Richard Gere
Richard Gere /ËÉčÉȘtÍĄÊ.Éd ËÉĄÉȘÉ/[1] est un acteur amĂ©ricain nĂ© le Ă Philadelphie.
Nom de naissance | Richard Tiffany Gere |
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Naissance |
Philadelphie, Pennsylvanie (Ătats-Unis) |
Nationalité | Américaine |
Profession | Acteur |
Films notables |
Les Moissons du ciel American Gigolo Officier et Gentleman Affaires privées Pretty Woman Chicago |
Révélé au cinéma à la fin des années 1970, il devient une vedette hollywoodienne de premier plan grùce aux succÚs des films American Gigolo (1980) et Officier et gentleman (1982). AprÚs un passage à vide, il est relancé par la comédie romantique Pretty Woman (1990). Il demeure ensuite l'un des acteurs les plus actifs du cinéma américain des années 1990-2000.
Biographie
S'il est nĂ© dans une grande ville amĂ©ricaine, Philadelphie, Richard Gere est issu du monde rural : ses parents, Home et Doris, sont des Ă©leveurs laitiers, de mĂȘme que son grand-pĂšre et ses oncles.
DeuxiĂšme dâune famille de cinq enfants (deux sĆurs, deux frĂšres), et avec un demi-frĂšre, l'Allemand Henry Januszewski, le jeune Richard sort diplĂŽmĂ© de la North Syracuse Central High School en 1967. Il Ă©tudie ensuite la philosophie et lâart dramatique Ă lâUniversitĂ© du Massachusetts Ă Amherst, mais quitte lâĂ©tablissement au bout de deux annĂ©es pour se lancer dans la carriĂšre dâacteur. Il joue des petits rĂŽles de rĂ©pertoire sur la CĂŽte Est (Provincetown Playhouse Ă Cap Cod) comme sur la CĂŽte Ouest (Repertory Theater de Seattle).
Gere s'installe ensuite dans le Vermont et tente une carriĂšre musicale de trompettiste, instrument dans lequel il excelle. Mais le milieu de la musique le déçoit et Richard Gere part pour New York afin d'y reprendre une carriĂšre sur les planches. Il traverse ensuite l'Atlantique pour Londres, oĂč il dĂ©croche le rĂŽle de Danny Zuko dans la comĂ©die musicale Grease, en 1973, un rĂŽle qu'il reprendra Ă Broadway. Son travail lui vaut de jouer durant une saison avec la Young Vic Company pour laquelle il interprĂšte plusieurs piĂšces. De retour Ă New York, il joue dans Le Songe d'une nuit d'Ă©tĂ© au Lincoln Center de New York ainsi que dans La MĂ©gĂšre apprivoisĂ©e. Sa performance lui sert de tremplin vers le grand Ă©cran. Dans le rĂŽle mineur dâun proxĂ©nĂšte, Richard Gere fait ses dĂ©buts en 1975 dans le mĂ©lodrame policier Report to the Commissioner. Il enchaĂźne en 1976 avec Baby Blue Marine (en), un drame sur la Seconde Guerre mondiale oĂč il interprĂšte un militaire ayant des tendances psychotiques. Cette performance lui vaut dâĂȘtre remarquĂ© par des rĂ©alisateurs de renom qui le font connaĂźtre du grand public grĂące Ă Ă la recherche de Mr. Goodbar, Les Moissons du ciel et Yanks.
En dĂ©cembre 1979, Gere revient sur scĂšne et interprĂšte Ă Broadway le rĂŽle principal, celui de Max, dans la piĂšce Bent de Martin Sherman, Ă©voquant la vie dâun homosexuel en Allemagne nazie. De cette pĂ©riode date son soutien pour les causes gay et lesbienne. Son rĂŽle ambigu de gigolo professionnel dans le film American Gigolo propulse Richard Gere vers les sommets du cinĂ©ma ; il confirme son statut de jeune premier play-boy dans Officier et gentleman. MalgrĂ© les querelles interminables hors champ entre Gere et sa partenaire Debra Winger, le film est un immense succĂšs (seconde recette amĂ©ricaine en 1982 derriĂšre E.T.).
