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Racing 92

club de rugby à XV en France
Racing 92
Logo du Racing 92
Généralités
Surnoms Le Racing
Les Ciel et Blanc
Les Racingmen
Noms précédents Racing Club de France
Métro Racing 92
Racing Métro 92
Fondation 1890 (section rugby du RCF)
Statut professionnel SASP
Couleurs ciel et blanc
Stade Paris La Défense Arena
(32 000 places)
Siège 11 avenue Paul Langevin, 92350 Le Plessis-Robinson
Championnat actuel Top 14 (2021-2022)
ERCC1
Propriétaire Jacky Lorenzetti
Président Jacky Lorenzetti
Entraîneur Laurent Travers
Drapeau : Irlande Mike Prendergast
Didier Casadeï
Dimitri Szarzewski
Site web

Maillots

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Kit body Racing92Paris2122h.png
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Domicile
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Extérieur

Actualités

Pour la saison en cours, voir :
Saison 2021-2022 du Racing 92
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Dernière mise à jour : 26 septembre 2021.

Le Racing 92, anciennement Racing Club de France jusqu'en 2001, puis Racing Métro 92 jusqu'au 10 juin 2015, est un club de rugby à XV français fondé à Paris en 1890 et basé au Plessis-Robinson dans le département des Hauts-de-Seine, dans la banlieue ouest de la capitale.

Ancien pensionnaire du stade olympique Yves-du-Manoir de Colombes, il joue aujourd'hui à la Paris La Défense Arena de Nanterre et s'entraîne au Plessis-Robinson où se trouve son siège.

Le Racing 92 est sextuple champions de France (1892, 1900, 1902, 1959, 1990, 2016) dont le premier championnat de l'histoire en 1892, un de Pro D2, une Coupe de l'Espérance et quinze titres de champions de France dans les catégories de jeunes, en incluant le palmarès des deux clubs fondateurs. Il est depuis 2006 présidé par Jacky Lorenzetti, actuel actionnaire majoritaire du club après avoir racheté la majorité des parts de la SASP. L'équipe première évolue dans le Top 14 depuis 2009. Elle est championne de France 6 fois, dont la dernière en 2016 au Camp Nou, devant 99 124 spectateurs (record mondial de spectateurs pour un match de rugby entre clubs).

Histoire

Le Racing-Paris version 1897.
Match Racing-Leicester à Colombes en 1923.

Les trois Brennus (1892, 1900 et 1902)

Le Racing Club, fondé en 1882, était à l’origine une association vouée à l’athlétisme. Devenu Racing club de France en 1885, il ajoute régulièrement de nouvelles sections (17 en 2006, pour 20 000 licenciés), dont celle de rugby à XV, créée en 1890. Le Racing devient alors un protagoniste majeur du rugby français. Le club remporte le premier championnat de France en un match unique, le 20 mars 1892[1], en battant le Stade français Paris rugby 4-3. L’année suivante, les stadistes prennent leur revanche (7-3). Le Racing termine deuxième de la compétition disputée uniquement par les clubs parisiens jusqu’en 1898 avant d’être sacré à deux reprises en 1900 et en 1902 face au Stade bordelais. Enfin, il s’incline en finale contre le Stade toulousain en 1912. Il remporte la Coupe de l'Espérance, qui fait office de championnat pendant la Première Guerre mondiale en 1918, puis participe à la première finale d’après-guerre, qu’il perd contre le Stadoceste tarbais.

En 1907, le club délaisse Paris pour s'installer au stade du Matin, tout juste construit et situé dans la banlieue ouest de Colombes. Au début des années 1920, presque toutes les sections du Racing Club de France, dont celle du rugby à XV sont basés à Colombes vu que le club omnisports est locataire du stade. Ce dernier est agrandi pour la réception des Jeux olympiques de Paris de 1924 et devient alors le plus grand stade français et francilien.

Le Racing est le fondateur du Challenge Yves du Manoir, du nom d’un de ses ouvreurs, huit fois international, mort à 23 ans, et symbole de l’insouciance du jeu (voir Couleurs et esprit).

En son hommage, le stade olympique de Colombes porte son nom à partir de 1928 et s'appelle désormais officiellement stade olympique Yves-du-Manoir.

Champion de France 1959

Le club connaît à nouveau le succès dans les années 1950, avec deux finales perdues en 1950 contre Castres et 1957 contre Lourdes, et un titre en 1959, sous la houlette du Béarnais François Moncla, avec à ses côtés Michel Crauste qui devait partir pour Lourdes la saison suivante (où il remporte aussitôt un nouveau titre).

Vice-champion de France 1987

Il faudra attendre près de 30 ans avant de revoir le maillot ciel et blanc en finale. En 1987, 3 ans seulement après sa remontée en première division, le club s’incline face à Toulon après avoir éliminé le Stade Toulousain en demi-finale.

Champion de France 1990

Le Racing est battu en quart de finale 1988 puis en huitièmes de finale en 1989 avant de connaître, en 1990, sa cinquième consécration en battant successivement Grenoble en quart sur un essai refusé à tort aux alpins[2],[3], le Stade Toulousain 21-14 comme 3 ans plus tôt en demi-finale puis le SU Agen en finale (22-12 après prolongations). Le Racing était alors emmené par une génération exceptionnelle avec notamment Franck Mesnel, Jean-Baptiste Lafond, Philippe Guillard, Laurent Bénézech ou Éric Blanc.

L’année suivante, le Stade toulousain prendra sa revanche en éliminant les Franciliens en demi-finale à Bordeaux 13-12.

Déclin et rétrogradation

Le déclin s’amorce peu après car les changements des années 1990 dans le rugby ne se firent pas sans heurts au sein d’une institution aussi attachée à l’esprit amateur et qui rejeta longtemps le professionnalisme. L’équipe flirta ensuite avec la relégation, qui arrive une première fois en 1996.

Champion de France du Groupe A2 1998

Jacques Fouroux «Le Petit Caporal», entraînera une année le club.

L'équipe entraîné par Christophe Mombet et emmené par le capitaine Olivier Beaudon, les emblématiques Darren Adams, Patrick Goirand, John Daniell et les sa jeune formation Alexandre Audebert, Nicolas Le Roux remportent le Championnat de France du Groupe A2 en 1998[4]. Puis la relégation arrive de nouveau en 2000.

Propriétaire du club depuis 1999, l'entreprise Eden Park, fondée par des anciens du club (Franck Mesnel, Éric Blanc et Jean-Baptiste Lafond entre autres) tente de donner un nouveau souffle, en se rapprochant de l’US métro, le club sportif de la RATP. Les deux équipes seniors fusionnent en 2001, sous le nom de Métro Racing 92, dans le cadre d’une Société anonyme sportive professionnelle appelée Racing Club de France rugby. Le club est repêché en Pro D2 malgré sa dernière place lors du Championnat 2000-2001.

Ancien du club, Éric Blanc devient le président. L’équipe est rebaptisée Racing Métro 92 en 2005. Le Racing club de France et l’US Métro conservent leurs équipes de jeunes.

