AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Robrichia schomburgkii

Robrichia schomburgkii est un grand arbre forestier de la famille des Fabaceae originaire du nord de l'AmĂ©rique du Sud. Il s'agit de l'espĂšce type du genre Robrichia (Barneby & Grimes) A.R.M. Luz & É.R. Souza, 2022.

Robrichia schomburgkii
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Fruit de Robrichia schomburgkii Ă  Cacuri (RĂ­o Ventuari, Venezuela)

EspĂšce

Robrichia schomburgkii
(Benth.) A.R.M. Luz & É.R. Souza, 2022[1]

Statut de conservation UICN

( LC )
LC : Préoccupation mineure

Synonymes

Selon Tropicos (06/06/2022)[2] et GBIF (06/06/2022)[3] :

  • Enterolobium schomburgkii (Benth.) Benth.
  • Enterolobium schomburgkii var. schomburgkii
  • Feuilleea schomburgkii (Benth.) Kuntze
  • Mimosa wilsonii Standl.
  • Pithecellobium schomburgkii Benth.[4] - Basionyme


Il est connu en Guyane sous les noms d’Acacia franc[5], Bois-la-morue (CrĂ©ole), AkĂŻkĂŻnami (WayĂŁpi), Bougou-bati-batra (Nenge tongo)[6], Tamaren-prokoni (Saramaka), Boegoe-bati-batra (Paramaka)[7], Kassa (Aluku)[8].

Ailleurs, on l'appelle Guaranaramuji (Yanomami), Ududu (Yekwana), Curariua grande au Venezuela[9], Tamboril, Sucupira-amarela (Amazonas), Timburi, Orelha-de-macaco, Faveira-orelha-de-macaco, Fava-de-rosca, OrelhĂ©-de-negro, TimbaĂșva, Timborana, TimbĂł-da-mata, Faveira-dura, Faveca, Favela, CambuĂ­-sucupira (Bahia, EspĂ­rito Santo), Fava-uingue au BrĂ©sil[10].

Description

Branches fructifĂšre de Robrichia schomburgkii Ă  Puerto LĂłpez (Colombie)

Robrichia schomburgkii est un arbre haut de 10–50 m (fertile Ă  partir de (6)8 m), de diamĂštre moyen de 75 cm[11], avec un houppier tabulaire large et bas. Son tronc est Ă©pais, plus ou moins dressĂ© et presque cylindrique, recouvert d'une Ă©corce rugueuse, s'exfoliant en grosses plaques irrĂ©guliĂšres, de 60-100 cm de diamĂštre Son bois est jaune cuivrĂ© ou rougeĂątre, un peu veinĂ©[12] Sa sĂšve est collante presque incolore. Les rameaux anguleux, tomenteux-ferrugineux lorsqu'ils sont jeunes, ainsi que les pĂ©tioles, rachis, pĂ©doncules et fleurs.

Les feuilles sont alternes, bipennĂ©es, longues de (10)12-27(35) cm. Les stipules sont de forme oblancĂ©olĂ©e, mesurant 3-10 x 1-4 mm, prĂ©cocement caduques. Le pĂ©tiole est bi-canaliculĂ©s sur la face supĂ©rieure, avec une grosse glande basal. Le rachis mesure (6)8-19(24,5) cm, porte 1-4 glandes Ă  la base des pennes supĂ©rieures. Les segments inter-pennes sont longs au maximum de 4-9(11) mm. On compte 10-20(30) paires de pennes, avec les rachidules des plus longues Ă  mi-tige mesurant (2,2)3-6(6,7) cm. Chaque penne compte (32)40-60(83) paires de folioles de forme linĂ©aires Ă  ou Ă©troitement lancĂ©olĂ©es, Ă  base oblique, faiblement auriculĂ©e ou rectangulaire, coriaces, brillantes sur la face supĂ©rieure, pubescentes en dessous, mesurant 2–5(10) × 0,4–0,8(1) mm.