Commence alors lâĂšre des dĂ©ceptions avec plusieurs films au destin commercial mitigĂ© : Ă bout de souffle, made in USA, Cotton Club dans lequel il joue du cornet Ă pistons, Le Roi David, Sans pitiĂ©, Les coulisses du pouvoir et Rien Ă perdre.
Gere doit attendre 1990 pour donner un second souffle Ă sa carriĂšre avec Affaires privĂ©es et l'Ă©norme succĂšs de Pretty Woman aux cĂŽtĂ©s de Julia Roberts. TrĂšs demandĂ©, Gere joue tour Ă tour dans deux remakes : Sommersby et Intersection. Attentif Ă ne pas dĂ©plaire Ă son nouveau public, Richard Gere alterne durant les annĂ©es 1990 les thrillers (Sang chaud pour meurtre de sang-froid, Peur primale, Le Chacal et Red Corner) avec les comĂ©dies romantiques (Just Married (ou presque) et Un automne Ă New York). En 1995, il est prĂ©sident du jury du 19e festival international du film de Moscou. Ce nâest quâau dĂ©but du XXIe siĂšcle quâil aborde de nouveaux rĂŽles : mari trompĂ© dans InfidĂšle, journaliste confrontĂ© au surnaturel dans La ProphĂ©tie des ombres, il revient Ă ses dĂ©buts dans la comĂ©die musicale Chicago, aux cĂŽtĂ©s de Catherine Zeta-Jones et RenĂ©e Zellweger, et remporte un Golden Globe. Richard Gere a participĂ© Ă plusieurs remakes amĂ©ricains de films français : outre Ă bout de souffle, made in USA, nouvelle version du Ă bout de souffle de Jean-Luc Godard, il a jouĂ© dans Intersection, transposition du film Les Choses de la vie de Claude Sautet, Sommersby qui reprend le scĂ©nario du film Le Retour de Martin Guerre de Daniel Vigne, et InfidĂšle adaptation amĂ©ricaine de La Femme infidĂšle de Claude Chabrol. Il a Ă©galement jouĂ© dans le remake amĂ©ricain d'un film japonais : Shall We Dance? par Peter Chelsom en 2004 ainsi que Hatchi (HachikĆ: A Dog's Story en version originale) en 2010, remake du film japonais Hachiko Monogatari sorti Ă la fin des annĂ©es 1980.
En 2011, il reçoit le Prix Marc AurÚle d'honneur lors du 6e Festival international du film de Rome. Et c'est Debra Winger qui le lui remet, car elle est membre du jury[2] - [3].
La cause tibétaine
Ă la fin des annĂ©es 1970, Gere voyage en Asie et prend conscience de la mainmise brutale de la Chine sur le Tibet. En 1982, il abandonne ses racines mĂ©thodistes et se convertit au bouddhisme tibĂ©tain. Ami du 14e dalaĂŻ-lama, Tenzin Gyatso, depuis 1983, Gere considĂšre ce dernier comme un leader spirituel et un mentor autant quâun professeur, un pĂšre et un frĂšre. Lâacteur se sert de sa notoriĂ©tĂ© croissante pour promouvoir son aide au peuple tibĂ©tain opprimĂ© par le gouvernement chinois.
En 1987, l'acteur est le cofondateur de la Tibet House Ă New York, une organisation consacrĂ©e Ă la sauvegarde et la restauration de lâhĂ©ritage culturel et spirituel tibĂ©tain. Il a aussi crĂ©Ă© The Gere Foundation, une association d'aide au Tibet. Ce soutien Ă la cause tibĂ©taine lui vaudra quelques ennuis, puisqu'on lui a interdit dâĂȘtre le prĂ©sentateur des Oscars en 1993 aprĂšs quâil eut condamnĂ© le gouvernement chinois pour son traitement des TibĂ©tains[4]. Mais il a reçu le Prix LumiĂšre de la vĂ©ritĂ© en 1996 pour son action.