Seule la section professionnelle du Racing club de France et celle de l'US Métro se sont associées pour former le Métro Racing 92 puis le Racing Métro 92, une entité à but purement professionnel. Les sections amateurs continuent à évoluer indépendamment au sein de leur club respectif. Le Racing club de France a signé une convention le 21 novembre 2006 permettant au Racing Métro 92 d'utiliser l'intitulé « Racing » et les couleurs du Racing club de France à l'exclusion de tout autre prérogative. Ce droit a été accordé pour 21 ans, renouvelable une fois.

En décembre 2005, le club embauche l’ancien international Didier Camberabero, puis en juillet 2006 Philippe Benetton, qui entraînait Cahors, pour s’occuper des avants. En 2006, c’est aussi l'arrivée de Jacky Lorenzetti, patron et fondateur du géant de l'immobilier Foncia, qui reprend la majorité des parts. Avec lui, le club se fixe pour objectif la montée dans le Top 14 d'ici 2008 et la qualification pour la Coupe d'Europe d'ici 2011. Éric Blanc devient manager du club.

Le recrutement spectaculaire pour la saison 2007-2008 commence avec les signatures de l'ancien entraîneur du XV de France et d'Italie Pierre Berbizier et comme joueurs: David Auradou, Sireli Bobo, Michel Dieudé, Jean-Frédéric Dubois, Carlo Festuccia, David Gérard, Andrea Lo Cicero, Thomas Lombard, Jone Qovu, Simon Raiwalui, Laurent Sempéré, Franck Tournaire, Ludovic Valbon, Jonathan Wisniewski ou encore Agustín Pichot.

Champion de France Pro D2 2009

Après la désillusion de la finale 2008 perdue contre Mont-de-Marsan, le Racing entame une saison 2008-2009 prometteuse avec les arrivées de Jérôme Fillol (Stade français), Olivier Diomandé (Montpellier), François van der Merwe (Lions), Mehdi Merabet (Toulon), Patrice Collazo (Gloucester), Craig Smith (Édimbourg), Álvaro Galindo (Béziers) et Andrew Mehrtens (Toulon). Les arrivées de Dan Scarbrough ainsi que de Santiago Dellapè et d'Andrea Masi en cours de saison, viennent compléter ce recrutement en vue d'une montée en Top 14 que le club obtient en remportant le titre haut la main. Au terme de la saison 2008-2009, le club remonte en Top 14 grâce à une victoire à Bordeaux Bègles sur le score de 12-33 à deux journées de la fin.

La première saison du Racing en Top 14 se fait avec ambition grâce à un recrutement de luxe. Ainsi les internationaux français Lionel Nallet et Sébastien Chabal rejoignent le groupe ainsi que le champion du monde sud-africain François Steyn. Malgré un début de saison difficile et une performance décevante en Amlin Cup le Racing trouve un rythme en milieu de saison pour finir sixième de la saison régulière, se qualifiant ainsi pour les barrages ainsi que pour la H-Cup.

Match du Racing Métro 92 face au Stade toulousain.

La saison 2010-2011 a pour objectif de continuer sur la lancée de la précédente et le Racing renforce son objectif dans ce but avec, notamment, les arrivées de l'international français Benjamin Fall ainsi que de l'ouvreur argentin Juan Martín Hernández. Le Racing termine deuxième de la saison régulière et sa qualifie donc ainsi directement pour les demi-finale du championnat de France et en H-Cup.

La saison 2011-2012 est en deçà de la précédente[5]. Après un bon début de saison, le Racing connaît des résultats irréguliers et oscille entre la cinquième et la septième place. La campagne européenne est un fiasco avec une victoire pour cinq défaites dont trois à domicile. Dès novembre, les mauvais résultats et une mésentente entre le manager général Pierre Berbizier et l’entraîneur des trois-quarts Simon Mannix[6] conduisent le club à remplacer ce dernier par Gonzalo Quesada. Malgré le divorce croissant entre Pierre Berbizier et une partie des joueurs[5], le club parvient à obtenir une place en barrages où il est éliminé par le RC Toulon. À l'issue de la saison, le président Lorenzetti nomme Gonzalo Quesada comme entraineur en chef du groupe professionnel. Pierre Berbizier reste au club en qualité de "directeur du rugby".

La saison 2012-2013 est contrastée. Après un début de championnat difficile, le club réussit une très bonne seconde partie de championnat, marquée par une série de 9 victoires consécutives. Il parvient à se qualifier pour la quatrième fois consécutive pour les phases finales mais est éliminé par le Stade toulousain en barrages[7]. Pierre Berbizier, entraîneur emblématique de la remontée du Racing au plus haut niveau quitte le club à l'issue de la saison. L’entraîneur Gonzalo Quesada est également remercié et remplacé par les anciens entraîneurs de l'US Montauban et du Castres olympique, Laurent Travers et Laurent Labit.

Pour la saison 2013-2014, le club a annoncé 14 arrivées[8] dont le meilleur joueur du Tournoi des Six Nations 2012, le troisième ligne Dan Lydiate[9], le centre emblématique des Cardiff Blues Jamie Roberts et le demi d'ouverture du Leinster Jonathan Sexton. Ces arrivées correspondent à une quinzaine de départs dont plusieurs joueurs présents depuis la Pro D2 : Sireli Bobo, Santiago Dellapè, Alvaro Galindo, Johnny Leo'o, Andrea Lo Cicero, Mika Tuugahala.

Le , le Racing Métro 92 se sépare juridiquement de l'US métro après quatorze saisons d'union, et est renommé le Racing 92[10],[11].

Champion de France et triple vice-champion d'Europe

Champion de France 2016

Le , 26 ans après sa précédente finale, au terme d'un match durant lequel l'équipe joue à quatorze pendant plus de 60 minutes après le carton rouge reçu par Maxime Machenaud, le Racing 92 s'impose face au RC Toulon sur le score de 21 à 29 à l'occasion de la finale du championnat de France jouée au Camp Nou de Barcelone devant 99 124 spectateurs (record mondial de spectateurs pour un match de rugby entre clubs[12]).

Homme en tenue de ville, de plein pied, tenant au-dessus une planche représentant le bouclier de Brennus.
Dimitri Szarzewski présente le Brennus au Plessis Robinson le 28 juin 2016.

Abandon du projet de fusion avec le Stade français 2017

Le 13 mars 2017, le Racing 92 et le Stade français annoncent le projet de fusion des deux équipes professionnelles pour la saison 2017-2018[13]. Quelques jours plus tard, suite à de nombreuse contestation notamment des joueurs du Stade français, l'annulation du projet est annoncée par Jacky Lorenzetti via un communiqué[14] le .

Double vice-champion d'Europe 2016 et 2018

En Coupe d'Europe, compétition à laquelle il participe de manière continue depuis la saison 2010-2011, le Racing obtient ses premiers grands succès en se qualifiant une première fois en finale durant la saison 2015-2016 après avoir battu Leicester en demie-finale (16-19). Les Racingmen sont défait 21-9 par les Saracens à Lyon dans un match sans essais. Après avoir échoué à se qualifier pour les quarts de finale lors de la saison 2016-2017, le Racing accède de nouveau en finale lors de l'édition 2017-2018 après avoir disposé de Clermont en quart (17-28) et du Munster en demie (27-22). Les Racingmen sont défait 15 à 12 face au Leinster, dans un match une nouvelle fois sans essais à Bilbao.