L'Inflorescence axillaire Ă  (16)20-45(55)-fleurs est un capitule fasciculĂ© (ou racĂšme capituliforme) Ă  3-9 pĂ©doncules par nƓud (les plus longs mesurant (13)15-30(46) mm), ou un court panicule de capitules, portĂ© par un pĂ©doncule ferrugineux-tomenteux, long de 2-4 cm, Ă  fleurs blanches ou jaunĂątres. Les fleurs pĂ©riphĂ©riques sont ± pĂ©dicellĂ©es, et pas les fleurs terminales. Les bractĂ©es persistent jusqu'Ă  l'anthĂšse, mesurant 1,2-2,5 mm, sont de forme linĂ©aire-oblancĂ©olĂ©e ou spatulĂ©e pour les fleurs periphĂ©riques, et de forme ovale pour les fleurs terminales.

Les fleurs sont dimorphes :

  • Les fleurs pĂ©riphĂ©riques ont des pĂ©dicelles longs de 0-2 x 0,2-0,4 mm, un calice Ă©troitement Ă©vasĂ©, Ă  5 segments, long de (2,3)2,5-3,3(3,5) x 1,2-1,6 mm, une corolle blanche, en entonnoir Ă  5 lobes, longue de (3,2)3,5-5,2 mm, une androcĂ©e longue de 10,5-13,5 mm Ă  20 Ă©tamines exsertes, unies Ă  leur base, sont exsertes, avec des anthĂšres non glanduleuses, un ovaire sessile, obliquement tronquĂ© de ± 1,3 mm, densĂ©ment strigilleux dans l'ensemble.
  • Les fleurs terminales sont dĂ©pourvues de pĂ©dicelles, avec un calice largement campanulĂ© de (2,2)2,4-3,8 x 1,8-2,6 mm, une corolle de (4)4,5-8 mm, une tube staminal de 5-9,5 mm, un ovaire non fonctionnel, entourĂ© Ă  la base par un disque nectaire Ă  5 lobes.

Le fruit est gousse ligneuse, circinĂ©e, glabre, Ă  surface rugueuse, de couleur brun foncĂ© rougeĂątre, transversalement veinĂ©e, rĂ©niforme ou orbiculaire, aplatie (environ 0,1 cm d'Ă©paisseur), large de 2 Ă  3(4) cm, rĂ©guliĂšrement incurvĂ©e sur ± 3/4-1,5 d'une spirale aplatie, corps comprimĂ©, mesurĂ© le long du milieu des valves, 5-12 x 1,8-3(3,3) cm, Ă  sutures lĂ©gĂšrement Ă©paissies, quelque peu renflĂ©e sur les graines cloisonnĂ©es. La gousse est indĂ©hiscente mais ses alvĂ©oles se rompent sous la pression transversalement entre les graines, celles-ci libĂ©rĂ©es dans la nature uniquement par les prĂ©dateurs ou par les intempĂ©ries. Les 12 Ă  18 graines sont dures, de couleur verdĂątre, dodues Ă  profil large oblongues-elliptiques mesurant ± 6-8 x 3,2-4,7 mm, ornĂ©es d'un pleurogramme Ă©troit en forme de U de 4,7-6,5 x 1,8-2,7 mm, enchĂąssĂ©es dans un mĂ©socarpe jaunĂątre, trĂšs sucrĂ© et comestible[5] - [7] - [9] - [10] - [13] - [14] - [15].

RĂ©partition

Robrichia schomburgkii est prĂ©sent de façon discontinue du Sud du Mexique, au sud-est du BrĂ©sil (sud de Bahia, et forĂȘt tropicale atlantique de Rio de Janeiro[10]), en passant par la Colombie, le PĂ©rou, une grande partie de l'Amazonie brĂ©silienne (ParĂĄ[14]), le Venezuela (BolĂ­var, Amazonas)[9] et les Guyanes (Guyana, Suriname, Guyane)[15].

