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Stade départemental Yves-du-Manoir

Le stade départemental Yves-du-Manoir, ancienemment stade olympique Yves-du-Manoir[1], est un complexe sportif situé à Colombes (Hauts-de-Seine), dans la banlieue nord-ouest de Paris. Le terrain d'honneur a notamment accueilli les Jeux olympiques d'été de 1924, la finale de la Coupe du monde de football 1938, quarante finales de la Coupe de France de football, un grand nombre de finales du championnat de France de rugby à XV ainsi que des rencontres internationales des équipes de France de football et de rugby à XV.

Stade départemental Yves-du-Manoir
Le stade Yves-du-Manoir de Colombes vu de la tribune d'honneur.
Généralités
Noms précédents
Stade du Matin (1907-1919)
Stade de Colombes (1920-1924)
Stade olympique de Colombes 0(1924-1928)
Stade olympique Yves-du-Manoir (1928-2002).
Surnom
Colombes
Adresse
12, rue François-Faber
92700 Colombes
Construction et ouverture
Ouverture
Architecte
Extension
1923, 1924 et 1938.
DĂ©molition
Équipement
Surface
Pelouse naturelle
Capacité
10 000 places
(45 000 Ă  partir de 1924 puis 60 000 places de 1938 Ă  1972)
Actuellement en reconstruction pour les JO de 2024.
Affluence record
63 638, le (match d'appui de quarts de finale de Coupe des Clubs Champions EuropĂ©ens Ajax Amsterdam-Benfica Lisbonne)
Patrimonialité
Recensé à l'inventaire général
Localisation
Coordonnées
48° 55′ 46″ N, 2° 14′ 53″ E
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Histoire

Le site du stade de Colombes est destiné au sport depuis 1883. C'est à l'origine un hippodrome de la Société des courses de Colombes. En 1907, l'hippodrome et le quotidien parisien Le Matin fondent une association. Une partie de l'hippodrome est alors transformée en un stade qui accueille des compétitions d'athlétisme, de rugby et de football dès 1907. L'enceinte est alors rebaptisée « Stade du Matin ».

  • Stade du Matin :
  • Dans les annĂ©es 1910, le stade peut accueillir jusqu'Ă  20 000 spectateurs.
    Dans les annĂ©es 1910, le stade peut accueillir jusqu'Ă  20 000 spectateurs.
  • FĂŞte sportive amĂ©ricaine (meeting sportif franco-amĂ©ricain) et course de haies le 4 juillet 1918.
    Fête sportive américaine (meeting sportif franco-américain) et course de haies le .
  • Le stade en pleins travaux d'agrandissement, le 23 aoĂ»t 1923.
    Le stade en pleins travaux d'agrandissement, le .
  • Travaux sur l'une des tribunes du stade le 3 janvier 1924.
    Travaux sur l'une des tribunes du stade le .

Le Racing Club de France, club omnisports parisien, devient locataire des installations de Colombes en 1920. Évoluant régulièrement dans ce stade via ses sections rugby, football et athlétisme depuis son inauguration en 1907, le poids du club ciel et blanc joue incontestablement un rôle dans le choix de Colombes, jugé le plus mauvais des projets, dans le choix du stade olympique des Jeux olympiques d'été de 1924. Le Parc des Princes et le bois de Vincennes avec le stade Pershing offraient en effet des possibilités bien plus intéressantes, car plus proches de la capitale. Colombes souffrira toujours de sa localisation. Ainsi, le Racing évoluera, dès 1932 en football, au Parc des Princes plutôt qu'au stade de Colombes.

DĂ©signĂ© comme stade olympique principal, Colombes profite des fonds dĂ©bloquĂ©s pour porter sa capacitĂ© Ă  plus de 40 000 places, malgrĂ© un projet initial de 100 000 places. Après bien des palabres et mĂŞme l'abandon du projet de Colombes, c'est finalement l'architecte Louis Faure-Dujarric, ancien joueur de l'Ă©quipe de rugby Ă  XV du Racing, qui signe les travaux.