Demi-finaliste du Top 14 2018

Les Racingmen, vice-champions d'Europe et deuxième la saison régulière, échouent de peu en demi-finale du Top 14 en 2018 contre le Castres Olympique, futur champion de France, à Lyon (19-14).

Barragiste en Top 14 2019

En 2019, le Racing 92, quatrième de la saison régulière, s'incline à domicile en barrage contre La Rochelle (13-19) , dans un match joué au stade Yves-du-Manoir pour la première fois depuis deux ans et demi.

En Coupe d'Europe, le Racing, premier de sa poule, est éliminé à domicile dès les quarts-de-finale par le Stade toulousain au terme d'un match très disputé sur le score de 21 à 22.

Vice-champion d'Europe 2020

En 2020, le Racing 92 se qualifie pour la troisième fois de son histoire en finale de la Coupe d'Europe contre les Exeter Chiefs à Bristol, après avoir battu Clermont en quart de finale et les Saracens en demi-finale. Les phases finales de cette édition de Champions Cup se sont jouées en septembre et octobre 2020, en raison de la pandémie de Covid-19. Lors d'un match ouvert avec 4 essais de chaque côté, le club s'incline une nouvelle fois en finale, après des erreurs individuelles et collectives sur le score de 31 à 27.

Le championnat de France, interrompu par la pandémie en mars ne reprendra pas contrairement aux autres championnats européens. À l'interruption du championnat, le Racing 92 occupait la troisième place du classement, derrière Bordeaux et Lyon.

Demi-finaliste du Top 14 2021

A la Paris La Défense Arena, à l'issue de la saison 2020-2021, le Racing 92, 3e de la saison, élimine en barrage le Stade français Paris (38-21) dans un derby francilien. Les Racingmen perdent contre le Stade rochelais vice-champion d'Europe en demi-finale du Top 14 2021 (19-6).

En Coupe d'Europe, le Racing parvient à se qualifier pour les huitièmes de finale dans le nouveau format de la compétition et bat largement le club d'Édimbourg 56 à 3. Les racingmen sont cependant éliminé en quarts par Bordeaux 21 à 24.

Bilan

Présent dès la première édition du championnat de France, le Racing est présent de manière fréquente en première division mais connaît des épisodes en deuxième division dont le plus long et le plus récent de 2000 à 2009.

Bilan par saison depuis 1892
Saison Championnat Nb équipe/poule Division Classement Phase finale Titres
2021-2022 Top 14 14 Première division - - -
2020-2021 Top 14 14 Première division 3e Demi-finale -
2019-2020 Top 14 14 Première division 3e Saison arrêtée à la suite de l'épidémie de coronavirus -
2018-2019 Top 14 14 Première division 4e Barrage -
2017-2018 Top 14 14 Première division 2e Demi-finale -
2016-2017 Top 14 14 Première division 6e Demi-finale -
2015-2016 Top 14 14 Première division 4e Finale Champion de France
2014-2015 Top 14 14 Première division 5e Barrage -
2013-2014 Top 14 14 Première division 5e Demi-finale -
2012-2013 Top 14 14 Première division 6e Barrage -
2011-2012 Top 14 14 Première division 6e Barrage -
2010-2011 Top 14 14 Première division 2e Demi-finale -
2009-2010 Top 14 14 Première division 6e Barrage -
2008-2009 Pro D2 16 Seconde division 1er - Champion - promotion
2007-2008 Pro D2 16 Première division 2e Finale de promotion -
2006-2007 Pro D2 16 Première division 12e - -
2005-2006 Pro D2 16 Première division 13e - -
2004-2005 Pro D2 16 Première division 12e - -
2003-2004 Pro D2 16 Première division 13e - -
2002-2003 Pro D2 16 Première division 8e - -
2001-2002 Pro D2 16 Première division 13e - -
2000-2001 Élite 2 12 Première division 12e - Repêché-maintien en ProD2
1999-2000 Élite 1 12 Première division 11e du groupe 2 Barrages de relégation Relégation
1998-1999 Élite 1 8 Première division 7e de la poule 3 Barrages de relégation -
1997-1998 Groupe A2 10 Seconde division 2e de la poule 1 Finale Champion - promotion
1996-1997 Groupe A2 10 Seconde division 4e de la poule 2 - -
1995-1996 Groupe A1 10 Première division 10e de la poule 1 - Relégation
1994-1995 Groupe A 8 Première division 3e de la poule 2 Top 16 (3e de la poule 1) -
1993-1994 Groupe A 8 Première division 2e de la poule 4 Top 16 (3e de la poule 3) -
1992-1993 Groupe A 8 Première division 6e de la poule 3 - -
1991-1992 Groupe A 10 Première division 2e de la poule 4 Huitième de finale -
1990-1991 Groupe A 8 Première division 1er de la poule 5 Demi-finale -
1989-1990 Groupe A 8 Première division 1er de la poule 2 Finale Champion de France
1988-1989 Groupe A 5 Première division 1er de la poule E Huitième de finale -
1987-1988 Groupe A 8 Première division 1er de la poule 3 Quarts de finale -
1986-1987 Groupe A 10 Première division 3e du groupe 2 Finale -
1985-1986 Groupe A 10 Première division 4e du groupe 4 Huitième de finale -
1984-1985 Groupe A 10 Première division 9e du groupe 1 - -
1983-1984 Groupe B 8 Seconde division - - Promotion
1982-1983 Groupe A 10 Première division 10e du groupe 1 - Relégation
1981-1982 Groupe B 10 Seconde division - - Promotion
1980-1981 Groupe B 10 Première division 1er de la poule F Quarts de finale -
1979-1980 Groupe A 10 Première division 10e de la poule A - Relégation
1978-1979 Groupe A 10 Première division 8e de la poule B - -
1977-1978 Groupe B 10 Première division - Seizième de finale (Groupe A) Promotion
1976-1977 Groupe A 8 Première division 7e du groupe 3 - Relégation
1975-1976 Groupe A 8 Première division 6e de la poule D - -
1974-1975 Première division 8 Première division 2e du groupe B Demie-finale -
1973-1974 Groupe A 8 Première division 5e du groupe 4 Huitième de finale -
1972-1973 Première division 8 Première division 4e du groupe 6 Seizième de finale -
1971-1972 Première division 8 Première division 3e du groupe 7 Seizième de finale -
1970-1971 Première division 8 Première division 6e du groupe 1 - -
1969-1970 Première division 8 Première division 3e du groupe 2 Huitième de finale -
1968-1969 Première division 8 Première division Groupe 5 Seizième de finale -
1967-1968 Première division 8 Première division Groupe 3 - -
1966-1967 Première division 8 Première division Groupe 4 Seizième de finale -
1965-1966 Première division 8 Première division Groupe 6 Demie-finale -
1964-1965 Première division 8 Première division Groupe 5 Seizième de finale -
1963-1964 Première division 8 Première division Groupe 7 Huitième de finale -
1962-1963 Première division 8 Première division Groupe 5 Seizième de finale -
1961-1962 Première division 8 Première division Groupe 5 Huitième de finale -
1960-1961 Première division 8 Première division Groupe 1 Seizième de finale -
1959-1960 Première division 8 Première division Poule A Seizième de finale -
1958-1959 Première division 8 Première division Poule D Finale Champion de France
1957-1958 Première division 8 Première division Poule B Huitième de finale -
1956-1957 Première division 8 Première division Poule F Finale -
1955-1956 Première division 8 Première division Poule E Quart de finale -
1954-1955 Première division 8 Première division Poule B Seizième de finale -
1953-1954 Première division 6 Première division Poule G Seizième de finale -
1952-1953 Première division 8 Première division Poule C Quart de finale -
1951-1952 Seconde division - Seconde division - - Promotion
1950-1951 Première division 3 Première division Poule D - Relégation
1949-1950 Première division 6 Première division ? Finale -
1948-1949 Seconde division - Seconde division - - Promotion
1947-1948 Première division 5 Première division Poule D - Relégation
1946-1947 Première division 4 Première division Poule F - -
1945-1946 Première division ? Première division ? - -
1944-1945 Première division ? Première division ? - -
1943-1944 Première division 8 Première division Poule 6 Phases de qualiications -
1942-1943 Première division - Première division Zone Nord - -
1938-1939 Première division 3 Première division 2e de la poule F Quart de finale -
1937-1938 Première division 5 Première division 1er de la poule F Quart de finale -
1936-1937 Première division ? Première division - - -
1935-1936 Première division 7 Première division 3e de la poule E Huitième de finale -
1934-1935 Première division 7 Première division Poule C Quart de finale -
1933-1934 Première division 9 Première division 5e de la Poule E - -
1932-1933 Première division 9 Première division Poule F - -
1931-1932 Première division 5 Première division Poule F Poule de trois -
1930-1931 Première division 5 Première division 3e de la poule E Quart de finale -
1929-1930 Seconde division - Seconde division - - Promotion
1928-1929 Première division 5 Première division Poule B - Relégation
1927-1928 Première division 5 Première division 1er de la poule G Poule de quatre -
1926-1927 Première division 5 Première division 2e de la poule H Poule de quatre -
1925-1926 Seconde division - Seconde division - Finale Champion-promotion
1924-1925 Première division 5 Première division 2e de la poule F Poule de trois -
1923-1924 Première division 5 Première division Poule C Poule quart de finale -
1922-1923 Première division 5 Première division 1er de la poule D Poule de trois -
1921-1922 Première division 3 Première division 1er de la poule C Poule de cinq -
1920-1921 Première division - Première division - Poule demi-finale -
1919-1920 Première division - Première division - Finale -
1913-1914 Première division - Première division - Poule demi-finale -
1912-1913 Première division - Première division - - -
1911-1912 Première division - Première division - Finale -
1910-1911 Première division - Première division - - -
1909-1910 Première division - Première division - Demie-finale -
1908-1909 Première division - Première division - Demie-finale -
1907-1908 Première division - Première division - - -
1906-1907 Première division - Première division - - -
1905-1906 Première division - Première division - - -
1904-1905 Première division - Première division - - -
1903-1904 Première division - Première division - - -
1902-1903 Première division - Première division - Demie-finale (disqualifié, remplacé par le Stade français) -
1901-1902 Première division - Première division - Finale Champion de France
1900-1901 Première division - Première division - - -
1899-1900 Première division - Première division - Finale Champion de France
1898-1899 Première division - Première division - - -
1897-1898 Première division 6 Première division 2e Poule -
1896-1897 Première division 6 Première division - Poule -
1895-1896 Première division 5 Première division - Poule -
1894-1895 Première division 4 Première division - Poule -
1893-1894 Première division 5 Première division - Poule -
1892-1893 Première division 5 Première division - Finale -
1891-1892 Première division 2 Première division - Finale Champion de France