Écologie

Robrichia schomburgkii est un arbre Ă  feuillage caduc, hĂ©liophile Ă  sciaphile, hygrophyte sĂ©lĂ©ctive, secondaire, caractĂ©ristique des forĂȘts tropicales humides d'Amazonie et Atlantique, oĂč il est moyennement frĂ©quent dans les forĂȘts anciennes et secondaires (capoeirĂ”es), sur sols bien drainĂ©s mais fertiles et riches en matiĂšre organique. Ses graines produites en abondance, sont dissĂ©minĂ©es sur de petites distances par des singes et d'autres animaux (zoochorie)[10].

Robrichia schomburgkii pousse communĂ©ment dans les Guyanes dans les forĂȘts tropicales semi-dĂ©cidues sempervirentes et plus sĂšches Ă  basse altitude (au-dessus de la ligne de crue), et fleurit de septembre Ă  avril[15] - [7]. On le rencontre au Venezuela dans les forĂȘts de plaine sempervirentes de terre ferme (non inondĂ©es), autour de 100–200 m d'altitude[9]. Dans le centre de la Guyane, il est prĂ©sent mais rare dans les forĂȘts de terre ferme (non inondĂ©es), et on l'a vu en bouton et en fruits en octobre[5]. Au BrĂ©sil, il fleurit dans la forĂȘt tropicale amazonienne de terre ferme en septembre-octobre et fructifie en juillet-aoĂ»t[10] et sa phĂ©nologie au BrĂ©sil a Ă©tĂ© suivie[16].

On peut identifier Robrichia schomburgkii Ă  son charbon et Ă  l'anatomie de son bois[17].

La germination des semences de Robrichia schomburgkii a fait l'objet de nombreuses Ă©tudes[18] - [19] - [20] - [21] - [22] - [23] - [24] - [25] - [26] - [27] - [28].

Mimoshes enterolobii Kingsolver & Johnson, 1978 (Coleoptera: Bruchidae) pérdate les graines de Robrichia schomburgkii[29].

Culture

Pour obetenir des graines viables, il on conseillé de récolter les fruits directement sur l'arbre quand ils commencent à tomber, ou au sol sous le pied mÚre, et de les casser pour en extraire les graines dures (1 kg de graines contient environ 1 600 unités). Pour la germination des semis, il est recommandé de scarifier les graines (mécaniquement ou chimiquement[30] - [31]), et de les placer dans un substrat organo-sableux recouvert de 0,5 cm de substrat tamisé en plein soleil. Les graines lÚvent alors en 10-15 jours avec un taux de germination élevé[10].

Utilisation

La maigre pulpe qui entoure les graines de Robrichia schomburgkii est sucrée et comestible[6], appréciés par la faune sauvages[10].

Le bois de Robrichia schomburgkii est difficile à couper, texture moyenne, grain irrégulier à inversé, bonne résistance et moyennement durable[10], de couleur jaune cuivré ou rougeùtre, veiné de brun-violacé, trÚs résistant aux termites[32], assez facile à travailler, à grain moyen, assez lourd (densité : 0,68 à 0,93). On s'en sert en charpenterie, en menuiserie, ébénisterie, les traverses, le matériel roulant, dans la construction navale[6] - [33] - [34] - [35] - [36] - [37] - [11] - [38].

Robrichia schomburgkii produit des nodosités et présente un grand potentiel de plantation, et est particuliÚrement employé au Brésil pour la revégétalisation de zones dégradées[21] - [27].

Robrichia schomburgkii peut ĂȘtre employĂ© comme plante fourragĂšre[39].

La gomme du tronc de Robrichia schomburgkii serait un remÚde populaire en Amérique centrale pour soigner la bronchite et d'autres douleurs de poitrine. Le sirpo tiré de l'acorce aurait des vertus pour traiter le rhumes et les catarrhes, les hémorroïdes, et le cataplasme de feuilles appqiserait les tumeurs enflammées[40] - [41].