Le stade et le centre sportif aux alentours est connu comme le point central des Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 1924. Beaucoup d'Ă©preuves se dĂ©roulaient en plein air et le calendrier Ă©tait beaucoup plus large : les jeux se tenaient de mai Ă  juillet (on peut remonter Ă  mars si on prend en compte les concours artistiques)[2], avec un dispositif consĂ©quent[3]. Le stade athlĂ©tique de 45 000 places, dont 20 000 assises couvertes et extensible Ă  65 000, accueillit les cĂ©rĂ©monies, l'athlĂ©tisme, le dĂ©part et l'arrivĂ©e du cyclisme sur route[4], l'Ă©quitation[5], le football[6], la gymnastique[7], le cross du pentathlon moderne[8], le rugby[9] et les jeux de l'enfance comme sport de dĂ©monstration[10].

Le stade d'escrime (plusieurs pistes pour les épreuves d'épée et de sabre ainsi que pour l'épreuve du pentathlon moderne)[11] et le stade de tennis (une dizaine de courts pour les compétitions) étaient adjacents au stade athlétique[12].

Jeux olympiques

  • Le stade olympique de Colombes juste avant l'inauguration des Jeux olympiques de Paris en 1924, pas encore baptisĂ© Yves-du-Manoir.
    Le stade olympique de Colombes juste avant l'inauguration des Jeux olympiques de Paris en 1924, pas encore baptisé Yves-du-Manoir.
  • CĂ©rĂ©monie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris au stade olympique de Colombes, le 5 juillet 1924.
    Cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris au stade olympique de Colombes, le .
  • Passage des dĂ©lĂ©gations au stade de Colombes le jour de la cĂ©rĂ©monie d'ouverture des JO de 1924 Ă  Paris.
    Passage des délégations au stade de Colombes le jour de la cérémonie d'ouverture des JO de 1924 à Paris.
  • DĂ©part de l'Ă©preuve de marathon au stade de Colombes, le 13 juillet lors des Jeux olympiques de 1924.
    DĂ©part de l'Ă©preuve de marathon au stade de Colombes, le lors des Jeux olympiques de 1924.
  • Rencontre de rugby entre la France et les États-Unis d'AmĂ©rique lors des JO de 1924 Ă  Paris.
    Rencontre de rugby entre la France et les États-Unis d'Amérique lors des JO de 1924 à Paris.

La nouvelle enceinte est rebaptisée en 1928 au nom d'un joueur de rugby à XV du Racing et espoir de l'équipe nationale, Yves du Manoir qui vient de se tuer en avion.

Le stade fut utilisé pour deux candidatures parisiennes pour l'accueil des Jeux olympiques d'été. À chaque fois, le comité de candidature insista sur l'héritage, pour faire le lien avec l'olympiade de 1924. C'est en effet l'un des rares sites sportifs ayant subsisté après des décennies d'urbanisme.

Pour la candidature de Paris pour 2012, le stade et le centre sportif qui l'entoure devaient accueillir 5 terrains de baseball et softball, après une rĂ©novation majeure[13] - [14] - [15]. Le projet n'aboutit pas Ă  cause de l'Ă©chec de la candidature ; mĂŞme en cas de victoire, il aurait Ă©tĂ© compromis car le CIO retire, dans la foulĂ©e de l'attribution des jeux Ă  Londres, le baseball et le softball du programme olympique[16].

Dans le cadre de l'organisation des Jeux olympiques d'été de 2024, le stade est retenu en vue d'accueillir les épreuves de hockey sur gazon[17]. Par ailleurs, un travail est en cours pour développer un projet de siège et de centre d’entraînement de haut niveau de la Fédération française de hockey[18] (fédération chapeautant le hockey sur gazon et le hockey en salle).

Vue générale du stade olympique de Colombes en 1924 lors de la finale du tournoi olympique de football.

De la Seconde Guerre mondiale Ă  aujourd'hui

Le stade olympique Yves-du-Manoir de Colombes a Ă©galement accueilli de nombreux Ă©vĂ©nements, notamment des matches de football, comme la finale de la Coupe du monde de football 1938, remportĂ©e par l'Italie contre la Hongrie, ou encore de nombreuses finales de Coupe de France. Ă€ l'occasion de la Coupe du monde 1938, le stade est rĂ©novĂ© et agrandi. Il peut dĂ©sormais accueillir plus de 60 000 spectateurs. Le record d'affluence de l'enceinte est enregistrĂ© Ă  l'occasion d'un match d'appui de quarts de finale de Coupe d'Europe des clubs champions, entre l'Ajax Amsterdam et le Benfica Lisbonne, le : 63 638 spectateurs payants.