Identité du club

Couleurs et esprit

La mêlée des Racingmen en Top 14, en octobre 2009.

Dans la France de la fin du XIXe siècle, l’organisation du sport « à l’anglaise », par le biais de clubs, est avant tout affaire de riches, bourgeois et aristocrates. Le Racing n’échappe pas à la règle. Niché au cœur du Bois de Boulogne, sur le domaine de la Croix-Catelan, il est le symbole de l’exclusivité et il faut toujours être parrainé pour intégrer certaines sections. Le succès du rugby fut immédiat auprès des membres du club, issus des classes aisées, notamment aristocratiques (quatre nobles participent à la première finale côté Racing), pour qui le sport en général et le rugby en particulier portent en eux les vertus développés dans leurs associations sportives par les Britanniques, dont on admire l’insistance sur l'union du corps et de l’esprit (« Un esprit sain dans un corps sain »).

L’autre grande dimension de l’« esprit Racing » est son attachement aux valeurs les plus pures du sport, l’esprit de compétition, la noblesse de l’effort, le respect de l’adversaire et l’amateurisme. Soucieux de maintenir l’esprit du jeu, le Racing club de France s’investit dans cette voie à la fin des années 1920, alors que le rugby français souffre de la violence sur les terrains, de matchs fermés et d’un professionnalisme qui ne veut pas dire son nom. Champion de l’esprit amateur, il lance le Challenge Yves du Manoir pour répondre à cet idéal. Yves du Manoir symbolisait le côté romantique du rugby, sa dimension ludique et libre, celle du jeu pour le jeu. Comme les participants étaient invités par le Racing, il n’y avait aucune pression relative à une éventuelle relégation. Afin de favoriser encore le jeu, les règles interdisaient de tenter les coups de pied placés. Paradoxalement, le Racing ne gagna jamais « son » challenge.

Plus récemment, cet esprit fut réveillé, sous une forme différente, dans les années 1980 grâce à la dernière grande génération sportive du Racing. Désireux de faire parler d’eux et de leur club, ces joueurs savaient que les résultats étaient essentiels, mais aussi que pour réussir cela à Paris, où les sportifs vivent dans l’anonymat le plus complet, il fallait attirer les feux des médias. Ce sont les lignes arrières, composées de personnalités fortes et originales, qui provoquèrent cette révolution, mélangeant sport, humour, provocation, camaraderie et autodérision. Dans le cadre du très célèbre « Show-Bizz », sorte de club dans le club, Éric Blanc, Jean-Baptiste Lafond, Philippe Guillard et Franck Mesnel décidèrent de bousculer le rugby français par une série d’actions spectaculaires. Ils jouèrent ainsi avec des bérets à Bayonne, en hommage à la tradition des attaquants d’antan du club basque, mais cela fut pris comme une provocation par une partie du public. Ils jouèrent aussi entièrement maquillés de noir, pour que l’un de leurs coéquipiers, noir, ne se sente plus en minorité. Ils portèrent des perruques, se teignirent les cheveux en jaune, jouèrent en pantalons blancs de pelotari ou avec des chaussettes roses etc. Ils enregistrèrent même un disque, Quand tu marques un essai[15].