L'extrait de bois de Robrichia schomburgkii présente une activité antimicrobienne[42].


L'Ă©corce Ă©paisse d'une espĂšce proche d'AmĂ©rique centrale (Enterolobium cyclocarpum) est employĂ©e pour le tannage des peaux et du cuir, et pour produire une sorte de lessive pour laver les vĂȘtements, et ses graines trĂšs dures et cerclĂ©es d'un trait orangĂ© servent Ă  fabriquer des bijoux[43].

Protologue

En 1844, le botaniste George Bentham propose le protologue suivant pour Pithecellobium schomburgkii Huber, basionyme de Robrichia schomburgkii (Benth.) A.R.M. Luz & É.R. Souza :

« P.? Schomburgkii, (sp. n.), ramulis petiolisque ferrugineo-tomentosis, pinnis 18-20-jugis, foliolis 50-60-jugis parvis lineari-falcatis supra nitidis subtus ferrugineo-puberulis, glandula petiolari oblonga, floribus in capitulo sessilibus, calyce corolla dimidio breviori, ovario sessili villoso.— Foliola vix lineĂą longiora. Pedunculi fasciculati, vix pollicares. Calyces turbinato-tubulosi 1 lin. longi. Corolla vix 2 lin. longa. — Pedrero, on the Rio Negro, Schomburgk, n. 874. »

— George Bentham, 1844[4].

