le mer.
    • Coordination gĂ©nĂ©rale : RenĂ© Dinkel, Élisabeth Decugnière, Hortensia Gauthier, Marie-Christine Oculi. RĂ©daction des notices : CRMH : Martine Audibert-Bringer, Odile de Pierrefeu, Sylvie RĂ©ol. Direction rĂ©gionale des antiquitĂ©s prĂ©historiques (DRAP) : GĂ©rard Sauzade. Direction rĂ©gionale des antiquitĂ©s historiques (DRAH) : Jean-Paul Jacob directeur, Armelle Guilcher, Mireille Pagni, Anne Roth-CongĂ©s Institut de recherche sur l'architecture antique (Maison de l'Orient et de la MĂ©diterranĂ©e - IRAA)-Centre national de la recherche scientifique (CNRS), Suivez le guide : Monuments Historiques Provence Alpes CĂ´te d’Azur, Marseille, Direction rĂ©gionale des affaires culturelles et Conseil rĂ©gional de Provence – Alpes - CĂ´te d’Azur (Office RĂ©gional de la Culture), 1er trimestre 1986, 198 p. (ISBN 978-2-906035-00-3 et 2-906035-00-9)
      Guide présentant l'histoire des monuments historiques ouverts au public en Provence – Alpes – Côte - d'Azur, avec cartes thématiques (traduit en allemand et anglais en septembre 1988). Roure, p. 74
    • Chiffres clĂ©s publiĂ©s par l'institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques (INSEE). Dossier complet
    • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune

    Articles connexes

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