Néanmoins, leur marque de fabrique fut le célèbre nœud papillon rose. Désireux de frapper un grand coup lors de la finale du championnat 1987, ils décidèrent de jouer avec un nœud papillon rose autour du cou, symbole de l’élégance et de la dérision, avec une couleur en apparence pas du tout virile. Jean-Baptiste Lafond offrit un exemplaire du nœud papillon au président de la République, François Mitterrand, durant la présentation des équipes sur la pelouse du Parc des Princes. Ils firent sensation mais furent battus. Trois ans plus tard, ils récidivèrent. Poussant la provocation, ils se firent apporter du champagne sur la pelouse pendant la mi-temps, par Yvon Rousset, blessé, vêtu d’un blazer frappé des armes du « Show Bizz ». Cela ne les empêcha pas de gagner, et après prolongations encore, contre Agen. Ce nœud papillon donna naissance en 1988 à la marque Eden Park, lancée par les cinq compères, et dont Franck Mesnel est aujourd’hui le président du directoire. La marque compte de nombreuses boutiques en France et à l’étranger (plus de 200 points de vente, dont Cardiff ou encore Richmond upon Thames, où la marque s’est associée au club londonien des Harlequins) et est devenue fournisseur officiel de l’équipe de France, de l’équipe du pays de Galles et même des Lions britanniques.

Tout ceci fit du Racing le synonyme de l’excentricité au sein d’un milieu très conservateur, bien qu'un changement de politique à la suite de la prise en main du club par Jacky Lorenzetti, et fut fustigé par bien des professionnels comme une version parisienne et peu sérieuse de leur sport. Toutefois, rien n’aurait été toléré si les résultats n’avaient pas suivi. À noter également, que le Racing club de France a fourni 76 joueurs à l’équipe de France de rugby à XV, dont douze capitaines dont Michel Crauste, François Moncla, Jean-Pierre Rives, Jean-François Gourdon, Gérald Martinez, Robert Paparemborde, Franck Mesnel, Jean-Baptiste Lafond ou Xavier Blond, Laurent Cabannes, Sébastien Chabal, ou encore Lionel Nallet. Trois Racingmen ont participé au premier match officiel du XV de France contre la Nouvelle-Zélande en 1906.

Les logos affichent les couleurs ciel et blanc, ainsi que le slogan « depuis 1882 », année de la création du club.

Le 10 juin 2015, le logo est adapté au changement de nom du club[11].

  • Évolution du logo
  • Logo du Racing Club de France.

  • Logo du Racing Club de France avant la fusion.

  • Logo du Métro Racing 92 de 2001 à 2005.

  • Logo du Racing Métro 92 adopté en 2005.

  • Logo du Racing Métro 92 abandonné en 2010.

  • Logo du Racing Métro 92 de 2010 à 2015.

  • Logo du Racing 92 depuis 2015.

Mascotte

Mahout, mascotte du club depuis 2012, devant l'entrée de la Paris La Défense Arena

Depuis 2012, le club s'est doté d'une mascotte représentant un mammouth au couleur du club nommé "Mahout". Reprenant l'identité visuelle du club, la mascotte est de couleur bleue et porte un maillot de l'équipe ainsi qu'un casque d'avant. Le costume mesure un peu moins de deux mètres et est équipé d'une batterie de deux kilos, faisant fonctionner une soufflerie permettant de tendre le tissu de la mascotte.

Le choix du mammouth est réalisé par le président Jacky Lorenzetti pour symboliser la famille et la puissance. Le nom "Mahout" provient du breton et représente "celui qui se distingue dans une discipline physique ou intellectuelle"[16].

Lors des saisons aux Stade olympique Yves-du-Manoir, Mahout est régulièrement accompagné de Mahout Junior, version réduite de la mascotte.

A l'arrivée du club dans son nouveau stade de la Paris La Défense Arena, une nouvelle version de la mascotte est réalisée. Décrit "vif comme les ¾ Ciel et Blanc à l’approche de l’en-but adverse"[17], le costume de cette nouvelle mascotte s'adapte à ce stade fermé, permettant plus de mobilité afin de réaliser des animations sur le terrain, ainsi que dans les tribunes.

L'ancienne version de la mascotte est toujours visible à l’extérieur du stade lors des avant-matchs.

Palmarès

Le tableau suivant récapitule les performances du Racing Métro 92 dans les diverses compétitions françaises et de jeunes. Les Racingmen ont été trois fois finaliste en Coupe d'Europe entre 2016 et 2020. Côté hexagonal, le Racing possède six titres de champions de France, et également trois en Pro D2. Il est également le premier champion de France de rugby à 7 professionnel.

Compétitions nationales Compétitions européenne Compétitions disparues

Compétitions européennes

Compétitions nationales

L'équipe du Racing Club de France, victorieuse de la Coupe de l'Espérance le 28 avril 1918.

Compétitions de jeunes

Espoirs
Coupe Frantz-Reichel
Championnat de France juniors Crabos
Championnat de France cadets
Championnat de France minimes
  • Champion (2): 2016,2018

Les finales du Racing

En Coupe de l'Espérance

Le tableau suivant présente la finale jouée par le Racing Club de France en Coupe de l'Espérance[Note 3].

Date de la finale Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
28 avril 1918 Racing Club de France 22 – 9 FC Grenoble Stade du Matin, Colombes 3 000

En Supersevens

Le tableau suivant liste les finales jouées par le Racing 92 dans le Championnat de France professionnel de rugby à 7.

Date de la finale Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
1er février 1892 Racing 92 Natixis Sevens 28 -12 Section paloise sevens Paris La Défense Arena, Nanterre 25 000

En Championnat de France

Le tableau suivant liste les finales jouées par le Racing Club de France / Racing 92 dans le Championnat de France.

Date de la finale Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
20 mars 1892 Racing Club de France 4 – 3 Stade français Bagatelle, Paris 2 000
19 mai 1893 Stade français 7 – 3 Racing Club de France Bécon-les-Bruyères 1 200
22 avril 1900 Racing Club de France 37 – 3 Stade bordelais Levallois-Perret 1 500
23 mars 1902 Racing Club de France 6 – 0 Stade bordelais Parc des Princes, Paris 1 000
31 mars 1912 Stade toulousain 8 – 6 Racing Club de France Stade des Ponts Jumeaux, Toulouse 15 000
25 avril 1920 Stadoceste tarbais 8 – 3 Racing Club de France Stade Sainte-Germaine, Le Bouscat 20 000
16 avril 1950 Castres olympique 11 – 8 Racing Club de France Stade des Ponts Jumeaux, Toulouse 25 000
26 mai 1957 FC Lourdes 16 – 13 Racing Club de France Stade de Gerland, Lyon 30 000
24 mai 1959 Racing Club de France 8 – 3 Stade montois Parc Lescure, Bordeaux 31 098
22 mai 1987 RC Toulon 15 – 12 Racing Club de France Parc des Princes, Paris 48 000
26 mai 1990 Racing Club de France 22 – 12 (a.p.) SU Agen Parc des Princes, Paris 45 069
24 juin 2016 Racing 92 29 - 21 RC Toulon Camp Nou, Barcelone 99 124

En Coupe d'Europe

-
Date de la finale Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
14 mai 2016 Saracens 21 – 9 Racing 92 Parc Olympique lyonnais, Lyon 58 017
12 mai 2018 Leinster 15 - 12 Racing 92 San Mamés, Bilbao 52 282
17 octobre 2020 Exeter Chiefs 31 – 27 Racing 92 Ashton Gate Stadium, Bristol huis-clos