Références

  1. (en) Élvia Rodrigues de SOUZA, Anne Ranielly Monteiro LUZ, Lamarck ROCHA et Gwilym P. Lewis, « Molecular and Morphological Analysis Supports the Separation of Robrichia as a Genus Distinct from Enterolobium (Leguminosae: Caesalpinioideae: Mimosoid Clade) », Systematic Botany, vol. 47, no 1,‎ , p. 268-277 (DOI 10.1600/036364422X16442669847067)
  2. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 06/06/2022
  3. GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 06/06/2022
  4. (la) George Bentham, « Notes on Mimoseae with a Synopsis of Species », London Journal of Botany, vol. 3,‎ , p. 195-226 (lire en ligne)
  5. (en) Scott A. Mori, Georges Cremers et Carol Gracie, Guide to the Vascular Plants of Central French Guiana : Part 2. Dicotyledons, vol. 76, New York Botanical Garden Pr Dept, coll. « Memoirs of the New York Botanical Garden », , 776 p. (ISBN 978-0-89327-445-0), p. 311-312
  6. ONF, Guide de reconnaissance des arbres de Guyane : 2e Ă©dition, ONF, , 374 p. (ISBN 978-2842072957), p. 348-349
  7. (en) Mark G.M. Van Roosmalen, Fruits of the guianan flora, INSTITUTE OF SYSTEMATIC BOTANY UTRECHT UNIVERSITY - SILVICULTURAL DEPARTMENT OF WAGENINGEN AGRICULTURAL UNIVERSITY, , 483 p. (ISBN 978-9090009872), p. 436
  8. Marie Fleury, "BUSI-NENGE" - LES HOMMES-FORÊT : Essai d'etnobotanique chez les Alukus (Boni) en Guyane Française, universitĂ© de Paris 6, coll. « thĂšse de doctorat », (lire en ligne)
  9. (en) Rupert C. Barneby, James W. Grimes, Julian A. Steyermark (eds.), Paul E. Berry (eds.), Kay Yatskievych (eds.) et Bruce K. Holst (eds.), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 6, Liliaceae–Myrsinaceae, St. Louis, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 803 p. (ISBN 9780915279814), p. 613
  10. (pt) H. LORENZI, Árvores brasileiras: manual de identificação e cultivo de plantas arbóreas do Brasil, vol. 2, Nova Odessa, Instituto Plantarum, , 368 p. (lire en ligne), p. 164
  11. Gabriel Devez, Les Plantes utiles et les bois industriels de la Guyane, , 92 p. (lire en ligne), p. 80
  12. Pierre DÉTIENNE, Paulette JACQUET et Alain MARIAUX, Manuel d'identification des bois tropicaux : Tome 3 Guyane française, Quae, (lire en ligne), p. 114
  13. Albert Lemée, Flore de la Guyane française : Tome II - Podostémonacées à Sterculiacées, Brest, LIBRAIRIE LECHEVALIER, , 400 p., p. 54
  14. (en) A. A. Pulle, Flora of Suriname : PAPILIONACEAE (pars) - MIMOSACEAE - CONNARACEAE - ANNONACEAE - DROSERACEAE (pars), vol. II, PART 2, Leiden, VEREENIGING KOLONIAAL INSTITIJUT TE AMSTERDAM, , 257-384 p., p. 324
  15. (en) M.J. JANSEN-JACOBS (Eds), R.C. Barneby, LW. Grimes et O. Poncy, Flora of the Guianas : Series A: Phanerogams - Fascicle 28 - 87. MIMOSOIDEAE including Wood and Timber, Kew, Royal Botanic Gardens, , 384 p. (ISBN 978 1 84246437 3), p. 79-80
  16. (en) P. A. MOJENA, D. I. G. CHORMIAK et Y. MIRANDA, « Harvest season and physiological quality of Enterolobium schomburgkii seeds. Benth. », Scientific Electronic Archives, vol. 9, no 4,‎ , p. 20-25 (lire en ligne)
  17. (pt) Graciela InĂ©s Bolzon DE MUÑIZ, Silvana NISGOSKI, Ramiro Faria FRANÇA et F. Z. Schardosin, « Anatomia comparativa da madeira e carvĂŁo de Cedrelinga catenaeformis Ducke e Enterolobium schomburgkii Benth. para fins de identificação » [« Comparative anatomy of wood and charcoal of Cedrelinga catenaeformis Ducke and Enterolobium schomburgkii Benth. for identification purposes »], Sci. For., Piracicaba, vol. 40, no 94,‎ , p. 291-297 (lire en ligne)