Par ailleurs, Gere prépare depuis plusieurs années un projet sur la vie de Bouddha qui serait réalisé par Shekhar Kapur, avec Goldie Hawn.
Le , Richard Gere a appelé au boycott des Jeux olympiques de Pékin 2008.
Outre la cause tibĂ©taine, Gere sâest fait lâavocat de la lutte pour le respect des droits de lâhomme des peuples autochtones en AmĂ©rique centrale lors de plusieurs sĂ©jours au Honduras, au Nicaragua et au Salvador et membre de Survival International.
En , sort une publicité pour la voiture Lancia Delta à bord de laquelle il se rend de Hollywood au Tibet avec comme slogan : « The power to be different ». Il a reversé le cachet à sa fondation pour le Tibet (The Gere Foundation)[5].
Depuis 2010, il milite pour que la ville sainte du bouddhisme Bodh Gaya, en Inde, soit une zone vĂ©gĂ©tarienne de par la loi[6]. La mĂȘme annĂ©e, il prĂȘte sa voix au film documentaire "La traversĂ©e du Zanskar" du rĂ©alisateur Frederick Marx.
AprÚs la mort de Tenzin Delek Rinpoché en prison en Chine, Richard Gere rendit hommage à sa mémoire le à la commission des droits de l'homme du CongrÚs à Washington[7].
Vie privée
Richard Gere a vĂ©cu de nombreuses idylles avec des personnalitĂ©s parmi lesquelles lâartiste Sylvia Martin, la designer Diane von FĂŒrstenberg ou encore lâactrice Barbara Carrera.
En 1988, il rencontre le mannequin Cindy Crawford. Leur romance est rendue publique lors de la cĂ©rĂ©monie des Oscars de 1990. LâannĂ©e suivante, le , le couple se marie Ă la Petite Ă©glise de lâOuest de Las Vegas.
AprĂšs quâun tabloĂŻd français (Voici) affirme que leur mariage Ă©tait un leurre, Richard Gere et Cindy Crawford dĂ©boursent 30 000 dollars pour une publicitĂ© dans un journal britannique clamant leur hĂ©tĂ©rosexualitĂ© et leur engagement. Le couple finit par divorcer en dĂ©cembre 1994.
En 1999, Ă lâĂąge de 50 ans, Richard Gere est Ă©lu « homme vivant le plus sexy » par le magazine People. Le , sa compagne, la comĂ©dienne et mannequin Carey Lowell, lui donne un fils : Homer James Jigme (Jigme signifie « sans peur » en tibĂ©tain). Gere Ă©pouse Lowell le . Le , le couple annonce son divorce. En 2014, il vit une courte liaison avec Padma Lakshmi, puis, Ă partir de 2015, il vit avec Alejandra Silva. Le couple se marie en et annonce la naissance de son futur enfant pour dĂ©but 2019[8]. En , Alexander vient au monde. En , ils annoncent qu'ils attendent leur deuxiĂšme enfant. Un petit garçon naĂźt en .