Statistiques

Adversaires en Coupe d'Europe

Club/franchise Matches V N D +/- % de victoires
Drapeau : Irlande Munster Rugby 9 4 1 4 26 44,44 %
Saracens 9 3 0 6 -20 33,33 %
Leicester Tigers 7 6 0 1 64 85,71 %
ASM Clermont 6 4 0 2 -5 66,66 %
Scarlets 6 4 1 1 74 66,66 %
Édimbourg Rugby 5 3 0 2 71 60 %
Northampton Saints 5 4 1 0 94 80 %
Ospreys 4 3 1 0 38 75 %
Glasgow Warriors 4 1 0 3 -18 25 %
Harlequins 3 1 0 2 4 33,33 %
Drapeau : Irlande Leinster Rugby 3 0 0 3 -44 0 %
Benetton Trévise 2 2 0 0 62 100 %
Drapeau : Irlande Ulster Rugby 2 1 0 1 28 50 %
Castres olympique 2 1 0 1 19 50 %
London Irish 2 1 0 1 14 50 %
Cardiff Rugby 2 0 0 2 -12 0 %
Drapeau : Irlande Connacht Rugby 1 1 0 0 4 100 %
RC Toulon 1 1 0 0 3 100 %
Stade toulousain 1 0 0 1 -1 0 %
Union Bordeaux Bègles 1 0 0 1 -3 0 %
Exeter Chiefs 1 0 0 1 -4 0 %
Total 75 39 4 32 363 52 %

Meilleurs marqueurs d'essais

Depuis l'ère professionnelle.

En Championnat de France

Les joueurs ayant inscrits le plus d'essais en championnat de France de première division depuis le retour dans l'élite en 2009 du Racing.

Les noms en gras indiquent les joueurs encore en activité avec le Racing 92.

Classement Joueur Nationalité Saisons Essais
1 Juan Imhoff Argentine 2011 - … 65
2 Teddy Thomas France 2014 - … 39
- Henry Chavancy France 2010 - … 38
4 Virimi Vakatawa France 2010-2014, 2017 - … 34
5 Marc Andreu France 2013 - 2018 25
6 Sireli Bobo Fidji 2009 - 2013 22
7 Louis Dupichot France 2015 - … 21
8 Leone Nakarawa Fidji 2016 -2019 19
9 Brice Dulin France 2014-2020 17
- Camille Chat France 2012 - … 17
11 Simon Zebo Drapeau : Irlande Irlande 2018 - … 16
12 Joe Rokocoko Nouvelle-Zélande 2015 - 2019 12
- Dimitri Szarzewski France 2012 - 2019 12
14 Wenceslas Lauret France 2013 - … 11
- Donovan Taofifénua France 2020 - … 11
- Antonie Claassen France 2014 - … 11

En Coupe d'Europe [19]

Les noms en gras indiquent les joueurs encore en activité avec le Racing 92.

Classement Joueur Nationalité Saisons Essais
1 Juan Imhoff Argentine 2011 - … 31
2 Teddy Thomas France 2014 - … 15
3 Virimi Vakatawa France 2010-2014, 2017 - … 10
4 Henry Chavancy France 2010 - … 9
- Simon Zebo Drapeau : Irlande Irlande 2018 - … 9
6 Marc Andreu France 2013 - 2018 7
- Maxime Machenaud France 2012 - … 7
- Wenceslas Lauret France 2013 - … 7
9 Louis Dupichot France 2015 - … 6
10 Sireli Bobo Fidji 2009 - 2013 5
- Dimitri Szarzewski France 2012 - 2019 5

Meilleur marqueurs de points

Depuis l'ère professionnelle.

En Championnat de France

Les noms en gras indiquent les joueurs encore en activité avec le Racing 92.

Classement Joueur Nationalité Saisons Points
1 Maxime Machenaud France 2012 - … 918
2 Jonathan WIsniewski France 2010 - 2014 907
3 Teddy Iribaren France 2017 - … 360
4 Dan Carter Nouvelle-Zélande 2015 - 2018 357
5 Juan Imhoff Argentine 2011 - … 322
6 Jonathan Sexton Drapeau : Irlande Irlande 2013-2015 294
7 Teddy Thomas France 2014 - … 195
8 Henry Chavancy France 2010 - … 190


En Coupe d'Europe [19]

Les noms en gras indiquent les joueurs encore en activité avec le Racing 92.

Classement Joueur Nationalité Saisons Points
1 Maxime Machenaud France 2012 - … 280
2 Juan Imhoff Argentine 2011 - … 155
3 Teddy Iribaren France 2017 - … 122
4 Dan Carter Nouvelle-Zélande 2015 - 2018 88
5 Jonathan Wisniewski France 2010 - 2014 80


Personnalités du club

Joueurs emblématiques

1882-1913 : les origines et les premiers titres[20]

1919-1959[20]

1960-1986[20]

1987-2001 : du show-bizz à la fusion avec l'US-Métro[20]

2002 - Aujourd'hui : l’avènement du Racing 92 et le titre de 2016 [23]

Entraîneurs

Saison Entraîneur(s) Adjoint(s)
Robert Paparemborde
1987 - 1988 Christophe Mombet
1988 - 1989 Robert Paparemborde René Bonnefond
1989 - 1993 Christian Lanta Marcel Peyresblanques (1992-1993)
1993 - 1995 Robert Paparemborde Jean-Louis Ribot (avants)
Eric Blanc (arrières)
1995 - 1996 Bob Dwyer Jean-Louis Ribot (avants)
Eric Blanc (arrières)
1996 - 1998 Christophe Mombet Daniel Bouthier
1998 - 1999 Didier Nourault
1999 - 2000 Jacques Fouroux Didier Nourault
2000 - 2001 Yves Ajac Jacky Dany (avant)
Franck Frémont (arrière)
2001 - 2002 Vincent Moscato Pierre Trémouille (arrières)
2002 - 2003 Alain Gaillard (consultant) Philippe Canto (avants)
Benoît Meriller (arrières)
2003 - janvier 2004 Christophe Mombet (consultant) Philippe Canto (avants)
Benoît Meriller (arrières)
(jusqu'au 4 octobre 2003)
Janvier 2004 - 2005 Pierre Arthapignet Philippe Canto (avants)
2004 - 2005 Frédéric Barthe Marc Dubourdeau
2005 - avril 2006 Marc Dubourdeau (arrières)
(jusqu'en décembre 2005) puis
Didier Camberabero (arrières)
(à partir de janvier 2006)
2006 - 2007 Philippe Benetton Didier Camberabero (arrières)
(jusqu'en février 2007)
2007 - novembre 2011 Pierre Berbizier Philippe Berbizier (avants)
Simon Mannix (arrières)
Novembre 2011 - février 2012 Philippe Berbizier (avants)
Gonzalo Quesada (arrières)
Février 2012 - juillet 2012 Didier Retière (consultant auprès des avants)
Gonzalo Quesada (arrières)
2012 - 2013 Gonzalo Quesada Simon Raiwalui (avants)
Patricio Noriega (mêlée)
2013 - 2014 Laurent Travers
Laurent Labit
Drapeau : Irlande Ronan O'Gara (skills, jeu au pied)
2014 - 2017 Drapeau : Irlande Ronan O'Gara (défense, skills, jeu au pied)
Patricio Noriega (mêlée, à partir d'octobre 2016)
2017 - 31 décembre 2017 Patricio Noriega (mêlée)
Drapeau : Irlande Ronan O'Gara (défense)
Chris Masoe (skills)
1er janvier 2018 - 2019 Patricio Noriega (mêlée)
Chris Masoe (défense)
Casey Laulala (skills)
2019 - 2020 Laurent Travers Patricio Noriega (avants)
Drapeau : Irlande Mike Prendergast (attaque, trois-quarts)
Philippe Doussy (skills, jeu au pied)
Chris Masoe (défense)
2020 - 2021 Patricio Noriega (avants)
Drapeau : Irlande Mike Prendergast (attaque, trois-quarts)
Philippe Doussy (skills, jeu au pied)
Dimitri Szarzewski (défense)
2021 - Didier Casadeï (avants)
Drapeau : Irlande Mike Prendergast (attaque, trois-quarts)
Philippe Doussy (skills, jeu au pied)
Dimitri Szarzewski (défense)