  18. (pt) Michele Braule Pinto RAMOS et Isolde Dorothea Kossmann FERRAZ, « Estudos morfolĂłgicos de frutos, sementes e plĂąntulas de Enterolobium schomburgkii Benth.(Leguminosae-Mimosoideae) », Brazilian Journal of Botany, vol. 31, no 2,‎ , p. 227-235 (lire en ligne)
  19. (pt) V. RIGAMONTE-AZEVEDO, M. de C. ALMEIDA et J. L. FIRMINO, « Germinação de sementes de timbaĂșba (Enterolobium schomburgkii Benth)-Mimosoidae. », Anais do VIII Congresso De Ecologia Do Brasil,‎ (lire en ligne)
  20. (en) Misael Freitas DOS SANTOS, Daniele Lima DA COSTA, Thiago Almeida VIEIRA et Denise Castro Lustosa, « Effect of'Trichoderma'spp. fungus for production of seedlings in'Enterolobium Schomburgkii'(Benth.) Benth. », Australian Journal of Crop Science, vol. 13, no 10,‎ , p. 1706-1711 (lire en ligne)
  21. (pt) Silas Garcia A. de SOUZA et Vania Palmeira VARELA, « Tratamentos prĂ©-germinativos em sementes de Faveira-orelha-de-macaco (Enterolobium schomburgkii Benth) », Acta Amazonica, vol. 19,‎ , p. 19-26 (DOI 10.1590/1809-43921989191026, lire en ligne)
  22. (pt) Cleverson Agueiro CARVALHO, Elias Antunes AGUIAR, Davair Lopes TEIXEIRA, JuscinĂ©ia Santos Delfino, Matheus Matos Nascimento, Regina FĂ©lix Ferreira, Reginaldo Almeida Andrade et Rychaellen Silva Brito, « Teste de envelhecimento acelerado para analisar o vigor de sementes de orelhinha de macaco (Enterolobium schomburgkii Benth) », Revista Thema, vol. 17, no 2,‎ , p. 346-353 (DOI 10.15536/thema.V17.2020.346-353.1670, lire en ligne)
  23. (en) Misael Freitas DOS SANTOS, Daniele Lima DA COSTA et Thiago Almeida VIEIRA, « Effect of'Trichoderma'spp. fungus for production of seedlings in'Enterolobium Schomburgkii'(Benth.) Benth. », Australian Journal of Crop Science, vol. 13, no 10,‎ , p. 1706-1711 (lire en ligne)
  24. Thiago Pletsch Dalla COSTA, « Regulador vegetal na germinação de Enterolobium schomburgkii », Universidade Federal de Mato Grosso,‎ (lire en ligne)
  25. (en) L. F. BRAGA, M. P. SOUSA et T. A. ALMEIDA, « Enterolobium schomburgkii (Benth.) Benth. seed germination under saline stress and polyamine application », Revista Brasileira de Plantas Medicinais, vol. 11,‎ , p. 63-70 (DOI 10.1590/S1516-05722009000100011, lire en ligne)
  26. (pt) Cleverson Agueiro DE CARVALHO, Isabele Cristini S. DE OLIVEIRA, Reginaldo Almeida ANDRADE, ThaĂ­s Cristina Ribeiro Pereira, Tiago Bardales Barroso et Thiago JosĂ© Lavareda Lima, « Sementes de orelhinha de macaco (Enterolobium schomburgkii Benth) submetidas ao teste de condutividade elĂ©trica », Scientia Naturalis, vol. 2, no 1,‎ (lire en ligne)
  27. (pt) Willian Dallagnol REIS, Carlos VinĂ­cio Vieira, Luana BouviĂ©, Carlos VinĂ­cio Vieira, Luana BouviĂ© et Fabio Henrique Dela Justina do Carmo, « Germinação e superação de dormĂȘncia de sementes de Enterolobium schomburgkii », Universidade Federal de Mato Grosso,‎ (lire en ligne)
  28. (pt) DCR PIMENTEL, Yago Felipe Bricio DE ABREU, Noemi Vianna Martins LEÃO et et al., « Morfometria de sementes de fava de rosca (Enterolobium schomburgkii Benth. Fabaceae) oriundas de diferentes procedĂȘncias. », dans Embrapa AmazĂŽnia Oriental-Artigo em anais de congresso (ALICE). - SEMINÁRIO DE INICIAÇÃO CIENTÍFICA, 19., BelĂ©m, PA: Embrapa AmazĂŽnia Oriental, SEMINÁRIO DE PÓS-GRADUAÇÃO DA EMBRAPA AMAZÔNIA ORIENTAL, 3., 2015, BelĂ©m, PA. Anais., , 70-73 p. (lire en ligne)