Avec le début de la Seconde Guerre mondiale, l'installation sportive a également servi de camp de transit parisien pour les internés allemands et autrichiens, qui ont été répartis de là vers d'autres camps d'internement en France. Parmi les internés ici se trouvaient des réfugiés tels que Walter Benjamin, Hermann Kesten, Soma Morgenstern, Willi Münzenberg, Horst Rosenthal, Hans Sahl et Wols. Dans son journal, Kurt Stern a enregistré ses propres expériences en tant que détenu au Stade Olympique et a enregistré à plusieurs reprises les expériences d'autres détenus de Colombes qu'il a ensuite rencontrés dans d'autres camps. Il a également rapporté que les survivants du St. Louis ont été internés ici, qui devaient appartenir au contingent que la France a engagé après la fin de l'odyssée du navire[19].

Le stade a accueilli quelques événements non sportifs tel des congrès annuels de témoins de Jéhovah dans les années 1960-1970. Il est aussi influencé par les événements historiques tel un « camp de rassemblement » des ressortissants allemands et autrichiens en 1939 parmi lesquels Franz Hessel ou le théâtre de l'assassinat d'Ali Chekkal, ancien vice-président de l'assemblée algérienne, par Mohamed Ben Sadok en marge de la finale de Coupe de France de football 1956-1957[20].

La reconstruction du Parc des Princes à la fin des années 1960, inauguré en 1972, porte un sévère coup au stade de Colombes. Les matches internationaux de football et de rugby, ainsi que les finales de la Coupe de France se déroulant à compter de cette date au nouveau Parc des Princes et cela jusqu'à l'inauguration du Stade de France en 1998, conçu par l’État pour accueillir différents événements sportifs : football, rugby, athlétisme et courses automobiles.

Le stade Yves-du-Manoir vu de la principale tribune encore existante.

Le vieux stade olympique de Colombes ne bĂ©nĂ©ficie alors d'aucune rĂ©novation et d'un entretien minimal. Enceinte totalement vĂ©tuste dès les annĂ©es 1980, les trois quarts des tribunes sont interdites au public au dĂ©but des annĂ©es 1990, puis rasĂ©es. Seule subsiste alors la tribune principale, dotĂ©e de quelque 7 000 sièges ainsi que les virages l'avoisinant.

Vue de la tribune d'Honneur du stade olympique Yves-du-Manoir située près de la rue François-Faber à Colombes et d'une partie du virage sud.

Au terme de la saison 2008-2009 de Pro D2, le club de rugby Ă  XV du Racing MĂ©tro 92 remonte en Top 14, faisant renaĂ®tre le stade de ses cendres. Une nouvelle tribune latĂ©rale de 4 900 places est inaugurĂ©e Ă  cette occasion le .

Le conseil gĂ©nĂ©ral des Hauts-de-Seine prĂ©sente en la maquette d'un projet de rĂ©novation. Cependant, la lenteur du projet et l'impossibilitĂ© de rĂ©nover profondĂ©ment le site poussent finalement le Racing MĂ©tro 92 Ă  s'implanter Ă  la DĂ©fense dans sa future U Arena, salle modulable et polyvalente capable d'accueillir 32 000 spectateurs en mode rugby. Elle est inaugurĂ©e en , laissant alors le stade sans club rĂ©sident. Le , le Racing 92 joue son dernier match au stade Yves-du-Manoir avant de s'installer dans l'U Arena la semaine suivante[17]. Le , le Racing 92 revient jouer au Stade Yves-du-Manoir Ă  l'occasion d'un match de barrage de Top 14 l'opposant au Stade rochelais. L'U Arena, depuis renommĂ©e Paris La DĂ©fense Arena, est indisponible car rĂ©servĂ©e de longue date par la chanteuse Mylène Farmer pour les rĂ©pĂ©titions de sa sĂ©rie de concerts dans la salle[21].

Depuis , son annexe le stade Lucien-Choine, d'une capacitĂ© de 1 000 places dont deux cents assises[22], accueille l'ensemble des matches du Racing Club de France Football.