Présidents

Saison Nom Naissance Nationalité sportive Secteur
1997 - 1999 Gérald Martinez 30-03-1955 Drapeau de la France France
2002 - 2006 Jean-Patrick Lesobre 09-07-1953 Drapeau de la France France Amateurs
Depuis 2006 Éric Blanc 20-09-1959 Drapeau de la France France Amateur
2000 - 2006 Éric Blanc 20-09-1959 Drapeau de la France France Professionnel
Depuis 2006 Jacky Lorenzetti 13-01-1948 Drapeau de la France France Professionnel

Encadrement technique 2020-2021

Effectif 2021-2022

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[Note 4] International Dernier club Arrivée au club

(année[Note 5])

Eddy Ben Arous Pilier Drapeau de la France France 20 (0) US Tours 2008
Georges-Henri Colombe Pilier Drapeau de la France France USO Nevers 2018
Guram Gogichashvili Pilier Drapeau de la Géorgie Géorgie 25 (10) RC Locomotive 2018
Cedate Gomes Sa Pilier Drapeau de la France France 10 (5) Saint-Nazaire 2011
Gia Kharaishvili Pilier Drapeau de la Géorgie Géorgie 5 (0) Formé au club 2018
Hassane Kolingar Pilier Drapeau de la France France 2 (0) Formé au club 2019
Ali Oz Pilier Drapeau de la France France FC Grenoble 2019
Trevor Nyakane Pilier Drapeau d'Afrique du Sud Afrique du Sud 53 (5) Bulls 2021
Teddy Baubigny Talonneur Drapeau de la France France 1 (0) Rugby club pays de Meaux 2013
Camille Chat Talonneur Drapeau de la France France 33 (10) Formé au club 2013
Kevin Le Guen Talonneur Drapeau de la France France Soyaux Angoulême XV 2019
Boris Palu 2e ligne Drapeau de la France France 2 (0) Formé au club 2015
Luke Jones 2e ligne Drapeau de l'Australie Australie 6 (0) Melbourne Rebels 2020
Baptiste Pesenti 2e ligne Drapeau de la France France 4 (0) Section paloise 2021
Victor Moreaux 2e ligne Drapeau de la France France SU Agen 2021
Anton Bresler 2e ligne Namibie [[Worcester Warriors|]] Worcester Warriors 2021
Baptiste Chouzenoux 3e ligne aile Drapeau de la France France Aviron bayonnais 2017
Ibrahim Diallo 3e ligne aile Drapeau de la France France 1 (0) Formé au club 2018
Wenceslas Lauret 3e ligne aile Drapeau de la France France 27 (5) Biarritz olympique 2013
Bernard Le Roux 3e ligne aile Drapeau de la France France 47 (0) Boland Cavaliers 2009
Fabien Sanconnie 3e ligne aile Drapeau de la France France 5 (0) CA Brive 2018
Yoan Tanga Mangene 3e ligne aile Drapeau de la France France SU Agen 2019
Jordan Joseph 3e ligne centre Drapeau de la France France RC Massy 2018
Teddy Iribaren Demi de mêlée Drapeau de la France France 2 (0) CA Brive 2017
Nolann Le Garrec Demi de mêlée Drapeau de la France France Formé au club 2020
Maxime Machenaud Demi de mêlée Drapeau de la France France 38 (149) SU Agen 2012
Mitchell Short Demi de mêlée Drapeau de l'Australie Australie NSW Waratahs 2021
Antoine Gibert Demi d'ouverture Drapeau de la France France Formé au club 2019
Finn Russell Demi d'ouverture Drapeau de l'Écosse Écosse 58 (199) Glasgow Warriors 2018
Ben Volavola Demi d'ouverture Drapeau des Fidji Fidji 42 (270) USA Perpignan 2021
Henry Chavancy Centre Drapeau de la France France 5 (10) Formé au club 2007
Olivier Klemenczak Centre Drapeau de la France France US Dax 2018
Virimi Vakatawa Centre Drapeau de la France France 30 (50) Formé au club 2017
Gaël Fickou Centre Drapeau de la France France 66 (50) Stade Français Paris 2021
Louis Dupichot Ailier Drapeau de la France France Section paloise 2017
Juan Imhoff Ailier Drapeau de l'Argentine Argentine 38 (75) Duendes RC 2011
Dorian Laborde Ailier Drapeau de la France France Stade montois 2019
Teddy Thomas Ailier Drapeau de la France France 28 (75) Biarritz olympique 2014
Donovan Taofifénua Ailier Drapeau de la France France - ASM Clermont 2020
Kurtley Beale Arrière Drapeau de l'Australie Australie 98 (169) NSW Waratahs 2020

Structures

Stades

  • Stade olympique Yves-du-Manoir en 1924.

  • Stade olympique Yves-du-Manoir en 2009.

  • Paris La Défense Arena.

Stade olympique Yves-du-Manoir

Article détaillé : Stade olympique Yves-du-Manoir.

Le Racing joue dans le stade olympique Yves-du-Manoir depuis le début de son histoire. Sa capacité variera selon les périodes pour finir actuellement à 14 000 spectateurs[26]. Devant l'incapacité de rénover en profondeur le stade pour le futur, Jacky Lorenzetti décide de quitter le vétuste stade de Colombes pour l'U Arena, à Nanterre.

Paris La Défense Arena

Article détaillé : Paris La Défense Arena.

Ouverte en , l'U Arena, renommée Paris La Défense Arena en 2018, devient le stade permanent du Racing 92 lors de la saison 2017-2018. Le club évolue dans une salle modulable pouvant accueillir jusqu'à 32 000 spectateurs en configuration rugby. Sa construction est financée principalement par la holding du président du Racing 92 Jacky Lorenzetti, Ovalto Investissement.

Délocalisation

En 2011, avant la construction de son stade ultramoderne sur le site de La Défense à Nanterre, le Racing Métro 92 applique une politique de délocalisation de certains matchs du TOP 14 ou de coupe d'Europe afin d'augmenter la capacité d'accueil et de promouvoir son nom.