  29. (es) Pastor AMADOR-MOJENA, Marliton ROCHA-BARRETO, JesĂșs ROMERO-NÁPOLES et et al., « Registro y daño causado por Mimosestes enterolobii Kingsolver & Johnson, 1978 (Coleoptera: Bruchidae) en semillas de Enterolobium schomburgkii Benth.(Benthan, 1844)(Fabaceae) en Mato Grosso, Brasil », Acta zoolĂłgica mexicana, vol. 36,‎ , p. 1-7 (DOI 10.21829/azm.2020.3612247, lire en ligne)
  30. (pt) L. F. BRAGA, M. P. SOUSA et T. A. ALMEIDA, « Germinação de sementes de Enterolobium schomburgkii (Benth.) Benth. submetidas a estresse salino e aplicação de poliamina. », Revista Brasileira de Plantas Medicinais, vol. 11, no 1,‎ , p. 63-70 (lire en ligne)
  31. (pt) Diego Azevedo MOTA, Katharine Vinholte DE ARAÚJO et Leonardo Barros DOBBSS, « ESCARIFICAÇÃO ÁCIDA NA SUPERAÇÃO DE DORMÊNCIA DE Enterolobium schomburgkii. », AGRI-ENVIRONMENTAL SCIENCES, vol. 4, no 2,‎ , p. 16-23 (lire en ligne)
  32. (pt) Magnos Alan VIVIAN, Karina Soares MODES et Adriana Terumi ITAKO, « Durabilidade natural das madeiras de Apuleia leiocarpa, Astronium lecointei e Enterolobium schomburgkii ao fungo apodrecedor Trametes versicolor », Pesquisa Florestal Brasileira, vol. 38,‎ (DOI 10.4336/2018.pfb.38e201801664, lire en ligne)
  33. Sylvie Mouras, « Le bois du mois : l'Acacia franc », Guyan' Info Bois, no 16,‎ , p. 8-8 (lire en ligne)
  34. CTFT, « Acacia franc », Bois de Guyane,‎ (ISBN 2-85411-010-2, lire en ligne)
  35. CIRAD-CTFT - FRA., « Fiches techniques sur quelques bois guyanais : Acacia franc, Bagasse, Balata franc », Bois et ForĂȘts des Tropiques, no 230,‎ , p. 53-56 (lire en ligne)
  36. (pt) Joaquim Carlos GONÇALEZ et Denizia Macedo GONÇALEZ, « Valorização de duas espĂ©cies de madeira Cedrelinga catenaeformis e Enterolobium shomburgkii para a indĂșstria madeireira » [« Valorization of two brazilian timbers Cedrelinga catenaeformis Enterolobium shomburgkii »], Revista CientĂ­fica do LaboratĂłrio de Produtos Florestais - LPF, vol. 71,‎ , p. 69-74 (lire en ligne)
  37. (en) A. LEMÉE, Flore de la Guyane Française, t. IV. : PremiĂšre Partie : SupplĂ©ment aux Tomes 1. II et III - DeuxiĂšme Partie: VĂ©gĂ©taux utiles de la Guyane française, Paris, Paul Le Chevallier, , 66 + 134, p. 54
  38. André Bertin, Mission forestiÚre coloniale, V : Les bois de la Guyane française et du Brésil, Paris,
  39. (en) Oscar Mauricio Velez TERRANOVA, R. CAMPOS-GAONA, H. SÁNCHEZ-GUERRERO et L.A. Giraldo, « Fermentation dynamics and methane production of diets based on Brachiaria humidicola with high inclusion levels of Enterolobium schomburgkii and Senna occidentalis in a Rusitec System », Tropical and Subtropical Agroecosystems, vol. 21, no 2,‎ (lire en ligne)
  40. M Esposito-Avella, P Brown, I Tejeira, R Buitrago, L Barrios, C Sanchez, MP Gupta et J Cedeno, « Pharmacological screening of Panamanian medicinal plant, Part I », Int J Crude Drug Res., vol. 23,‎ , p. 17-25 (DOI 10.3109/13880208509070683)
  41. J. F. MORTON, Atlas of Medicinal Plants of Middle America. Bahamas to Yucatan, Charles C. Thomas, Publisher,, (ISBN 978-0398040369)
  42. (pt) Girlena DA SILVA FERREIRA, « Avaliação de atividade antimicrobiana de extratos de madeira das espĂ©cies Enterolobium schomburgkii e Andira parviflora (FamĂ­lia Leguminosae) », Universidade Federal do Amazonas,‎ (lire en ligne)
  43. Nathalie Vidal, Le grand livre des ÉTONNANTES GRAINES : entre Nature et Cultures, Orphie, , 200 p. (ISBN 978-2-87763-639-1), p. 101-102

Références taxonomiques

Voir aussi

Articles connexes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.