Filmographie
Années 1970
- 1975 : Rapport confidentiel (Report to the Commissioner) de Milton Katselas : Billy
- 1976 : Baby Blue Marine (en) de John D. Hancock : Raider
- 1977 : Ă la recherche de Mr. Goodbar (Looking For Mr. Goodbar) de Richard Brooks : Tony Lo Porto
- 1978 : Les ChaĂźnes du sang (Bloodbrothers) de Robert Mulligan : Stony De Coco
- 1979 : Les Moissons du ciel (Days of Heaven) de Terrence Malick : Bill
- 1979 : Yanks de John Schlesinger : Matt Dyson
Années 1980
- 1980 : American Gigolo de Paul Schrader : Julian
- 1981 : Reporters de Raymond Depardon : Lui-mĂȘme
- 1982 : Officier et Gentleman (Officer and Gentleman) de Taylor Hackford : Zack Mayo
- 1983 : Le Consul honoraire (The Honorary Consul) de John Mackenzie : Dr Eduardo Plarr
- 1983 : Ă bout de souffle, made in USA (Breathless) de Jim McBride : Jesse Lujack
- 1984 : Cotton Club (The Cotton Club) de Francis Ford Coppola : Dixie Dwyer
- 1985 : Le Roi David (King David) de Bruce Beresford : David
- 1986 : Sans pitié (No Mercy) de Richard Pearce : Eddie Jillette
- 1986 : Les Coulisses du pouvoir (Power) de Sidney Lumet : Pete St. John
- 1988 : Rien Ă perdre (Miles from Home) de Gary Sinise : Frank Roberts
Années 1990
- 1990 : Affaires privées (Internal Affairs) de Mike Figgis : Dennis Peck
- 1990 : Pretty Woman de Garry Marshall : Edward Lewis
- 1991 : Rhapsodie en août (Hachigatsu no kyoshikyoku) de Akira Kurosawa : Clark (crédité « Richado Gia »)
- 1992 : Sang chaud pour meurtre de sang-froid (Final Analysis) de Phil Joanou : Dr Isaac Barr
- 1993 : Les Soldats de l'espérance (And the Band Played On) de Roger Spottiswoode : Le chorégraphe
- 1993 : Sommersby de Jon Amiel : John Robert « Jack » Sommersby
- 1993 : Mr. Jones de Mike Figgis : Mr. Jones
- 1994 : Intersection de Mark Rydell : Vincent Eastman
- 1995 : Lancelot, le premier chevalier (First Knight) de Jerry Zucker : Lancelot
- 1996 : Peur primale (Primal Fear) (Terreur Extreme) de Gregory Hoblit : Martin Vail
- 1997 : Red Corner de Jon Avnet : Jack Moore
- 1997 : Le Chacal (The Jackal) de Michael Caton-Jones : Declan Mulqueen
- 1999 : Just Married (ou presque) (Runaway Bride) de Garry Marshall : Ike Graham
Années 2000
- 2000 : Un automne Ă New York (Autumn in New York) de Joan Chen : Will Keane
- 2000 : Docteur T et les Femmes (Dr. T & the Women) de Robert Altman : Docteur T
- 2002 : La Prophétie des ombres (The Mothman Prophecies) de Mark Pellington : John Klein
- 2002 : InfidĂšle (Unfaithful) dâAdrian Lyne : Edward Sumner
- 2002 : Chicago de Rob Marshall : Billy Flynn
- 2004 : Shall We Dance? de Peter Chelsom : John Clark
- 2005 : Les Mots retrouvés (Bee Season) de Scott McGehee et David Siegel : Saul
- 2006 : Faussaire (The Hoax) de Lasse Hallström : Clifford Irving
- 2007 : The Flock de Andrew Lau : Eroll Babbage
- 2007 : I'm Not There de Todd Haynes : Billy the Kid / Bob Dylan
- 2007 : The Hunting Party de Richard Shepard : Simon Hunt
- 2008 : Nos nuits Ă Rodanthe (Nights in Rodanthe) de George C. Wolfe : Paul Flanner
- 2009 : Amelia de Mira Nair : George Putnam
- 2009 : Hatchi (HatchikĆ: A Dog's Story) de Lasse Hallström : Parker Wilson
Années 2010
- 2010 : L'Ălite de Brooklyn (Brooklyn's Finest) d'Antoine Fuqua : Eddie Dugan
- 2011 : Secret Identity (The Double) de Michael Brandt : Paul Shepherdson
- 2012 : Arbitrage de Nicholas Jarecki (en) : Robert Miller
- 2013 : My Movie Project (Movie 43) de Steven Brill : Boss
- 2015 : Time Out of Mind de Oren Moverman : George
- 2015 : Intrusion de Andrew Renzi : Franny
- 2015 : Indian Palace : Suite royale de John Madden : Guy
- 2017 : Norman de Joseph Cedar : Norman Oppenheimer
- 2017 : The Dinner d'Oren Moverman : Stan