En 2014, le stade sert de lieu de tournage Ă  la cĂ©lèbre interview du footballeur RaĂŻs M'Bolhi (qui y a touchĂ© ses premiers balons Ă  l'âge de 9 ans) par le journaliste Mouloud Achour[23].

Évolution

Le stade Yves-du-Manoir vu de sa principale tribune d'Honneur et du virage nord rasé depuis les années 1990.

Projet avorté de centre pour la Fédération française de handball

Le , Patrick Devedjian, alors prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des Hauts-de-Seine, a annoncĂ© le projet de reconversion pour le stade : « Nous allons rĂ©aliser Ă  Colombes, au stade Yves du Manoir, les Ă©quipements nĂ©cessaires au rayonnement du handball, Ă  savoir une salle de 15 000 places, des bureaux et des Ă©quipements annexes ». Le syndicat mixte du stade Yves-du-Manoir a dĂ©jĂ  pris la dĂ©cision Ă  l'unanimitĂ© de lancer une Ă©tude de prĂ©-programmation pour dĂ©finir les besoins et le projet, qui sera suivi dès par un concours d'architecte. Cet amĂ©nagement devait Ă©galement comprendre les locaux du nouveau siège de la FĂ©dĂ©ration française de handball (FFHB).

En , est signĂ© un protocole avec cette fĂ©dĂ©ration afin que soit installĂ© en 2015 le centre national du handball, comprenant le siège de la FFHB, une rĂ©sidence pour les Ă©quipes de France masculines et fĂ©minines, des installations d'entrainement, une salle de 8 000 places ainsi qu'un centre de formation. Le programme dĂ©finitif est approuvĂ© en . La livraison devait avoir lieu fin 2015, pour que cet Ă©quipement soit pleinement opĂ©rationnel lors des Championnat du monde de handball masculin 2017.

Finalement, le projet est abandonné à la suite du retard pris, rien ne pouvant être prêt pour 2017, et en raison du fait que la FFHB préfère conserver son statut de propriétaire à Gentilly, plutôt que de devenir locataire à Colombes. Le devenir du stade est donc laissé en sursis, même si on réclame sa conversion en centre sportif[24].

Aménagement en vue des Jeux olympiques 2024

En vue des épreuves de hockey sur gazon des Jeux olympiques de 2024, un projet de rénovation du stade est adopté. Ce chantier conduira sur plus long terme au déménagement de la Fédération française de hockey, de son centre national d'entraînement, des instances franciliennes et départementales, ainsi que du club de hockey sur gazon du Racing club de France[25].

Principaux matchs joués dans le stade

Football

Jeux olympiques d'été de 1924
DateTourÉquipe 1ScoreÉquipe 2Spectateurs
1er tourItalie 1 - 0 Espagne20 000
1er tourUruguay 7 - 0 Yougoslavie1 000
8e de finalePays-Bas 6 - 0 Roumanie1 000
8e de finale[N 1]État libre d'Irlande 1 - 0 Bulgarie1 500
8e de finaleSuède 8 - 1 Belgique8 532
Quart de finaleFrance 1 - 5 Uruguay45 000
Demi-finaleSuisse 2 - 1 Suède7 448
Demi-finaleUruguay 2 - 1 Pays-Bas7 088
Petite finaleSuède 1 - 1 Pays-Bas9 915
Petite finale (rejouĂ©e)Suède 3 - 1 Pays-Bas40 522
FinaleUruguay 3 - 0 Suisse40 522
Coupe du monde de 1938
DateTourÉquipe 1ScoreÉquipe 2Spectateurs
8e de finaleFrance 3 - 1 Belgique30 454
Quart de finaleFrance 1 - 3 Italie58 455
FinaleItalie 4 - 2 Hongrie45 124
Équipe de France de football

Entre le et le , le stade olympique Yves-du-Manoir accueille 83 matchs officiels de l'Ă©quipe de France.

Le stade olympique Yves-du-Manoir est le stade rĂ©sident de l'Ă©quipe de France de football de Ă  ; soit durant 48 annĂ©es.