Le principal lieu de délocalisation est le Stade de France. Le club y joua pour la première fois le 26 mars 2011 à l'occasion de la 22e journée de Top 14 qui les opposait au Stade toulousain. Le Racing joua devant 76 353 spectateurs. Un trophée nommé Trophée de Coubertin fut mis en jeu grâce à l'initiative de Jacky Lorenzetti et Jean-René Bouscatel, respectivement présidents du Racing Metro 92 et du Stade toulousain[27].

Depuis l'ouverture de la Paris La Défense Arena, le Racing 92 délocalise ses matches lorsque cette dernière n'est pas libre[28]. Cette pratique permettra au club de jouer un dernier match au stade olympique Yves-du-Manoir de Colombes en mai 2019, stade historique du club[29].

Le tableau suivant liste les matchs délocalisés par le Racing 92 depuis 2011.

Compétition Date Domicile Score Visiteur Lieu Spectateurs
22e journée de Top 14 2010-2011 Racing Métro 92 (Bo) 43 – 21 Victoire Stade toulousain Stade de France, Saint-Denis 71 704
16e journée de Top 14 2011-2012 Racing Métro 92 (Bd) 13 – 19 Défaite Stade toulousain Stade de France, Saint-Denis 44 330
25e journée de Top 14 2011-2012 Racing Métro 92 19 – 13 (Bd) Victoire Stade français Stade de France, Saint-Denis 41 701
1re journée de H-Cup 2012-2013 Racing Métro 92 22 - 17 (Bd) Victoire Munster Rugby Stade de France, Saint-Denis 21 102
12e journée de Top 14 2012-2013 Racing Métro 92 23 – 15 Victoire Stade français Stade de France, Saint-Denis 44 622
5e journée de H-Cup 2012-2013 Racing Métro 92 28 - 37 Défaite Saracens Stade de la Beaujoire, Nantes 35 085
23e journée de Top 14 2012-2013 Racing Métro 92 (Bd) 26 – 27 Défaite Stade toulousain Stade de France, Saint-Denis 48 171
1re journée de Top 14 2013-2014 Racing Métro 92 19 – 14 (Bd) Victoire CA Brive Stade Marcel-Deflandre, La Rochelle 6 676
10e journée de Top 14 2013-2014 Racing Métro 92 16 – 12 (Bd) Victoire Stade français Stade de France, Saint-Denis 25 673
3e journée de H-Cup 2013-2014 Racing Métro 92 8 - 32 (Bo) Défaite Harlequins Stade de la Beaujoire, Nantes 29 395
17e journée de Top 14 2013-2014 Racing Métro 92 25 – 5 Victoire Stade toulousain Stade de France, Saint-Denis 35 342
4e journée de European Rugby Champions Cup 2014-2015 Racing Métro 92 18 - 14 (Bd) Victoire Ospreys MMArena, Le Mans 16 258
19e journée de Top 14 2014-2015 Racing Métro 92 34 – 29 (Bd) Victoire FC Grenoble Rugby Stade Océane, Le Havre 13 476
19e journée de Top 14 2015-2016[30] Racing 92 (Bd) 20 - 21 Défaite RC Toulon Stade Pierre-Mauroy, Villeneuve-d'Ascq 40 500
22e journée de Top 14 2016-2017[31] Racing 92 27 – 24 (Bd) Victoire ASM Clermont Auvergne Stade Pierre-Mauroy, Villeneuve-d'Ascq 31 432
26e journée de Top 14 2017-2018[32] Racing 92 42 – 13 (Bo) Victoire SU Agen Stade de la Rabine, Vannes 7 556
Barrages de Top 14 2018-2019[33] Racing 92 13 – 19 Défaite Stade rochelais Stade olympique Yves-du-Manoir, Colombes 11 498

Notes et références

Notes

  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. En 1898, le Racing termine 2e du championnat qui se joue en poule sans qu'une finale soit disputée.
  3. Pendant la Première Guerre mondiale, le championnat n'est pas disputé et l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques crée une compétition de remplacement, la Coupe de l'Espérance, disputée essentiellement par de jeunes joueurs qui n'ont pas été appelés sous les drapeaux.
  4. Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
  5. Pour les joueurs formés au club, année de leur première apparition en équipe professionnelle.

Références

  1. Quand le Racing et le Stade Français s'affrontaient en 1892 article sur le site Leparisien.fr.
  2. Réginald Mouyan, « MICHEL RINGEVAL (PART 2): « AU BOUT D’UN QUART D’HEURE, J’AI COMPRIS QU’ON NE GAGNERAIT PAS» », sur http://lesportdauphinois.com, (consulté le )
  3. Fabrice Lanfranchi, « RUGBY DE CONTACT VOCAL », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Le Racing complète la fête »
  5. Top 14 2012 Bilan : Racing, l'essentiel est là, Rugbyrama, 26 juin 2012. Consulté le 14 juin 2013.
  6. Racing : Simon Mannix limogé, Rugbyrama, 27 novembre 2011. Consulté le 14 juin 2013.
  7. Top 14 2013, Bilan: Racing, saison paradoxale, Rugbyrama. Publié le 13 juin 2013.
  8. Racing Métro : O'Gara et 14 joueurs en renfort, sur Rugby365.fr. Publié le 18 mai 2013.
  9. Lydiate meilleur joueur du Tournoi des Six Nations, Rugbyrama. Consulté le 15 juin 2013.
  10. « Le Racing perd son Métro », sur www.sport.fr, (consulté le )
  11. « Le Racing Metro 92 devient Racing 92 », sur www.racing92.fr, (consulté le ).
  12. « 99 124 spectateurs au Camp Nou pour la finale », sur sport24.lefigaro.fr, .
  13. « Le Racing 92 et le Stade français vont fusionner ! », sur rugbyrama.fr, (consulté le ).
  14. Thibault Perrin, « Top 14 - La fusion entre le Racing 92 et le Stade Français n'aura pas lieu », sur lerugbynistere.fr, (consulté le ).
  15. La chanson sur le site Bide et Musique
  16. « Clément, l'homme-éléphant », sur www.leparisien.fr
  17. « MAHOUT », sur www.racing92.fr
  18. Dénommé Groupe A2 pour la saison 1997-1998
  19. « Racing 92 », sur European Professional Club Rugby (consulté le )
  20. Hall of Fame publié sur le site officiel du Racing-Métro 92, consulté le 4 juillet 2013
  21. Joueurs champions de France en 1990.
  22. « Le Racing complète la fête »
  23. Joueurs incarnant particulièrement le club, ou comptant plus de 10 sélections nationales.
  24. Joueurs champions de France en 2016.
  25. Il dispute 146 matchs et inscrit 1276 points avec le Racing Métro 92.
  26. « Stade Yves du Manoir », sur www.racing92.fr (consulté le ).
  27. Le Racing brille face à Toulouse au Stade de France, publié sur l'Express le 26 mars 2011.
  28. Frédéric Bernès et Renaud Bourel, « Jay-Z et Beyoncé délogent le Racing de l'U Arena », sur www.lequipe.fr, (consulté le )
  29. Frédéric Bernès et Renaud Bourel, « Racing 92 : Retour à Colombes », sur www.rugbyrama.fr,
  30. Racing 92 - Toulon au stade Pierre-Mauroy (Lille)
  31. [1]
  32. [2]
  33. [3]

Annexes

Articles connexes

Liens externes