- 2017 : State of Mind (Three Christs) de Jon Avnet : Docteur Stone
Années 2020
- 2023 : Maybe I Do de Michael Jacobs
Télévision
- 1973 : Chelsea D.H.O. de John Trent (téléfilm) : Milo
- 1975 : Strike Force de Barry Shear (téléfilm) : Walter Spenser
- 1976 : Kojak (série TV, saison 4, épisode 1) : Geno Papas
- 2019 : MotherFatherSon (série TV de la BBC, 8 épisodes) : Max Finch
Distinctions
RĂ©compenses
- 1978 : David di Donatello du meilleur acteur Ă©tranger pour Les Moissons du ciel
- 1997 : Freedom of Expression Award au National Board of Review Awards pour Red Corner
- 1999 : Ălu homme le plus sexy du monde par le magazine People
- 2003 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Chicago
- 2003 : Critics' Choice Movie Award de la meilleure distribution pour Chicago
- 2003 : Screen Actors Guild Award de la meilleure distribution pour Chicago
- 2007 : Independent Spirit Awards : Prix Robert Altman
- 2010 : Prix Marc AurĂšle d'honneur au Festival international du film de Rome
Nominations
- 1982 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Officier et Gentleman
- 1991 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film musical ou une comédie pour Pretty Woman
- 1993 : Primetime Emmy Award du meilleur acteur dans un second rÎle dans une mini-série ou un téléfilm pour Les Soldats de l'espérance
- 2001 : Satellite Award du meilleur acteur pour Docteur T et les Femmes
- 2003 : Screen Actors Guild Award du meilleur acteur dans un premier rĂŽle pour Chicago
- 2007 : Satellite Award du meilleur acteur pour Faussaire
- 2013 : Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour Arbitrage
Voix françaises
En France, Richard Darbois[9] est la voix réguliÚre de Richard Gere depuis Pretty Woman aprÚs l'avoir doublé dans Sans pitié en 1986. Joël Martineau[10] l'a également doublé occasionnellement à trois reprises, ainsi que Lambert Wilson, Patrick Poivey et Robert Guilmard[11] à deux reprises chacun.
Au Québec, Hubert Gagnon[12] est la voix réguliÚre de l'acteur. Jean-Luc Montminy[12] l'a également doublé à quatre reprises.
- En France
- Au Québec
Notes et références
- Prononciation en anglais américain retranscrite selon la norme API.
- (en) « Richard Gere and Debra Winger Photos Photos : Closing Ceremony - 6th International Rome Film Festival », sur Zimbio (consulté le ).
- Guillaume Joffroy, « Richard Gere et Carey Lowell amoureux, Guillaume Canet et Noomi Rapace superbes », sur purepeople.com, (consulté le ).
- Richard Gere: Man of masks
- Richard Gere défend la cause tibétaine
- http://religion.info/english/articles/article_464.shtml
- Richard Gere plaide la cause du Tibet devant le CongrĂšs, Agence France-Presse, 14 juillet 2015
- « à 68 ans Richard Gere est bientÎt papa », sur parismatch.com, (consulté le ).
- « Doublages effectués par Richard Darbois » sur La Tour des Héros
- « Doublages effectués par Joël Martineau » sur La Tour des Héros
- « Doublages effectués par Robert Guilmard » sur La Tour des Héros
- « Comédiens ayant doublé Richard Gere au Québec » sur Doublage.qc.ca, consulté le 22 novembre 2014.
- « Comédiens ayant doublé Richard Gere en France », sur RS Doublage.
Liens externes
- Ressources relatives Ă l'audiovisuel :
- Africultures
- Allociné
- Ciné-Ressources
- Unifrance
- (en) AllMovie
- (en) Disney A to Z
- (de + en) Filmportal
- (en) IMDb
- (en) Rotten Tomatoes
- Ressources relatives au spectacle :
- Ressources relatives Ă la musique :
- (en) Carnegie Hall
- (en) MusicBrainz
- Ressource relative à la bande dessinée :
- (en) Comic Vine
- Ressource relative Ă la vie publique :
- (en) C-SPAN
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- (en) Site de la Fondation Gere