Rugby Ă  XV

DateTourÉquipe 1ScoreÉquipe 2
Groupe uniqueFrance 61 - 3 Roumanie
Groupe uniqueRoumanie 0 - 37 États-Unis
Groupe uniqueFrance 3 - 17 États-Unis
  • Championnat de France : Trois finales du championnat se tiennent sur la pelouse du stade de Colombes : 1908, 1913 et 1923.
  • Équipe de France :
    • Matches du Tournoi : Le stade Yves-du-Manoir accueillit le Tournoi durant trente-huit Ă©ditions, soit 74 matches (le match contre l'Écosse en 1920 se tient au Parc des Princes et le match contre l'Écosse en 1924 se dĂ©roula au Stade Pershing).

Dans la culture

Notes et références

Notes
  1. C'est le tout premier match disputé par l'Irlande après l'indépendance.
  2. L'équipe de Yougoslavie était sous l'entité du Royaume des Serbes, Croates et Slovènes.
  3. Ce match n'est pas reconnu comme officiel par la Fédération anglaise.
Références
  1. « Un site départemental, haut lieu du sport mondial, à Colombes », sur hauts-de-seine.fr.
  2. Comité olympique français, p. 76.
  3. Comité olympique français, p. 50-55.
  4. Comité olympique français, p. 215.
  5. Comité olympique français, p. 225.
  6. Comité olympique français, p. 323.
  7. Comité olympique français, p. 339.
  8. Comité olympique français, p. 503.
  9. Comité olympique français, p. 536.
  10. Comité olympique français, p. 628.
  11. Comité olympique français, p. 499. Les épreuves de fleuret avaient lieu au vélodrome d'hiver.
  12. Comité olympique français, p. 375.
  13. [PDF] « Volume 2 du dossier de candidature Paris 2012 », sur RERO (version du 3 avril 2016 sur Internet Archive) p. 151-152.
  14. « Colombes veut reprendre le flambeau olympique », sur Le Parisien, .
  15. « Les Projets qui seront réalisés ».
  16. « Baseball et softball exclus des JO », sur AFP / RDS, .
  17. Sébastien Lapaque, « À Colombes, les adieux au stade Yves-du-Manoir », Le Figaro, samedi 16, dimanche , page 15.
  18. « Page sur le site de la candidature parisienne aux JO de 2024 » (consulté le ).
  19. Kurt Stern: Was wird mit uns geschehen? TagebĂĽcher der Internierung 1939 und 1940 (Qu'est-ce qui va nous arriver? Journaux d'internement 1939 et 1940). Aufbau, Berlin 2006, (ISBN 3-351-02624-2), p. 52.
  20. « Euro 2016 : avant le Stade de France, il y a eu Colombes. Un stade mythique mais oublié », sur Le Plus L'Obs, .
  21. Anthony Tallieu, « Racing 92 : Retour à Colombes », sur rugbyrama.fr, (consulté le ).
  22. « Site officiel du RCF »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
  23. « 1, 2, 3 viva Raïs M'Bolhi - Part 1 », sur YouTube, (consulté le )
  24. « Que va devenir le stade Yves du Manoir ? », sur Le Parisien, .
  25. M. V., « 80 millions d'euros pour la rénovation du Stade Yves-du-Manoir », L'Équipe, (consulté le ).
  26. Bruno Carrière, VĂ©ronique David, Laurence de Finance et Paul Smith, RĂ©gion ĂŽle-de-France, [Service Patrimoines et inventaire] et l'[Association pour l'histoire des chemins de fer] (photogr. StĂ©phane Asseline), Gare Saint-Lazare, les verrières de Paris Ă  New York, Paris, Somogy, coll. « Parcours du patrimoine », , 71 p., 23 cm (ISBN 2-7572-0546-3 et 978-2-7572-0546-4, OCLC 798057023, BNF 42648997, SUDOC 160711207, prĂ©sentation en ligne).

Voir aussi

Bibliographie

  • Florence Pizzorni ItiĂ© (s.d.), Les Yeux du stade. Colombes, temple du sport, Ă©ditions de l'Albaron, Thonon-les-Bains, 1993 (ISBN 2-908528-452).
  • ComitĂ© olympique français, Rapport officiel des Jeux olympiques de 1924, 852 p. (lire en ligne [PDF]).
  • MichaĂ«l Delepine, Le stade de Colombes et l'enjeu d'un grand stade en France : des origines Ă  1972, .

Articles connexes

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